Les malheurs de Clotilde Ch. 23

Informations sur Récit
Attention texte violent.
4.8k mots
4.7
6.6k
0

Partie 23 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

A LIRE ABSOLUMENT AVANT DE LIRE L'HISTOIRE:

Pour éviter les commentaires de personnes ne lisant pas ou ne comprenant pas mon avertissement, j'en remets une couche: Si toi pas aimer viol ou l'ultra-violence, toi pas lire. Si toi lire, tant pis c'est ton choix, assume et viens pas pleurer comme Assas 78.

Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Pour finir je ne fais aucunement l'apologie de la violence, ni d'ailleurs l'apologie de quoique ce soit. Le viol et tout ce qui est décrit dans ce texte est sévèrement puni dans toutes les démocraties de ce monde, ce qui est une très bonne chose, que j'approuve et soutien complètement. Ce n'est même pas le résultat d'un fantasme, juste une histoire que j'ai eus envie de raconter. En essayant de la rendre le plus proche possible de ce qui est malheureusement une réalité. Je dirais même que ce que font vivre les mafias albanaises ou tchétchène par exemple sont souvent bien pire, avant que les malheureuses arrivent en Europe de l'Ouest. D'ailleurs, l'afflux de prostituées ukrainienne sur le sol des pays d'Europe accueillant des réfugiées, n'est à priori pas toujours volontaire. Elles ne se sont pas dit: super, Poutine nous attaque, allons nous prostituer à Paris, Rome, Londres ou Berlin. Mais cela la télé n'en parle pas, alors tout le monde s'en moque... Comparée à la réalité, mon texte est presque doux, comparé à la violence, la noirceur et la dépravation de notre monde.

Assurez vous donc d'aimer ce type d'histoire, d'avoir le cœur bien accrocher. C'est violent, âpre, dérangeant, très noir. Mais surtout il n'y a aucun espoir pour les protagonistes, ni aucune douceur. Ce chapitre et les suivants seront dans le même style et du même type que les précédents. Si cela vous a gêné, ne lisez pas ce chapitre. Tous les personnages de cette histoire sont majeurs.

Clotilde : Victime principale de cette histoire. Trente-deux ans. Blonde aux yeux verts, elle a de gros seins : 80 bonnet E. Mince, avec une chute de reins très prononcés, mettant en valeur un petit cul bombé, en forme de cœur, aux fesses fermes.

Ninon: Vingt-trois ans. Blonde aux yeux bleus. Un vrai canon aux gros seins et au cul d'enfer. Ninon à presque le même corps que Clotilde.

Emma : Dix-huit ans. Blonde aux yeux verts. Elle est le sosie de Clotilde aussi bien de visage que de corps, mais avec quinze ans de moins. Ainsi que des seins aussi gros, un cul aussi beau, mais le tout avec la fermeté de sa jeunesse.

Géraldine : Rousse aux yeux marrons, vingt-quatre ans. Seins 90 B, un joli corps. C'est une belle infirmière qui s'occupe de Clotilde à l'hôpital.

Greg et Meyer : Collègues de travail de Clotilde. C'est eux qui la viole et en font leurs esclave en premier.

Jérôme : Ami de Greg et tourmenteur de Clotilde.

L'américain : Chirurgien travaillant pour une mystérieuse organisation. C'est lui qui s'occupe de Clotilde pour la remettre en état.

Pierre : Frère de Clotilde, qui l'a agressée sexuellement quand Greg la lui a offert.

Jeff : Mari de Clotilde et père d'Emma. Il viole et dépucelle sa fille.

Boris : Directeur d'un hôtel de passe, appartenant à la mystérieuse organisation.

Henri met l'image en pause.

- Alors, Erwan, vous en pensez quoi?

- Que j'ai perdu.

- En affaires, tant que rien n'est signé, rien n'est jamais perdu ou gagné. C'est vrai à votre niveau comme au mien.

- Là, à moins que je ne sois son style et qu'il accepte une fellation de ma part, je ne vois pas ce que je peux faire.

- C'est là que j'entre en jeux. Moi et l'organisation que je représente.

- Vous pouvez y faire quelque chose?

- Beaucoup plus que vous ne le pensez. Regardez Clotilde et Emma, vers laquelle des deux va votre préférence?

- Ma préférence?

- Laquelle vous fait le plus d'effet. Vers laquelle iriez vous pour une relation intime?

- Je ne vois pas ce que cela vient faire ici...

- Vous verrez rapidement. Répondez.

- Les deux sont magnifique, physiquement parfaite. Le choix est dur.

L'homme ne sait pas quoi répondre devant ses deux belles jeunes femmes, immobile, au garde-à-vous.

- J'ai fais enquêter sur vous. Je sais que vous aimez les belles jeunes femmes. Que vous avez eus plusieurs relations extraconjugales. Je comprends que même les deux en même temps vous irez très bien. Vous avez raison, pourquoi faire un choix!

Erwan est étonné, comme cet homme peut-il en savoir autant, alors que même son épouse ne se doute de rien... Henri claque des doigts. Aussitôt Emma et Clotilde se mettent à branlent. Un sourire apparaît sur leurs visage. Elle se dirige vers Erwan. Clotilde s'agenouille à côté de sa jambe droite, Emma de la gauche. Elles entreprennent de défaire son pantalon. Erwan met la main sur sa braguette.

- Laissez vous faire mon cher Erwan, vous allez adorer. Même si elle ne vous font pas le spectacle complet.

Erwan retire sa main, sa braguette est ouverte, son pantalon et son caleçon sont tirés, il soulève légèrement ses reins pour les aider à retirer le tout. Il voit Stéphanie, la fille de Henri s'agenouiller entre les cuisses de son père, ouvrir sa braguette, le sucer. Cela ne le choque pas, ni ne le gêne, tant il est occuper par les deux canons à ses pieds.

Elles lui font écarter les cuisses largement, se mettent entre elles. Dans une chorégraphie maintes fois exécutée, en est persuadé Erwan, tant elle est parfaite, Clotilde se met à caresser son gland de sa langue, tandis que plus bas, Emma commence à lui suçoter les testicules. En face Stéphanie fait une gorge profonde à son propre père.

Erwan voit Clotilde commencer à le sucer, tandis qu'Emma continue à lui suçoter les couilles. Il est électriser quand il sent la langue d'Emma lui lécher aussi l'anus. Il entend Clotilde bâillonner quand elle lui fait une gorge profonde. Il a l'impression qu'elle n'aime pas cela, mais qu'elle le fait quand même. Trop à son plaisir, il n'y prête aucune attention, s'en foutant même. Clotilde est extrêmement douée pour sucer une bite, pour faire des gorges profondes. Une experte. Dix minutes plus tard, Erwan se rend compte que Emma est aussi douée, quand cette dernière le gorge profondément, tandis que Clotilde aspire ses testicules et lèche son anus.

C'est dans la bouche de Emma que Erwan éjacule. Mais là, un spectacle de fou s'offre à lui. La jeune femme garde la semence de l'homme dans sa bouche. Puis roule une pelle à sa mère. Son sperme se mélange dans la bouche des deux filles, avant que les deux n'avalent sa semence. Une fois tout bien avalé, les deux femmes remettent le pantalon et le caleçon de l'homme. Puis elles retournent à leurs place initiale. Comme si rien ne vient de se passer. De la bave autour des lèvres, elles se remettent au garde-à-vous, tête baissée, yeux sur le sol.

- C'était quoi ça?

- Ce sont ce que l'on appelle dans le milieu des affaires, des putains d'entreprises. Je vous explique cela après. Pour l'instant revenons en à nos moutons. C'est elles deux qui vont s'occuper d'Hermann. Plus belle, plus sexy et plus salope que Amélia. Vous allez reprendre votre avantage et le garder.

- Elles vont coucher avec lui?

- Bien entendu, c'est leurs rôles. Donner du plaisir pour faire pencher la balance. On y viendra plus tard comme je viens de vous le dire. De toutes les façons, nous gagnons le contrat. Même sans elles, mais c'est plus drôle avec.

- Comment cela?

- J'y viens. Si dans un premier temps, nous parlions d'abord de vous. J'ai une proposition à vous faire. Comme je vous l'ais dis, mon intérêt serait d'attendre votre faillite, et de vous racheter pour dix pour-cent de ce que je vais vous proposez. Je dirais que je vous offre cinq millions pour soixante-dix pour-cent des parts de votre entreprise.

- Cinq millions? Parfait, cela couvre mes dettes...

- N'oubliez pas, dans une négociation, c'est comme au poker, on cache ses réactions.

- Pardon.

- C'est dans votre intérêt, le mien serait de m'arrêter là. Mais nous ne voulons pas que votre entreprise et votre procédé. Nous voulons que votre cerveau travaille pour nous. Donc, je continue, bien que vous ne le méritez pas. C'est cinq millions net pour vous. Igor International paie également, en plus la dette de cinq millions que vous avez contacté.

- Merde... dix millions...

- Je finis. Outre un poste de directeur du service énergétique, pour un salaire de cinquante mille net par mois, nous vous donnerons cinq pour-cent des bénéfices net de vos procédés. En sachant que nous allons nous placer sur les offres de contrats énergétique les plus importantes.

- Cela fait des centaines de millions par an! Le bénéfice sera très élevé...

- Je dirais des milliards à moyen et long termes. C'est là que votre procédé sera le plus efficace.

- Mais il faut des bras pour cela, des experts, des spécialistes... je ne les aient pas... Il va falloir recruter en urgence.

- Non, pas tellement. Un petit recrutement sera juste nécessaire. Pour le reste, nous avons du personnel en quantité suffisante pour nous lancer, celui de l'entreprise qui vient de tomber dans notre giron.

Erwan réfléchit à l'information.

- Vous avez racheter une entreprise similaire à la mienne?

- Oui et non. Elle est spécialisée comme vous, mais n'a pas votre procédé. Disons que nous avons surtout acquis une cinquantaine d'ouvrier de votre domaine. Ce n'est que la première, nous aurons de quoi faire face, grâce au personnel des entreprises que nous allons acquérir, à plusieurs contrats très important d'ici trois mois. Y compris la construction de centrale nucléaire.

- Mon procédé n'améliore pas le nucléaire.

- Non, mais vous, vous avez les capacités pour en concevoir. Ai-je raison?

- Tout à fait.

- C'est pour cela que nous voulons votre cerveau et votre procédé. Pour être certain, avec notre savoir que nous vous apportons, de gagner la très grande majorité de ces contrats.

- Et cette société, quelle est son nom? Je la connais peut-être.

- Vous la concurrencez même. C'est celle d'Amélia.

- Quoi? Elle vous a vendue sa société?

- Vendu est un mot un peu fort. Elle nous l'a donné.

- Je ne comprend pas...

- Amélia a fait sa pipe à Hermann vendredi dernier. Elle part toujours la dernière de son entreprise, c'est un point d'honneur pour elle. Le vendredi, la fin du travail est à quinze heures, elle était donc seule, pour fermer la boîte. Une de nos équipe est alors intervenu. On l'a enlevée. Elle a été violée, battue, torturée. J'ai fais utiliser les grands moyens, puisque en outre on a fait usage de drogue, privation de nourriture, de sommeil, d'eau, l'hydratant uniquement à l'urine, plus pas mal de zoophilie. Elle a signé la vente de sa boîte à la notre pour un euro symbolique. Elle n'a même pas tenu deux jours...

- Mais hier, lundi, ils ont dut se rendre compte de son absence au travail... Trouvé bizarre qu'elle est vendu et ne soit pas là...

- On a un logiciel puissant qui est capable de reproduire n'importe qu'elle voix humaine. Un de mes hommes a appelé son directeur, pour dire qu'elle a le Covid. Ce qui fait que pendant dix jours, personne ne se doutera de rien. En cas de besoin, on peut rappeler pour rajouter quelques jours, sous prétexte qu'elle n'est pas remise.

Erwan réfléchit.

- Mais ensuite?

- Elle se rendra dans son ex société, annoncera la vente. Elle présentera son successeur à la tête de la boîte, c'est un de nos gars. Elle y restera quelques jours, histoire de faire croire à une transmission de pouvoir.

- Mais comment c'est possible?

- Elle suit une formation de putain d'entreprise, comme Emma et Clotilde. Normalement, il faut quinze jours, elle, en le faisant en accéléré, mais pas trop quand même, pour que l'emprise soit totale, elle devrait être complètement formée en dix jours.

- Et ça va marcher?

- Regardez Clotilde et Emma. Vous voyez quelque chose qui vous dis qu'elles ont été formées? Qu'elles sont contrainte de faire ce qu'elles font? Que chaque rapport sexuel qu'elles ont, est un viol?

Erwan lève les yeux vers les deux magnifique blonde, il sourit :

- Non, je n'ai rien vu.

- À la fin Amélia sera pareil. L'avantage, c'est que les putains sont en vie, il y a toujours une excuse pour leurs disparition pendant quinze jours. Là, le Covid nous aide beaucoup.

Une question turlupine Erwan, il la pose :

- Pour votre fille, c'est pareil?

- Dis-lui Stéphanie.

La jeune femme, toujours au garde-à-vous, tête baissée, regard sur le sol, se met à parler :

- Pas tout à fait, il y a six ans, avec Nathalie, ma mère, en rentrant d'un meeting politique d'un parti xénophobe, on a prit le mauvais chemin. On a été sauvagement violées par toute une cité, pendant des jours et des jours.

On vois le mal que cela lui fait de parler de cela. Son père l'interrompt.

- C'est bon, je continue. C'est Igor, le propriétaire d'Igor International qui à l'époque était le caïd de cette cité, qui a orchestré tout cela. Moi j'étais un riche homme d'affaire, dirigeant une très grosse boîte. Igor m'a contacté pour une rançon. Moi, je déteste les racistes, je détestais ma femme et ma fille, je voulais déjà à l'époque leurs faire du mal. J'ai payé Igor, pas pour qu'il ne les libèrent, mais pour qu'il continue à les violer. Ensuite, ce fut mon tour. J'ai fais un enfant à ma fille. Puis je l'ai envoyé rejoindre sa mère, dans un bordel près d'une mine au fin fond de l'Afrique.

Erwan regarde Stéphanie, se disant qu'elle a dut bien morfler. Cette idée le fait bander.

- Igor avait des prisonnières, qu'il fait violer et prostituer en continue. Cela m'a donné une idée. Je savais que de grosse boîte utilise des putains d'entreprise, des femmes violées, dressées pour le plaisir des hommes puissant. Étant dans la finance, je n'en avais pas besoin. J'en ai parlé a Igor, nous avons décidé de nous lancer là-dedans. Surtout qu'il avait besoin de blanchir l'argent de ses trafics, en priorité celui de la traite-des-blanches et de la prostitution, la branche de son organisation qui lui rapporte le plus.

- Je vois.

- À l'époque, j'avais une maîtresse, que je me voyais épouser. J'ai trouvé futile de me contenter d'une seule femme, alors que j'en avais des milliards à disposition. On a embauché des hommes, des spécialistes du dressage de femme, pour qu'il mette au point plusieurs protocole pour nous. Ils marchent encore. Ma maîtresse à été notre premier cobaye. On a commencé à reprendre des petites boîtes et des commerces, certains forcés, d'autres, plus rare, vendu peu cher car en difficulté. L'argent est ainsi facilement blanchit, de plus en plus facilement, car le côté légal de l'organisation d'Igor, prend de plus en plus de place dans les bénéfices de l'organisation.

- Et votre entreprise?

- Je l'ai vendu, quand Igor m'a proposé de devenir le numéro deux de son organisation. Le boss de la partie légale. Lui et ses fils dirigent l'organisation dans son ensemble, je suis juste en dessous. Officiellement, je coule des jours heureux sur une île paradisiaque. J'ai pris un autre nom de famille, pour diriger la partie légale de l'organisation. Je n'ai pas besoin d'argent, c'est les plaisirs de la chair qui me motivent. Mais j'ai fais une erreur, j'aurais dus garder ma société, cela aurait accélérer encore plus les choses.

Henri se tait quelques secondes :

- Quand à mon ex-femme, Natalie, elle est décédée il y a un an. Stéphanie en est à presque cinq ans de prostitution à la chaîne. Elle a eut plusieurs enfants, que nous avons fais mettre à l'adoption pour les garçons, ou dans un de nos foyers pour les filles. Elles y sont superbement bien traitée, comme des reines... jusque à leurs dix-huit ans et un jour, afin que leurs dressage commencent. J'ai alors fais revenir ma fille, une de nos putes d'abattage à été envoyée à sa place. Stéphanie est passée dans un de nos clinique, où notre meilleur médecin, que l'on surnomme l'américain, s'est occupé de sa reconstruction anale et vaginal. Aujourd'hui, elle est encore plus serrée de ses orifices que le jour où elle a perdue ses virginités...

Erwan sourit :

- Je vois, c'est donc maintenant, une putain d'entreprise.

- Stéphanie? Non, pas du tout. C'est une PP.

- Une PP?

- Une putain personnelle. Elle n'appartient qu'à moi, je suis le seul à pouvoir l'utiliser. Mais je l'offre souvent. Pour tout vous dire, chaque membre de la direction, ceux ayant leurs bureau au troisième des étages de la direction, ont la faveur d'avoir une ou plusieurs PP. Vous serez à cet étage...

Erwan sourit à cette idée, mais une autre lui vient :

- Comment saviez vous que je ne partirais pas en courant, pour aller prévenir les flics en me disant tout cela?

- L'affaire Mounia.

Erwan se tait en se remémorant tout cela. Cela fait des années qu'il n'a pas entendu ce prénom. Il n'avait alors que dix-huit ans. Il était sortit six mois avec Mounia, âgée de deux de plus que lui. Une vraie beauté tunisienne, avec un corps de fou. Elle a été sa première, c'était une fille fragile et peureuse. Au bout de six mois de relation, elle est venu un vendredi en fin d'après-midi, dans son petit studio d'étudiant pour lui dire qu'elle le quitte. Erwan l'a alors violée pendant tout le week-end. La sodomisant au passage, la dépucelant de cet orifice. Des menaces ont suffis à la faire tenir tranquille, elle ne s'est pas débattue, restant la majorité du week-end en état de sidération.

Avant de la laisser partir, il l'a faîtes se laver soigneusement. Pendant longtemps, il a eut peur qu'elle n'aille aux flics. Elle a mit huit mois pour porter plaintes auprès des gendarmes. Il a été convoqué, mais pas trop inquiété. D'abord à cause du temps entre le viol et la plainte. Ensuite, parce que deux ans plus tôt, quittée par son copain de l'époque, Mounia avait portée une plainte pour viol contre lui. Mais totalement fausse, juste par vengeance. Erwan était au courant de cela, il l'a violée pour cela aussi. Une première fausse plainte, discrédite pas mal une plaignante. Il a pensé alors, à juste titre, que les flics ne la croirait jamais. Ce qui c'est d'ailleurs passé. Il n'a pas porté plainte, mais elle a eut droit à une forte amende pénale et du sursis. Avec du recul, Erwan sait qu'il a eut de la chance. Si Mounia était allée voir la police immédiatement, ils auraient sûrement trouvé des preuves contre lui... Malgré la première fausse accusation, les choses aurait put être très différentes, mais heureusement, elle a attendu trop longtemps.

- J'ai été innocenté.

- Vous avez eus de la chance, on sais que vous l'avez violée réellement, tout un week-end.

- Comment le savez vous?

- Elle nous l'a dit.

- Elle a put mentir. C'était il y a vingt ans.

- Non, pour info, après votre viol, Mounia a vécu en recluse, ne sortant que pour prendre des cours de japonais. Elle est devenu traductrice, n'a plus jamais eus de relation sexuelle. Enfin, jusque à il y a deux mois. Par contre il y a une chose que vous ne savez pas. Mounia a fait un déni de grossesse. Elle à une fille, Dounia, dix-neuf ans.

12