L'été de mes 18 ans 11

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A la piscine.
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Récit n'a pas de balises

Partie 11 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Je me mis à caresser son minou maladroitement. Elle posa sa main sur mienne et me guida en disant :

« Voilà, tu laisses glisser tes doigts entre mes grandes lèvres pour qu'ils soient bien mouillés. Maintenant, glisse un doigt en moi, tu peux en mettre deux ou trois. Oui, comme ça! Fais les entrer et sortir. Oui, très bien. Et tu sens le petit bouton ici en haut? Il adore qu'on le touche...oui Claire, tu fais cela très bien... aaah. »

Je continuais à la doigter de plus en plus vite en suçant alternativement ses deux seins. Elle se mit bientôt à haleter et à gémir. Puis elle jouit dans un grand cri.

« Ah merci Claire, tu m'as bien caressée! Viens dans ma chambre que je m'occupe de toi! »

Je la suivis dans sa chambre. Elle me fit basculer sur le lit et écarta mes cuisses. Je me raidis un peu lorsqu'elle approcha son visage de mon minou.

« N'aie pas peur! Détends-toi, ferme les yeux. Tu vas voir, c'est délicieux. »

Elle se mit à embrasser mon minou, puis sortis sa langue et me lécha frénétiquement. Bientôt, je ne pus retenir mes gémissements. Certes Mélanie m'avait léchée plusieurs fois, mais cela n'avait rien à voir avec ce que Jeanne me faisait subir : elle léchait, mâchouillait mes grandes lèvres, mordillait mon bouton, aspirait tout mon sexe dans sa bouche... Je gémissais de plus en plus fort ce qui la fit redoubler d'ardeur. Mon bassin se soulevait et elle avait fort à faire pour garder le contact. Avec un grand cri, je fus emporté par un orgasme foudroyant. Jeanne s'allongea contre moi, me laissant reprendre mon souffle, puis elle murmura :

« Dis Claire, tu es encore vierge? »

« Heu non, mon cousin Charles m'a dépucelée l'été dernier. Mais je n'ai pas beaucoup apprécié, il était trop brutal. »

« Ah oui, cela ne m'étonne pas. Les hommes ne savent pas y faire. Il n'y a qu'une autre femme pour savoir ce que tu aimes. Dis-moi, veux-tu être toute à moi? »

« Comment cela? », demandé-je surprise.

« Attends, ne bouge pas, je reviens. »

Je l'entendis ouvrir un tiroir de la commode, puis elle me tourna le dos un moment. Enfin elle revint vers moi. Je vis qu'elle avait une sorte de ceinture et que devant un long pénis noir pendait. Elle recommença à me lécher et à me sucer et quand elle sentit que j'étais suffisamment excitée, elle approcha son sexe noir de mon minou et se mit à le frotter sur ma vulve. Cela m'excitait de plus en plus. Puis elle le prit entre ses doigts et le glissa dans mon minou.

« Ça va? Je ne te fais pas mal? »

« Non, non, j'aime bien. »

Elle se mit alors à me prendre de plus en plus profondément. Je me mis à gémir. J'avais sous les yeux ses seins superbes qui ballotaient. Je les pris dans mes mains et les caressai. Je massai les tétons, puis me mis à tirer sur les pointes. Du coup elle accéléra ses mouvements ce qui me fit bientôt crier de plaisir. Elle se laissa tomber sur moi. Nous étions toutes deux épuisées. Je me rhabillais et partis, non sans lui promettre de lui téléphoner bientôt.

J'avais beaucoup apprécié cette aventure et je me disais que j'aimais changer de partenaire. Mélanie me plaisait beaucoup, mais j'avais envie de connaitre d'autres femmes. De plus, elle ne devait pas rentrer avant quatre jours. Dès le lendemain, je partis pour la piscine, en me disant que j'aimerais bien séduire une femme moi aussi. Arrivée sur place, je me changeais dans une cabine et sortis sur la pelouse dans un petit deux-pièces qui était déjà un peu petit pour mes formes. Je repérai une jolie petite brune, allongée sur un transat. Elle était très mince et semblait tout juste formée. Elle lisait un magazine. Je m'approchai et lui demandai avec un grand sourire si le transat près du sien était libre. Elle me répondit par l'affirmative en me souriant aussi. Nous nous mimes rapidement à papoter. J'appris qu'elle se prénommait Angélique, qu'elle terminait sa seconde, qu'elle habitait chez papa et maman et qu'elle sortait d'une aventure décevante avec un garçon. Apparemment, il avait cherché à coucher avec elle alors qu'elle n'était pas prête à cela. Après une bonne demi-heure, je lui dis :

« Dis Angélique, je commence à cuire. Tu pourrais me mettre de la crème dans le dos?

Elle rougit un peu, mais n'osa pas refuser. Elle tartina maladroitement mon dos. Dès qu'elle eut fini, je lui proposai de lui rendre la pareille. Elle accepta après un temps d'hésitation. Je me mis à enduire son dos avec des mouvements très doux. Je la vis fermer les yeux et s'abandonner. Manifestement, elle appréciait! Puis nous sommeillâmes toutes deux un long moment. Lorsque je la vis se redresser, je lui dis :

« Tu dois partir? Moi aussi, je vais rentrer. Allons à la douche ensemble! »

Elle m'emboita le pas. Je savais qu'il y avait une grande cabine douche pour handicapés avant la salle de douches pour femmes. La porte était entrouverte. Je me retournai vers elle en disant :

« Et si nous allions là, nous serions plus tranquilles! Il y a toujours un raffut dans les douches pour femmes avec toutes ces mémères qui n'arrêtent pas de répandre leurs rumeurs! »

Elle sourit et me suivit, apparemment en confiance. Je mis le loquet et ôtai mon deux-pièces. Elle me regarda de la tête aux pieds. Apparemment ma poitrine et mon minou rasé la troublaient. Je fis mine de rien et je me mis sous le jet tiède. Je l'entendis me rejoindre. Je me retournai. Gagné! Elle aussi avait retiré son deux-pièces : elle avait deux petits seins pointus aux petites aréoles brunes et un minou tout noir frisé. Je lui dis :

« Retourne-toi, je vais te savonner le dos. »

Elle obéit ; je pris mon gel douche et commençai à enduire ses épaules, puis son dos, ses reins. Ma main descendit sur ses fesses sans qu'elle proteste. Je la pris aux épaules et la fit pivoter. Puis la regardant droit dans les yeux, je remis du gel sur ma main et commençai à enduire son abdomen, puis sa poitrine. Je vis ses yeux chavirer petit à petit. Je continuer à masser ses petits seins qui se dressaient sous mes caresses. Je m'agenouillais alors et commençais à savonner ses chevilles.

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