Les Marais

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Une histoire avec une créature des marais, pour Halloween ;)
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Ah quel froid faisait-il là ! Jamais il n'aurait cru s'aventurer volontairement dans un tel endroit, et pourtant, il y était, là, au milieu de ces marais nauséabonds et humides, les jambes couvertes de boues et le cœur battant à la chamade. Une fois de plus.

Frissonnant de froid et de peur, Lev poursuivit sa marche au travers de l'épaisse brume qui recouvrait presque perpétuellement l'endroit, les bruits de succions grotesques que faisaient ses bottes dans la boue l'accompagnèrent jusqu'à ce qu'il parvienne à une clairière, qu'il reconnut instantanément.

Ici, point de pénombre, mais la pâle lumière de la lune qui offrait un répit plus que bienvenu dans la noirceur lugubre des lieux. Lev s'avança, un pas, puis l'autre, son cœur menaçant à présent d'exploser dans sa poitrine ; ce faisant, l'excitation monta en lui. Ses yeux parcoururent la clairière du regard, dans l'espoir de l'y trouver.

Ce fut Lui qui le trouva. « Tu es revenu... » fit un écho dans son esprit, impossible à localiser, avant qu'un souffle chaud ne vienne effleurer sa nuque. Lev sursauta et se retourna aussitôt, faisant face à un homme d'une pâleur extraordinaire.

Ou du moins, ce que l'on aurait identifié comme un homme, au premier regard. Cependant, un œil attentif remarquerait rapidement qu'il s'agissait là plutôt d'une créature qui possédait quelques caractéristiques humaines. Outre son visage d'une beauté à couper le souffle, et ses longs cheveux argentés, ses yeux dénués de pupilles, étaient entièrement recouverts d'un voile blanc, aussi pâle que son visage ; ses membres étaient anormalement longs, et ses mains, ses avant-bras et ses jambes étaient recouverts d'écailles aussi noires que l'encre.

Il s'avança, ses longues jambes écaillées s'enfonçant dans la boue, jusqu'à ce que son visage soit à quelques centimètre de celui de Lev. Celui dernier ne recula pas ; il savait très bien qu'il ne valait mieux pas faire de gestes brusques en présence de cette créature. Malgré la peur qui le tenaillait, il ne pouvait empêcher les souvenir de remontrer ; la vue de ces mains couvertes d'écailles lui rappela comme elles l'avaient empoigné, la dernière fois, la douceur qu'elles avaient, lorsqu'elles caressaient son sexe dur, leur goût, lorsque les doigts s'étaient glissés dans sa bouche...

Il observa ces yeux qu'il avait cru aveugles, la première fois qu'il les avait vu ; aujourd'hui il savait qu'ils voyaient bien plus que ce que lui-même pouvait distinguer. Ces lèvres pleines, rouges de sang...Il avait probablement dû chasser, avant de le trouver. Cela rassura Lev en un sens. Une langue en sortit, lentement, anormalement longue elle aussi, jusqu'à venir lui lécher la nuque. Lev ne put réprimer un frisson et il ferma les yeux. Oui.

Oh, comme il en avait rêvé, tout le mois durant ! Être touché, léché par cette créature !

La langue descendit alors le long de son torse, se faufilant sous la chemise épaisse qu'il portait, jusqu'à trouver l'un de ses tétons, qu'elle agaça doucement. « Mmh... » Oui, oui, joues avec moi.

Quelque chose s'enroula autour de sa jambe et remonta tout le long, quelque chose d'humide, gluant et froid ; Lev savait de quoi il s'agissait et préféra ne pas ouvrir les yeux, tandis que la chose poursuivait son ascension. Que faisait-il là exactement? Une question qu'il s'était si souvent posée...Mais à laquelle il ne pouvait- ne voulait - donner de réponse. De ses mains tremblantes, il déboutonna son pantalon, libérant son sexe qu'il avait déjà dur. La chose qui s'agrippait à sa jambe vint doucement titiller son gland humide et il ne put que gémir, alors que son deuxième téton était pris d'assaut par ce qui lui semblait être une seconde langue ; éperdu, Lev rouvrit les yeux, et découvrit ce beau visage pâle, face au sien, mâchoire béante, dont la longue langue qui en sortait s'était divisée en deux pour mieux le satisfaire. Il faillit bien crier tant la vision était terrifiante, mais il parvint à réprimer sa peur.

Son regard planté dans celui, voilé, de son « compagnon », un profond gémissement lui échappa. De peur ou de plaisir, il ne savait. C'était si affreux, et si bon à la fois ! Il était là, face à cette créature qui aurait probablement pu lui déchiqueter la gorge en un rien de temps s'il devait se fier à l'aspect de ses dents, aussi pointues que celle d'un félin ; et pourtant, il n'avait qu'une envie : la servir, lui plaire, céder à ses pulsions les plus secrètes.

Lev baissa les yeux sur sa verge, et découvrit le tentacule qui l'entourait ; épais à la base, il réduisait petit à petit à la pointe jusqu'à être plus fin qu'une mine de crayon ; il jouait avec son gland, d'où s'écoulait déjà un peu de liquide. Il l'observa faire, à la fois fasciné et excité par cet organe étrange qui venait, il le savait, de l'être qui se tenait face à lui.

Le tentacule se mit alors à titiller le petit orifice à l'extrémité de son gland, et Lev ne put s'empêcher de gémir « Ah ! Oui... » Il jeta un regard à son compagnon, et vit que lui aussi, regardait le spectacle ; le tentacule se faufila à l'intérieur de son gland, pas très loin au début, et Lev émit un grognement qui mêlait inconfort et plaisir. Il craignait la douleur, mais encore une fois, s'abstint de montrer son trouble ; toutefois, lorsque le tentacule poussa un peu plus loin, il voulut poser ses mains sur le torse de la créature, mais celle-ci le repoussa, et des tentacules s'emparèrent aussitôt de ses poignets. Très vite, Lev se retrouva débout, les mains liées au-dessus de sa tête, les pieds enfoncés dans la boue profonde, incapable de faire le moindre mouvement, pendant que le tentacule fouissait plus profondément dans sa queue, ne pouvant plus que gémir d'un air pitoyable. Oh, comme il aimait être l'objet de sa torture !

La langue poursuivit ses caresses, pendant que le tentacule s'enfonçait plus profondément dans sa queue ; Lev le regarda faire, fébrile, sans pouvoir s'empêcher de se tortiller. « Oh, oh, oh... », il se sentait si plein, si rempli ! Il ne pouvait détacher ses yeux du tentacule, enfouit dans sa bite ; il en ressorti presque entièrement et Lev observa avec stupeur, le cœur cognant dans sa poitrine, la longueur de la chose qui l'avait pénétré ; puis le tentacule entra à nouveau, et il ne put que gémir à nouveau. Oh oui, c'était horrible, c'était si étrange, c'était affreusement bon, songea-t-il en regardant le tentacule entrer et sortir à un rythme de plus en plus effréné. Jamais on ne lui avait rien glissé là-dedans, si loin, si profondément en lui...Son souffle se fit plus court, et il ne put s'empêcher de le regarder, alors que son tentacule le martyrisait si délicieusement. Son regard voilé demeurait inchangé ; le seule geste qu'il esquissa fut celui de poser une main couverte d'écaille sur la bouche de Lev, l'empêchant de crier trop fort. Lev ferma les yeux, alors que le tentacule le pénétrait toujours plus vite ; la sensation de plénitude se mua en une urgence, une impérieuse envie de jouir sur le champ.

Les coups de langues adoptèrent un rythme plus rapide, jusqu'à ce que, cédant au plaisir, Lev explose ; dans un cri étouffé, il rouvrit les yeux juste à temps pour voir le tentacule se retirer, et son foutre jaillir hors de lui pour éclabousser le ventre de la créature. Secoué de spasmes, Lev se sentit presque défaillir, mais les tentacules le maintenaient bien en place ; les vagues de plaisir se succédaient, tandis que sa queue en expulsait les derniers rebus. La langue se retira, laissant ses tétons raides et rouges, couverts d'une salive qui lui picotait la peau.

Tremblant des pieds à la tête, Lev reprit son souffle lorsque la main écailleuse lui libéra la bouche avant qu'Il n'use de sa longue langue pour venir lécher le foutre qu'Il avait sur le ventre. Le rouge monta aux joues de Lev tandis qu'il l'observait faire. Il y avait quelque chose de profondément érotique à voir cette créature lécher son propre corps avec cette langue si anormalement longue et Lev le regarda récolter jusqu'à la dernière goutte de ses fluides, totalement hypnotisé. En appréciait-il le goût? Le faisait-il pour l'exciter lui, ou aimait-il ce qui se jouait entre eux? Ou était-il totalement dénué de conscience, savourant simplement la satisfaction de ses besoins primaires?

Comme une réponse muette à ses questions, la créature s'approcha de Lev pour lui déposer un baiser sur les lèvres.

Stupéfait, il se laissa faire ; la langue semblait avoir repris une taille raisonnable, et caressait la sienne avec la passion d'un amant secret. Lev ouvrit un peu plus la bouche et pencha la tête en arrière, lui offrant un meilleur accès.

Les mains écailleuses se mirent à parcourir son corps et achevèrent de le déshabiller, déchirant sa chemise sans le moindre scrupule. Vidé, épuisé et surtout encore sensible, Lev sursauta lorsqu'il Le sentit pincer l'un de ses tétons. Son autre main lui caressa les fesses, pendant que l'un de ses tentacules venait à nouveau entourer sa queue, tentant de lui faire retrouver sa vigueur.

-Oh, je n'y arriverais pas aussi vite après...protesta faiblement Lev, tandis que, sourd à ses paroles, Il lui déposait des baisers dans la nuque. « Je ne peux pas...répéta Lev, et cette fois, la bouche le mordilla jusqu'à réveiller une vive douleur. « Aïe ! »

La créature se redressa et ses yeux pâles se plongèrent dans les siens. Oh, il n'en avait pas fini avec lui, songea Lev en le sentant se presser contre lui ; entre ses cuisses sombres et recouvertes d'écailles, il sentit quelque chose de nouveau ; une verge dure et raide effleura la sienne. « Oh... » soupira Lev.

Jamais il n'avait vu Son désir. Ses précédentes visites ne lui avaient montré que ce qu'il avait vu jusqu'à présent ; Lev avait pensé la créature dénuée d'organes génitaux tels qu'il aurait pu se les représenter, et avait simplement supposé que les tentacules étaient ce qui lui tenait de queue.

Apparemment, il s'était trompé. Il avait bien une queue. Oh, et quel organe ! Outre sa taille conséquente, elle était aussi sombre que les écailles qu'il portait, d'une texture plus lisse, cependant, striée de veines d'un vert sombre, qui palpitaient sous le coup du désir. Voyant cette bite monstrueuse, son propre organe se réveilla, tandis que son compagnon l'enfermait dans une étreinte que Lev ne pouvait lui rendre, ses mains toujours attachées.

Leurs verges se frottaient à présent l'une contre l'autre, et Lev sentit bientôt un tentacule se glisser entre ses fesses ; l'extrémité humide se mis à lui chatouiller l'anus, et il ne put s'empêcher de frémir. L'appréhension de mêla à l'excitation ; oui, c'était ce dont il avait envie depuis le début, oui, oh !

Alors, son compagnon se mit brusquement à genoux devant lui. Lev le regarda, impuissant, ouvrir la bouche, cette bouche remplie de ces dents si aiguisées et un léger gémissement de peur lui échappa, tandis qu'elle se refermait sur sa queue. Il ferma les yeux, attendant une douleur. Allait-il le punir d'avoir jouit si vite?

Il n'y eut pourtant que le plaisir intense d'une bouche chaude qui l'enveloppait. Lev rouvrit les yeux et vit la créature aller et venir entre ses jambes ; déjà, sa queue se durcissait sous les coups de langues râpeuses qui l'entouraient. « Oh, oui, oui... » Ses hanches se mirent à bouger d'elles-mêmes mais les mains froides et sombres vinrent l'empêcher d'effectuer tout mouvement. Frustré, Lev émit un son étranglé, mais bien vite, il se perdit à nouveau dans les méandres du plaisir. Le tentacule entre ses fesses pressait contre lui, et il lui céda ; il se détendit complètement, et sentit sa froideur le pénétrer avec douceur.

Oh, oui ! C'était pour cela qu'il revenait. Ce sentiment de plénitude, cette sensation d'abandon, cette crainte mêlée au désir qu'il ne ressentirait jamais avec ses congénères...Ici, il gémissait sans retenue, ici il ne craignait pas de demander, de supplier, de s'offrir. A cette pensée, il sentit le tentacule s'enfoncer plus profondément en lui et il ne put que murmurer ; « Comme c'est bon, oui... » et l'organe se mit à aller et venir en lui, tout en s'épaississant, écartelant Lev de la manière la plus exquise qui soit. L'organe et la bouche, tous deux travaillant de concert à le faire gémir à chaque fois plus fort, la tête renversée, les yeux rivés sur le ciel nocturne ou la lune brillait. Lev cru qu'il allait jouir à nouveau, tant tout était parfait.

Son étrange compagnon se releva alors, délaissant sa verge, qu'il avait à présent bien dure et gonflée. Le tentacule se retira, et Lev sentit un mucus chaud dégouliner le long de ses jambes.

Alors, la créature poussa Lev, qui, avec un cri de surprise, bascula en arrière ; il crut qu'il allait atterrir dans la boue gluante, mais des tentacules lui firent un lit dans lequel il tomba avec un son mat et humide. Aussitôt, il les sentit s'enrouler autour de son corps, comme des serpents, et, un instant, la panique le saisit ; les tentacules s'emparèrent à nouveau ses poignets, mais aussi ses chevilles, l'obligeant à écarter les jambes, à s'offrir, entièrement nu, à la vue de la créature qui le toisait, toujours debout face à lui.

La créature...Non, pour Lev, il était plus que cela. Il était ce qu'il désirait le plus à ce moment précis, un être bien plus beau et dangereux que n'importe lequel des êtres humains avec lesquels il avait forniqué autrefois ; bien plus fascinant, et bien plus plaisant au regard ; il admira son torse lisse et pâle, ses muscles saillants, ses petits tétons roses qu'il aurait voulu avoir en bouche, sa bouche si rouge, rouge de sang, ses longs cheveux qui lui évoquaient l'argent liquide, les écailles dures et froides qui recouvraient ses membres...

Lev était à présent presque complètement immobilisé, à peine pouvait-t-il remuer les hanches. La peur pulsait dans ses veines, mais aussi le désir ; le sexe fièrement dressé entre ses jambes écailleuses, son geôlier l'observait, bouche entrouverte, ses magnifiques yeux posés sur le petit orifice de Lev qu'il convoitait tant. Lev répondit à son regard en gémissant, en se contractant comme il le pouvait, et il vit, non sans fierté, que l'organe pulsait en réponse. Oh oui, il me désire, je le sens, pensa-t-il, satisfait.

Oh, il voulait le sentir en lui, oh comme il le voulait !

Un tentacule vint à nouveau lui titiller la queue, mais cette fois, au lieu de le pénétrer, il s'épanouit, comme une fleur, révélant à l'intérieur une chair humide d'un vert livide, que Lev eut à peine le temps d'apercevoir, avant qu'il n'engloutisse son membre dur. « Oh ! » gémit Lev, surpris. Sa queue fut enveloppée dans un cocon chaud et doux, qui se mit à le sucer.

Son compagnon s'approcha, lentement, jusqu'à s'agenouiller sur le lit de tentacules avec un bruit humide et gluant. Lev le regarda faire, envouté par ses mouvements fluides et inhumains, par ses mains couvertes d'écailles qui lui caressaient les cuisses, par cette bite palpitante qui se pressa contre son ouverture...

« Oooh ! » Lev exhala un profond soupir, alors qu'il sentait la froideur du membre sur sa peau, si délicate à cet endroit secret. Une, deux poussées, et Lev sentit son anus se dilater lentement pour céder enfin et engloutir cette monstrueuse bite. « Oh, oui, oui ! » souffla-t-il en la sentant l'écarter, le remplir petit à petit. Un grognement de plaisir retentit, et Lev constata avec surprise que ce n'était pas le sien ; c'était celui de son compagnon. L'expression habituellement placide et effrayante s'était muée en une autre ; celle du pur plaisir.

Sa queue se fraya un chemin dans les entrailles de Lev, l'écartelant toujours plus, et le jeune homme jura que son membre s'allongeait, à mesure qu'il le pénétrait ; assurément, il n'avait pas la queue aussi longue !

Mais qui était-il pour s'en plaindre, après tout? Oh, oui, cet organe qui lui remplissait le ventre, qui l'explorait sans aucune merci, contre-nature, fait pour un corps autrement différent du sien, mais tout cela était si, si délicieux oh ! Il ne pouvait résister à cela. Ses gémissements se firent plus aigus, à mesure qu'il se faisait pénétrer, et, lorsque, enfin, il sentit le contact froid des bourses contre ses fesses, Lev exhala un profond soupir de satisfaction, auquel fit écho un second grognement de son compagnon.

« J'aime ce son...murmura Lev en le regardant dans les yeux. « Je veux l'entendre encore.

Pour toute réponse, son étrange compagnon se retira, presque entièrement ; Lev émit un hoquet de surprise, ayant la sensation que ses entrailles se vidaient subitement - ce qui était le cas, songea-t-il, surexcité ; la queue devait remonter si loin en lui... !- sentant le gland froid et humide caresser son orifice dilaté...Avant que son compagnon n'entre à nouveau, cette fois-ci, d'un trait. Un cri jaillit de la bouche de Lev, alors qu'il sentait cette bite l'envahir brutalement.

« Oh, oh, oh ! » La créature se mit à le baiser, alors, pour de bon. Oh comme il en avait rêvé ! Ses plus secrets désirs, ses rêves les plus inavouables... !

Les tentacules bloquaient toujours ses mouvements, le contraignant à demeurer bien ouvert pour son étrange compagnon, qui le pilonnait à présent sans merci. Des grognement gutturaux s'échappaient de sa gorge, le long de laquelle Lev pouvait voir les même veines d'un vert sombre qui pulsaient ; les yeux d'un blanc laiteux virèrent au vert, eux aussi un vert si lumineux qu'il paraissaient briller dans la nuit. Lev ne pouvait détacher ses yeux de cet être si singulier, tout en gémissant à qui mieux mieux, ne pouvant s'empêcher, comme le vil humain qu'il était, de supplier qu'il le prenne plus fort encore.

« Oh, oui ! oui ! » gémissait-il, en réponses à ses ruades, chacune plus forte que la précédente. Il avait la sensation que cette queue allait l'éventrer, remplir son corps tout entier mais il s'en moquait ; le plaisir était trop intense, l'extase bien trop addictive... ! Le tentacule qui le suçait se mis à le pomper plus franchement, et d'autres vinrent lui titiller les tétons, qu'il avait déjà durs depuis longtemps ; cette avalanche de stimulation le plongea dans un état de stupeur béate et il se laissa complètement secouer par les coups de boutoirs de son maître - car oui, Il était son maître, songea Lev avec un frisson de plaisir- renversant la tête en arrière ; alors, un tentacule vint lui caresser le bout des lèvres, et il l'accueillit dans sa bouche, se mettant à la sucer aussi goulûment que s'il s'était agi d'une queue. Le tentacule se mit à lui baiser la bouche avec autant d'ardeur que la bite qui le fendait en deux ; Lev était au paradis.

Les grognements se muèrent en un son plus aigu, qui étaient à présent proches des gémissements qu'émettait Lev lui-même ; chaque va et vient l'amenait plus proche du plaisir. Sa bite était raide et ses couilles tendues, et la verge qui l'empalait ne cessait de toucher cet endroit si sensible en lui...

« Mmmmh ! » dans un gémissement étouffé, Lev ressentit, pour la seconde fois, une puissante vague de plaisir l'emporter au loin ; alors que le tentacule autour de sa queue se retirait, laissant son nectar dégouliner sur son ventre, un râle rauque échappa à son maître ; son coït se fit alors brutal, et rapide, et Lev compris que la vue de la semence sur son ventre l'excitait ; il gémit alors de plus belle, son orgasme amplifié par les violents va et vient, tandis que de sa queue jaillissait un mélange de semence et d'urine chaude ; jamais son corps n'avait réagi d'une telle façon, mais, loin de s'en soucier, Lev cria de plaisir, se vidant complètement sous les yeux de son maître.

Alors, avec une poussée finale, Lev assista enfin au spectacle de la jouissance de cet être si singulier qu'il avait longtemps admiré. La queue en lui se mis à pulser, et une sensation de chaleur intense et de plénitude remonta dans son ventre ; une deux, trois, quatre pulsation....Les salves de foutre ne semblaient guère s'arrêter, et Lev sentit son ventre dangereusement gonfler ; il voulut supplier à son maître de se retirer, mais le tentacule dans sa bouche libéra, à son tour, un flot de semence salée ; Lev fit de son mieux pour l'avaler, mais il ne put tout consommer ; il sentit qu'il étouffait, brusquement sous la pression du liquide qui emplissait sa bouche, et son ventre était tendu à craquer ; la peur l'envahit, et il se demanda s'il allait vraiment mourir. Son corps se mis à frissonner, puis à violement trembler.

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