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Ma soumission continue.
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Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 12/26/2020
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Comment décrire cette nuit de folie? Mes phantasmes si profondément enfouis, si longtemps refoulés ont été dévoilés.

Mes désirs de soumission se sont réalisés.

L'impensable m'est arrivé, une voisine que je ne connaissais pas ce matin me domine totalement.

Le plus improbable, le plus fou, mes deux secrétaires elles aussi participent à mon humiliation en direct.

Je suis nu, face à elles, et devant une centaines de hommes et quelques femmes.

Depuis un long moment, elles m'observent et participent activement à tous les situations les plus humiliantes que Maîtresse me fait subir.

Je peux les voir moi aussi depuis peu.

Sur un écran, je vois Laeticia, elle est allongée sur son lit. Elle porte une petite nuisette rose qui dévoile ses magnifiques courbes.

Elle dévoile ses magnifiques formes, j'admire pour la première fois, ses seins, elle fait 90 D, je connais déjà ses mensurations, comme celles de Manon. Mais pour la première fois, je peux admirer Laetia à demi-nue.

Ses tétons pointent outrageusement, ils tendent sa nuisette très transparente. Elle a de larges auréoles foncées, ses mamelons ronds, sont d'un galbe si parfait, c'est si sensuel, si excitants de la voir dans cette tenue.

Je ne vois malheureusement, que la moitié de son corps plantureux. Elle est appuyée sur deux grands oreillers.

Son lit est bien encombré, bouteille d'eau, ordinateur, gâteau, cigarettes, téléphone,....

Sur un autre écran, je peux voir Manon, elle est installée sur son canapé, sa tenue est plus sage mais tout autant excitante. Elle porte un très fin débardeur et une petite culotte noire. À côté d'elle, je découvre deux vibromasseurs, un rabit rose et un petit stimulateur de clitoris.

Mon regard passe d'un écran à l'autre.

Elles sont toutes les deux absolument délicieuses.

C'est si inespépré, j'ai une chance inouïe, je peux admirer les deux femmes qui me font phantasmer depuis très longtemps. Je les vois dans leur intimité, c'est encore plus excitant.

Mais, je n'oublie pas un seul instant que je suis le jouet de ses trois Femmes très très imaginatives, le gode au fond de mon cul est là pour me le rappeler, il vibre régulièrement.

Est-ce que le confinement exacerbe les frustrations?

Ce qui est sur, c'est qu'elles se sont lâchées et moi aussi.

Est-ce que j'avais le choix?

Bien sur! J'aurais pu dire non, j'aurais pu tout arrêter à tout moment, plusieurs fois Maîtresse m'a posé la question. Mais j'ai tout accepté avec un réel plaisir.

La voisine m'a poussé à me dépasser.

J'ai été si obéissant, si docile.

J'ai fait absolument tout ce qu'elles m'ont demandé.

Mon corps à été exploré sous toutes les coutures, Maîtresse Christine ne m'a rien épargné.

Laeticia et Manon me parlent de façon très autoritaire, pour la première fois. Leur voix me dirige, elles me pilote à distance. Je suis leur marionnette, leur jouet.

Maîtresse Christine est leur bras armé. Elle organise, propose, dirige d'une main de fer.

Elle a sortit une grande collection d'instruments et sextoy en tout genre, cordes, cravache, fouet, godes de toutes tailles, cockring,...

Tout y passe ou presque, je ne réfléchis plus depuis longtemps, j'exécute, je fais, je parle aussi beaucoup.

Elles veulent tout savoir, de mes ressentis, de mes envies, de mes désirs, de mes phantasmes.

Je décris avec moult détails mes désirs intimes.

Je n'ai plus aucun secret pour mes deux secrétaires et ma Maîtresse.

Elles connaissent maintenant mes phantasmes.

Elles ont exploré mon esprit, m'ont questionné sur ma famille, sur mes amis, sur mon Épouse, sur mon mariage, tout mon fonctionnement a été décortiqué.

Elles ont décodé minutieusement tous mes mécanismes de défense, pour mieux me dominer, mieux me soumettre.

Mon corps n'a plus de secrets lui aussi.

Elles m'ont fait prendre un nombre incalculable de poses, de positions, toutes les plus humiliantes les unes que les autres.

J'ai obéi à toutes leurs demandes, sans pudeur, sans retenue, sans rien cacher.

M'abandonner totalement, me permets curieusement de me libérer de tous mes complexes.

C'est une sensation troublante d'obéir sans se poser de questions.

Je me suis mis à nu à tous les sens du terme.

Elles m'aident à dépasser toutes mes barrières.

Elles effacent aussi peu à peu toutes traces de mon égo de mâle.

Je ne réfléchis plus, je fais tout ce qu'elles ordonnent.

Je dis tout ce qu'elles veulent savoir.

Maîtresse Christine m'aide énormément, elle m'encourage, me rassure, elle me permet de sortir de ma "zone de confort".

En une journée et une nuit, elle m'a transformé, elle m'a libéré.

Elle connaît maintenant, chaque partie sensible de mon corps, toutes mes zones érogènes.

Je la remercie car grâce à elle j'ai découvert mon corps comme jamais avant.

Elle me caresse, me palpe, m'attache, m'encule, me fesse, elle me fiste même, je suis tellement distendu.

Mon cul à été si défoncé qu'il reste encore très ouvert, il est tout dilaté.

J'ai éjaculé quatre fois, j'ai dû avaler mon foutre à chaque fois. Elles m'ont littéralement vidé les couilles.

Je suis surpris de les découvrir si vicieuses. Elles ont beaucoup d'imagination, elles veulent tout savoir, tout comprendre. Je suis leur cobaye mâle.

Je deviens le soumis de mes secrétaires, leur " esclave ".

Je m'engage avec joie, je signe même un contrat d'appartenance.

Tout est enregistré, Maîtresse me promet de faire un joli petit montage pour mes deux collègues et mon Épouse.

Elle m'explique que la diffusion publique s'est arrêtée depuis longtemps.

Qu'elle a pris énormément de plaisir et gagné de l'argent grâce à moi.

Je suis un homme fondamentalement soumis qui ne demandait qu'à s'épanouir.

Au petit matin, quand je quitte Maîtresse, je suis un autre homme.

J'ai vécu une sorte de reformatage de mon moi intérieur, comme si tout ce que j'avais enfouis au plus profond de mon être venait de se libérer.

Tout ce qui m'arrive je l'accepte, je l'ai voulu, je l'ai cherché, je l'ai trouvé.

Je n'ai pas été forcé, ou si peu.

C'est volontairement que j'ai accepté leur domination.

En sortant de l'appartement, je me sens épanoui, libéré, je suis plus complet.

Je ne suis plus simplement un directeur, un mari, un ami, un bon vivant, un épicurien, un homme heureux de vivre. Je suis aussi un homme soumis qui a trouvé sa raison de vivre.

Je suis prêt maintenant, j'assume entièrement nouveau statut. Il n'y a plus de retour en arrière.

Au plus profond de moi, je ne veux qu'une seule chose, satisfaire par mon obéissance, mon dévouement, les Femmes qui m'entourent.

Pourtant, celle qui a le plus d'importance à mes yeux, c'est mon Épouse.

C'est à elle que je veux obéir.

Je lui appartient, je désire tant la satisfaire.

Je suis amoureux de mon Épouse Sabine.

Les viennoiseries et le pain sous le bras, je rentre chez moi. La maison est calme, un peu de rangement, ils ont mangé, ils ont tous laissé en vrac. J'installe le petit déjeuner sur la table du jardin, au soleil.

Je prépare le café lorsqu'un des amants de mon Épouse sort dans le jardin.

Il est grand, très musclé, il doit avoir dans les 25 ans, il est nu, il a une très grosse bite même si il ne bande pas. Il est en territoire conquis, il est comme chez lui.

Il s'installe le plus simplement du monde à table.

_ Salut, c'est toi Julien?

○ Oui Monsieur.

_ C'est parfait, un grand café avec deux sucre, s'il te plaît, et dépêches toi le cocu j'embauche dans une demi-heure.

○ Oui, bien sur Monsieur.

_ Va vite voir ta femme, elle t'attends.

○ Merci, Monsieur, bonne journée.

La porte de la chambre est grande ouverte, les bruits qui sortent ne laissent aucun doute sur ce qui se passe.

Il me faut quelques secondes avant d'oser pénétrer dans ma chambre.

Ce n'est pas la même chose de voir les exploits de mon Épouse derrière un écran et de la voir en vrai.

Je passe la tête.

Sabine est à quatre pattes, dos à l'entrée, au milieu du lit, l'homme est allongé sur le dos, la tête appuyée sur des oreillers.

Elle lui suce la bite.

L'homme me sourit quand il me voit.

Je ne dis pas un mot, je suis fasciné de voir mon Épouse avaler en entier cette bite, sur notre lit.

Ma queue durcie instantanément, je bande dur alors que j'ai joui plusieurs fois cette nuit.

La chambre pue le sexe.

Je suis derrière mon Épouse, son trou du cul est sacrément dilaté, sa chatte est rouge, toute gonflée.

Du sperme coule de son sexe béant, elle en a partout sur les cuisses, les fesses et le dos.

Après la journée et la nuit passée à obéir, à me soumettre je n'ai qu'une envie, continuer mon apprentissage de mâle soumis.

Je ne pense qu'a une chose, lécher mon Épouse.

L'homme, les deux mains sur la tête de mon Épouse, me regarde.

Son sourire carnassier, ses yeux noirs me font frissonner.

C'est le mâle dominant dans toute sa splendeur. Il doit avoir un peu plus de 30 ans.

Il se fait sucer par mon Épouse. Ses deux mains lui tiennent la tête.

C'est lui qui imprime le rythme la félation.

D'un geste, il me fait comprendre d'avancer et de me dévêtir.

Je suis nu en quelques secondes, la queue au garde-à-vous devant mon lit.

il me fait signe de m'approcher.

j'admire alors, de tout prêt, la prouesse de mon Épouse.

Je suis fasciné par sa bouche grande ouverte, déformée par ce mandrin énorme.

D'une main ferme sur la tête de mon Épouse, il l'oblige à avaler sa bite en entier, de l'autre, il m'attrape, d'un geste brusque et rapide, les couilles.

Il me tient fermement, je ne bouge pas, il les serre de sa grande main puissante.

Il me regarde droit dans les yeux, je ne peux soutenir son regard.

Je baisse les yeux, je croise alors le regard de mon Épouse. Elle n'a rien perdu de cet échange sans parole.

Elle me fixe.

Sa bouche ne quitte pas sa bite, elle semble assoiffée, insatiable.

Elle accélère les mouvements, augmente le volume sonore de sa succion.

_ Ça te plaît le cocu de voir ta Femme sucer une belle grosse bite?

○ Oui Monsieur, c'est très excitant.

_ Tu entends ça Sabine! Ton mari est excité par ma grosse bite.

Bon! Le cocu, va nettoyer son cul, je vais l'enculer quand il sera tout propre. Tu es là pour ça non?

○ Euh, oui Monsieur.

_ C'est ce que tu veux, n'est-ce pas?

○ Oui Monsieur.

_ Alors, demande moi la permission.

○ Monsieur, puis je lécher le cul et le sexe de mon Épouse pour la nettoyer afin que vous puissiez la baiser et l'enculer, s'il vous plaît?

_ Tu entends Sabine?

Ton cocu de mari, demande s'il peut te nettoyer le cul?

_S_ Mais avec plaisir! Julien lèche moi!

Mon Épouse, a lâché sa bite, elle me regarde, un grand sourire illumine son visage.

L'homme me tient toujours par les couilles, il les serre une dernière fois avant de me claquer fortement le cul.

_ Dépêches toi le cocu, va la lécher,

ta femme veux sentir ma bite au fond de sa chatte et de son cul. T'inquiète j'en ai du tout frais pour toi.

○ Oui Monsieur, je me dépêche,

Merci.

Je n'ai pas d'hésitation, je me met à genoux derrière mon Épouse.

Je sors la langue. Il y a beaucoup de sperme séché sur son cul.

Je passe ma langue partout, je nettoie, avale chaque trace.

Son cul est très ouvert, j'y enfonce la langue, j'avale un gros paquet de sperme, puis un second et encore un autre.

Le goût est salé mais pas désagréable.

Elle contracte son cul pousse pour en faire sortir un maximum.

_S_ C'est trop génial, tu lèches le sperme de mes amants, ça y est, tu es vraiment cocu mon Julien.

En plus, tu te régale on dirait.

Tu es encore plus salope que moi.

Va plus bas, lèche partout, vas-y doucement quand même, j'ai la chatte en feu.

Oui! C'est mieux, mais ne touche pas à mon clito.

Julien, dis-moi, ça te fait quoi de bouffer ma chatte pleine de foutre?

○ Merci mon Amour, je me régale, c'est très excitant. Merci.

_S_ Merci pourquoi?

○ Merci de me permettre de lécher ton cul et ta délicieuse chatte remplie du sperme de tes amants.

_S_Tu réalise ton phantasme " ultime ", tu vois, je tiens toujours mes promesses.

○ Oui mon Amour, merci, tu es géniale.

_ Tu aimes vraiment ça?

○ Oui Monsieur, merci d'avoir si bien baisé mon Épouse.

_ Il est trop ton mari.

C'est vrai qu'il aime ça. Regarde sa bite! Il bande.

_S_ C'est vrai que tu bandes vraiment dur ma petite salope. Lèche bien mon cul. C'est mieux que dans tes phantasmes, non?

_ Allonge toi sur le dos, le cocu tu vas être aux premières loges.

_S_ Allez! Viens vite! baise moi Fabien, j'ai toujours eu envie de faire ça et lui aussi.

_ J'arrive ma belle.

T'as un bon petit mari, il ta bien nettoyé, tu es toute propre, prête à être de nouveau baisée par ma grosse bite.

Regarde bien cocu comment un vrai mâle va baiser ta femme.

Mon Épouse à posé sa chatte sur mon visage, elle se frotte sur mon nez, sur ma bouche, sur mon menton.

J'ai la langue tendue, elle passe et repasse son clito dessus. Elle se branle sur mon visage, elle est toute mouillée.

Elle a pris ma queue dans ses mains, elle me branle.

Elle joue avec mes couilles, passe ses doigts sur mon cul. J'écarte en grand les jambes pour lui faciliter l'accès. Elle doit voir mon cul éclaté, je suis plus ouvert qu'elle, c'est sûr.

Elle a raison je suis encore plus salope qu'elle.

L'homme passe derrière elle, il met les jambes de chaque côté de ma tête, ses couilles touchent presque mon front.

Ses deux grandes mains claquent sur son cul. Il lui écarte les fesses.

Sa queue est encore plus grosse de près. Le gland luisant s'approche de son petit trou foncé. Il le rentre presque en entier puis le ressort et lentement s'enfonce dans la chatte de mon Épouse .

Elle l'avale si facilement.

L'image est absolument magnifique.

Cette immense queue pénètre le sexe de mon Épouse. Elle s'enfonce centimètres par centimètres jusqu'aux couilles, reste quelques secondes tout au fond et sort entièrement. Lentement, il la besogne, il accélère les vas et viens, ralenti, accélère, il va a son rythme.

Je lèche la chatte de mon Épouse du mieux possible, elle coule dans ma bouche, elle va jouir, je l'entend hurler.

Elle me serre encore plus fort les couilles, elle a enfoncé trois puis quatre doigts dans mon cul, sa main s'enfonce jusqu'au pousse. Elle me fouille, je suis vraiment très très ouvert.

Je redouble d'efforts, j'aspire son clito, elle est au bord de l'explosion, elle crie sa jouissance. Fabien n'arrête pas de parler. Il est très cru, il se sert des trous offerts pour son plaisir, il est vulgaire, très bestial.

Il a éjaculé au fond de sa chatte, ses mouvements ont ralenti, il garde longtemps sa bite bien au fond. Il est encore dur quand il la sort. Elle est recouverte de leur jus.

Mon Épouse tremble, j'ai la bouche grande ouverte, collée a son sexe. Je bois tout. Je me régale, j'ai toujours aimé son divin nectar, mais le goût et la texture sont différents, c'est chaud, c'est un régal de la boire directement à la source.

Son clito est tendu, il palpite, il est très sensible sous ma langue.

Sans avertissement, la queue rentre puis sort de sa chatte pour s'enfoncer jusqu'aux couilles dans ma bouche ouverte. Il me baise plusieurs fois la bouche.

Il ressort sa bite pour la positionner devant son cul. Le gland s'enfonce délicatement, son petit trou s'ouvre de nouveau, pour accueillir cette immense bite.

Non je ne rêve pas, mon Épouse se fait enculer devant moi. Elle gémit de plaisir, réclame plus, encore et encore, puis sans prévenir, il la sort de son cul pour la pousser à nouveau au fond de ma gorges.

Je subis totalement, comme mon Épouse, je suis utilisé comme un vide couilles, j'adore ça.

Il s'amuse plusieurs fois à alterner entre les trois trous, pour revenir à son petit cul, le trou le plus serré dit-il.

Je lèche maintenant la chatte dégoulinante de mon Épouse pendant qu'elle se fait enculer sauvagement.

Elle s'est assise sur mon visage, j'avale tout, je la nettoie, aspire la moindre goutte, enfonce ma langue au plus profond de son sexe.

Mon Épouse coule comme une fontaine. Elle a de nouveau un orgasme, puis un autre, puis encore un autre.

Elle tremble, elle crie, elle gémit, elle hurle son plaisir.

Elle est submergée par de multiples orgasmes qui semblent sans fin.

Sa jouissance mélangée au sperme de son amant ruisselle directement dans ma bouche.

Il a sortit sa bite de son cul, il l'enfonce dans ma bouche pour que je la nettoie dit-il. Il rajoute même que je le suce mieux que ma salope de femme, il nous humilie tous les deux, j'adore.

Les multiples orgasmes de mon Épouse l'ont épuisé, elle s'est allongée sur moi.

Son corps est parcouru de frissons, je tend ma langue au maximum. Je lèche maintenant ce gland qui sort de son cul, j'aspire les dernières gouttes. Il est satisfait, me complimente pour la pipe. Il positionne les fesses de mon Épouse sur ma bouche, je ne dois pas perdre une seule goutte de sperme qui sort encore du cul de Sabine dit-il.

Mon Épouse se redresse, elle s'assoit confortablement sur mon visage.

Je n'entends pas bien ce qu'ils se disent, quand elle se lève après plusieurs minutes, nous ne sommes plus que tous les deux dans la chambre.

_S_ Merci mon chéri, tu as été parfait, je t'aime. Change les draps, aère la chambre, range tout ce bazar, quand tu auras fini rejoint moi, on doit parler.

○ Oui mon Amour.

Quand je la rejoint, elle termine son petit déjeuner.

Elle pianote sur son téléphone.

Elle porte une courte nuisette, je suis nu.

_S_ Sert moi un café.

○ Oui mon Amour.

_S_ Je suis en pleine forme ce matin. Merci pour les croissants.

Bon, on y est.

Ça fait longtemps que je voulais te parler, je ne savais pas comment te le dire, je me sentais un peu coupable, mais depuis cette nuit je me sens libérée d'un poids, tu n'as pas idée.

J'ai toujours été un peu salope mais toi tu m'a dépassé.

Entre ce que j'ai vu cette nuit et ce qui s'est passé ce matin, tu as fait très très fort.

Alors comme ça tu me trompe avec une voisine dominatrice?

○ Euh! oui et non, mon Amour, excuse moi, tout c'est passé très vite, c'est la première fois, je n'avais rien prémédité, je n'ai jamais voulu te tromper, je te demande pardon. J'ai été piégé.

_S_ Je ne sais pas si j'ai envie de te pardonner, je n'aurais jamais cru que tu sois capable d'aller aussi loin.

Je veux comprendre. Explique moi ce qui t'est arrivé.

Avant de parler met toi à l'aise ne reste pas debout, sert toi un café?

○ Non merci, mais puis je mettre à genoux, s'il te plaît?

_S_ Si c'est que tu veux.

○ Merci mon Amour.

_S_ C'est vrai que c'est une position qui te va bien, surtout avec ce qui vient de se passer.

Tu as l'air épanoui, vraiment heureux mon petit mari.J'ai l'impression que tu as enfin trouvé ta place. Être à mes pieds te plaît on dirait, tu bandes encore.

○ Euh oui Amour, tu as raison.

_S_ Je sais, j'ai toujours raison, bon allez je t'écoute, explique moi tout.

Je lui ai tout raconté, je ne lui ai rien caché, elle m'a écouté, une cigarette à la bouche, les jambes écartées.

Je lui ai parlé de mes soupçons, de mon excitation d'être son mari cocu et soumis, de la voisine qui m'avait espionné depuis longtemps, des photos qu'elle a déposé dans la boîte aux lettres, de mes secrétaires qui ont tout vu, qui ont participé à mon humiliation, ...

Elle m'a écouté attentivement, m'a fait répéter, détailler certains passages, elle a même caressé sa chatte par moment. Elle est encore toute mouillée, je vois son sexe luisant qui coule.

_S_ Sert moi un dernier café, va me faire couler un bain, et reviens ranger la table du petit déjeuner.

○ Oui mon Amour.

J'y vais, mais je dois te dire quelque chose, avant tout.

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