Les Moches...

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Toutes les femmes ont droit au plaisir, même les moches...
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Certains se targuent de leur velléité à faire des dons à diverses associations. Ils disent prendre soin de leur prochain, peu importe sa couleur ou sa provenance.

Pour moi rien de tout ça. Ceux, ou plutôt celles, qui attisent ma pitié sont les moches. Celles qui auraient pu en d'autre temps être des monstres de foires. J'ai toujours ressenti une grande tristesse devant ces femmes difformes et laides qui n'ont pas droit au plaisir et dont la détresse extatique est le quotidien.

Rien n'est plus valorisant pour moi que de combler ces femmes de mes charmes et de mon savoir-faire amoureux. Cette façon d'apaiser les remords qui me rongent, par peur de ne pas en faire assez pour les plus défavorisés, s'atténue dès que je m'occupe d'une de ces créatures issues de la colère de dieu. L'histoire qui suit et qui repousse les limites de la perversité va mieux illustrer mon propos.

Je l'ai rencontrée sur un banc, au bord du lac. Je l'ai rapidement jaugée : 47 ans, à peine plus d'un mètre et demi pour 120 kilos au bas mot de cellules adipeuses. Sa robe délavée lui arrivait juste au-dessous des genoux et laissait apparaître deux mollets grisâtres recouverts d'un duvet, que dis-je d'un duvet, d'un épais tissu de poils noir. Nul besoin de lui parler pour connaître son histoire. Elle la portait sur elle. Elle était l'écran où l'on pouvait visionner en un seul film toute sa vie...sa survie. Zola à côté écrivait des contes pour enfants, Frankenstein un nounours pour endormir les mioches.

Le film était heureusement muet. On y voyait l'abandon par sa mère alcoolique, n'avait jamais connu son père et avait déambulé de foyer en foyer, tous plus sinistres les uns que les autres et n'ayant d'autre but que de toucher quelques subventions de l'état ou de l'église... souvent des deux. Enfant déjà elle servait de bonniche, de punching ball et d'objet sexuel aux délurés avachis par l'alcool qui l'hébergeaient. Cendrillon était une princesse heureuse en comparaison de sa vie sinistrée.

Combien de coup de triques a-t-elle reçus, combien de bites ont visité ses orifices les plus divers? Combien de litres de foutre a-t-elle reçu sur le corps ou ingurgités? Que ceux qui prétendent que c'est un élixir qui apporte beauté et bonheur se retrouvent enterrés vivants. Les tournantes étaient son quotidien, tout comme l'office l'est au curé. D'ailleurs elle a certainement dû connaître moult crucifix dans son con sous prétexte d'exorcisme par des prêtres délurés.

Bref, point de longs discours pour l'aborder. Ce genre d'animal ne s'apprivoise pas. Elle est dressée depuis belle lurette et la soumission est son mode de fonctionnement. :

- Salut, tu habites le coin?

- Pas loin...crus-je comprendre parmi les sons gutturaux émanant de sa bouche édentée.

- Allons chez toi.

Elle se leva péniblement, vacilla, poussa un rot aux saveurs d'alcool bon marché et se mit en branle...

Je la suivais à une dizaine de mètres au cas où je croiserais une connaissance. La pitié et la générosité ont leurs limites. Arrivés dans la cour d'un immeuble délabré nous entrâmes dans une sorte de cagibi faisant office de chambre, de cuisine et de débarras. L'odeur nauséabonde qui se dégageait des tas d'ordures jonchant le sol aurait dégoutté la plus téméraire des mouffettes.

Cette ambiance irréelle et la vision de son cul énorme me mettait dans tous mes états et j'avais une trique de tous les diables, de quoi foutre la honte au premier âne passant par là. Je lui intimais de se foutre à poil séance tenante.

Je ne croyais pas si bien dire tant cette expression prenait vraiment tout son sens. J'en avais vu des horreurs. Des moches, des bossues, des difformes...même une fois une unijambiste. Mais là, j'allais baiser un yeti. En levant les bras pour enlever son pull, j'ai découvert que la forêt amazonienne qui avait envahi ses aisselles avait passé du vert au gris. Ses seins pendaient lamentablement. Deux baudruches à moitié dégonflées avec deux mamelons recouverts de longs poils. Ses tétines arrivaient au niveau du nombril en reposant sur sa panse gonflée à l'hélium...

Tout en la contemplant je me déshabillais, ma trique étant au garde-à-vous, prête à l'action. Elle enlevait maintenant sa culotte trouée de partout et jaunie entre les cuisses. Aussitôt une puissante odeur de pisse s'échappa et je m'attendais à voir un essaim de mouches venir tournoyer autour de sa chatte poilue. Quand je parle de chatte poilue, cela mérite précision. On était plus proche du mammouth que du minou tant elle était énorme. Quant aux poils, ils devaient bien mesurer 15 centimètres de long et sa pilosité n'avait rien à envier à un angora vainqueur d'un concours de beauté féline.

Une fois nue elle se coucha sur un matelas défoncé et écarta ses cuisses, prête à recevoir mes coups de bite. C'est là qu'intervient ma générosité légendaire en matière de sexe. Plutôt que de la sabrer à la hussarde, je me mis à genoux entre ses cuisses et écarta les lèvres énormes et dégoulinantes telles celles d'un boxer devant sa gamelle de Royal Canin. Sa caverne était énorme, violacée en profondeur et rouge vif sur les bords. Son clito pendait jusqu'à l'entrée de son con telle une stalactite ramollie par le temps. J'étais fasciné par ce spectacle qui aurait fait revoir toutes ses connaissances anatomiques à un gynéco chevronné.

Je ne pus résister bien longtemps avant de la lécher. Mais un clito de cette taille, ça se travaille au corps. On ne peut se contenter de léchouilles, il faut le prendre en bouche, le faire tourner avec la langue, l'aspirer tout en le mordillant. On ne broute pas Madame, on mâche. La réaction de ma « bibendum velue » eut paru bizarre à celui qui n'avait jamais bouffé la motte d'un tel monstre. Mais j'avais l'habitude et c'est justement leur réaction qui me donnait l'envie de les faire jouir. Jamais aucun homme ne s'était préoccupé de leur plaisir. Jamais elles n'avaient connu l'extase de l'orgasme. Cet endroit de leur corps avait toujours été source de souffrances et elles ne pouvaient imaginer ressentir du plaisir de cette partie de leur corps....d'aucune partie de leur corps en fait. Il en était de même pour ma conquête du jour qui n'avait servi que comme citerne à foutre et hangar à bites.

L'orgasme qui s'en suivit fut fulgurant et puissant. Elle ânonnait quelques sons, entre borborygmes et éructation. Elle tira de toutes ses forces mes cheveux pour enlever ma tête d'entre ses cuisses. Son corps tremblait de tout son saoul mais j'étais bien décidé à lui en faire voir d'autres. Aussitôt que ma tête fut libérée, je plantais immédiatement deux doigts au plus profond de sa chatte. Enfin je pensais y être alors qu'ils devaient être à peine à mi-distance. Je réalisais alors que même mon poing n'y suffirait pas. Elle avait dû être fistée par des têtes, probablement même deux têtes de siamois de sa connaissance, tant ses chairs étaient distendues. J'y introduits mon poing et la branlais sans ménagement tout en faisant tourner mon pouce sur son clito. Après quelques minutes de ce traitement elle fut prise de soubresauts et un puissant jet de cyprine vint arroser mon visage. Elle suffoquait, tremblait, peinait à retrouver son souffle après l'apnée qu'elle avait connue durant son orgasme.

Pour la première fois elle s'exprima. Elle pensait que j'étais une créature maléfique qui s'était emparée de son corps, que ce qu'elle avait ressenti était surnaturel. Mais très vite elle m'avoua avoir adoré, ce qui m'encouragea à recommencer une deuxième séance. Très vite elle repartit sur orbite et je ne lui laissais aucun répit entre ses différents orgasmes, continuant de la branler en y ajoutant deux doigts de ma main libre dans le cul. Après avoir estimé qu'elle avait eu son compte je l'ai tournée pour qu'elle se retrouve sur le ventre et découvrir ainsi son cul. Une vraie place de fête par ses dimensions impressionnantes. Deux ou trois furoncles purulents décoraient son magistral fessier et une touffe de poils s'échappait entre ses fesses, comme un bouquet de persil dépassant d'un cabas.

Je me mis à lui pétrir sa graisse tout en écartant ses fesses pour découvrir son œil de bronze à la taille proportionnée à celle de son con. Là non plus deux doigts ne suffiraient pas et très rapidement ma main s'enfonça dans son arrière-boutique, la fouillant au plus profond. Je lui défonçais sans ménagement ses fondements, la préparant ainsi à recevoir l'assaut de ma queue toujours plus dure d'envie. N'y tenant plus, je lui ai commandé de se mettre à quatre pattes. Quelques bonnes claques sèches sur les fesses lui annoncèrent la suite du programme... J'allais battre le beurre dans un étron. D'un violent coup de reins je me suis enfoncé dans son moutardier jusqu'à la garde et la limais en force, mazoutant le pingouin, lui cassant sa pièce de dix sous jusqu'à la limite de me vider dans son panier à crottes.

Quand je suis ressorti de son fignoton elle lâcha un gros pet sonore et odorant et je la remis prestement sur le dos et vint lui déverser mon foutre sur son visage et dans sa bouche. Elle avala le résultat de ma joie sans rechigner et je me relevais pour m'habiller... sans un mot.

Elle ne chercha pas à me retenir et se contenta d'un « merci » alors que j'ouvrais la porte pour sortir. J'avais rempli mon devoir de citoyen, elle la moche que personne n'avait voulu faire jouir jusqu'ici avait découvert le plaisir de la jouissance et nul à douter que désormais elle ne manquerait pas de se donner elle-même ce nouveau plaisir.

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