L'esclave de Maman 04

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Maman reçoit son cadeau de fête des mères
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Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 06/13/2006
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Je me réveillais soudainement par une douleur vive. Maman s'étirait et se préparait à sortir du lit, son cadeau, la chaîne trop courte qu'elle m'avait offert, reliait toujours mon sexe à sa cheville. Tirer dessus sèchement m'a sorti de mes rêves où je me voyais servir les orgasmes de maman à l'aide de puissants coups de reins et ma mère de me supplier de ne jamais arrêter mon va-et-vient dans ce vagin qui m'a vu naître jusqu'à ce que cette porte sacrée des plaisirs défendus s'inondent.

Mais voilà, la réalité est toute autre; ma mère a mon sexe à sa portée, ce n'est rien de plus qu'un jouet pour évacuer ses pulsions sadiques et m'asservir, et je ne peux me passer de cette vie là.

Je tombe sur la carpette malodorante qui fut, autrefois, ma paillasse et, à son habitude, maman ne se préoccupait pas de ma douleur et commença à marcher vers la salle de bain. Je la suis en rampant d'un seul côté, tiré par le pied maternel, toujours groguis, mais avec une douleur grandissante dans les parties intimes.

Arrivé dans la salle de bain, elle soulève sa robe de nuit, dégage cette fente que j'ai tant convoité cette nuit, et s'assoit sur le siège des toilettes. Elle me lance un regard sombre et regarde un peu plus bas que moi; le réveil n'avait pas manqué, mon érection était maximale. Son pied retombe alors sèchement dessus, me causant une horrible douleur due à la torsion, qui ne se calme qu'une fois la demi-molle arrivée.

"Ton zizi ne sait toujours pas se tenir!" m'assène-t-elle. Je la voyais chercher sa répartie, l'air sombre mais sans doute encore un peu trop fatiguée; elle aussi reprenait ses esprits après cette longue nuit.

Elle tendit ses mains vers le rouleau de papier toilette sur la cuvette, regardant le porte-rouleau toujours cassé, puis sourit. "Je sais ce que je vais en faire. Lève-toi!"

Je m'exécutais mais ne pu que me courber pour tenir debout; la chaîne était vraiment courte. Mon érection reprenait; maman en profita pour placer le rouleau de PQ sur mon pénis.

"Voilà ce à quoi ton zizi va me servir tous les matins! Plutôt que de gâcher cette érection, tu te présenteras à moi en tant que porte-papier toilette", puis elle rit.

Enfin, elle saisit la dernière feuille du rouleau et commença à tirer. Les bords en carton frottaient la chair de ma verge, mais j'avais connu bien pire. J'esquisse un simple "Aïe" de surprise, avant de la voir délicatement éponger son sexe.

"File me préparer mon bureau pendant que je prends ma douche! J'irai voir le site de la demoiselle bien éduquée que nous avons croisé hier. Et gare à ton zizi si tu regardes un site interdit...", ajouta-t-elle d'un ton glaçant.

Je m'empresse de descendre pour préparer le PC de maman. Seulement, je m'arrête un instant dans l'escalier. Il fait frisquet ce matin, et je n'ai pas envie de tomber malade si proche des examens.

Je remonte les quelques marches âprement descendues, et retourne dans ma chambre. J'y regarde ce que maman y a laissé; j'attrape une chemisette blanche pour le haut. C'est tout ce qu'il restait dans l'armoire comme vêtement d'intérieur: un tas de chemisettes trop petites que je ne portais que lorsqu'il faisait froid, car elles étaient si serrées qu'elles en étaient inconfortables et rendaient mes mouvements moins amples.

Ensuite...

Ensuite, je n'ai pas trop le choix. Tous mes shorts d'intérieur sont au sale. Il ne reste qu'un vieux short de nuit. Je l'avais troué entre les jambes au début de l'époque de mes masturbations frénétiques nocturnes sur internet. J'avais alors demandé à maman si elle voulait bien le recoudre.

Ma mère, qui en a vu d'autres passer, me l'a rendu avec un trou plus large et proprement découpé: "Ainsi, je suis sûre que ça n'arrivera plus", m'avait-elle lancer d'un ton glacial.

En observant le short de plus près, j'y avais vu un élastique cousu proche du sommet du trou; "Et ça, maman, qu'est-ce que c'est?", lui répliquais-je en tirant dessus pour m'assurer qu'il s'agissait bien d'une bande élastique. Elle me lança "Ca? C'est parce que j'ai même pensé à un endroit où tu pourras ranger ton zizi quand tu as fini"; avant de s'esclaffer bruyamment.

C'était il y a longtemps; elle apprenait encore à assumer sa stature, et j'apprenais encore à assumer ma place. Mais aujourd'hui, en ce jour de fête des mères, je continue d'apprendre à mieux exister pour elle.

J'enfile le short troué, je place ma bite proprement autour de l'élastique afin de la rehausser, et je descends les marches quatre à quatre.

Je remonte du garage une surprise sur laquelle j'ai travaillé en secret; les bruits de la douche assourdissent le tintamarre que mon cadeau fait dans l'escalier. C'est ainsi que, non sans m'être pris un coup du cadeau sur le gland en le faisant tomber, je finis par l'installer proprement. Je démarre ensuite l'ordinateur et file chercher le café.

Pendant que le café passe, je me rappelle toutes ces heures qu'elle aime passer sur l'ordinateur du salon, cet immense jardin secret qu'elle cultive en ligne et dont je ne sais que très peu de choses.

Alors je me suis dit que ça devrait pouvoir lui être utile durant tout ce temps passé devant l'écran, tout en voulant lui dire "Merci d'être ma maman!". Cela doit donc être un symbole très spécial.

Et je me suis rappelé comme elle aime recevoir un long cunnilingus; à chacun de mes anniversaires, elle ne manque pas de se plaindre de la douleur qu'elle a eu en me mettant au monde. J'entends encore sa voix me le reprocher: "Ca m'a quasi déchirée d'accoucher! J'ai eu mal pendant des mois pour que tu viennes au monde! Le minimum que tu peux faire c'est de t'excuser et soulager la pauvre chattoune de ta maman", me dit-elle généralement avant de m'enfoncer le visage dans la chatte maternelle.

Tiens, le café est fini; je saisis une tasse.

Et c'est donc pour cette raison que j'ai offert à maman un *AIIIIEEE...*! Une goutte de café brûlant s'est renversée sur ma bite. Ca fait super mal! D'abord le cadeau puis ça; cet élastique met mon pénis aux premières loges du risque, faut que je fasse gaffe. Mais je dois le garder comme ça: c'est un jour où je veux éviter de causer la moindre contrariété à maman.

Je finis de verser la tasse, me rend dans le salon où je la pose sur le bureau. Le PC est maintenant démarré et, face à lui, mon cadeau: un siège confortable et rembourré creusé entre les jambes, et avec plein de renforts pour être agréable durant de longues heures d'utilisation à deux.

Au lieu de simplement vénérer ses pieds, comme d'habitude lorsqu'elle est face à l'écran, je vais pouvoir vénérer et remercier ce qui m'a fait venir au monde. Ce sera une journée de plaisirs illimités pour maman!

Soudain, un bruit de pas dans les escaliers. Je cours chercher ses cigarettes, son briquet et son cendrier, pour m'assurer que tout est présent sur la table du bureau, et je file glisser ma tête dans l'ouverture de la chaise.

Elle descend de l'escalier, je vois ses formes maternelles se dessiner au pas de l'escalier. Elles s'accompagnent d'une robe de chambre transparente, laissant entrevoir ses mamelons et son pubis. Cette silhouette est rehaussée d'escarpins dévoilant ses délectables orteils. Elle pénètre alors le salon, et je lui cris "Bonne fête maman!!!! "

Elle me trouve vite du regard. Je lui souris. Elle me sourit.

"Merci, mon chéri", répliqua-t-elle, "Mais qu'est-ce que c'est que ce fauteuil?".

Je lui répondais désinvolte: "C'est une journée spéciale maman. Je t'offre ce siège pour te remercier d'être ma maman: de m'avoir mis au monde et de m'avoir élevé en bon fils soumis"

La joie éclate sur son visage, mission réussie!

Elle me demande de me lever, d'approcher, elle me regarde, elle m'étreint;"Mon merveilleux petit homme parfait! Mais il faudra penser à retirer cette chemisette sinon ça va te salir", me glissa-t-elle dans l'oreille alors qu'une de ses mains déserrait son étreinte pour amoureusement caresser mon pénis. Maman était vraiment contente, et me le montrait sur sa propriété; qu'il est bon d'être l'esclave de ma maman.

"Allez, on va l'essayer avant que le café ne soit froid!", dit-elle avant de m'asséner une petite claque sur les fesses. Je retire ma chemisette, replace ma tête entre les extrémités du siège et laisse maman entrouvrir son chemisier et prendre place.

La chatte maternelle s'approche, je ne vois plus qu'elle en gros plan, partiellement épilée et humide; son odeur vint ensuite emplir mes narines; cette fragrance familière qui sent l'amour et le désir...

Désormais, je ne verrai plus du monde que le pubis maternel, je ne sentirai plus le monde qu'à travers les effluves de la chatte maternelle, et je ne partagerai plus ma bouche qu'avec l'entrée qui m'a donné le jour, pour servir le plaisir de celle qui m'a tout donné!

J'entendais maman se loguer sur l'ordinateur, probablement ouvrir son navigateur et j'ignore la suite car ma vraie concentration était d'arracher du plaisir à maman en m'appliquant et en profitant de l'honneur donné. J'insistais principalement sur le clitoris, car ma maman y est particulièrement sensible. Mais elle semblait exigeante ce matin, pas moyen de lui arracher le moindre tressaillement.

Humer les vapeurs intimes de ma maman, m'inspire à redoubler d'effort.

Mais elle m'interrompt soudain:"Sers-moi un nouveau café!"

Je me reculais, la bouche encore pleine de salive et de cyprine; "Bien sûr maman chérie, je m'en charge". Je sortais en rampant sous le bureau, je saisis la tasse et jette un coup d'œil à l'écran; il s'agissait d'un forum du groupe Femi-Nation, rencontré hier. On y voit un fil de soutien vis-à-vis d'une femme trompée ayant coupé le sexe de son mari. Un léger effroi me remonta l'échine.

Je m'éloignais dans la cuisine pour remplir la tasse, et revins rapidement pour ne pas la faire attendre.

Je trottine vers le salon, la tasse de café à la main. Le fil de discussion avait changé; on y parle à présent de violeurs ressortis libres d'un procès. J'approche maman en ne la voyant que de dos, et je pose rapidement la tasse de café. Elle se tourne vers moi, des yeux ronds, les lèvres pincées; elle semble soudain très en colère. Elle regarde la tasse de café, puis me regarde de façon plus appuyée; elle descend de mon visage à mon sexe, elle s'y attarde.

"Tu as du plaisir?", m'assène-t-elle, "Tu as du plaisir sans que je le sache et puisse y consentir?", haussa-t-elle. Je me rendis compte que servir son sexe m'a beaucoup excité, sans que je m'en excuse, alors que mon sexe semi-rigide retenu par l'élastique est en train de la cibler; "TU VEUX FINIR COMME CES PUTAINS DE VIOLEURS???". La situation est embarrassante, mon sexe gonfle davantage.

Ma mère devient rouge vif et, ni une ni deux, elle attrape mes testicules et se met à frapper mon érection sans le moindre ménagement. J'essaie de m'en détacher, mais elle me maintient littéralement par les couilles; je ne peux que tenter de rester droit et la laisser déchaîner sa furie sur mon... son érection, jusqu'à ce qu'elle juge que c'en est assez.

Les claques se ramollissent, la colère de maman s'éloigne, mais sa main a toujours une prise ferme sur mes bourses. Elle s'arrête; je me tiens à mes obligations: "Merci maman pour cette leçon d'éducation; je suis heureux que mon sexe soit ta propriété!". Je lui souris, elle me sourit, son emprise se relâche, et une étreinte plus douce se pose sur mon pénis.

"Mon petit homme qui est si serviable, tu es un trésor pour ta maman! Mais, tromper ta maman pour qu'elle te procure du plaisir involontaire, tu sais que ça mérite une érection bien punie!

- Je suis désolé maman, je me suis laissé emporté, dis-je en baissant la tête

- Tu dois tout de même apprendre que ton plaisir ne vient que si la femme te l'accorde. Autrement, c'est un vulgaire viol et je ne me laisserai pas dire que je suis une mauvaise mère en ayant enfanté un violeur! Pour prévenir tes petits soucis mon chéri, on va trouver un moyen pour que donner du plaisir à maman dissuade tes petits durcissements sur ma propriété.

Son regard descend vers ma verge, ses doigts remontent et ses longs ongles maternels enserrent à présent douloureusement la base de mon gland, je serre les dents...

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 2 mois

Woooooow 🥰🥰🤩🤩

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