Les malheurs de Rémi

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Rémi entrainne sa famille dans les abymes noirs.
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Rémi était accoudé au bar. Une bière en main à tenter d'oublier le mauvais sort qui l'accablait depuis 12 mois. Un an déjà qu'il avait été licencié, ses primes de chômage achevaient et il savait que s'il ne trouvait pas un emploie au plus vite, les prochains mois seraient difficiles avec une femme à la maison et une fille aux études.

À 43 ans cela devenait de plus en plus difficile car les jeunots avaient la cote auprès des compagnies. Sa vie était cousue d'erreurs, la première avait été de mettre enceinte une fille de 16 ans alors qu'il en avait 25. Le détournement de mineur lui pesant au bout du nez, il avait accepté d'épouser Mélissa sous la contrainte de son beau père laissant Mélissa sous l'illusion qu'il s'agissait d'un mariage d'amour.

Être mère à 17 ans affecta grandement Mélissa et leur union connu des moments difficiles au début. Comme le revenu de Rémi était tout de même respectable, elle profita du confort qu'il pouvait lui apporter. Karina ayant commencée l'école, Mélissa entreprit de se refaire une condition physique en s'entrainant au gym régulièrement. Sa détermination porta fruit si bien qu'à 34 ans elle avait acquit un corps à faire bander un curé.

Blonde aux yeux bleus, ses 125 livres se justifiaient par ses 5'3''. Elle volait souvent la vedette à sa fille avec son air gamine quand cette dernière organisait des soirées à la maison, on la prenait souvent pour la grande sœur. Rémi avait un tempérament jaloux et n'appréciait pas les regards qu'on posait sur sa femme. Plusieurs prises de bec en résultèrent, aussi quand lors d'un party de compagnie son patron fit des avances à Mélissa, il fit une scène devant tout le monde.

Le lundi matin quand il entra au bureau, ses effets personnels avaient été mit dans une boite et une prime de congédiement l'attendait. Quand il retourna à la maison et expliqua la situation à Mélissa, une chicane éclata. Elle lui reprocha son engueulade avec son patron non seulement pour sa jalousie mais aussi par son raciste envers Mr. Wilson qui était noir.

Rémi reçu sa sentence le soir même, Mélissa lui refusa le privilège de lui lécher la chatte. Depuis presque un an il n'avait eu aucune pénétration permise. À cause de son fort besoin de sexe, Mélissa lui avait permit de se masturber pendant qu'il lui léchait la chatte. Quand elle avait jouit, elle lui tournait le dos le laissant s'organiser avec son plaisir. Rémi était là à boire, racontant ses déboires et ses doléances envers sa femme au barman quand un colosse assit à ses cotés intervint. Rémi serra les dents quand il vit le géant noir mais du se montrer aimable quand Tim Moore lui fit part d'une possibilité de travail.

Leur échange fut profitable et Rémi eu une entrevue pour le lendemain. Rémi rentra chez lui fier d'annoncer la bonne nouvelle à sa femme. Le soir venu quand il se colla sur sa femme, cette dernière lui fit comprendre qu'il devrait attendre le résultat de la rencontre avant qu'il puisse espérer un changement dans leurs relations.

Le lendemain Rémi se rendit à son rendez-vous comme prévu. Il n'en croyait pas ses yeux quand une jeune fille à peine sortit de l'adolescence vint l'accueillir habillée toute en noir et blanc. Elle portait un mini short noir moulant parfaitement sa chatte et ses fesses par dessus des collants blancs, un top blanc transparent laissait voir un soutient gorge noir en forme de main qui laissait voir une partie de ses seins blancs. Ses cheveux fixés en queue de cheval étaient attachés avec un ruban noir et ses lèvres noircies allaient de pair avec ses souliers à talons hauts noirs.

Elle lui fit signe de prendre place sur la chaise installée à coté de la porte du patron. Bien que la porte soit fermée, Rémi pouvait entendre des lamentations provenant du bureau. « S.V.P. Mr. Moore, j'ai besoin de ce travail - Désolé Francis mais j'ai déjà quelqu'un d'intéressé par ton boulot et au prix que je paye j'exige une obéissance totale et cela ne fait pas partie de tes qualités, Bon maintenant assez les jérémiades, j'ai un rendez-vous. Si tu changes d'attitude tu sais ce que tu as à faire ».

La porte s'ouvrit et Rémi vit sortir un jeune homme tout en larmes suivit du patron. » Francis, tient apporte ça avec toi au cas où tu voudrais revenir un jour » .Rémi regarda le jeune homme s'éloigné avec une boite sous le bras puis entra dans le bureau sous l'invitation de Mr. Moore. « Je vais être bref, j'ai une grosse journée, voici j'ai besoin d'un assistant pour la comptabilité, j'offre $55,000.00 la première année avec un ajustement de $5,000.00 à chaque année plus 3 semaines de vacances, assurances et fond de pension inclus. J'exige un rendement normal mais une obéissance totale, tu as la fin de semaine pour y penser, si tu es intéressé présente toi lundi matin 9heure, ma secrétaire te montrera ton bureau avec le travail à faire ». Mr. Moore lui serra la main et partit.

Rémi était médusé, il n'avait pas la chance de parler et maintenant il devait prendre une décision, il avait hâte d'en discuter avec Mélissa. Quand il parla de l'offre à sa femme, celle-ci s'écria « J'espère que tu vas accepter mon chéri. Nos finances ne permettent pas que tu refuses un tel poste -Oui mais il ne m'a pas dit qu'est-ce qu'il entendait par obéissance absolue -- Peu importe, si tu as envie de retrouver tes droits à ma chatte, c'est un sacrifice que tu devras faire -- Je vais accepter pour te plaire mon amour -- Bonne décision, pour ça je vais t'offrir une petite gâterie ce soir.

Ce soir là Mélissa ouvrit ses cuisses pour son mari. Le pauvre Rémi n'avait pas sentit la chaleur d'une chatte depuis plus d'un an et ce qui devait arriver arriva, deux trois aller retour et il avait éjaculé. « Ah non, espèce d'égoïste, je n'ai même pas eu le temps de jouir --Je m'excuse mais ça faisait si longtemps que je n'ai pas pu me retenir. -- Je vais te pardonner si tu prends bien soin de ma chatte -- Mais! -- Y a pas de mais, fais ce que je te dis sinon ça pourrait prendre un bon bout de temps avant que tu puisses t'en approcher ». Rémi hésita un moment, elle n'avait jamais eu cette exigence et cela le répugnait beaucoup. « Je n'ai pas toute la nuit, je suis fatigué, vite au boulot »

Beurk! Rémi eu un haut le cœur en léchant sa première charge de sperme. « Tu as intérêt à t'y habituer étant donné que c'est la seul façon que tu peux me satisfaire et mets y un peu plus d'ardeur ». Mélissa ne mit pas longtemps avant de sombrer dans un terrible orgasme. «Ce n'est pas juste, vous avez des orgasmes qui dure longtemps alors que nous ça dure à peine 15 secondes -- je sais mon chérie mais il y a toujours moyen de remédier au problème. -- Comment? -- Si tu acceptes de te soumettre à moi, je peux doubler ton temps de jouissance. Je trouve que je suis déjà pas mal soumis. Tu pourrais commencer maintenant. -- Comme tu veux, c'est toi qui vois. »

Rémi était songeur. Sa queue avait reprit de la vigueur suite à la proposition de sa femme. Il n'avait pas grand chose à perdre, déjà que sa femme lui refusait la pénétration. « Que veux- tu dire par me soumettre à toi? - Je serai en charge et tu devras m'obéir en tout temps. » Son érection grandissant Rémi savait qu'il ne pouvait résister devant la perspective de plus de jouissances. « Ok! J'accepte -- Bon mets toi à genoux et demande moi si je veux bien être ta maitresse et prendre tous les moyens qu'il faut pour faire de toi mon soumis. -- S.V.P. maitresse voulez-vous faire de moi votre soumis? - Demandez avec un tel désir, j'accepte.»

Le lundi matin, Mélissa l'obligea à aller travailler avec sa culotte qu'elle avait portée la veille.

Rémi mal à l'aise dans sa culotte de nylon, s'installa à son nouveau bureau. « En passant je m'appelle Julie, je suis la secrétaire de Mr. Moore. Voici les dossiers que tu dois vérifier. Ha oui! J'oubliais, Tim as un penchant pour la famille alors tache de mettre des photos de ta femme et de tes enfants sur ton bureau; si tu en as bien sur, il appréciera. Tim rentra de son voyage le jeudi matin. Un sourire se glissa sur son visage quand il vit Rémi installé prêt de la porte de son bureau. Il alla déposer ses affaires et revint saluer son nouvel employé. Après une courte conversation de politesse Tim prit une des photos dans ses mains.et malicieusement demanda « Ce sont tes filles? Elles sont mignonnes -- non celle que vous avez, c'est ma femme et l'autre c'est ma fille.

Pendant ce temps là, Mélissa profitait de la journée pour magasiner et acquérir tout ce qu'il lui fallait pour son statue de maitresse. Le soir venu quand Rémi rentra du bureau, il du embrasser les pieds de sa maitresse, Mélissa l'obligea à se dévêtir. « J'imagine que tu trouves que ça va un peu vite mais plus vite tu accepteras ton rôle comme tu l'as promit hier plus vite ton plaisir sera augmenté. À partir de maintenant tu vas porter de nouveaux sous-vêtements. -- Maitresse la journée a été difficile pour moi dans votre culotte je ne peux pas mettre ça, ce sont des culottes de femmes et roses en plus. -- Je les ai choisit à ta grandeur tu vas être plus confortable et puis tu n'as rien à dire, tu mets déjà en doute les décisions de ta maitresse, tu seras punis pour ton insolence. -- Pardon maitresse, je ne voulais pas vous offenser. »

Rémi avait hâte au couché, il ne l'avait pas dit à sa femme mais il avait été bandé une bonne partie de la journée et était très excité.

Une semaine avaient passé quand devant les reproches continuelles de Sue Yong, Francis décida de donner les vraies raisons de son renvoi. Sue Yong était furieuse devant les exigences de ce porc qu'était Tim Moore comment avait-il pu penser qu'elle aurait accepté de s'abaisser à baiser avec lui un noir. Le temps fit son œuvre, les deux sans emploie les comptes s'accumulèrent et un matin pendant que Francis était partit, Sue répondit à la porte et vit un huissier lui remettre un avis de saisie.

Dans les coutumes chinoises les femmes font tout pour leur mari, elle ne perdit pas une minute et partit rendre visite à Mr. Moore pour lui dire sa façon de penser. Quand Tim l'aperçu dans le cadre de porte de son bureau, l'irritation se vit sur son visage. « Vous n'êtes pas habillée convenablement pour demander une audience alors fiché le camp d'ici, Julie appelle la sécurité ». Furieuse d'être rabrouée ainsi Sue tourna les talons et rebroussa chemin.

Francis trouva son amie en pleine jonglerie. Leur vie bascula à jamais quand il lui expliqua qu'il n'avait pas pu trouver les fonds nécessaires pour rembourser l'hypothèque. Sue croisa le regard suppliant de Francis et sans qu'ils n'échangent un mot ils abdiquèrent. Sue larme aux yeux regarda Francis monté à l'étage, elle comprit le sacrifice qui lui était demandé quand Francis redescendit avec la boite donné par Mr, Moore. Nerveusement ils ouvrirent la boite, des instructions se trouvaient sur le dessus des vêtements.

Sue sortit les fringues en noires et blancs qu'elle devait porter et lança une culotte en dentelle jaune à Francis. « Il semble que celle-là soit pour toi ».Les deux étaient humiliés mais l'heure des refus était écoulée. Un malaise s'empara de Francis quand il obtint une érection en se glissant dans la culotte. Sue trouva ça étrange mais par amour s'abstint de tout commentaire. Rémi travaillait à son bureau quand Sue et Francis demanda à voir Mr. Moore.

Il resta bouche bée, devant les paroles que prononça son patron. « Francis assit toi là pendant que je m'entretiens avec ta femme. Quand la porte se referma tous purent entendre le clic-clic d'une barrure Sue figea lorsqu'elle réalisa qu'elle se trouvait enfermé avec cet ignoble individu. «

Tu fais un gros sacrifice en venant me rencontrer, mais quand j'en aurai fini avec toi tu connaîtras ce qu'est le plaisir et tu me supplieras pour être ma chienne alors ton sacrifice deviendra celui de Francis mais lui aussi ne le sait pas encore. -- Vous êtes très prétentieux monsieur, je suis déjà satisfaite avec Francis et ce n'est pas votre petit bout de viande noire qui va y changer grand chose. -- Quand tu sortiras d'ici, j'aurai fait de toi ma nouvelle chienne. »

Tim l'empoigna par sa queue de cheval, la pencha sur le bureau et après lui avoir abaissé son short et ses collants lui administra une fessée dans elle garderait le souvenir longtemps. SLAP - SLAP - SLAP Nooooooonnnnnnnnnnnnnnnnn SLAP - SLAP -- SLAP- SLAP - SLAP -- SLAP Ouuuaille!

Rémi était mal à l'aise, personne ne pouvait ignorer les raisons de ses bruits. De son coté Francis semblait inquiet pour son amie. « Tu vas maintenant avoir ta récompense salope mais la prochaine fois que tu me fais languir de cette façon tu le regretteras amèrement. -- Oui monsieur, ça n'arrivera plus ». Tim regardait le cul rougit, il était fier de son travail, il coucha Sue sur le bureau et entreprit la préparation de sa chatte.

Honteuse devant la réaction de son corps, Sue du malgré elle, reconnaître l'expertise de la langue de Tim. Quand il appuya un doigt sur son anus, s'en était fait des réticences. « Ooooooooohhhhhhh Hoooooouuuuuuuuuuiiiiiiiiiii » quand elle fut à point Tim la ramona d'un seul coup avec son pieu de 11 pouces « Hiiiiiiiiiiieeeeeeeeeeeeeee huuuuuuummmmmmm ooooooouuuuuuuuuiiiiiiiiiii au fooooooonnnnnnnd » Elle fut baisée ainsi pendant plus de 45 minutes pour en fin trouver la béatitude. « Jeeeee viiiiiiiiiiiiiiiiieeeeeeennns Oh Ooouuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiii Eeeeeeeeecoooooooooorrrrrreeee Haaaaaaaaaaaaaaaaaaa. Tim cessa sa pénétration. « Nooooonnnnnn continuez, je veux venir encore -- Alors êtes vous prêtes à devenir ma chienne soumise » Les besoins de Sue étaient criants, elle ressassait les paroles de Tim (Quand tu sortiras d'ici, j'aurai fait de toi ma nouvelle chienne).

« Monsieur s.v.p. baisez moi encore avec votre grosse queue, faites de moi votre chienne soumise, je serai obéissante -- Voilà qui est raisonnable, demain tu viendras de toi même et je te défoncerai le cul comme il ne l'a jamais été mais avant tu vas m'aider à humilier la mauviette qu'est ton mari et faire en sorte qu'il se soumettre lui aussi.- Oui maître, »

La porte s'ouvrit et Rémi vit Sue les collants déchirés, les seins nus et le short aux genoux venir appeler Francis qui en se levant eu du mal à dissimuler son érection. Sue vit une occasion de plaire à son maître. « Retire ton pantalon et suis moi, ». La porte se referma derrière le couple et Rémi n'en croyait pas ses yeux. » Approche lavette, regarde Sue il est tout excité de t'avoir entendu gueuler comme une salope. Ton amie a été très coopérative et m'a donné de bons arguments pour te reprendre à mon service, je dis bien à mon service alors il reste à faire un peu de nettoyage de ta part pour rendre ton retour officiel. »

Le cœur de Francis s'arrêta aux dernières paroles de Tim, Sue : « Approche mon chéri, viens te prosterner devant notre maître » Sue mit ses deux mains sur les épaules de Francis et d'une légère pression lui fit fléchir les genoux. Francis n'avait jamais vu un membre de cette taille et encore moins d'aussi proche. Tout gluant de sperme et de cyprine Sue guida la queue entre les lèvres de Francis. « Imagine toi un bâtonnet au chocolat gorgé de crème à l'intérieur que tu as hâte de goûter ». Heurp! Francis faillit vomir mais après quelques minutes, il se montra docile et vaincu, il suça sa première bite.

Sue avait glissé sa main dans la culotte de Francis pour l'encourager un peu et emporté par le plaisir qui montait en lui, ce dernier prenait goût à sa tache. « Tu fais un si bon travail lopette que tu as gagné le droit de mener à terme ce que tu as commencé. »

Sue sentit que c'est mots avaient provoqué une contraction du petit zizi de Francis, serrant sa main sur le gros clitoris de son ami elle dit « Maître, il est prêt! -- Bien, ne le faisant pas attendre trop longtemps. » Francis sentit les premiers balancements de hanches de Tim. Sue serra le pénis de Francis, ses joues se creusaient sous les efforts qu'il faisait pour sucer son maître. Tim le gratifia d'une décharge incroyable mais dans son incapacité à tout avaler, son visage écopa. Au même instant Sue l'aida à se libérer dans sa belle culotte de nylon.

Rémi fut horrifié quand il vit sortir Sue à moitié nu et Francis dans une culotte de femme et le visage m'acculé de sperme. « Devant un tel dévouement, je te reprends à mon service. Je vais avoir besoin de quelqu'un pour prendre le poste de directeur pendant que je vais aller ouvrir une autre compagnie à New-York et à un salaire de plus $100,000.00 par année, je préfère avoir plus d'un choix comme candidat pour me remplacer. À l'unisson.ils s'écrièrent « Merci Maître! » et ils quittèrent le bureau.

Rémi fut si bouleversé par les évènements qu'il ne pu en parler à Mélissa. Le lendemain quand Sue se présenta au bureau avec son accoutrement noir et blanc, il fut très intrigué mais Tim dénoua l'énigme rapidement. « Bonjour Sue, que me vaut le plaisir de votre venu? -- Monsieur je suis venu vous offrir mes remerciements pour vous avoir montré si magnanime envers mon mari. -- Tout le plaisir fut pour moi, je trouve votre tenue parfaite, passé dans mon bureau, nous serons plus à l'aise pour discuter.»

La porte se referma et de nouveau un clic-clic se fit entendre. De sa position près de la porte, Rémi ne manquait rien de la conversation. « Approche salope et déshabilles toi! Tu es venu pour te faire baiser et bien tu vas être servit mais avant, mets toi à genoux montre moi que tu mérites que je te baise comme la putain que tu es -- Oui maître, » Rémi travaillait sous une symphonie de Hoooooo! de Haaaaaaaaaaaaaaa! de Huuuuuummm! d'Eeeeencooorrrre et de Ouuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!

Rémi était chagriné pour le pauvre Francis, il avait lu sur internet que lorsqu'une femme allait noir une fois, elle devient une chienne pour noir et ne peut plus revenir en arrière. Il décida de se mêler de ses affaires, après tout maintenant ils étaient en compétition. Rémi devint irrité quand Tim venant souvent jeter un coup d'œil à son travail, en profitait pour prendre la photo de sa femme et y glisser un doigt en disant « Très jolie ».Un jour que Tim caressait la photo de Mélissa et lui dit « Je vais avoir à prendre bientôt une décision pour mon remplaçant et je m'aperçois que je ne connais pas encore ta famille, tu devrais remédier à la situation. Je sais que tu as une belle piscine alors une baignade serait l'idéale pour faire connaissance. »

Rémi ne voulait aucunement le voir dans l'entourage de sa famille mais le poste était invitant et à contrecœur, les mots sortirent de sa bouche. « Bien monsieur, je vais en parler à ma femme -- Lui en parler c'est bien mais la persuader d'accepter serait un plus pour toi. » Le soir même il en discuta avec elle et comme elle n'était pas au courant des agissements de Mr. Moore elle trouva l'idée bonne étant donné les conditions de travail que son mari avait obtenu grâce à cet homme.

La semaine fut pénible pour Rémi, la décision avait été prise. Une baignade suivit d'un souper aurait lieu le samedi suivant. Le vendredi, Rémi dit bonjour à Tim en lui souhaitant à demain. Julie lui offrit son plus beau sourire et lui souhaita une bonne fin de semaine.

Depuis une bonne heure tous pataugeaient dans la piscine, Mélissa était mal à l'aise dans son costume de bain un peu ringard. Karina quand à elle portait celui que sa mère lui avait acheté. Les deux étaient gênées en voyant Samantha la femme de Tim déambuler dans son minuscule bikini laissant voir ses formes féminines. Tim n'était pas en reste en portant un petit Speedo moulant outrageusement son organe. Mélissa et l'innocente Karina eurent du mal à éviter que leurs regards ne s'attardent sur l'énorme déformation. Tim surveillait leurs réactions car il avait malicieusement laissé tomber un comprimé d'ecstasy dans chacun de leurs breuvages. La pauvre Karina ne cessa de serrer les cuisses cherchant à entretenir les sensations agréables qui émanaient de sa chatte, elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, quand ses yeux se posaient sur la grosse déformation de Tim, sa chatte se contractait et mouillait son costume de bain. Profondément chrétienne, elle n'avait jamais apporté beaucoup d'importance aux sensations qui émanaient de son sexe avant aujourd'hui.

MaitrePol
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