Les Retrouvailles

Le français n'est pas ma langue maternelle. Merci de m'informer si tu trouves des fautes majeures qui empêchent la compréhension.

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Quelle joie de revoir sa Lydie après tant de temps! Michel montait l'escalier le cœur battant comme celui d'un ado à la pensée de se réunir avec son amie. Il sonne, attend, entend « J'arrive » et la voilà, sa belle, sur le seuil, radieuse, pleine elle aussi de joie à retrouver son copain. Sa bouche large aux dents blanches s'ouvre dans un sourire éclatant. Elle rit et se jette autour du cou de Michel. On dirait que le grand écart d'âge entre eux - elle la vingtaine, lui beaucoup plus - s'effaçait en ce moment, qu'il ne s'agissait que de deux êtres humains qui s'appréciaient, apprenaient l'un de l'autre, partageaient leurs soucis et leurs enthousiasmes, rigolaient ensemble, bref qui fusionnaient.

Lydie accueille Michel, l'invitant dans l'appartement spacieux et élégant. Elle est vêtue d'une robe simple moulante qui révèle sa jeune forme lisse et svelte ses hanches aux courbes féminines mais pas exagérées, la couleur de sa peau d'un teint café clair et ses petits seins, oh les seins mignons que Michel adore.

Quant à Michel, il est venu à vélo et porte un T-shirt -- moins moulant certes, pour cacher un peu les rondeurs inévitables de la septantaine, que Lydie appelle ses « poignées d'amour » - et un short en lycra de cycliste, qui ne laissent rien à l'imagination en ce qui concerne ses fesses toujours assez fermes et rondelettes, et un membre qui commence déjà à réagir la proximité de Lydie.

Celle-ci pose ses mains sur la poitrine de Michel. Elle lui sourit, sa belle bouche s'entrouvre et ses lèvres frôlent légèrement celles de son amant.

- Tu m'as tant manqué, soupire-t-elle, tu dois tout me raconter de tes vacances en Suède, surtout au sujet des petites suédoises que tu as sûrement rencontrées et combien tu en as sautées! elle rigole.

- Tu m'as manqué aussi ma chère Lydie. Chaque nuit ma dernière pensée était pour toi et ce n'était pas toujours une pensée innocente. Michel rigole à son tour. Quant aux suédoises, je les trouve désormais assez laides. Beaucoup sont en surpoids et ont les traits lourds, mais j'en ai rencontrées deux ou trois qui me plaisaient et avec qui j'ai passé quelques nuits agréables. Elles étaient assez dynamiques. Quoique, c'était un jeu, ce n'est jamais la même chose sans toi, sans ta douceur, ton imagination, ton corps incroyablement beau et nos conversations intimes.

Michel serre Lydie contre lui, fermement mais doucement. Il sent la chaleur de son jeune corps, sent les seins contre sa poitrine.

Il lui regarde dans les yeux et se penche vers elle, leurs bouches se cherchent, leurs visages s'approchent, leurs lèvres se retrouvent, leurs langues se rencontrent et s'entrelacent gentiment, doucement, humidement, dans un baiser intense et de soulagement qui les fait presque s'évanouir de plaisir. Ils s'amusent à jouer à l'intérieur de la grotte secrète qu'ils ont créée, leurs langues - pourtant muettes - se parlent de l'amour, se promettent des moments d'émotion et de plaisir, tandis que leurs lèvres dansent à l'extérieur, une valse continue, toujours changeante, de plus en plus émue. Pour Michel cela pourrait lui suffire. Il adore embrasser. Pour lui la bouche, les lèvres, c'est les zones les plus érotiques. Il sent son érection grandir, sent pulser son membre dans son short serré, sait que, s'il y glissait une main, elle en sortirait mouillée.

Quant à Lydie, elle se régale de la bouche de son amant. Elle embrasse avec tendresse mais aussi avec ferveur, signalant son désir de découvrir tout le corps de Michel. Elle sent son érection et s'appuie contre ce membre désormais rigide. Elle répond aux incursions de la langue bien-aimée en la caressant de la sienne, explorant chaque coin de la bouche de son mec, une bouche qui a un léger goût de cassis.

Ce baiser dure de longs moments. Les deux amants ont les yeux fermés pour mieux se savourer. Lydie sent qu'elle plane, elle sent monter le désir, elle prend les fesses de Michel et les tire vers elle. Elle convoite l'érection de Michel. Les 70 ans de celui-ci ne l'ont jamais empêché de faire l'amour.

- Oh, chuchote-t-elle en rompant le baiser et ouvrant les yeux, comme j'ai envie de toi, Michel. Je veux que tu me remplisses, je veux te sentir en moi, je suis toute mouillée en y pensant, comme j'y ai pensé pendant ton absence. Même en jouant avec d'autres hommes, et quelques filles, je n'ai pensé qu'à toi mon amour. Elle caresse le crâne rasé de son mec, se noie dans ses yeux souriants, dansants, curieux.

- Aha, dit-il, avec qui tu as joué ma Lydie? Raconte-moi, je veux bien écouter. On se couche? Comme ça je te caresse pendant ton récit.

Lydie et Michel, toujours habillés, se couchent sur le lit, leur endroit préféré pour échanger les intimités.

- Bon, il y en a eu plusieurs, je ne vais pas tous les décrire. Mais le plus rigolo, il s'appelait Yves, la quarantaine, le corps bien ferme -- quoique, crois-moi, je les préfère un peu plus mous, comme toi, chéri - et une énorme bite! J'ai failli m'évanouir quand je l'ai vue, je ne savais pas comment je pourrais la recevoir. Je lui ai fait un massage d'abord, comme d'habitude en soignant bien ses fesses. Il adorait ça, c'était évident, je crois que pour lui c'était une zone très érogène. Il a gémi de plaisir, surtout quand je les ai frottées avec mes seins. Avant de le retourner j'ai caressé et embrassé son petit cul mignon, quel plaisir pour moi aussi, j'étais moite, si moite - tiens je le suis maintenant aussi, mets ta main sous ma robe, sur ma chatte, tu verras, oh oui comme ça encore et encore, frotte un peu....aaah...

- Et non chérie, dit Michel, je veux d'abord savoir la fin de cette histoire. Michel retire sa main en rigolant.

- Oh, tu es méchant, je suis tout en feu pour mes propres souvenirs... Bon, où en étais-je, ah oui le cul mignon d'Yves... alors, j'ai inséré un doigt, il a presque joui, m'a dit d'arrêter. Alors je l'ai retourné sur le dos. Une énorme érection! Mais un très beau membre je dois dire, droit et fier. Fallait terminer le massage quand même. Je me mets à sa tête, l'entourant de mes cuisses, pour masser sa poitrine, bien ciselée, plutôt dure, bien en forme, il va au gym, c'était évident, je mets de l'huile, masse ses tétines, il adore, je me penche un peu pour arriver à son estomac et puis, tout à coup, je sens sa langue me pénétrer, comme ça, sans préavis! Une jolie surprise, j'ai fait un petit sursaut mais puis c'était très agréable. Il savait utiliser sa langue. Il a trouvé tout de suite mon clitoris, il met ses mains sur mes cuisses et me tire vers sa bouche. Oh, c'était divin, cette sensation de plaisir. Je me laisse faire, je le chevauche, je ferme les yeux, je sens que ça coule là-bas, qu'Yves me boit, se régale de mes jus. Je vais et je viens, de plus en plus vite, j'ai le clito engorgé, si sensible, je m'appuie contre sa langue et ses lèvres, il me lèche de plus en plus rapidement, de petits mouvements de sa langue, je monte, je monte, je vais jouir, j'y vais, j'y vais... aaah! aaah! oooh! Je serre mes cuisses autour de sa tête, il n'arrête pas, je jouis encore, ça fait presque mal... oh! oh!

Lydie est en train de se caresser la chatte pendant son récit. Michel voit qu'elle prend beaucoup de plaisir à raconter cette rencontre, elle est toute mouillée en bas et il se penche pour déguster les jus de son amante.

- Non! dit-elle, je ne veux pas encore jouir, attends un peu! Elle est presque essoufflée.

- Continue donc avec ton histoire. Comment tu as traité le membre d'Yves? Michel la taquine un peu.

- Bon, qu'est-ce tu veux? Je l'ai saisie dans une main bien huilée et commencé à le masser. Je change de position, m'étends sur Yves, j'ai mes seins contre sa poitrine, on fait un long baiser très érotique, mon corps contre le sien, pendant lequel je sens ce grand pénis de taureau contre mon estomac, puis je me penche et le prends dans ma bouche. Oh, ça me remplit la bouche, je monte, je descends, je suce, je lèche, mais enfin j'en peux plus, je dois l'avoir dans moi. Je chevauche le mec, prends sa bite dans une main, avec l'autre j'ouvre ma chatte qui coule à flots - j'adore ça, comme maintenant, mets ta main là Michel, oh oui, mets ton doigt - oui oui c'est comme ça que je prends la verge d'Yves et me frotte le clito avec, c'est une sensation du velours contre la soie, si dur mais en même temps si lisse, c'est un paradoxe miraculeux, ma chatte a soif de ce membre. Yves est aux nuages, je vois qu'il ne se retient qu'avec difficulté, donc j'écarte mes lèvres, me lève assez haut et je le laisse glisser dans moi. Yves commence à monter et descendre, moi je le chevauche comme une cavalière, comme j'ai fait quand il me léchait avec sa langue. Il est tellement grand qu'il entre dans les endroits les plus profonds de moi, les plus humides, je sens son corps encore huilé, et mouillé de mes jus, je le chevauche, son membre me pénètre, je le sens au plus profond de moi, je le sens frotter contre mon clito engorgé, là, là, oui, oh là, qu'il n'arrête pas, je pousse, il pousse, il halète de plus en plus fort, je le sens durcir encore plus et puis paf! il jaillit dans moi, si fort que je n'en peux plus, je l'enfonce dans moi et je jouis, jouis, jouis, tous les deux on jouit l'un de l 'autre, ça pousse, ça tremble.... c'était fantastique, j'ai adoré.

Lydie fait une pause, ses yeux sont fermés, elle halète. Sa main repose sur sa chatte. Elle prend celle de Michel et l'y pose aussi pour qu'il sente ses jus. Puis elle prend le visage de son amant entre ses mains et le tire vers elle pour l'embrasser encore une fois, langoureusement, passionnément.

- C'était un jeu excitant avec Yves, mais il était un joujou. Pas comme toi mon amour.

- C'était passionnant, Lydie, dit Michel. Regarde comment je bande et comment mes jus coulent aussi. J'ai hâte de faire l'amour avec toi. Allez, retourne-toi, je te fais un massage.

Michel verse de l'huile de massage sur le dos de Lydie. La chevauchant, il pose sa verge dure entre les petites fesses fermes de son amante et commence à masser ses épaules. Elle gémit de plaisir. Michel établit un rythme qui implique un gentil va-et-vient de son membre, le stimulant en même temps qu'il masse. Il se penche pour embrasser le corps ferme et lisse sous lui, des petits baisers par-ci, par-là, de haut en bas, sur les fesses mêmes, puis il lèche le petit trou serré à petits coups de langue. C'est délicieux, il s'y détient un moment, puis y introduit le bout du pouce, Lydie serre ses fesses tout en gémissant encore. Sa main bien huilée, Michel enfonce son pouce en même temps cherchant le trou inférieur pour glisser un doigt dans la chatte de Lydie. Celle-ci se tord, cherchant la bonne position pour le maximum de plaisir. De l'autre main Michel caresse les fesses. Il adore ces rondeurs fermes, il les embrasse tout en baisant Lydie de l'autre main.

- Oh, dit-elle, la voix un peu rauque d'émotion, c'est trop bien mais maintenant je veux que tu me baises pour de vrai, ça fait deux mois! Allez je veux que tu y mettes ta bite, tu me sautes, je suis prête, je suis chaude, baise-moi!

Ce disant, Lydie se met à quatre pattes devant Michel. Elle sait que c'est sa position préférée, et elle-même n'a rien contre. Michel bave. Il lèche encore une fois le cul de Lydie et puis il prend son érection dans une main pour la guider, avec l'aide de Lydie, dans la chatte de son amante. Ooh! quel plaisir, quelle sensation, la chatte se referme autour de son membre, il sent les petites pulsations du corps de Lydie, il est frappé par la réalisation qu'elle lui permet de la pénétrer au fond, quel privilège! Il l'aime tellement, cette jeune femme belle et exotique avec qui il partage tant. Michel, à genoux derrière sa partenaire, va et vient entre les reins de Lydie, lentement, savourant les différentes sensations. Lydie met une main sur son clito et se frotte doucement aussi. Elle adore la sensation des mains de Michel, qui la tient par la taille pour la tirer contre lui et puis la lâcher, tire et lâche, va et vient. Elle sent qu'il lui fait vraiment l'amour. Michel sent aussi que Lydie lui fait l'amour, c'est divin.

Les deux amants continuent ainsi pendant cinq, dix minutes, en silence, chacun jouissant de ces retrovailles, de la présence, de l'intimité de l'autre, de l'honneur que l'autre lui fait, de la confiance réciproque. C'est méditatif. C'est intense.

De temps en temps Lydie caresse l'intérieur de la cuisse de Michel, sachant que cela le stimule. De temps en temps Michel caresse un sein, ou les deux, de Lydie, sachant qu'elle adore ça. Après un bon moment ils commencent tous deux à haleter. Assez de faire l'amour, maintenant on baise! Le rythme accélère. Michel sent une urgence, il a franchi un seuil. Lydie sait qu'elle va bientôt jouir. Ils accélèrent. Ils y vont comme des lapins.

- Oh oui, continue, n'arrête pas, dit Lydie, oh je te sens dans moi, tu me remplis, je t'adore.

Tout à coup Michel retire son pénis de Lydie.

- Non! s'écrie-t-elle, frustrée.

Mais c'est pour taquiner. Michel pose le bout velouté et mouillé de son érection sur le clitoris de Lydie. Il le frotte fort, elle n'en peut plus, puis tout de suite il s'y enfonce encore une fois en sentant le plaisir monter, monter, il pousse, pousse, pousse, Lydie émet un grand cri de joie, Michel ne se retient plus, il pousse une dernière fois en rugissant lui aussi lorsque son sperme jaillit dans la grotte de Lydie. Les spasmes de celle-ci sont si forts que la liquide ressort et gicle sur ses cuisses et tout autour de la bite engorgé de Michel.

Ils continuent à balancer pour prolonger le plaisir puis s'affaissent sur le lit, les jus coulant, la chatte chaude de Lydie toujours refermée autour du membre de Michel. Ils s'embrassent et s'endorment, radieux.