Les Salines

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Laure s'est affalée vers l'avant, le visage entre les mains le cul encore levé au ciel dans une dernière provocation, du sperme s'écoule doucement et glisse de son anus entre les lèvres de son sexe. Son corps est encore agité de soubresauts je mets ma main sur sa nuque et lui caresse doucement les cheveux.

Nous passerons la journée sur la plage, mangeant, dormant sans échanger un seul mot. Abasourdi, anéanti par la scène que je viens de vivre je n'aspire qu'à laisser passer le temps. Mon cerveau est incapable d'analyser ce qui s'était passé et que je m'interdis de revivre en pensée ces scènes.

----------------------------------------------

Mon Dieu pour leur dernière soirée ils vont remettre ça, ce n'est pas vrai. S'ils s'étaient contentés de raconter leur virée à Marie Galante comme cela avait commencé l'alcool aidant j'aurais tenu le coup mais hélas c'est reparti pour la prothèse dentaire! Pour un peu je me mettrais bien à raconter ma matinée mais j'ai peur de casser l'ambiance en leur expliquent que le matin même j'avais une grosse bite noire plantée dans le cul et que c'était foutrement mieux qu'un doigt dans la bouche. Je me demande encore quel genre de pantin j'ai épousé pour accepter de voir ce qu'il a vu et ensuite me caresser les cheveux en me disant « ca va ma chérie » Il ne s'agit pas maintenant de prendre son pied mais bien de l'humilier jusqu'à ce qu'il rampe devant moi comme le dernier des lâches.

Je m'éloigne de leur conversation, la mer est a trente mètres c'est suffisant pour que les lumières du bar m'éclairent encore. Loin à ma droite un groupe de musiciens joue de la guitare. Je me débarrasse de ma robe et de mon slip et j'entre nue dans l'eau noire. La sensation est divine. En m'apprêtant à sortir de l'eau je vois que l'un des musiciens est sorti du groupe et s'approche de moi avec une serviette. On ne peut rien dire devant une telle prévenance si ce n'est accepter le baiser de cette bouche qui se tend vers vous en quête de remerciement sans doute. Bientôt la serviette est au sol et sa main me pétri les fesses. A aucun moment je doute de la scène que nous offrons aux derniers consommateurs du bar. Savoir que mon mari est l'un d'entre eux m'excite d'autant plus qu'il devra affronter cette scène en présence d'autres spectateurs. Je me refuse à me laisser coucher trop vite sur le sable voulant m'offrir en spectacle le plus longtemps possible. Debout tendue vers l'arrière, et les seins pointés vers l'avant je laisse mon jeune amant activer sa langue avec adresse dans mon intimité humide et salée. J'ai sa tête entre les mains pour le guider et l'enfoncer au plus profond. Ensuite couchée sur le sol, secouée par les orgasmes, je me demande encore si mes cris atteignent le bar. En tout cas ils ont atteint les autres musiciens du groupe qui se joignent à nous ou plus exactement à moi. A un moment l'un d'entre eux me retourne et je vois que le bar est désert. Une déception vite oubliée car l'un de mes amants me serrant vers lui, je sens un second sexe me pénétrer et je sens bientôt ces deux sexes s'activer en moi, stimulant à l'excès les minces cloisons muqueuses qui les sépare. Encore une heure sur ce rythme, je ne sais combien de fois j'ai pu être prise et reprise. Nous finissons par nous endormir tous, mêlés et épuisés.

Le froid de l'aube me réveille, je suis seule, ma robe est un peu plus loin mais pas ma culotte devenue trophée sans doute. Je me dirige vers l'hôtel. En entrant à la réception je vois Paul avec nos bagages.

_Je ne savais pas si tu allais rentrer à temps. J'ai avancé notre retour, si tu n'étais pas rentrée j'aurais laissé tes bagages et ton billet à la réception

_Je monte me doucher et me changer

_Non on n'a pas le temps tu sais bien qu'il faut être une heure en avance à l'aéroport

J'hésite le temps d'un instant, mais je ne vais pas non plus passer ma vie sur la plage à me faire tringler par le premier venu. Je monte donc docilement dans le taxi non sans remarquer le regard du chauffeur lorsque j'ai accédé au siège un peu haut du 4x4. Finalement nous seront en retard à l'aéroport et les bagages iront directement à l'enregistrement exit le change donc. Je me retrouve avec les fesses à nu sur la feutrine des sièges coincée au centre de la rangée du milieu entre un étudiant à ma droite et mon mari. La clim génère un froid de canard et je suis obligé de réclamer une couverture supplémentaire à l'hôtesse.

Nous volons depuis plus d'une demie heure lorsque sous les couvertures, réchauffée je m'assoupie enfin. Pas pour longtemps car je sens sur ma droite une main exploratrice qui frôle ma cuisse, s'y attarde et qui devant mon manque de réaction se dirige vers ma toison pour découvrir oh surprise l'absence de toute barrière, un doigt s'insinue bientôt dans mon sexe encore poisseux de mes excès de la nuit et je ne me surprends même plus à ouvrir plus les jambes pour lui faciliter la tâche. Ce faisant ma jambe vient cogner celle de mon mari qui va prendre cela pour une invitation à la réconciliation.

---------------------------------------------

Comment lui résister? Tout ira bien à Paris, j'ai pris la bonne décision en avançant notre vol de retour. Il fallait la séparer brutalement de ce lieu. C'est fini cette folie, je la sens raisonnable, vulnérable sous ses couvertures. Sa jambe vient heurter la mienne cela ne peut pas être un hasard. Elle cherche mon pardon sans doute. Ma main se faufile entre le siège et les couvertures à la rencontre de sa cuisse que j'escalade jusqu'au bombé de son pubis. Je redescends pour rencontrer sa main. Elle se masturbait sans doute en douce et me demande de participer ce qui m'excite au plus haut point. Nos doigts entremêlés se croisent dans un liquide épais et chaud. Dans un soupir elle laisse retomber une des couvertures sur ses genoux et je découvre horrifié ses deux mains croisées sur la première des couvertures.

12
Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 12 ans

euh, c'était utile de prendre ce pseudo?

AnonymousAnonymeil y a plus de 12 ans
bien ecrit , style

mais completment idiot, pardon

Partagez cette Récit