L'été de mes 18 ans 13

Informations sur Récit
Un job d'été.
1k mots
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18.7k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 13 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Je lui promis de lui téléphoner bientôt. Ce soir-là je pensais à mes dernières aventures qui me laissaient des souvenirs brulants à tel point que, couchée dans mon lit, je ne pus m'empêcher de me caresser et de me faire jouir une nouvelle fois. Il me tardait que Mélanie rentre pour que je lui raconte tout ça. Hélas il me restait encore deux jours à patienter.

Le lendemain, j'étais convoquée à un entretien pour un job d'été dans une PME des environs qui fabriquait de confitures. Je soignais ma tenue : petite robe en coton pas trop courte, maquillage léger. A l'accueil, l'employée me demanda d'attendre quelques minutes que Mme Meyer vienne me chercher. Peu de temps après, je vis arriver une grande femme blonde d'environ 45 ans : elle avait beaucoup de classe et d'assurance et portait une jupe longue, des bas fumés assortie d'un chemisier blanc qui laissait deviner son soutien-gorge noir. Dès qu'elle m'adressa la parole, je remarquai son accent étranger. Elle me demanda de la suivre jusqu'à son bureau. Lorsque nous fumes arrivées dans un grand bureau assez chic, elle me fit signe de m'asseoir et me dit :

« Présentez-vous s'il vous plait! »

Intimidée, je déclinai mon identité, mon âge, mes études... Elle me regardait d'un regard perçant qui me mettait un peu mal à l'aise. Puis elle me dit :

« Levez-vous! Faites quelques pas... Tournez-vous! Vous comprenez, nous cherchons une personne pour tenir la permanence au magasin de l'usine. Il faut quelqu'un de confiance qui fasse bonne impression à la clientèle. Vous savez, il y a beaucoup de personnes intéressées pour cette place. Je pense pouvoir vous donner la priorité... »

« Ah merci, madame, c'est très gentil. »

« Attendez, Claire... Je peux vous appeler ainsi ; n'est-ce pas? Cela dépend de vous... de votre obéissance...

« Oui, Madame, je sais obéir, vous savez. »

« Bien, nous allons voir ça. Approchez-vous! Oui, faites le tour du bureau!»

Je m'approchai. Je vis qu'elle avait retroussé sa jupe très haut. Je voyais la peau blanche en haut de ses bas, son porte-jarretelle et sa culotte de dentelle noire. Rougissante, je contemplai le spectacle. En me regardant droit dans les yeux, elle souleva légèrement ses fesses et fis glisser sa culotte : elle avait un minou tout lisse avec de grosses et longues lèvres violacées. Fascinée, je ne quittai pas son entrejambe des yeux.

« Cela te plait? Mets-toi à genoux! Et montre-moi comment tu es prête à me servir. »

Je ne me fis pas prier. D'abord le job m'intéressait et je n'avais rien contre le fait de joindre l'utile à l'agréable. J'approchai mon visage de son sexe et humai ses fragrances intimes. Cela acheva de me tournebouler. Je posai ma bouche sur son minou et lui fis plusieurs bisous, puis je sortis ma langue et léchais sa fente sur toute sa longueur. Je sentis bientôt son bourgeon se dresser et je le léchai activement avant de l'aspirer dans ma bouche.

« Ah oui, Claire... Hmmm c'est délicieux, continue. Ach! »

Elle se mit ensuite à égrener des mots en allemand en haletant de plus en plus fort. Puis elle jouit en m'inondant le visage de son jus. J'avalai le tout avec délice. Elle me fit relever ensuite et retroussa ma robe. Avant que j'aie pu réagir, elle tira d'un coup sec sur ma culotte et la déchira.

« Plus de culotte ici, tu as compris? Hmm au moins, tu n'as pas de poils, sinon c'était le rasage obligatoire! Assieds-toi sur ma cuisse... Hmmm un bien joli minou... »

Elle appuya sur la touche de l'interphone et dit :

« Valérie, venez dans mon bureau de suite! »

Je voulus me rajuster, mais elle me maintint assise sur sa cuisse. On frappa on à la porte et une jolie brune d'une trentaine d'années entra. Elle me regarda en souriant.

« Valérie, je te présente Claire. Souhaite-lui donc la bienvenue, comme tu sais si bien le faire! »

Valérie s'approcha de moi et m'embrassa sur les lèvres. Puis elle me fit lever et retourner et pencha mon buste sur le bureau. Je sentis bientôt son souffle chaud sur mes fesses qu'elle écarta de ses mains. Sa langue commença à me lécher. Je me mis à frémir, très troublée par les caresses et le fait que Mme Meyer regardait la scène. Valérie introduisit ensuite deux doigts dans mon minou trempé en continuant à me lécher. Je ne tardais pas à jouir en gémissant. Mme Meyer me dit :

« Cela t'a plu? Alors, embrasse Valérie pour la remercier! »

Je me retournai et enlaçai Valérie que j'embrassai alors, pleine de gratitude. Mme Meyer prit ma main et tout en retroussant la jupe de Valérie d'une main, posa ma main sur la fourche de celle-ci. Elle n'avait pas de dessous non plus. Je sentis sous mes doigts des lèvres gonflées et trempées. Mme Meyer me dit :

« Allez, caresse-la! Tu vois dans quel état elle est. Il n'y en aura pas pour longtemps, tu vas voir! »

Effectivement je sentis le corps de Valérie vibrer et se raidir sous mes caresses. En quelques secondes elle jouit en poussant un cri.

« Je te l'avais dit! Valérie est toujours la plus rapide à jouir... et la première à recommencer! ... Bon, maintenant que vous avez fait connaissance, Valérie va te montrer l'usine.»

Valérie m'entraina alors dans les différents services. Dès qu'elle pouvait, elle posait sa main sur mes fesses et me palpait. Son doigt parcourait ma fente qui était de plus en plus mouillée. J'étais vraiment excitée par ces caresses lubriques et par la crainte qu'on découvre que je n'avais pas de culotte. Valérie le sentit et m'entraina dans les toilettes. Elle s'accroupit et m'attira à elle, souleva ma jambe droite et la posa sur son épaule. Elle se mit à me dévorer le minou avec frénésie et je ne tardai pas à jouir à nouveau en gémissant. Puis elle se releva et m'embrassa langoureusement. Ma main glissa entre ses cuisses et je sentis qu'elle était à nouveau trempée. Je me mis à branler son petit bouton tout dur et elle jouit à nouveau très vite.

« Ah Claire! Tu me plais et je suis bien contente que tu travailles ici. On va pouvoir s'en donner à cœur joie. Tu sais, j'ai toujours envie... alors une journée de travail normale, c'est trop dur! »

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 5 ans
Alors ici on passe...

...Du câlin et erotique au ridicule. Ce n'est jamais très loin, vous savez. La pauvre tombe d'une situation lesbienne dans l'autre, avec une fréquence très peu réaliste. Les caractères deviennent de la caricature et le récit perd visiblement de qualité au fur et a mesure

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