Les têtons de Nathalie

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Nathalie offre ses têtons aux désirs pervers d'un inconnu.
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Notre jeu pervers durait depuis cinq ans déja. Rapidement, nous avions établi un protocole précis, sans fioritures. Elle venait chaque lundi soir après neuf heures. Nous allions au salon, et là, en toute simplicitait elle se débarassait de ses vêtements du haut de façon à me présenter ses têtons nus. Alors elle s'asseyait sur une chaise, tandis que je me saisissait d'un fouet constitué d'une seule lanière de cuir.

Ce fouet était rapidement devenu mon instrument de prédilection. J'aimais entendre le claquement sec qu'il faisair en s'abattant sur la chair à la fois tendre et ferme de ses têtons de Nathalie, et voir la délicate zébrure dont chacun de mes coups marquait sa peau. Ce choix avait d'abord déclenché des protestations de la part de Nathalie, qui trouvait la douleur trop vive, par rapport à celle causée par un martinet. Il m'avait fallu du temps pour parvenir à ajuster mes coups comme. Maintenant, je frappais juste assez fort pour produire ce claquement, dessiner cette zébrure, et procurer à Nathalie cette douleur cinglante et vivifiante.

En ce qui concerne le nombre de coups, nous en étions arrivés à cinq par soirée : un donné sur chacune des parties inférieures et supérieures de ses deux têtons, et le dernier qui, selon mon inspiration, pouvait être un simple coup comme les autres légèrement plus appuyé ou littéralement barrer ses seins à hauteur de leurs deux aréoles, traçant une zébrure qui ne s'atténuait qu'au bout de plusieurs semaines. A mon grand regret, aussi intense fût notre complicité et aussi évidente était sa joie lorque mon fouet claquait sur ses têtons, elle refusa toujours toute invitation de ma part à poursuivre la soirée en ma compagnie. Dès que j'avais posé mon fouet, elle se rhabillait et se dirigeait vers la porte d'entrée.

Ce soir encore, elle était venue, vêtue d'un simple pullover de laine au dessus de son soutien gorge. Lorsqu'elle les enleva, je n'eus plus de doute concernant ce que je soupçonnais depuis plusieurs semaines : non seulement son ventre s'était arrondi mais aussi sa poitrine avait pris du volume. Ceci ne pouvait avoir qu'une explication.

« Nathalie, tes têtons ont grossi, dis-je.

Elle resta silencieuse.

- Serais-tu enceinte?

Elle éclata en sanglots.

- S'il te plait, ne me rejette pas, fut sa seule réponse.

Pour le première fois, avec tendresse, je caressai l'un de ses têtons, puis l'autre, sentant à chaque fois le mamelon se durcir dans le creux de ma main.

- Dans quelques mois, c'est à ton bébé affamé que tu offriras de têter à tes seins, et ils seront soumis à rude épreuve! Et d'ici là, je crois que tes têtons ont droit à un peu de répit. »

Elle se rhabilla, un peu triste. Nous n'échangèrent pas un mot mais, pour la première fois là encore, nous nous étreignîmes très fort avant de nous quitter.

Nathalie n'en finissait pas de me surprendre. D'abord cette croix qu'elle tenait à garder autour du cou pendant nos rendez-vous pas très... catholiques. Et maintenant, elle attendait un enfant d'un autre homme mais souhaitait continuer nos jeux. Ce n'est que quatre mois plus tard que j'eus quelques explications.

Ce jour là, Nathalie m'avait appelé de la maternité. Nous n'utilisions jamais le téléphone, et d'ailleurs je ne connaissais ni son nom de famille, ni son numéro. D'un ton implorant mais ferme, elle me demandait de lui rendre visite dès que possible. Intrigué par cette demande, je fus à la maternité en fin d'après midi. je la trouvai allongée dans son lit, son bébé à côté d'elle.

« C'est une petite fille, dit-elle. Catherine.

- Elle est belle, dis-je en la regardant.

- Ma mère va quand-même venir me voir. Elle est furieuse : nous avions convenu que j'accoucherais sous X. Il n'y a pas de fille-mère dans notre famille respectable, vois-tu? Elle m'a amené ici ce matin, et je ne suis pas prêt d'oublier son regard noir quand j'ai naturellement décliné mon identité.

On frappa à la porte.

- C'est grâce à toi que j'ai compris que je ne devais pas priver cet enfant d'un sein maternel.

Une dame agée entra.

- Maman, je te présente Paul...

Elle s'interrompit. J'ignore encore d'où me vint cette inspiration mais, le plus naturellement du monde, je poursuivi :

- Je suis le père de cette petite fille.

- Enchantée de faire votre connaissance. »

La mère de Nathalie complimenta sa fille, et la discussion se poursuivi le plus naturellement du monde comme entre une mère et sa fille qui vient d'accoucher. En partant, elle m'adressa à nouveau la parole :

« Vous avez donné à Nathalie une ravissante petite fille. Cependant, chez nous il est d'usage de se marier avant d'avoir des enfants. »

Lorsque nous fûmes à nouveau seul, Nathalie fondit en larmes et me remercia du fond du cœur. Sa grossesse avait du avoir une origine particulièrement douloureuse parce que, alors que j'essayai d'en savoir plus, j'obtins pour seule réponse que si c'était par conviction religieuse qu'elle n'avait pas avorté, c'était moi qui lui avait donné la force de ne pas abandonner son bébé. Nous n'avons jamais plus évoqué le sujet.

Nous nous mariâmes un mois plus tard. Nous avons maintenant trois enfants et bien sûr, chaque lundi soir, quand ils sont couchés, mon fouet trace cinq fines zébrures sur les têtons de Nathalie.

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