Les secrets de Christiana

BÊTA PUBLIQUE

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Tu te trompes en torrieux.

En tous les cas, moi, je vais aimer cela jusqu'B ma mort voir le corps d'une femme, mLme si depuis quelques années, j'en vois juste B la télévision.

Le bonhomme se liche les lPvres et B ma surprise, il enchaîne:

Ce matin, je suis gâté.

Et, le bonhomme m'envoie un baiser du bout des doigts.

Je me laisse cruiser et le lui demande de continuer son récit.

Il y a encore six, sept ans, je me rendais B deux pas d'ici, tu sais au Club de Danseuses Nues, chez Bébert, au coin de la rue.

Ma fille, la premiPre fois que je suis rentré dans ce club, c'est mon petit fils Hugo qui a insisté pour que je l'accompagne.

Pour un petit vieux comme moi, qui a toujours été croyant et trPs respectueux, la premiPre fois que j'ai vu le show d'une danseuse nue B ma table, j'étais trPs scandalisé.

Mon petit fils a payé pour que la fille, une grande brunette toute en cuisse avec un corps et des seins et un cul B faire damné un ange.

Torrieux!, je ne suis pas fais en bois?

Je te dis que j'en ai pratiquement avaler ma salive.

La danseuse, une belle femme dans la vingtaine a grimpé aussitôt sur la table et elle s'est empressé d'enlever sa petite culotte, ouf!.

Moi, torrieux!, je me suis presque étouffé en avalant mon fort d'une seule traîte

Torrieux!, j'avais le nez presque B la hauteur de son sexe qu'elle nous dévoilait impudiquement. Puis, ma fille, le party ne c'est pas arrLté-lB.

Mon petit fils, le petit torrieux!, il m'a payé les danses de trois autres filles, coup sur coup, toutes plus aguichantes les unes que les autres.

A la fin de cette journée, je dois dire que je n'étais plus indisposé et plus du tout farouche devant ce genre de spectacle.

Et, B la long, je m'y suis habitué.

Si bien que je me rendais réguliPrement faire mon tour dans ce club.

Et, je dois te dire que si mes jambes me porterais encore, je crois que je serais rendu-lB encore au moins une fois par mois.

Surtout que maintenant, comme, mon petit-fils me le disait encore derniPrement:

PépPre tu manques le meilleur.

Maintenant, nous avons le droit de toucher.

PépPre me fait un clin d'oeil et enchaine.

Maintenant, je suis rendu trop vieux.

Torrieux!, ma fille, si tu savais comme ça me choque de ne plus pouvoir me déplacer.

Machinalement, je secoue la tLte en signe de reprobation.

PépPre remarque mon désaccord, il enchaîne.

Ma fille, fais-toi pas de jugement trop vite.

Si tu savais comme c'est plat d'Ltre toujours tout seul, tout le temps?

Ma fille, moi le vieux pépPre comme tu dis, j'ai toujours vécu avec une femme, du moins jusqu'B la mort de ma deuxiPme, il y a déjB dix ans.

Aujourd'hui, rendu B mon âge, je n'ai mLme pas la force ni le goft de me rendre rencontrer les gens du troisiPme âge.

Regarder la télévision, c'est mon seul divertissement.

MLme mes vieux films de cul comme tu dis, m'aident B passer le temps.

Je vais te dire une chose que je pense de plus en plus souvent. Parfois, je commence B croire que je serais peut-Ltre mieux Ltre mort.

Ce matin, lorsque tu es arrivé ici, je pensais B ma petite vie plate, bien tranquille.

C'est un des raisons, pourquoi j'étais si triste.

Ma foi!. S'il vous plait ne penser plus B votre votre gros chagrin de ce matin.

Cela me fais trop mal de vous voir pleurer.

Puis, tant qu'B moi?, vous pouvez bien les regarder vingt-quatre heures par jour vos maudits vieux film de cul, si cela vous rend de bonne humeur.

Mais pépPre, je crois que ce n'est pas seulement le film qui vous dérange.

Je commence B penser que le fait de regarder trop souvent en direction de mes fesses, c'est cela qui fait grossir la bosse que je vois monter de plus en plus sous votre couverture.

Ne dites pas que ce n'est pas vrai, je vous surveille.

PépPre deviens tout rouge et il me sourit encore plus géné.

Bon!, pépPre, c'est assez de folie pour aujourd'hui.

Il est déjB onze heures.

Il est temps que je partes.

J'ai mes copines qui m'attendent pour mon cours de culture physique.

PépPre me réponds:

Tes copines, tu les voir B tous les jours.

Mon entrainement d'exercises physique qu'est-ce que vous en faites?

Je suis déjB en retard.

Mon cours commence dans une vingtaine de minutes.

Puis, s’il ne faut pas que je commence B manquer cela?

Vous devez voir que je suis déjB pas mal trop grassette?

Mes exercises, j'en ai réellement de besoin.

Si c'est juste pour tes exercises, pourquoi tu ne les fais pas ici.

Qu'est-ce que vous dites-lB?, vous.

En regardant attentivement pépPre, je comprends qu'il est trPs sérieux. AprPs un moment de réflexion, je lui réplique:

Je vous ai assez gatée pour ce matin.

Puis, pépPre, vous me voyez en jupe pour faire mes étirements.

PépPre me réplique:

Torriuex, ma fille, tu n’es pas trop débrouillarde.

Tu n'as qu'a l'enlevée ta jupe, et, ce n'est sfrement pas moi qui va m'en plaindre.

Je m'approche de pépPre, lui caresse la joue du bout des doigts. Le bonhomme semble tout ému. Soudainement, j'ai une envie folle de lui plaire, je lui donne un baiser sur la joue.

Je me surprends et je surprends encore plus le bonhomme en retirant mon tee-shirt que je laisse tombé par terre.

Et, pour le provoquer davantage, je replace mes seins sous ma brassiPre en me penchant B seulement quelques pouces de son visage.

Je lui tourne le dos pendant que je retire ma jupe et pour savoir la réaction du bonhomme, je me dandine langoureusement vétue seulement de ma brassiPre et de ma petite culotte.

Et, pour l'exciter davantage, je me remet B quatre pattes et, effrontément, je retrousse ma culotte pour lui présenter une bonne partie de mes fesses. Du mLme mouvement, je détache mes cheveux et les laisse tombée sur mes épaules.

J'hésite entre enlever ma culotte ou ma brassiPre. C'est celle-ci que je détache et que je lance en direction du lit.

En me relevant, je lui demande:

Puis, pépPre, comment que vous me trouver.

Le bonhomme me répond.

Je ne sais pas si je rLve.

Torrieux, je crois que je suis déjB rendu au paradis, mais j'aime cela B mort.

Je me caresse les seins sous l'oeil attendri de pépPre et comme c'est un peu frisquet dans la piPce, je rattrappe mon teeshirt.

Je joue avec mon teeshirt durant quelques instants, en laissant la chance B pépPre d’entrevoir mes seins durant de court laps de temps avant de remettre le teeshirt.

Pour débuter mes exercises de culture physique, je lPve les jambes bien haut au dessus du lit de pépPre.

Surprise de mon audace, je souris B pépPre qui me regarde comme un enfant qui découvrirait un nouveau jeu.

AprPs une quinzaine d'étirements, je change d'exercise. Cette fois, je suis étendue sur le dos et je lPve une jambe et la redescends lentement en l’ouvrant dans un angle de quatre vingt-dix degré.

PépPre a les yeux rivés B la hauteur de mon sexe pendant que j'alterne d'une jambe B l'autre.

En complétant chacun des vingt étirements, je surveille pépPre qui suit le moindre de mes mouvements, ce qui m'enhardie de plus en plus.

Pour le troisiPme exercise, je me remets B quatre pattes, dos au bonhommme. Et, en me supportant sur les mains, je plie les coudes jusqu'B toucher le plancher avec ma poitrine.

Ouf!, le froid du prélard chatouille mes mamelons qui deviennent de plus en plus sensible B chaque fois que je répéte ce mouvement.

Si bien qu'aprPs seulement quatre de ces mouvements, j'arrLte pour retirer mon teeshirt et pour frôter mes seins qui sont trPs sensibles.

Lorsque je reprends mon exercise, j'ai les seins trPs gonflés. Mes mamelons durcissent encore plus, B chaque fois que je touche le plancher avec mes seins.

Je me repose quelques secondes pendant que pépPre s'assois confortablement dans son lit pour suivre chacun de mes exercises.

Justement pour l'exercise suivant, je m'assois face au vieillard, les mains croisées sur mes seins qui sont encore trPs sensibles.

AprPs un moment de repos, l'exercise débute lorsque je descends mes mains sur mes chevilles et du mLme mouvement, je lPve la jambe en retenant ma chevile d'une main tout en essayant d'étirer la jambe le plus loin possible.

Mon coeur bat B tout rompre autant B cause de ces exercises qui sont de plus en plus essoufflant, que de me voir seins nues devant pépPre.

J'en suis toute excitée. Au bout d'une dizaine de mouvement, oj, j'alternais d'une jambe B l'autre. Je gâte le pépPre, en levant les deux jambes en mLme temps.

Pour cet exercise, j'ai toujours du trouble B me tenir en équilibre sur les fesses.

A toutes les fois que je fais cet exercise, je dois toujours bouger du bassin pour garder la position.

Le bonhomme s'en liche les lPvres pendant que je me trémousse ainsi pour essayer de garder la position le plus longtemps possible.

Ouf!, ma fille. Je fais la folle et je remarque que le bonhomme en soupire, pendant que je lui en mets plein la vue.

Je suis toute en sueur et je remarque que le bonhomme est de plus en plus excité.

En jettant un regard B ma tenue, je vois ce qui l'excite tant.

Oh, la,la, ma fille! C’est pas possible?

Ma culotte entre dans mon sexe et des poils en sortent impudiquement.

Ho, la,la, ma fille, je deviens plus audacieuse, je garde les jambes bien ouvertes et j'en profite pour me caresser le sexe. Ouf, ma main entre sous ma culotte. Je souris B pépPre qui ne manque que rien du spectacle. PépPre a un regard attendri pendant que je continue mes caresses. L'homme âgé me fait des baisers du bout des doigts. Ouf, ma fille, ce n'est pas long que je mouille.

Je suis toute en sueur et je m'approche du lit de pépPre en me faisant provocante. Rendu prPs du lit, je joue avec mes seins en me penchant au dessus du visage de pépPre. Le bonhomme ne reste pas indifférent. Sa main me caresse le haut de la cuisse pendant que sa bouche gobe un sein. Le bonhomme me mordille un mamelon pendant que ses doigts montent cavaliPrement le long de ma cuisse. Cette main d'homme s'approche dangereusement de ma petite culotte.

Je ne me reconnais plus, je demeure immobile sous les caresses. Pendant que je regarde pépPre dans les yeux, des doigts se glissent sous ma culotte. Lentement et avec d'infime précautions, une main dégage le tissus de ma culotte qui restait emprisonné entre les lPvres de mon sexe. Je m'abandonne sous la chaleur de cette main quelque peu nerveuse mais combien habile qui s'introduit dans mon sexe déjB bien ouvert. Toute excitée, je bouge du bassin pour que mes lPvres l'emprisonnent. Lorsqu'elle s'attarde B mon clitoris, je suis frappée comme par une décharge électrique. Ouf, ma fille, je vis un premier orgasme pendant qu'un doigt expert me fouille sans pudeur. Je me laisse ennnivrée par ses caresses. Je mouille comme jamais.

Je ne veux pas que le temps s'arrLte. AprPs ces minutes délicieuses, pépPre retire sa main de son sexe et son premier geste est de passer ses doigts sous son nez pour les sentir. Le bonhomme me fait un clin d'oeil et se lPche les doigts. PépPre me dit qu'il aime sentir mon odeur de femme. Je suis gâtée, sa main retourne fouiller mon sexe. Le bonhomme sens ses doigts et les lPche plusieurs fois de suite. Je suis toute conquise. Ouf, je suis parcourue par de nombreux orgasmes qui se suivent sans arrLt.

Je décide de grimper sur le lit pour ne pas épuiser pépPre. Délibérément, je me place B quatre pattes, le sexe directement au dessus du visage de pépPre. Le bonhomme ne reste pas indifférent, ses mains me poussent pour que je place dans la position du soixante-neuf. Je ne veux pas le décevoir. Ouf! c'est une bouche gourmande qui me lPche B mLme ma culotte. PépPre m'ouvre les cuisses et il me dit qu'il aime se caresser toute la face contre ma culotte et qu'il aime sentir l'odeur de mon sexe. Moi, pour le gâter, je mouille comme une fontaine. PépPre place ses deux mains sur mes fesses et son nez fouille mon sexe par-dessus ma petite culotte pendant que sa bouche caresse et mordille mon entre-cuisse. Ouf, je vis un orgasme torride.

Impatiente, ma main entrouvre ma culotte. Je me masturbe en mLme temps que la moustache et la bouche du bonhomme caresse mes lPvres ouvertes et qu’il agace mon clitoris. Ouf, le bonhomme est vraiment gourmand et il me lape B pleine bouche. Moi, pour le récompenser, j'en crie de jouissance.

C'est mon tour de gâter pépPre. Mes mains parcourent tout au long de son pénis. Ma bouche le caresse pendant que mes doigts tâtent ses testicules. Lorsque je rentre son membre dans ma bouche, mes lPvres caressent le gland pendant que mes yeux se délectent du spectacle d'une verge bandée B l'extrLme. Comme une gamine, je vis de toutes nouvelles audaces. Malgré son grand âge, pépPre réponds B mes attentes. AprPs seulement quelques instants, je sens monter la sPve dans son membre pendant que la bouche de pépPre broute mon sexe avidement. Je veux le recevoir en moi, mais, je m'aperçois que le rythme est trop rapide pour pépPre. Comme un jeune homme qui ne peut se contrôler, pépPre éclate. Je reçois le chaud liquide au fond de la gorge. J'en avale une portion pendant que je retire son membre de ma bouche.

Le bonhomme a un sursaut d'énergie, de jets de son sperme m'éclaboussent tout le visage, j'en reçois mLme sur les paupiPres. Je lPche tout le gâchis pendant que pépPre me sourit d'un air gLné. J'essuie le sperme qui me coule sur les lPvres et sur le menton pendant que le membre de pépPre rétrécie rapidement. Je souris au bonhomme et je me lPche le bout des doigts pour récupérer tout le gâchis.

Soudain, j'entends: Ouais, on ne se prive pas. Je relPve la tLte, et, j'aperçois un homme d'une trentaine d'année qui se tient debout B côté du lit et qui me reluque pendant que mon sexe est encore au dessus du visage de pépPre. Le bonhomme ne semble pas c'Ltre aperçu de l'intrus et il continue B me laper B pleine bouche.

Huho mon petit torrieu, tu devrais frapper avant d'entrer chez les gens.

On ne t'a pas élevé de mLme, lui réponds pépPre.

Aie, pépPre, oj as-tu dénicher cela, cette belle poupounne. Une maudit belle plotte en tous les cas. Puis, pas farouche B ce que je vois. Vous vous gâter pépPre. Occupez-vous pas de moi. Vous pouvez continuer votre petit jeu tous les deux. Continuez comme si je n'étais pas lB. Moi, je ne suis pas pressé, je regarde et comme vous dites souvent, je suis encore B l'age d'apprendre.

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