L'été de mes 18 ans 05

Je me laissai glisser à terre. Mélanie retroussa sa jupe et son sexe apparut. J'approchai mon visage. Ses lèvres intimes luisaient, elles étaient toutes gonflées. Elle avait dû se caresser pendant qu'elle me léchait. Une odeur poivrée me chavirait les sens. Je posai mes lèvres sur son minou et je déposai plusieurs bisous. Puis je sortis ma langue et me mis à lécher toute sa fente. J'avais une appréhension au départ mais j'avoue que très vite, je me laissais emporter par mon envie. Petit à petit, je sentis quelque chose grossir sous ma langue. Je jetai un œil et sursautai :

« Mon Dieu, Mélanie, quel gros bouton tu as! »

« Tu le trouves beau, hein? Tu veux le sucer? Allez ma chérie, prends le dans ta bouche! »

Je ne me fis pas prier et aspirai son bouton. Je le fis rouler entre mes lèvres, le suçai, le mordillai. Mélanie était de plus en plus excitée. Elle ahanait en murmurant des mots sans suite. J'accélérai la cadence. Elle murmura :

« Oui Claire, continue!

Elle me prit un doigt qu'elle lécha avidement puis le conduisit entre ses fesses.

« Vas-y Claire, enfonce-le! Doigte mon petit trou! »

J'enfonçai mon doigt et le fis aller et venir de plus en plus vite. Mélanie se cabra et je sentis qu'elle allait jouir. J'aspirai alors son bouton encore plus fort. Elle poussa alors un long ululement et un flot de son jus intime m'inonda la bouche. J'avalai tout ce que je pouvais, mais une partie s'écoula sur mon menton et mon cou. Mélanie me fit lever et elle m'enlaça, m'embrassa en glissant sa langue dans ma bouche. Notre baiser dura plusieurs minutes. Soudain, nous entendîmes la porte du garage s'ouvrir.

« Vite, Claire, sauve-toi! C'est Serge qui rentre! »

Je partis en courant. Ce n'est qu'arrivée chez moi que je réalisai que j'avais laissé ma culotte à Mélanie. Je me gardai bien d'en remettre une autre : chaque courant d'air me rappelait les sensations exquises éprouvées avec Mélanie. D'abord j'avais adoré quand elle m'avait léchée et sucée. Mais j'avais pris beaucoup de plaisir à la faire jouir moi aussi. Son minou tout lisse était vraiment un délice, pour les yeux, pour l'odeur et pour le goût. Et son bouton était vraiment si gros qu'on pouvait le prendre en bouche et le sucer à loisir. Je commençai à me demander à quoi ressemblerait mon minet sans poils...

Le lendemain matin, Mélanie m'appela sur mon portable :

« Claire chérie, passe chez moi à 14h... il y aura une surprise! ». Et elle éclata de rire.

Je brûlais d'impatience de la revoir et j'eus du mal à rester tranquille pour ne pas éveiller les soupçons de mes parents. Dès 14h je m'éclipsais, en disant que j'allais au cinéma avec une copine. J'avais mis une jupe en jeans très courte et un chemisier bleu et toujours pas de soutien-gorge!

J'avais à peine sonné que Mélanie ouvrit la porte et m'attira à l'intérieur. Elle m'embrassa longuement sur les lèvres. Tandis que nous reprenions notre souffle, elle me dit d'un air espiègle :

« Toi, tu vas voir! Tu promets de m'obéir dans tout ce que je te dirai? »

« Oui, Mélanie, je te promets ».

Elle me prit la main et m'entraina dans la salle de bains.

« Bon, retire ton chemisier... ta jupe... et ta culotte! Bien! Maintenant, va dans la baignoire et assieds-toi sur le bord. Ecarte bien les cuisses et ferme les yeux! Et ne triche pas, hein! »

Je fis ce qu'elle demandait, déjà toute excitée. J'entendis Mélanie fouiller dans l'armoire, puis elle vint près de moi. Elle ouvrit les robinets et régla la température, puis je sentis un jet d'eau d'une température agréable sur mes cuisses et mon ventre. Je commençais à comprendre ce qui m'attendait. Cela me faisait un peu peur, mais j'avais donné ma parole.

« Bien, je te veux toute lisse, tu es d'accord? »

« Oui Mélanie, je veux te faire ce cadeau. »

Elle m'enduisit alors le minou de mousse à raser, puis je sentis la lame du rasoir qu'elle maniait très doucement. Ensuite elle rinça avec le jet. Puis elle essuya délicatement mon entrecuisse et m'aida à sortir de la baignoire. Je sentis ensuite quelque chose de frais sur mon minou.

« C'est une crème apaisante, tu aimes? Ouvre les yeux et regarde! »

J'ouvris les yeux et regardais mon minet dans le miroir qu'elle tenait devant mes cuisses.

« Je trouve ton minou à croquer comme ça, pas toi? D'ailleurs je vais le goûter tout de suite. »

Avant que je puisse répondre, elle me faisait asseoir sur le siège des toilettes et s'agenouillait entre mes cuisses ; je sentis sa langue qui me léchait. Mon minou, rendu encore plus sensible par la morsure du rasoir, s'enflamma très vite. Elle s'attarda très vite sur mon bouton tandis que son index glissait dans mon sexe, ressortait puis atteignait mon œillet. Je frémis au contact de ce doigt fureteur. Petit à petit elle humecta mon petit trou et y glissa le doigt tout en léchant mon bouton avec vigueur. Je me sentis partir comme une fusée et je jouis en criant son nom.

J'étais à peine remise de mes émotions qu'elle me dit :

« Douche-toi et rhabille-toi pendant que je donne le sein à Carla. Après je t'emmène en ville! »

Elle terminait d'allaiter sa fille lorsque je sortis de la salle de bains. Elle déposa Carla dans sa poussette.

« Je la confie à ma voisine d'en face et on y va. Installe-toi, la voiture est ouverte! »

Elle réapparut 5 minutes plus tard et s'installa au volant. Elle portait ce jour-là une robe en coton très courte qui la moulait étroitement. Elle prit ma main et la posa sur sa cuisse. Tandis qu'elle démarrait, je me mis à la caresser en remontant de plus en plus haut.