L'été de mes 18 ans 02

Quelques mois passèrent sans évènements notables. J'assistais plusieurs fois à la tétée de Carla et je fantasmais toujours autant sur la poitrine de Mélanie, ses seins gonflés de lait et mon envie d'y goûter.

Mais j'étais bien trop timide pour oser quoi que ce soit.

Carla grandissait et l'été revint. Mélanie reprit ses séances de bronzage dans le jardin. Un jour, il y eut une nouveauté : son mari, aidé de deux copains installa une piscine de taille respectable. Dès le lendemain, j'étais à ma fenêtre, guettant l'apparition de Mélanie. Elle apparut bientôt, vêtue d'un short et d'un chemisier ample en coton blanc. Je n eus pas le temps de me cacher. Déjà elle me faisait signe de venir la rejoindre.

Ravie, je dévalai l'escalier et courus jusqu'à sa porte. Elle m'ouvrit en souriant. Elle me fit une bise et m'invita à entrer.

« Oh, tu as une jolie robe », me dit-elle. Je rougis sous le compliment. C'était une robe en coton multicolore à fines bretelles et assez courte.

« Vous êtes très belle aussi » , dis-je rougissante car je m'étais aperçu en la regardant de près que son short était vraiment petit et moulant tandis que son chemisier en lin très fin était plutôt transparent et ne cachait pas grand-chose de sa poitrine.

« Comment ça, vous? Je t'ai déjà dit de me tutoyer. Allez, recommence!

« Euh, tu... tu es très belle aussi ».

« Voilà, c'est pas difficile. Allez, allons dans le jardin... ». Elle me prit la main et m'entraina.

« Tu as vu comme les haies ont poussé? Il n'y a plus guère que de ta chambre que tu peux voir le jardin. D'ailleurs, tu ne t'en prives pas. »

Je rougis de plus belle.

« Allons, je plaisante bien sûr!

Et en riant, elle fit passer son chemisier par-dessus sa tête, dévoilant ses seins gonflés. Je me mis à les regarder, troublée. Ils étaient vraiment superbes, opulents mais ils ne pendaient pas le moins du monde. Et c'est surtout les longues pointes brunes et les aréoles qui me fascinaient.

« Tu sais, tu devrais ôter ta robe, tu vas avoir trop chaud!é

« C'est que, je n'ai que mes dessous... j'ai même pas pensé à mettre mon maillot de bains. »

« Pas grave, on est entre nous! ». Et avant que je réplique, elle était passée derrière moi et avait descendu la fermeture éclair de ma robe avant de la faire plisser au sol.

« Oh, quels jolis dessous, ils te vont à ravir! ». Je portais une culotte et un soutien gorge en coton avec des motifs fleuris.

« Tu sais, il y a du chlore dans l'eau. Ce serait dommage de les abimer. Tu devrais les retirer. »

A ces mots, elle déboutonna son short et le fis glisser : elle était nue!

Surprise, je poussais un petit cri.

« Vous, euh...Tu n'as pas mis de culotte? »

Elle éclata de rire.

« Cela m'arrive souvent, même parfois en jupe », dit-elle avec un air coquin.

J'étais de plus en plus troublée : je ne pouvais m'empêcher de regarder son sexe. C'était la première fois que je voyais un sexe féminin sans le moindre poil. Elle avait de jolies lèvres rouges assez proéminentes. Consciente de mes regards, elle me demanda :

« Mon minet te plait? ». Je bredouillai :

« Euh oui, c'est beau comme ça, très troublant... »

« Allez, arrête de me regarder et ôte-moi ces dessous. »

Elle était à nouveau derrière moi et dégrafa mon soutien-gorge puis je sentis ses doigts qui faisaient glisser ma culotte.

« Retourne-toi!... oh, mais tu es ravissante : j'aime bien tes petits seins pointus et heureusement ton gazon n'est pas très dru ».

Déjà, elle passait sa main sur mes poils blonds peu fournis. Je frémis à ce contact.

« Allez, à l'eau! Me prenant la main, elle m'entraina dans la piscine. La demi-heure suivante se passa en éclaboussures et en rires. Puis elle sortit d'un coup et s'allongea sur un transat. Alors que j'allais faire de même et m'allonger sur le deuxième transat, elle me dit :

« Claire, ce serait vraiment chou si tu me mettais de la crème sur le dos! »

Elle me tendit un tube et je me mis à lui enduire le dos.

« Hmm tu as les mains douces... n'oublie pas les fesses et les cuisses surtout! »

J'enduisis alors ses fesses rebondies, puis ses jambes qu'elle avait écartées. Je ne pouvais m'empêcher de regarder les lèvres de son sexe que j'avais sous les yeux. De derrière, c'était encore plus troublant : les plis et replis des petites et grandes lèvres et le sillon. J'apercevais même l'œillet mauve plus haut lorsque mes massages écartaient un peu ses fesses.

J'avais tout juste fini qu'elle se retourna en disant :

« Tu fais ça vraiment trop bien, tu veux bien me faire le côté pile? »