Les obligations de Julie 02

BÊTA PUBLIQUE

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" Marc d'accord, il me tiens, mais je ne me ferais pas avoir par ces vieux hommes. " se persuadait la dorénavant maîtresse de Marc. Avec son geste qu'elle estimait être le geste ultime d'accord et de soumission à son entier bon vouloir, elle ne voulait pas maintenant que Marc ne " l'offre " à qui le voudrait. Elle se reconcentra, l'adrénaline de ses derniers instants ayant un peu calmer ses ardeurs.

Elle resta là se calmant, retrouvant un peu ses esprits. Puis Marc revint vers elle et se posa à ses côtés.

" Si j'ai bien saisie donc, tu te soumets ma chère? " Demanda calmement l'homme.

" Oui. Votre petite salope se soumet entièrement à vous amour! " Acta Julie d'un ton étonnement sûr.

" Bien. Descends une main dans ta culotte et tire délicatemet sur la ficelle de tes boules. " Demanda Marc.

Julie s'exécuta et au moment même où elle tira sur la ficelle les boules se mirent à vibrer. Elle sursauta.

" Et oui! tu vas te réchauffer bien vit Julie. Je dois m'absenter chercher mon téléphone pour un document. Va discuter tranquillement avec nos amis le temps de mon absence. Assis toi entre eux deux. Et un seul mot princesse: "Obéissante!" " Exigea Marc.

Julie docile traversa le bassin toute stressée et se calla entre Vernier et Defort.

" Messieurs profitez pleinement de faire connaissance avec Julie. Peut-être une rénovation de ses locaux l'intéresserait! " Suggéra Marc avant de faire volte-face et de sortir du bassin.

" Alors Julie, vos locaux ont besoin de renouveau? " Enchaîna alors Defort.

" Je... Je ne crois pas Monsieur Defort. " Répondit Julie.

Marc n'en entendit pas plus. Il profita de ce moment de pose pour lui et de probable mal-être d'une Julie en simple string installée entre deux hommes dans le jacuzzi, pour passer un coup fil. Le temps de se rhabillé, faire ses affaires et renfiler son maillot de bain, il ne revint que vingt minutes plus tard.

À peine entré il vu directement le string de bain flotter et les boules de geishas sur le rebord du bassin rond. Defort se douchait il s'adressa à Marc:

" Mon ami votre maîtresse est une sacrée coquine. Elle s'est mise à crier en pleine conversation se tordant en tout sens. Nous avons, avec Verdier choisit de l'aider.... Moi j'en ai finis à l'instant. À tiens, nous avons aussi conclu oralement à un passage par son cabinet voir ce que nous pourrions y faire. Mais je crois qu'elle n'est pas contre une refonte totale de ce dernier. Nous avons conclu cet accord de manière habituel dans ce genre de circonstances et avec ce genre de femme. Votre Julie nous à branler tout deux pendant qu'elle chevauchait son jouet. cela faisait quelques temps que nous n'avions pas eu ce genre de conclusion! "

" Et bien! Effectivement ma maîtresse est un tantinet joueuse. Pour la rénovation tant mieux pour vous. Ça vous le verrez avec elle. Que Verdier s'amuse un peu. Allons dans le hamam. " Répondit un Marc jovial.

Julie complètement prise de cours et perdue par ce qui venait de lui arriver attendait avec impatience le retour de Marc pour ce sortir des pinces de Verdier qui l'avait vu jouir, du moins son faciès. Ajouté à cela qu'elle venait de branler les deux hommes les mains sous l'eau, chacune sur un phalus et Julie était en plein désarroi. Voyant Marc passé et filer en direction du hamam sans même lui jeter un oeil désespéra cette dernière. Verdier lui la tenait par les hanches et l'avait calée contre lui une main sur le sein droit pinçant le téton et l'autre sur son vagin gluant duquel il avait déjà extirpé les boules de geisha.

Marc s'installa face à la porte et eu pleine vue sur la scène entre le chef d'entreprise et la conseillère conjugale. Julie était probablement les pieds sur les cuisses de Verdier, ses genoux étant maintenant hors d'eau et la jeune femme accroupie de dos sur l'homme. Ses mains appuyées sur les épaules de l'homme elle semblait prendre appui sur lui pour trouver un équilibre. Verdier était quant à lui les deux main à triturer les tétons de la jeune maman. Étaient-ils en train de s'accoupler? Marc le demanderait à Julie plus tard mais tout semblait aller dans ce sens pour son plus grand plaisir. Julie ayant visiblement dépassée ses propres limites, de nombreuses portes pleines d'humiliations s'ouvraient à lui. Julie lâchant prise il allait lui faire connaître bons nombres de ses noirs fantasmes. La laissa à ses mésaventures, il detourna le regard et discuta avec son homologue.

Quinze minutes passèrent et Verdier entra dans le hamam tout enjoué.

" Marc, mon ami, je ne sais quel est votre secret pour tenir ainsi une jeune femme de si bonne condition sociale mais mon ami c'est un vrai bonheur. Elle doit avoir une sacrée chose à coeur pour se mettre dans une telle situation perdue entre dévouement, obligation et désarroi. Quand je pense que nous allons faire affaire avec cette femme, cela est un vrai bonheur. " S'émerveilla ce dernier.

" Je vous remercie Robert, Cela est effectivement un vrai bonheur de posséder cette femme et d'en faire son amante. Je ne vous cache pas qu'effectivement sa classe sociale et condition personnelle comme professionnelle ne font qu'accentuer ce plaisir. Pour ce qui est de l'accord que vous avez pu passer avec elle, cela vous regarde vous et elle comme je l'ai dit à votre confrère. Mais tant mieux pour vous cela dit. " Repondit Marc.

Ils parlèrent dix minutes de plus et Marc leur fit savoir son départ avec Julie, les affaires étant faites entre les trois hommes.

" Je vous envoie Julie pour un au revoir mes amis. " Conclua Marc sortant de la petite pièce.

Julie était elle dans le jacuzzi rhabillée en culotte comme en haut, elle semblait se reposer les yeux clos.

" Et qui t'a dis que tu pouvais te rhabiller petite salope? " demanda Marc froidement.

" Désolé je... enfin... votre petite salope pensait que... après... enfin... après cela. Je pouvais me rhabiller... Votre petite salope je veux dire. " balbutia Julie sursautant.

" Non... mais bon tu as fait preuve d'initiatives donc... Disons que tu vas aller dire au revoir à tes deux amants. Cependant tu les salura prosternée. Tu demanderas à Verdier de remettre tes boules où il les à trouvées. Et tu embrasseras Defort. Ça fera l'affaire. "

" Bien amour... " Soupira Julie prenant les boules de geisha et sortant du jacuzzi.

" Hum! S'il te plaît! À poil! je crois qu'ils ont mérité de te regarder dans le plus simple appareil. " Exigea encore Marc.

Julie retira donc son haut et son string au bord du bassin et s'en alla vers le hamam. Marc lui fila sous la douche.

Julie réapparue devant lui, nue, cinq bonnes minutes plus tard. Elle tremblait légèrement et était écarlate du visage.

" Un soucis? " Demanda Marc.

" J'ai honte Maître Marc... " Soupira Julie.

Il ne releva pas le " je", elle avait besoin de souffler un peu, la journée allait être longue pour elle.

Une fois sortie de la piscine ils allèrent prendre un café à deux pâtés de là.

" Alors tu t'es entichée de Verdier il semble? " Demanda Marc.

" Je... Oh... Mon... Quel enfer... Nous avons. Non ce n'est pas possible... " Se lamenta Julie.

" Vous l'avez fait dans le jacuzzi c'est ça? Quand tu étais accroupie sur lui c'est ça? " Poursuivit Marc.

" Oui..." Souffla Julie.

" Bien. " Acta simplement Marc.

Tout deux burent leur café sans bruit puis Julie repris la parole soudainement.

" Ne me laisse plus jamais jamais seule de la semaine. Je... j'obéirai en tout point mais... Pardon! Ne laissez pas votre petite salope seule amour! Elle fera tout ce que vous voulez mais plus seule. Votre petite salope obéira en tout point! Promis mais plus seule je ne veux plus ça. Mon dieu. J'ai... " Exprima la jeune femme.

" Bien je vais en prendre compte et excuser tes " Je " et " moi ". Mais tu vas devoir m'expliquer avec un peu plus de détails tes actes avec, en premier lieu nos deux amis et ensuite ce que tu as fait avec Verdier. Si cela est à mon goût et suffisamment cru dans les mots, je ne te laisserais plus dans ce genre de situation. Au passage, quelle idée d'avoir conclu un accord avec eux? Là je ne te comprends pas. Ils ont ton adresse, je serais toi je trouverais un arrangement avec eux. Mais cela c'est un autre soucis avec toi et eux. Ce ne sont pas mes affaires. Gérons déjà cette semaine... " Répondit Marc.

" Oui... Qu'est-il arrivée? Avec ces boules qui remuaient et ces deux hommes qui me parlaient je ne pouvais pas me contrôler j'ai craqué et... Oh! Quelle honte j'ai jouis bruyamment. Là j'étais perdus ces hommes mon déficellé le string et chacun à poser une de mes mains sur son sexe en me parlant de rénovation j'ai tentée de rester... fière. Quelle connerie. J'ai accepté un passage et donné l'adresse voulant clore la conversation et les mast.... Masturbations. Haaa..." Détailla Julie avant de fondre en larme.

" Et Verdier? " Insista Marc.

" Je... Et bien... Il m'a caressée le vagin et compris qu'un objet y était. Defort sous la douche il a tiré dessus réveillant mes sens et envies.... Il m'a poussé sur lui et nous avons fait la chose ainsi Mar... Amour. " Pleura encore Julie.

" Tu y a pris du plaisir? " Relança encore Marc.

" Oui... Beaucoup! Ce qui me désole profondément " Répondit dépitée Julie.

" Ça ira comme explication. Je ne te laisserai plus seule promis. Partons. " Conclua Marc.

Ils prirent le trottoir, Marc main droite posé sur le cul toujours plugué de Julie. Julie la main gauche sur l'épaule de son nouvel amant auquel elle obéirait corps et âme dorénavant...

Le téléphone de Marc vibra, sourire aux lèvres il répondit:

" Oui? Bonjour, non effectivement ce n'est pas Madame. Mais elle est là. Je lui transmet, je vous écoute. Mmh! Oui. Très bien! Et bien non elle sera là d'ici heure. Elle s'était préparée pour le rendez-vous de toute façon. Donc aucun soucis! Merci. " Parla donc Marc, puis il repris:

" Julie j'avais envoyé un mail hier en ton nom pour un rendez-vous. Il m'avait été confirmé, restait à avoir l'appel. Direction l'école d'art où tu vas poser nue pour une trentaine de personnes. L'annonce précisait femme soumise, concubine docile. C'est sans doute pour cela qu'ils ont mis du temps à trouver quelqu'un je suppose! " Expliqua Marc.

" Mais... Je... Enfin vous m'avez dit que je ne serais plus seule!? Devant trente personnes? Non! " S'inquièta Julie.

" Ah tu as dis non! Tu seras donc punie en conséquence. J'ai une petite idée. " Renchérit Marc.

" Non je, pardon. Je me suis méprise. C'est enfin. Vous m'avez promis de ne plus me laisser seule amour! " Poursuivie Julie.

" Une deuxième punition sera mise en place Julie. Tu ne sais pas parler de toi de la bonne manière... Sinon rassure-toi tu ne seras pas seule. Je viens de te dire qu'était recherché une femme soumise mais aussi une concubine docile. Tu vas donc me faire passer pour ton compagnon et Maître et donc me laisser gérer la manière dont l'atelier va se dérouler et rester des plus passive, je sais à quel point cela peut t'embêter. Je ne porte aucune alliance n'étant pas fiancé. Toi tu es mariée et avec ton alliance on va avoir du mal à ce faire passer pour un couple. Tu vas l'enlever immédiatement et me la donner. Elle te sera remise à ton départ. " Demanda Marc.

Julie docilement se sépara de sa bague sans chouiner. Le fait de passer pour une compagne pour le reste de la semaine et non une maîtresse l'arrangeait bien.

Ils pousuivirent leur chemin tranquillement. S'approchant du lieu Marc clarifia la manière dont Julie devait se comporter et tendit un objet sortie du sac à Julie:

" Tiens! C'est un collier de cuir avec anneau. C'est la seule chose que tu porteras durant la pose que tu prendras. Enfile le maintenant. Tu enleveras tout y compris tes talons noir et tes jouets. Tu prendras la pose que te demandera l'homme qui gère l'atelier. Si c'est à ton libre choix tu poseras à quatre pattes cambrée tête levée me regardant en face de toi. Tu ne prends aucune initiative. Je rappel une fois de plus qu'ils attendent une soumise de premier ordre. Donc tu te réfères constamment à moi, pour toute chose. Tu m'appelles bien évidemment " Maître " devant le gérant come devant les gens qui seront là. "

" Bien... amour... " Soupira Julie vaincue. Elle accrocha son collier autour du cou après avoir regardée autour d'elle que personne ne la voie.

Marc fut assez étonné de voir Julie, bien que très stressée, faire une très bonne impression de compagne docile lors de la rencontre avec l'organisateur de l'atelier. L'endroit était une annexe de l'école d'art. Un grand hangar réaménagé où se trouvait tout un tas d'objets et ustensiles pour de la peinture et du dessin. Julie fut invitée à se déshabiller dans un petit vestibule et enfiler un peignoir en attendant que l'ensemble des gens ne soient là. Elle eu toujours un peu de mal à s'extirper le plug mais cela semblait déjà plus facile que le matin même.

Chacune et chacun des participants la saluèrent respectueusement et la remercia de sa présence. Cela rassura quelque peu Julie qui voyait que les gens étaient plus là pour le dessin que pour se rincer l'oeil. Enfin elle fut invitée à prendre place au centre du cercle que formait, finalement, la vingtaine d'individus.

L'homme accueillant l'atelier présenta Julie:

" Mesdames, Messieurs, Je vous remecie tout d'abord de votre présence. Je vous présente Julie qui est notre modèle du jour. Je vous serais reconnaissant d'être polie à son égard. Cette jeune femme est une vraie soumise certes mais elle l'est envers son conjoint et Maître ici aussi présent. Aucune remarque acerbe ne sera acceptée. Nous sommes ici pour de l'art et non pour je ne sais quoi... Bien. En cas de question à Julie où sur son statut ou sa vie, bref tout intérêt sur le statut de soumise, Monsieur et sa compagne ont demandés que les questions soient posées à Marc. Comme toujours ces questions peuvent être posées durant les deux poses d'un quart d'heure entourant nos deux heures hebdomadaires. Julie doit être ignorée par tous. Merci de votre compréhension et à vos pinceaux et crayons! "

L'homme invita Julie à enlever son peignoir et se positionner à son bon souhait. Julie laissa donc choir son peignoir le long de son corps et un brin de frisson la traversa, elle se mit à quatre pattes les yeux dans les yeux de Marc. Les joues rosies, elle souffla et se concentra pour tenir la position la première demie heure avant la première pose.

Aucun bruit ne vint interrompre ce premier tiers d'atelier et Julie resta à regarder son maître qui l'avait obligée à être maintenant un modèle de nue. La première pause arrivant. Jacques, l'organisateur lui tendit son peignoir qu'elle accepta après l'approbation d'un signe de tête Marc. Elle en profita pour étirer ses membres. Marc discuta les quinze minutes avec quatre hommes. Puis l'atelier repris.

Julie eu un peu de mal sur les dernières dix minutes de cette seconde cession. Ses bras tremblaient. La pause arriva à point nommé. Elle ne pu avoir d'autre réaction que de se vautrer sur elle-même. La fatigue se faisait sentir après deux demies-heures à prendre la pause sur les coudes toute cambrée.

Marc passa la voir après encore deux-trois discussions et lui offrit un verre d'eau qu'elle dûe boire en restant à genoux.

" Très bien ma douce. Très bon comportement. Tu t'es fais quelques admirateurs. L'effet soumise sans doute. Comment te sens tu? " Commença Marc.

" J.. Votre petite salope à honte. Vraiment honte. M'exposer ainsi m'effraie. Il y a tant de monde... " Se désola Julie.

" Oui. C'est ton choix toutefois. Tu sais comment tout arrêter Julie. Il suffit d'un sms à ton mari. Voilà tout. Ton humiliation ne tient qu'à un message petite chienne soumise. Mais tu ne le fera pas. On le sait tous les deux. Donc reprenons nos aventures.... Tu as deux personnes particulièrement fan de toi. Rejouis-toi. Le premier est photographe amateur. Nous avons rendez-vous demain avec lui. À priori tu va te ballader nue dans les bois. Mais enfin on verra ça avec lui. Pour le second il veut simplement me voir à l'oeuvre. Prosterne-toi immédiatement. Et tu tiendras ta position jusqu'à la reprise. Remercie-moi petite salope de maman. " Termina Marc tout sourire.

Julie se prosterna face contre terre le bout des doigts tendus sur les chaussures de son mâle dominant.

" Votre petite salope vous remercie! Vous avez raison de me rappeler ma place et de montrer ici qui commande et qui obéit. Votre salope a commis des erreurs et doit en payer le prix. Elle n'appellera pas son mari et se fera bien évidemment à vos obligations. " S'obligea Julie, soucieuse de dire de bons mots.

Marc se contenta de la réponse et s'en alla.

Julie patienta patienta docilement, attendant la fin de cette dernière partie. Une fois l'atelier stoppé Marc tenta sa plus grosse humiliation histoire de voir si Julie allait se plier à son souhait ou craquer et risquer de tout perdre.

Il arriva sur l'estrade l'un de ses poings poings serré. Il en laissa tomber le bout d'une laisse. Il se pencha vers Julie et lui chuchota à l'oreille:

" Tu as deux sorties de scène possibles: Au bout de cette laisse à quatre pattes suivant ton maître ou bien tu te lèves, files à ton hôtel et ce soir tu auras une explication avec ton mari. À toi de voir. Si on continue ensemble, tu mordilles la laisse comme une petite chienne bien élevée. "

Julie ne réfléchie que peu de temps et mollement mordilla la laisse tirant doucement dessus.

Marc fit bien attention que l'ensemble des gens présents est leur attention portée sur eux et se rabaissa vers Julie pour clipser la laisse:

" Très bien ma grande, ça c'est une bonne chienne qui choisie d'être docile. Tu vas me suivre à quatre pattes jusqu'au vestibule. "

Julie suivie donc honteusement Marc à quatre pattes au bout de la laisse, ne regardant que ses mains. Arrivés au vestibule il reprit la parole:

" Très bonne attitude durant l'atelier. Bravo. Tu fais ce qu'il faut pour être tranquille dimanche. Au vestiaire, tu trouveras dans le sac une robe courte en vinyle noire. Tu t'habilles ainsi pour la suite de notre journée. Elle te facilitera la tâche pour tes trois exhibitions. Tu comprendras en l'enfilant je suppose. Lorsque que tu te renfile les boules, fais en sorte que l'on voit bien les fils depasser de ta chatte. Tu me rejoins quand c'est fait. Tu affiches bien une attitude docile, je suis fier de toi. Tu baisseras la tête le temps qu'on parle avec Jacques, l'organisateur. Enfin tu le remerciera d'avoir pu te laisser vivre un fantasme en te permettant de te mettre nue face a des inconnus. Compris? "

" Tout d'abord, votre salope vous remercie des compliments sur son attitude de soumise. Ensuite elle est toute heureuse de porter une robe facilitant sa... mise... à nue. Elle se repluguera à votre bon vouloir et se comportera devant Jacques comme la compagne soumise qu'elle est. " Répondit docilement et vaincue la jeune maman. Marc l'a quitta très heureux d'enfin avoir la maman aussi soumise qu'il l'escomptait.

Les gens partirent au fur à mesure, la plupart saluant Marc mais sans surprise peu de femmes le firent, probablement choquées de voir l'une d'elle avec si peu d'honneur et d'estime de soi. Julie vêtue de sa jupe vinyle noire zippé de haut en bas par le devant et perchée sur ses talons noires les plus minimalistes possible, rejoignit Marc et Jacques ainsi que les trois hommes encore présents. Il les présenta:

" Julie, chérie, voici Jonathan le photographe avec qui nous avons rendez-vous demain. Léo et Armand sont eux là pour voir tes jouets. Je te prie donc de les accompagner aux w.c. leur montrer tout ça. Jacques ne tiens pas à ce que quelqu'un qui se présenterait ici est une mauvaise idée du lieu. Tu reviendras vers moi une fois ces hommes comblés. Allez suis les ma belle soumise. " S'extasia Marc.

" Bonjour messieurs. Très bien, amour, je vais avec ces hommes. " Répondit simplement Julie.

Au moment où elle allait s'éloigner, Marc l'attrapa par la main et la ramena vers lui puis chuchota à son oreille: