Les malheurs de Clotilde Ch. 16

Informations sur Récit
Attention texte violent.
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Partie 16 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Pour finir je ne fais aucunement l'apologie de la violence, ni d'ailleurs l'apologie de quoique ce soit. Le viol et tout ce qui est décrit dans ce texte est sévèrement puni dans toutes les démocraties de ce monde, ce qui est une très bonne chose, que j'approuve et soutien complètement. Ce n'est même pas le résultat d'un fantasme, juste une histoire que j'ai eus envie de raconter. En essayant de la rendre le plus proche possible de ce qui est malheureusement une réalité. Je dirais même que ce que font vivre les mafias albanaises ou tchétchène par exemple sont souvent bien pire, avant que les malheureuses arrivent en Europe de l'Ouest. D'ailleurs, l'afflux de prostituées ukrainienne sur le sol des pays d'Europe accueillant des réfugiées, n'est à priori pas toujours volontaire. Elles ne se sont pas dit: super, Poutine nous attaque, allons-nous prostituer à Paris, Rome, Londres ou Berlin. Mais cela la télé n'en parle pas, alors tout le monde s'en moque... Comparée à la réalité, mon texte est presque doux, comparé à la violence, la noirceur et la dépravation de notre monde.

Assurez-vous donc d'aimer ce type d'histoire, d'avoir le cœur bien accrocher. C'est violent, âpre, dérangeant, très noir. Mais surtout il n'y a aucun espoir pour les protagonistes, ni aucune douceur. Ce chapitre et les suivants seront dans le même style et du même type que les précédents. Si cela vous a gêné, ne lisez pas ce chapitre. Tous les personnages de cette histoire sont majeurs.

Ninon :

Dans sa posture obscène, Ninon offre la vue de son intimitée à ses violeurs, passés et futurs. Le silence se fait autour de ces fesses proposées bien malgré elles. La belle prof suppose qu'ainsi exposée, ils doivent la regarder, pouvant voir jusque au fond de sa chatte ouverte par les viols passé. Elle est confirmée dans cette impression, en percevant un souffle chaud, animal, sur la peau de son magnifique derrière. Pour la très pudique Ninon, être ainsi exposée est une humiliation totale.

Quand le souffle se déplace, frôlant les replis entrebâillés de sa chatte, un frisson court sur la jeune femme et sa peau se granule. Ninon sent leurs regards maintenant. Elle les sent comme des doigts sales se promenant dans son sexe, l'auscultant. Ils peuvent tout voir ces salauds, ainsi disposée la belle prof, leur propose, entre les collines ferme de son petit cul, sa rosette écarquillée.

Elle veut fuir. Mais d'une elle ne s'en sent pas la force, de deux, elle sait que c'est complètement inutile. En pleine mer, à part une grosse punition, elle n'ira nul part, n'obtiendra rien. Jamais ces rapaces n'accepteront de perdre leurs proies. Pourtant elle ignore qui ils sont, ce qu'ils veulent d'elle., hormis ses trous bien entendu. Mais ça, elle pense que c'est plus une possibilité pour eux de la violer, plutôt que le but de son enlèvement. Puis cette phrase qui tourne dans sa tête, comme quoi tout est la faute de sa sœur...

D'un autre côté, elle espère que c'est bien à cause de sa sœur qu'elle est là. Car sinon, elle a bien peur, qu'après avoir jouis d'elle, jusque à ce qu'elle soit sans réaction ou que ses trous soient trop lâche pour leurs bites, ils ne prennent la décision de la tuer afin d'éviter qu'elle ne les dénonce ou porte plainte.

Emma :

La jeune fille de dix-huit ans, a du mal à prendre le sexe du gros Boris en totalité dans sa gorge. Mais avec des bruits de bâillonnement, de haut-le-cœur, elle réussit à le faire entrer en elle. Emma réussit, sans quitter son regard des yeux, comme son père le lui a appris, à ce que son nez touche le ventre du gros homme, s'enfonçant dans ses poils pubiens.

Emma garde la bite de l'homme en gorge profonde pendant une dizaine de secondes. Puis elle recule sa tête, se remettant à sucer l'homme, sa langue agile travaillant la hampe. Avant de le reprendre en gorge-profonde.

Vierge avant son viol paternel, puis en gang-bang, Emma a beaucoup apprit. La jeune fille sait qu'elle n'a pas le choix. En la violant en levrette, son père lui a montré trois vidéos. Trois femmes, l'une de vingt ans, une de vingt-neuf ans, la dernière de trente-cinq ans. Elle connaît leurs âge, mais aussi leurs nom et prénom, chaque film commençant sur un gros plan des papiers d'identité de la victime.

Emma a vu de chacune, un mois de leurs vie, raccourcit sur un DVD de deux heures. Elle a vu leurs viol-collectif pendant trois semaines, puis leurs viols par des chiens, des chevaux, avant de revenir à des humains. Sans parler des coups et des tortures... Trois belle jeunes femmes punis pour ne pas avoir obéit au client ou à leurs maîtres...

La magnifique Emma ne veut pas vivre cela. Alors elle apprend tout du sexe. Formée par son père, puis testée par Boris. Malgré l'humiliation, elle a demandée au gros hommes de pouvoir le sucer, non pas demander, supplier. Même si ses yeux disent toute l'humiliation de devoir faire cette demande, elle a souri en le faisant. Puis là, elle le suce pour le troisième soir de suite. Si elle n'a pas progressé dans l'art de la pipe, elle sera punit, comme les filles sur la vidéo.

L'homme jouit dans sa bouche au bout de vingt minutes. Elle a mal aux mâchoires, mais elle ne le montre pas. En lui massant les couilles, elle attend qu'il est fini de se vider. Quand cela est fait, elle recule sa tête. En regardant toujours Boris dans les yeux, elle ouvre la bouche, montrant la semence, qu'il vient d'éjaculer sur sa langue. À genoux, bras dans le dos, tête droite, regard dans regard, elle attend.

Au bout d'une longue minute, Boris lui dit.

- Tu peux avaler.

Alors malgré son dégoût, avec un gros effort de volonté, Emma avale le liquide acre. Puis elle ouvre de nouveau la bouche, pour montrer qu'il n'y a plus aucune trace de sperme. Sans qu'on le lui demande, elle avale de nouveau le sexe, mais cette fois-ci, mou. Elle le nettoie, quand elle estime que c'est propre, elle le sort de sa bouche.

- Merci monsieur de m'avoir laissée vous sucer, ainsi que de m'avoir laissée avaler votre sperme.

Boris sourit, mais pas à elle, à son père qui a regardé tout le spectacle.

- Bravo Jeff, tu es un formateur né. Pour une néophyte, ta petite salope fait des fellations experte. Je valide la formation pipe. En trois jours, c'est beau. Emma ne sera pas puni là-dessus.

- Merci, elle m'inspire beaucoup.

- Je vois. Tu lui apprends quoi après?

- La baise vaginale. Je garde l'anal pour la fin, c'est son meilleur trou.

- Tu as raison, comme je dis, il faut toujours garder le plus agréable pour terminer un travail.

L'homme se lève, il s'approche de la porte.

- Je reviens demain soir pour voir ses progrès par rapport au premier coït avec moi. Je ne me répète pas, elle sait parfaitement ce qui l'attend si il n'y en a pas.

Quand Boris est sorti, Jeff, qui bande sous l'effet de la pipe de sa fille sur le gros homme, lui dit :

- Mets-toi à quatre pattes, salope. Je t'encule et après on commence les leçons pour ta chatte.

Sans rien dire, Emma prend la position demandée immédiatement. Tout mais pas la punition...

Moi :

Quand le docteur sort, il ne ferme pas la porte. J'entends la télé, une chaîne info, mais aussi la voix de l'homme.

- Géraldine, vient me sucer, après tu retournes surveiller la putain.

Bon, la putain c'est moi. Géraldine doit-être l'infirmière que j'ai vue en me réveillant. Soudain mon attention se porte sur le son de la télévision :

« On est toujours sans nouvelle de Clotilde. La jeune femme de trente-deux ans a disparu il y a maintenant un mois. Son époux auditionné à plusieurs reprises, est aujourd'hui hors-de-cause. Avec sa fille et la sœur de Clotilde, ils remuent ciel-et-terre pour la retrouver. La police qui a mis cinq enquêteurs sur cette affaire n'a toujours aucune piste... ».

Je n'en entends pas plus, on vient de couper la télé. Mais je sens l'espoir revenir à moi. On me cherche. La police enquête. Ils vont me retrouver. Alors Greg, l'organisation, le docteur et tous les autres vont payer. Je me dis qu'il va falloir que je collabore encore plus que ce qu'ils veulent. Je n'ai plus qu'à attendre et rester en vie.

Quand l'infirmière revient quinze minutes plus tard, je ne dis rien. Je la vois s'essuyer la commissure des lèvres, l'air triste et humiliée dans son regard me disant qu'elle aussi doit subir un peu la même chose que moi. Je ne sais pas pourquoi, mais savoir que je ne suis pas la seule à être forcée me fait du bien. Surtout quand la belle infirmière se met à pleurer en silence.

Ninon :

La courte entracte donnée par le spectacle de ses orifices offert se termine. Il y a, derrière-elle, le bruit déchirant d'un zip que l'on ouvre. La belle prof devine sans mal que le quatrième homme libère sa queue, que l'attente et le désir d'elle ont dut bien durcir. Qu'à nouveau cela va être sa fête. Ninon n'en est pas surprise, pas plus quand le gros gland du mâle se met à fourrager dans sa raie. L'homme se montre maladroit, ne trouvant pas le trou où enfiler sa bite. Impatient, il se guide de la main, trouvant un repli qu'il déplisse du gland. Se collant aux reins capiteux, d'un coup, il s'enfonce jusque à la garde. Coupant le souffle de sa victime qui ouvre la bouche sur un cri muet.

Ninon à l'impression affreuse d'être défoncée jusque au cœur par un énorme épieu. Ses larmes qui s'étaient calmées, se remettent à couler. La douleur lui fait se rendre compte, à son plus grand désarroi, que son quatrième agresseur, est le mieux monté. Il faut bien tout le sperme, que les autres ont, auparavant, déposé en elle, dans son passage étroit, dans son ventre fertile, pour faciliter la pénétration. Évitant ainsi, que la magnifique jeune femme ne devienne infirme. Pire, pour éviter qu'il ne déchire entièrement son sexe. Hors en ce moment, une infirmité, une grosse déchirure de son sexe, serait selon-elle, ce qui peut lui advenir de pire.

Ne pas voir ou entendre, ne pas pouvoir marcher ou se servir de ses mains, sont des handicaps redoutable. Tout cela est l'horreur absolue. Mais là, une infirmité du sexe, ne voudraient pas dire pour Ninon, qu'ils ne la viole plus. Elle sait que ces monstres continueront, jusque à sa mort dans d'atroces souffrances...

Ce salaud lui fait mal, très mal. Son gland a le relief anormal, pour une queue, d'un gros champignon, dont hélas, il n'a point la mollesse. Glissant dans la gaine de la belle prof, cependant souple et extensible, il donne l'impression, à la propriétaire de celle-ci, d'être ramonée par une pine d'acier d'un calibre trois fois supérieur à celui de son boyau d'amour. Ce qui est probablement le cas, tant il lui fait bien plus mal, malgré la lubrification à la semence, que ses prédécesseurs ont injectés en elle.

La lourde queue s'agite dans sa moule avec une frénésie implacable. Disposée comme l'est Ninon, chatte projetée au-devant de l'agresseur, la malheureuse pressent cruellement la moindre vibration qu'on lui inflige. Comme il s'agit non seulement de vibrations, mais aussi de véritables coups de cognée... même si ce n'est seulement le gros manche de celle-ci que l'on utilise, l'épreuve lui paraît d'autant plus redoutable et douloureuse. Les hululements qu'elle pousse le prouvant aux oreilles de son violeur, comme des spectateurs.

Son corps malmené tremble à chaque coup de bite, ses seins volent en tous sens. Si son bassin se trémousse, ce n'est hélas pas de plaisir, mais pour trouver l'angle le moins douloureux.

Quand il se met à la violer au maximum de sa puissance, Ninon chante comme cette sorte de mâle aime à faire gueuler les femelles qu'il fout, sur toutes les octaves, de la plus grave à la plus aiguë. Sa voix déformée trahit désarroi et souffrance. Elle est celle d'un enfant torturé au fer rouge, tout en étant battu à coups de gourdin.

Toutefois, ce gourdin conséquent, Ninon va le sentir d'une toute autre manière, en apprécier autrement la dureté, le calibre et la longueur. À un moment, alors qu'il la possède avec le plus de violence possible, la brute sort son braquemart de l'écrin à vif qu'il fouaille. Il remonte de quelques centimètres dans le sillon culier. Trouvant sans coup férir, le plus petit orifice de sa victime, il presse sa pointe contre la cible palpitante, puis forçant comme un damné, s'engouffre dans l'anus, brisant la résistance du sphincter, il plonge avec un « Han! » de bûcheron dans le rectum puis les intestins.

Vladimir l'a déjà sodomisée. Toujours avec brutalité, mais après avoir utilisé de la vaseline, pour lubrifier sa bite, comme le trou-du-cul de Ninon. Elle n'a jamais aimé cela, a toujours eu mal. Mais là, à sec, c'est encore pire...

La femme empalée a l'impression que l'énorme bite ne s'arrêtera que lorsqu'elle sera venu buter contre son estomac, ou pire, contre ses poumons. Jamais elle n'a connu sensation aussi puissante. Et Ninon espère bien, si tant est qu'elle puisse encore garder un espoir, ne la connaître plus jamais.

Son cri fut, cette fois, un long hurlement à la mort.

Moi :

J'ai tentée plusieurs fois de nouer le dialogue avec Géraldine, la belle infirmière rousse, au moins une dizaine d'essais. À chaque fois, c'est la même réponse : "Je n'ai pas le droit de vous parler." Merde, la police, mon mari, tout le monde me recherche, et elle qui peut sans doute les prévenir ne veut pas m'écouter... La phrase est dîtes toujours sur le même ton froid. Je décide de tenter le coup une onzième fois :

- S'il-vous-plaît, dîtes m'en plus sur ce qu'il se passe. J'ai besoin de savoir...

- Je n'ai pas le droit de vous parler.

- Allez, personne n'en sera rien.

Elle semble réfléchir quelques secondes, se demandant sans doute si elle a le droit de dire ce qu'elle va me dire.

- Ils sauront tout. Il y a des caméras cachées dans la chambre, avec des micros. Ils voient et entendent tout.

Je comprends pourquoi elle ne me dit rien, on est observées. Je me rends compte que cela veut dire, qu'avec le drap descendu en-dessous mes pieds, ils voient mon corps au travers des caméras.

- S'il-vous-plaît, remontez au moins le drap sur mon corps.

- Je ne peux pas faire cela, seul un médecin est autorisé à faire ça.

Je m'énerve :

- Vous ne servez pas à grand-chose!

- Non, j'ai des ordres strict. Si je ne fais pas ce qu'ils ordonnent, je serais punis. Maintenant taisez-vous ou je bipe l'américain. Il viendra énervé, croyez-moi, vous ne voulez pas le voir énervé...

En effet, j'ai suffisamment morflé pour savoir que l'on énerve pas nos bourreaux. Et a priori, l'américain, en est un. Pendant deux ou trois heures, je ne sais pas exactement, tant le temps passe longuement, nous restons silencieuse. Enfin, elle, car moi, je sanglote en repensant a tout ce que j'ai vécu depuis le concert...

Quand l'américain revient, il a l'air fatigué.

- Je viens d'opérer deux putains de l'organisation qu'il a fallu reconstruire analement et vaginalement. Elles n'étaient pas autant abîmées que toi, Clotilde, mais c'était quand même pas mal.

Il caresse la joue de Géraldine qui se fige.

- J'ai besoin divertissement, tu sais quoi faire ma belle.

- Oui, monsieur.

Si la belle rousse sourit au docteur, je vois dans son regard la peur, l'humiliation et le dégoût. Elle se lève.

- Quelle position, monsieur?

- Debout, appuyée sur les barres du lit. Celle du bas.

- Bien monsieur.

Je la vois se déshabiller, elle ne porte rien en dessous. Je suis étonnée de voir le tatouage sur son bas-ventre épilé. Le même éclair que moi, avec les deux « I » majuscules. Elle a un corps ferme de sportive. Ses seins, petit, on la taille de pommes bien rondes. Elle prend la position ordonnée. Demandant :

- Monsieur aurait-il l'obligeance de baiser la salope que je suis?

Elle dit cela avec un sourire semblant franc, alors que, pourtant, ses yeux disent « pitié, pas ça. ».

- Bien entendu, vu que cela te fais tant envie.

- Quel orifice monsieur? Mon trou-du-cul de putain ou ma chatte de salope? Je vous demande cela pour savoir à quelle hauteur je dois m'offrir.

- Ta chatte m'ira bien.

- D'accord monsieur, merci de me baiser par ce trou de chienne.

Le docteur sort un sexe bandé. La belle infirmière se redresse pour prendre la hauteur de son sexe, ce qui rendra la pénétration la plus facile pour l'américain. Il la saisit aux hanches, il la pénètre. Elle gémit. Si elle sourit, si son gémissement est de plaisir, je vois que tout est simulé. Ses yeux ne mentent pas, eux, ils disent toute la misère que la jeune femme ressent à se faire prendre par ce monstre.

Je détourne le regard, pour ne pas voir ce que je pense être un viol. Mais le docteur ne me laisse pas faire.

- Regarde-moi baiser cette salope. Cela te sera utile pour plus tard, quand tu devras te comporter de la même façon.

J'obéis, je suis déterminée à appeler les flics dès que possible. Mais pour cela, pour qu'ils baissent leurs garde, je dois me comporter comme une fille soumise, afin qu'ils pensent qu'ils ont gagnés.

Je mate donc cette simulation de coït pseudo-consensuel. Le docteur la prend pendant un gros quart-d'heure avant de se planter en elle et de gémir. Quand il se retire, j'entends l'infirmière dire :

- Merci d'avoir donné votre divine semence à mon corps de chienne.

Puis elle se retourne, s'agenouille et suce le sexe maintenant à demi-mou de l'américain. Pendant une trentaine de secondes, elle le garde en bouche, puis elle cesse sa pipe. Elle vient de le nettoyer.

- J'ai envie de pisser.

Je suis retournée, cela me rappelle ce que j'ai vécu avec Greg et les autres... L'infirmière ouvre la bouche, le docteur pose son gland et urine. Elle me tourne le dos, mais j'entends distinctement ses bruits de déglutition. Quand il a fini, de la langue elle nettoie la dernière goutte.

- Merci docteur de m'avoir utilisée comme WC humain.

Pour réponse, il lui lance un petit paquet de mouchoir en papier, qu'il vient de sortir de la poche de son pantalon.

- Nettoie ta chatte et le sperme sur le sol avec. Tu as de la chance que j'ai d'autres trucs à faire, sinon je t'aurais fait nettoyer avec la langue.

Il range son sexe, avant de partir, il lance à l'infirmière nue, en train d'essuyer la semence qui coule de son vagin.

- Montre-lui des vidéos de dressages et de punitions. Pour qu'elle voit que ce qu'elle a vécu peut devenir bien pire à l'avenir.

Ninon :

Alors que son quatrième violeur commence à l'enculer, Ninon tente, en vain, de se soustraire à la montée interne d'une affreuse et immonde douleur, qui gonfle son ventre, tout en irradiant en elle, dans tout son être, à la façon d'un éclatant soleil. L'intromission de l'énorme pieu dans son corps est une torture sans nom. Le sauvage la maintien de ses grosses mains, crispées sur ses hanches souples, avec une telle force, une telle violence, qu'elle est totalement incapable de se dérober au pilon qui commence d'aller-et-venir en ses entrailles qu'il massacre.

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