Les malheurs de Clotilde Ch. 27: FX

Informations sur Récit
Attention texte violent.
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Partie 27 de la série de 27 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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A LIRE ABSOLUMENT AVANT DE LIRE L'HISTOIRE:

Pour éviter les commentaires de personnes ne lisant pas ou ne comprenant pas mon avertissement, j'en remets une couche: Si toi pas aimer viol ou l'ultra-violence, toi pas lire. Si toi lire, tant pis c'est ton choix, assume et viens pas pleurer.

Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Pour finir je ne fais aucunement l'apologie de la violence, ni d'ailleurs l'apologie de quoique ce soit. Le viol et tout ce qui est décrit dans ce texte est sévèrement puni dans toutes les démocraties de ce monde, ce qui est une très bonne chose, que j'approuve et soutien complètement. J'espère qu'un jour chaque criminel sexuel soit jugé et condamné comme il le mérite. Ce n'est même pas le résultat d'un fantasme, juste une histoire que j'ai eus envie de raconter. En essayant de la rendre le plus proche possible de ce qui est malheureusement une réalité. Je dirais même que ce que font vivre les mafias albanaises ou tchétchène par exemple sont souvent bien pire, avant que les malheureuses arrivent en Europe de l'Ouest. D'ailleurs, l'afflux de prostituées ukrainienne sur le sol des pays d'Europe accueillant des réfugiées, n'est à priori pas toujours volontaire. Elles ne se sont pas dit: super, Poutine nous attaque, allons nous prostituer à Paris, Rome, Londres ou Berlin. Mais cela la télé n'en parle pas, alors tout le monde s'en moque... Comparée à la réalité, mon texte est presque doux, comparé à la violence, la noirceur et la dépravation de notre monde.

Assurez vous donc d'aimer ce type d'histoire, d'avoir le cœur bien accrocher. C'est violent, âpre, dérangeant, très noir. Mais surtout il n'y a aucun espoir pour les protagonistes, ni aucune douceur. Ce chapitre et les suivants seront dans le même style et du même type que les précédents. Si cela vous a gêné, ne lisez pas ce chapitre. Tous les personnages de cette histoire sont majeurs.

Miroslav se positionne pour voir aussi bien Gisèle que Nadine, mais surtout pour que les deux le voient bien :

- Bon, voici les règles. Vous allez vous faire violer toutes les deux. Ça je pense que c'est déjà clair pour vous. Mais nous, et les gars après, on aime les putains obéissantes quand on les défoncent de nos bites. Alors voici la règle, chaque fois que l'une dit non, ou ne met pas assez de cœur à l'ouvrage, on punit l'autre. Ce sera plus ou moins dur. De quelques coups de fouets à l'ablation d'une partie de votre anatomie : seins, doigts, ongles... Cela ce sera si vous mordez un homme ou un autre truc du genre. Vous allez nous rapporter un peu de fric, alors on vous préfère entière et en vie. Mais ce n'est pas obligatoire puisque la vraie cible est votre amie FX. Sachez juste que vous ne seriez pas les premières chiennes que j'assassine.

L'homme laisse l'information bien être enregistrée par le cerveau des deux salopes.

- Donc n'oubliez pas, si l'une déconne, c'est l'autre qui morfle. Maintenant, moi et mes amis, allons donc vous violer jusque à satiété. Par tout vos trous, c'est à dire bouche, cul, chatte. Ensuite comme je vous l'ai dis, vous irez faire connaissance avec les gentils messieurs du cartel.

Les deux pétasses couinent encore derrière leurs bâillon.

- Reste à savoir le temps que vous resterez avec eux. C'est donc Gisèle qui donnera ce temps pour vous deux. C'est simple, je vais me mettre au milieu de la pièce. Un de mes gars va te détacher. Ce sera le top départ du chronomètre. Il faudra que tu te mettes nue d'une manière sexy, un vraie strip-tease de salope, en dansant bien et tout... Si ce n'est pas sexy, tu arrêtes, tu remets ce que tu as enlevée, et on recommence, le tout sans arrêter le chrono.

Gisèle en larmes, le regarde hallucinée.

- Ensuite tu devras venir vers moi en marchant à quatre pattes. Une fois devant moi, tu lèche le dessus de mes soulier. Puis tu me demandes l'autorisation de me sucer. Choisis les mots, mais je veux que cela sonne vrai, que l'on devine plus qu'une envie, carrément un besoin d'avoir ma bite dans ta bouche. Tu devras me faire une vraie et bonne pipe ensuite, sans les mains.

La brésilienne est de plus en plus horrifiée aux mots de l'homme.

- Je veux au moins trente secondes de gorge profonde. Je veux une pipe baveuse, une vraie pipe avec ta langue. Je veux que tu me regardes tout le temps dans les yeux. Je veux que tu me fasse jouir dans ta bouche, mais tu n'avaleras pas. Tu ouvriras ta gueule de chienne, me montrera ma semence, là tu pourras avaler le tout. Tu me sucera un peu pour nettoyer ma bite de tout sperme et de toute ta bave. Ensuite tu iras déshabillée Nadine. Tu la mettras totalement nue, sans que je ne la fasse détacher. Débrouille toi comme tu peux. Une fois nue, tu te caresse et tu la lèche. Tu auras quinze minutes pour jouir et la faire jouir. Mais de vrais orgasmes, pas des simulés. On va vous mettre un petit truc sur vous, qui bipera à l'orgasme. Si c'est simulé, il ne bip pas.

L'homme sourit encore, le meilleur arrive.

- J'espère que tu te rappelle de tout. Parce que à chaque erreur, on recommence dès le début. C'est-à-dire que par exemple, si au bout de quinze minutes, une seule des deux n'a pas eus de vrais orgasmes, on vous rhabille, Gisèle, tu recommence alors au strip-tease et on rhabille Nadine. Tu devras de nouveau te déshabiller, puis me sucer et ainsi de suite.

Miroslav jubile, c'est la cerise sur le gâteau.

- Pour le temps, c'est simple. On chronomètre donc le temps que tu mets, jusque à ce que vous ayez un orgasme chacune en moins de quinze minutes. Une seconde égale une heure avec les hommes du cartel. On rajoute un jour pour chaque minute échue. Puis une semaine pour chaque heure échue, un mois pour chaque dizaine d'heures échue, et un an pour chaque journée échue. Le tout se cumulant. Autre exemple, chaque chiffre donne le temps, sauf pour les secondes. Par exemple, une heure c'est donc une semaine, mais deux heures, c'est deux semaines pour la deuxième heures, soit trois semaine en tout. Puis trois heures pour la troisième heures, soit donc six semaines en plus. Dix heures, ce n'est donc pas dix semaines, mais dix semaines, plus neuf, plus huit et ainsi de suite soit cinquante-cinq semaines, plus un mois, si tu mets deux heures, ce sera pas un mois de plus, mais trois. Pareil pour les années si tu mets plus d'un jour.

Miroslav fait un calcul rapide.

- Par exemple, si tu mets une heure pour arriver à tout finir, tu auras donc 3600 heures, puisque il y a 3600 secondes dans une heure. Ce qui fait cent cinquante jours. Plus soixante jours, puisque il y a soixante minutes dans une heure. Plus une semaine pour l'heure échue. Ce qui fait donc 217 jours. Soit un peu plus de sept mois. Donc tu as intérêt à faire le plus vite possible. En sachant que les hommes du cartel vous baiseront vingt heures par jour. Vous mangerez et boirez avec une bite en vous. Vous n'aurez que quatre heures pour dormir. Temps de sommeil qui sera, bien entendu, décompté du temps que vous avez à passer avec ceux du cartel.

Miroslav se met au milieu de la pièce. Il fait un signe, un de ses hommes libère alors Gisèle de son bâillon et de ses entraves. Un chronomètre réglée sur zéro apparaît sur l'écran géant, sur lequel Nadine à vu ce qu'elles ont vécus lors du trajet après leurs enlèvement.

- Top départ!

Le chronomètre commence alors à égrener les secondes, La belle brésilienne qui pleure fort, reste quelques secondes couchée.

- Prends tout ton temps, ce n'est pas moi qui vais prendre les bites des gars du cartel. Sache qu'ils ne sont pas limités en nombre, ils peuvent passer tout le temps à six si ils le veulent.

Gisèle doit se concentrer pour se lever, les effets de la drogue font qu'elle retombe trois fois au sol. Il lui faut sept minutes pour arriver à tenir sur ses jambes. Elle regarde Miroslav en pleurant :

- Pitié... laissez nous...

- Tu rêve. Mais continue à perdre du temps, ta pute et toi le regretterez plus tard.

- Je vous en supplie...

- Tu peux m'implorer autant que tu le veux, cela ne sers à rien, sauf à rajouter du temps au chronomètre.

Il fait un signe de tête sur le côté, Gisèle regarde, elle découvre enfin le chronomètre... Déjà neuf minutes et dix-sept secondes. Dix-huit... dix-neuf... vingt...

Miroslav fait un signe, de la musique retentit. La belle brésilienne essaie de se déshabiller. Elle mettre trois heures avant que ce soit sexy. Elle en mettra beaucoup plus pour faire jouir Miroslav dans sa bouche, oubliant d'avaler sa semence après la lui avoir montrer. Au bout de trois autres ratages, Miroslav se fait remplacer pour la pipe de Gisèle. La malheureuse croit devenir folle tant elle a du mal à y arriver. Elle n'y arrivera complètement qu'au quinzième hommes. Puis il faudra plus de cinquante essais pour que les deux jouissent en moins de quinze minutes. Quand enfin, c'est réussit, il n'y a plus que deux hommes pour les surveiller. L'un d'eux stoppe alors le chronomètre, tandis que l'autre va réveiller leurs chef.

Quand ce dernier arrive, il sourit en voyant le chronomètre. Il siffle dans ses dents. Il prend une calculette pour faire le calcul.

- Et ben, dix-neuf ans, neuf mois et douze heures. J'espère que vous les tiendrez en vie. Une dernière chose pour finir, aucune contraception pour vous. Vous allez pondre pas mal de môme jusque à votre ménopause. Vous découvrirez aussi à quel point les mexicains adorent les gringas enceinte! Mais trêve de bavardage, place a la fête!!!

Miroslav ne leurs dis pas que tout cela est un jeu dans le but de les briser. Elles ne feront que quelques semaines avec les gars du cartel. L'organisation à d'autres projets pour elles, mais pas forcement plus facile à vivre.

- Chérie... chérie... réveille toi...

FX ouvre les yeux. Pendant quelques secondes, elle se demande ce qu'elle fait couchée sur le sol de son salon. Elle voit la tête très inquiète de Tom au-dessus d'elle. Puis tout lui revient.

- Je vais bien mon amour.

Il l'aide à se lever, elle est tout sourire, aux anges. Quand elle est arrivée chez elle, quelques minutes plus tôt, tout était noir. Rien d'anormal. Mais quand elle a allumée la lumière, elle a vu Tom, en costume, un genoux à terre. Il lui a fait sa demande en mariage. Elle s'est empressée d'accepter, puis elle s'est évanouit. De joie.

Tom la fait s'asseoir sur le canapé du salon.

- On se marie quand? J'ai tellement hâte!

- Dans un mois et demi. Cela te va?

- Oui, oui tout me va mon amour.

- Tu veux un truc de princesse, avec les gens avec qui tu travailles, ou un truc plus intime?

- Je n'ai plus d'amis, je ne veux plus voir Gisèle et Nadine, même pour le plus beau jour de ma vie. Mes parents étaient ma seul famille, hélas, ils sont décédés. Je n'ai pas d'accroche particulière au travail, même si j'aime mon équipe. Donc c'est toi qui vois.

- Un truc intime alors. Ma mère, mon père, mes frères, mon meilleur ami et basta. Une dizaine de personnes en tout. Cela me suffit, même personne tant que tu es là.

- C'est si gentil mon cœur.

FX réfléchit quelques secondes :

- Je vais m'occuper des réservations pour un bon restaurant, trouver un photographe et tout le bazar...

- Tu n'as besoin de ne rien faire.

- Comment ça?

- La mairie, le restaurant, tout est réservé. Pour les faire-part, la robe de mariée, j'ai ouvert des comptes chez des commerçants spécialisés, tu n'auras qu'a y aller et choisir.

- Mais, tu ne va pas tout payer quand même!

- Oh que si mon cœur. Je t'aime tellement, tout est prêt. J'étais tellement certain que tu dirais oui, que je n'ai pas hésité à m'occuper de tout avant que tu accepte.

- Je vois. J'adore la confiance que tu as en toi.

- C'est surtout en toi que j'ai confiance. Je sais que tu m'aimes au moins autant que je ne t'aimes. Donc le oui, était la seule option possible.

- Alors je m'occupe au moins du voyage de noces!

- Un mois au Mexique, dans le meilleur hôtel du pays. On décolle à sept heures, le lendemain du mariage. Il y a tout ce dont tu rêves, et même plus. Un mois loin de tout. Que nous deux.

- A faire l'amour à longueur de journée... enfin.

- J'ai vraiment hâte moi aussi. Mais tu vois, j'ai tenu paroles, pas de sexe avant le mariage.

- Sauf les pipes... d'ailleurs, une petite pour fêter cela, ça te dis?

- Tu sais que je ne peux pas dire non à cela quand tu le proposes!

FX fit alors la quatrième pipe de leurs relation à Tom. Si la magnifique brune n'ignore pas que son mariage va être le début de sa nouvelle vie, ce qu'elle ignore c'est ce que ce révélera être cette nouvelle vie. Un enfer vraiment très loin du paradis qu'elle croit enfin atteindre.

Quelques semaines plus tôt :

Le temps qu'elles vont passer avec les hommes du cartel les horrifient, mais elles n'ont pas le temps de s'apitoyer sur elle-même. Nadine, nue, voit avec épouvante Miroslav jeter Gisèle au sol. Elle se retrouve à plat ventre. Elle tente de se débattre, mais un coup de poings dans les reins la calme. Il lui menotte les poignets dans le dos. Par les cheveux, il la fait se mettre à genoux. Puis il la plie en deux. Ses seins s'écrasent sur ses genoux, son visage sur le sol. Elle a le cul en quinconce, relevé, offrant son sexe et son anus à la vue de tous. Avec horreur, tandis qu'il maintient Gisèle d'une main, Nadine voit Miroslav baisser sa braguette, sortir son sexe, long et épais. Il bande dur. Il n'y a aucun doute, il va violer Gisèle. Pour la seconde fois, sa petite amie va recevoir un membre d'homme non désiré en elle. Ses deux seules expériences hétérosexuelle. Celle-là, par contre, sera la première d'une longue série.

Gisèle tente de se débattre quand elle sent un pénis se positionner contre elle. C'est impossible, on ne peut pas la violer, pas encore. Alors elle commence à mendier la clémence de son agresseur :

- Pitié... pitié...

Mais à part un rire, il ne lui répond pas. Puis avec épouvante, elle sent le mâle commencer à forcer contre son anus. Elle est vierge de là, les choses en sortent, rien ne doit y entrer, ce n'est pas fait pour cela!

- Pas par là! Pitié! Pas par là!

Aux hurlements de sa petite amie, Nadine comprend quel orifice ce monstre va profaner. Elle n'a pas le temps de dire quoique ce soit, on la bâillonne. Pas avec du tissu, un rond de fer qui lui maintient la bouche grande ouverte. On sangle ce rond derrière sa tête. Nadine doit maintenant garder la bouche ouverte à cause de ce truc. Elle n'a jamais entendu parler des Ball gags, la jeune femme ne pourra pas parler, mais on pourra lui enfoncer toutes les bites que l'on souhaite dans la cavité buccale.

Miroslav force, il a enculer des centaines de putains récalcitrante et vierge. Il sait comment faire. Le hurlement de Gisèle est épouvantable, faisant frissonner Nadine par son horreur. L'homme entre doucement dans le corps de la belle brésilienne. Pas par gentillesse, au contraire, si tu y va fort, en quelques secondes, la bite est en entier dans le trou-du-cul de la pute. Là, il fait durer, étirer le temps, mais aussi la douleur.

Nadine pleure fort devant le spectacle, elle entend à peine le « Ne t'en fais pas, bientôt c'est ton tour! Miroslav peut enfiler, à la chaîne, des salopes comme toi et ta pute! ». Nadine voit le sexe du violeur de sa petite amie se teinter de rouge, alors qu'il n'est enfoncé que de moitié. Il lui a éclaté le trou-du-cul. Miroslav le voit aussi, il s'en moque. Plus ça saigne, plus les dégâts sont grands, certes. Mais la pute ne risque rien, il y a des médecins sur place, capable de soigner n'importe quelle blessure grave. Là justement, en habitué des viols anaux, l'homme sait que ce n'est pas trop grave. Bien déchiré, mais c'est tout. Ce sera extrêmement douloureux pour elle, certes, mais en aucune façon sa vie n'est en danger. Alors, il continue sa pénétration atroce. Nadine a essayée de détourner le regard, mais une poigne dure la saisit par les cheveux, l'obligeant à continuer à regarder, surtout qu'une voix méchante lui ordonne :

- Si tu fermes les yeux, je te les crèvent!

Quand il est enfoncé en entier dans le corps de Gisèle, il se met à la défoncer comme un soudard. La faisant hurler et hurler. Il sait qu'il faudra quatre ou cinq enculage, avant que la putain ne soit analement violer en grognant simplement. C'est la moyenne, parfois c'est seulement trois, parfois il en faut sept. Il apprécie le fourreau étroit, qui lui masse bien la bite. Elle n'a pas mentit, elle était bien vierge de cet orifice.

Miroslav ne se retient pas, il sait que d'une, il pourra avoir cette chienne à l'envie, par n'importe quel trou. De deux, il y a la rousse à dépuceler vaginalement et analement. Et celle-là, avec ses gros seins, lui plaît plus que la brésilienne qu'il est en train d'enculer. Il sait jauger ses victimes, il sait que les deux putes, après que lui et ses hommes se soient vidés avec elles, signeront les papiers. Pas la peine de se prendre la tête, juste profiter de leurs corps. Ensuite elles passeront quelques semaines avec les gars du cartel. Quand il viendra les récupérer, elles accepteront tout ses ordres avec empressement, tout plutôt que de retourner avec eux, tout ces hommes sont des sadiques, des sauvages qui aiment faire mal à la chienne qu'ils violent. Miroslav en est certain, il le sait, c'est chaque fois la même chose.

Nadine voit le viol sodomite sauvage de sa petite amie devenir de plus en plus violent. Les hurlements de Gisèle s'accentue encore, son beau visage est déformé par la souffrance. Nadine sent les chaînes qui la maintiennent debout, se baisser. Elle se retrouve à genoux, bras toujours relevés. Mais la douleur diminue, vu que ses épaules n'ont plus tout le poids de son corps à tenir.

Nadine pleure en voyant le sort de sa petite amie. L'homme, ce Miroslav, l'encule vraiment fort. Elle imagine sans mal, la douleur atroce que Gisèle doit subir, les dégâts qu'il doit faire. Surtout qu'il la force à grands coups de reins, y mettant toute sa puissance, sa méchanceté dans ce qu'il lui fait subir. Sa pauvre petite amie n'est plus qu'une poupée pour ce monstre. Nadine le tuerait volontiers, mais dans sa position, agenouillée, attachée, elle ne peut rien y faire, à part regarder.

Miroslav accélère encore son viol, allant plus vite, violant plus fort. Jusque à ce qu'il se fiche en entier dans les entrailles de la putain, son ventre contre les fesses magnifique de la brésilienne. Aux grognements de douleur de Gisèle, à ceux de bonheur du mâle, Nadine comprend qu'il se vide en elle. Avec épouvante, quand il se retire, elle voit l'anus massacré de sa chérie, resté grand ouvert, sanguinolent, suintant de sperme. Il n'a pas le temps de se refermer, que déjà un des deux hommes qui a dépucelé Gisèle, en la violant des années plus tôt, prend sa place. Enculant la jeune femme immédiatement.