Les Jumelles

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Sébastien est malmené par deux couples imaginatifs.
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Les jumelles. Sébastien est malmené par deux couples imaginatifs.

Extrait « L'autre couple part et je suis forcé de me mettre à genou sur le tapis. Ils remplacent le bâillon par un écarteur de mâchoire. Je vocifère mais quelques coups de martinet me font taire. Là les deux se déshabillent et me font face. Tiré par la laisse je me retrouve la tête dans l'entrejambe de la fille qui branle mon pote pendant que je la lèche. Puis elle se retire et la queue de mon pote remplace sa chatte. »

Enfant je passais mes vacances dans un gite en pleine campagne.

Fils unique je m'ennuyais à mourir et je passais mon temps à me promener dans les environs de plus en plus loin. Mes parents profitaient de la piscine et ne la quittait que pour aller faire des emplettes au village voisin.

Je m'imaginais être robinson Crusoé et chaque été je m'aventurais un peu plus loin dans l'ile mystérieuse dans laquelle j'étais seul au monde.

Un jour alors que j'approchais les quinze ans je m'aventurais plus loin que d'habitude et j'arrivais jusqu'en lisière du village. Je n'osais pas entrer dans le village mais un matin deux jeunes filles me virent et s'approchèrent de moi.

A la seconde où je les ai vus de près je suis tombé fou amoureux d'elles. Leur particularité était d'être des jumelles et il m'était impossible de les différencier.

On fit connaissance et elles jouaient de leur ressemblance pour me jouer des tours.

Qu'importe je supportais leurs jeu avec stoïcisme persuadé qu'un jour l'une d'entre elles tomberait amoureuse de moi. Du coup les vacances passaient beaucoup trop vite et j'attendais avec impatience l'été pour enfin les revoir et tenter ma chance.

Ce fut sans résultat et elles continuaient à me tourmenter.

Mes parent étaient étonnés que je veuille les accompagner en vacance chaque année alors que j'aurais pu partir de mon côté. Mais ils m'emmenaient sans me poser de question.

Je viens d'avoir 18 ans et cette année-là je suis bien décidé à conclure avec une des jumelles.

Comme d'habitude elles m'attendent à la lisière du village. Un peu plus âgées que moi elles sont de plus en plus selles et leurs formes deviennent particulièrement motivantes.

Elles m'annoncent que leurs parents sont partis pour le mois leur laissant la maison à garder tandis qu'elles prendraient leurs vacances le mois suivant.

Je leur trouve un air bizarre et m'attends à tout. Néanmoins je rêve d'être invité chez elles et de les culbuter toutes les deux.

Ce rêve se réalise. Elles m'annoncent qu'elles m'invitent pour le mois à partir du lendemain pour me laisser le temps de prévenir mes parents.

Le lendemain, sac à dos sur les épaules je me pointe gaillardement à l'orée du village. Elles m'attendent et m'accompagnent jusque chez elles.

Là je pose mon sac à dos et elles m'annoncent qu'elles ont prévu plein de choses pour moi.

Je suis aux anges. Elles me montrent leurs chambres et on visite le reste de la maison. Pour terminer elles me font descendre à la cave. Là il y a du bric à brac dont un vieux lit à barreaux avec un matelas qui a de la bouteille.

En riant elles me disent que ce sera désormais ma chambre pour le mois. Je rie aussi car ça n'est pas dans mes intentions.

L'une d'elle me propose d'essayer le lit pour voir si le matelas me convient. Jouant le jeu je m'allonge dessus et déclare qu'il ne me convient pas et qu'il faudra trouver une autre place. Elles se mettent chacune à un bout du lit et celle qui est en haut me prend les mains dans les siennes. Je bande déjà à l'avance et elle me dit ferme les yeux un moment tu pourras mieux ressentir le lit.

Je joue encore le jeu d'autant plus que la deuxième m'a saisi les chevilles. Mon fantasme, me taper les deux ensembles.

Elles tirent doucement chacune de son côté et soudain j'entends le clic de menottes aux poignets et chevilles.

La chaine des menottes passe derrière les barreaux et je ne peux pas retirer mes mains ou mes pieds je rouvre les yeux elles me regardent enchantées.

Finalement tu as l'air de te plaire dans ce lit. Mon érection est visible. Je leur dis que je serais plus utile sans ces menottes.

L'une des deux dit à l'autre il parle trop on va le faire taire et trois secondes plus tard ma bouche est clouée par un gros morceau d'adhésif. Là je m'inquiète un peu et rue sans résultats. Elles me mettent un bandeau et je me retrouve dans le noir.

Voilà-on à notre petit jouet pour le mois dit l'une. Super dit l'autre en battant des mains. Voyons s'il vaut le coup. Elle desserre ma ceinture et fait glisser on pantalon et mon boxer vers le bas.

J'ai toujours la gaule. Mon membre est pris en main et palpé consciencieusement. Mes boules subissent le même sort.

Bon il vaut le coup. Voilà Sébastien tu vas passer le mois à nous servir de jouet sexuel. Si tu te comportes bien on te laissera un peu plus de liberté mais d'abord il faut montrer ta soumission.

Je rue en essayant de crier à travers l'adhésif mais en vain.

Lorsque je me calme un peu elles me disent tu peux essayer les barreaux sont massifs tu n'as aucune chance.

Maintenant tu vas nous écouter.

On va se faire chier pendant un mois dans cette maison. Il n'y a pas un mec potable dans le village alors tu vas nous servir de sextoy pendant un mois.

Pour commencer tu voulais draguer une de nous deux voire les deux tu vas être comblé tu vas avoir les deux en même temps. En disant ça elle me malaxe la bite et ses lèvres la frôlent.

Je me remets aussitôt à bander en force. Voilà ce qu'on attend de toi. Bon on l'essaye. Ok répond l'autre jumelles et en quelques secondes elles me chevauchent. L'une s'empale sur ma bite et l'autre sur ma bouche. L'été démarre fort.

Je passe le mois menotté soit dans la cave soit dans leur chambre en les rassasiant soit avec ma queue soit avec ma bouche. C'est assez humiliant d'être lavé douché escorter au petit coin et nourrit à la main par mes geôlières.

Mais quelque part je me les tape toutes les deux.

A la fin du mois elles me relâchent et me disent à l'année prochaine on compte sur toi.

Je ronge mon frein pendant onze mois puis c'est les vacances.

Ce coup-là j'ai des projets de vengeance.

L'été venu je me pointe au rendez-vous fixé par mes geôlières qui comme l'année passée doivent garder la maison pendant un mois.

On prend la direction de leur maison. Elles sont persuadées que le petit jeu va se reproduire et que je vais leur servir de sextoy.

On pénètre dans la maison et elles m'emmènent dans une de leur chambre. Elles n'ont pas vu mes deux copains qui appâtés par les promesses de sexe que je leur ai fait nous suivent discrètement jusque dans la maison en pénétrant par la fenêtre dont j'avais remarqué la fermeture défectueuse l'année précédente.

Alors qu'elles sortent leur menottes les filles voient surgir mes potes qui leur sautent dessus et en quelques secondes elles sont menottées et bâillonnées avec leur propres accessoires et ceux que j'ai emmené dans mon sac à dos. Elles me regardent avec une haine féroce.

Je leur dit cette année on change les règles du jeu. Vous allez être très gentilles avec nous et nous servir d'hôtesses généreuses pendant notre présence. Vous vivrez nues ou dans les tenues qu'on vous donnera et vous ferez tout ce qu'on vous demandera. Pour commencer on va vous mettre à poil pour chercher s'il y a un moyen physique de vous différencier et en même temps on passera du bon temps ensemble.

En quelques minutes elles sont nues et attachées l'une à côté de l'autre. On les tâte on visite leur intimité et finalement il est impossible de les différencier. Tant pis.

On en prend une au hasard et on décide de la sauter.

Elle ne se débat pas tant que ça et bientôt elle a gouté à nos bites avec la bouche et le sexe.

Sa sœur nous regarde les yeux exorbités et encore plus lorsqu'on décide de déflorer sa jumelle par derrière. Celle-ci rechigne crie et rue mais elle est bien tenue et on lui applique un bâillon boule rouge du plus bel effet. Elle finit par se laisser faire vaincue.

Un peu plus tard la deuxième passe à la casserole. Elle ne se défend pas comme sa sœur en comprenant que ça ne servait à rien. Au contraire elle semble prendre son pied et participe activement à la partouze.

Maintenant les deux filles sont nues et ligotées sur une chaise. On a enlevé les baillons et elles ne râlent pas. Il me semble qu'on va passer de bonnes vacances.

En plus je me suis aperçu que je suis beaucoup plus musclé et bien mieux monté que mes deux potes qui m'ont pas mal maté pendant que je me faisais les jumelles. Je jubile. Il faut dire que cette année je n'ai pas loupé une seule séance à la salle de muscu.

Quel pied.

On tire au sort celui qui va faire les courses pendant que les deux autres garderont nos jumelles.

Je perds et suis de corvée.

Lorsque je reviens deux heures plus tard je trouve que les couples ont l'air de se faire entre les filles et mes potes je les surprends en pleine discussion qui s'arrête dès que je pénètre dans la pièce.

Ce soir-là on dine merveilleusement.

Les filles sont nues et préparent le repas sans se faire prier. Je trouve qu'elles ont vite rendu les armes mais, l'alcool aidant, mes pensées vont ailleurs et après une petite fellation par l'une des filles je vais me coucher en titubant accompagné par mes potes. Dans le brouillard qui m'entoure je crois reconnaitre le lit à barreau de l'année précédente mais je m'endors comme une masse et dors sans rêves.

Au matin ma position inconfortable me réveille. Je suis debout les bras écartés et attachés en l'air à une solide poutre. Ça me réveille complétement. Je suis nu et un bâillon m'obstrue la bouche. Un bandeau sur les yeux m'empêche de voir ou je suis.

Face à moi j'entends mes potes et les deux jumelles qui discutent.

Je marmonne un peu et un de mes potes dit. On a réfléchi avec les filles. On trouve qu'on fait de beaux couples et que tu es en trop dans l'affaire. On ne va pas te jeter mais on va te garder comme ornementation et bite de secours. C'est vrai que tu es bien monté dit l'autre pote. Tu nous ferais de l'ombre alors autant te garder comme ça. Les filles renchérissent et puis il a l'habitude il nous a bien servi l'an passé.

Trahi par mes potes! Je suis consterné. Qu'est ce qu'ils attendent de moi. J'ai beau ruer dans mes liens rien n'y fait je suis bien attaché. Ils me laissent me calmer avant de continuer.

J'ai remarqué qu'il bandait mieux quand il était attaché bien serré dit une jumelle. On devrait vérifier ça. Les tractions sur mes bras augmentent et je suis écartelé au niveau des jambes. Effectivement ça me fait de l'effet et je mets à bander. Super dit l'un de mes potes on devrait s'occuper de lui pour voir ce que ça donne.

On vous le laisse pour ce matin dit l'une des jumelles et avec son mec elle quitte le salon.

La jumelle restante m'attrape la queue et la presse vigoureusement. Ça me chauffe un maximum. Pendant ce temps mon pote passe derrière moi et me pince les tétons. Je rue vers l'avant et la jumelle ressert sa prise sur ma queue. Je bande comme un malade. Soudain je sens que mon pote a d'autres idées en tête. Sa queue raide se promène entre mes fesses.

Il s'éloigne et va vers la cuisine me laissant seul avec la jumelle qui avec son autre main triture mes couilles. Je me tords dans tous les sens mais je suis trop solidement et fermement attaché pour que ça la gêne.

Mon pote revient. Il se colle dans mon dos et sa bite humidifiée reprend le chemin entre mes fesses. Ce coup-ci il est bien décidé à aller plus loin.

Il trouve l'entrée et pousse avec sa queue.

Au début je serre les fesses mais je sens que c'est inutile et essaye de me détendre. Le pire c'est que ça me met dans un état pas possible.

Soudain le passage s'ouvre et sa bite me pénètre profondément. La sensation de douleur passe presque immédiatement et il commence à aller et venir.

La jumelle lâche ma bite et se recule pour voir le spectacle.

Mon pote m'attrape la queue et la branle en même temps qu'il me pilonne.

C'est dément. Je sens ma queue grossir encore dans sa main. Il accélère et soudain il gicle en me pressant la bite fortement.

C'est trop. Je jouis presqu'aussitôt en longs jets qui atteignent presque la jumelle. Elle dit hé bien l'étalon aime bien se faire monter aussi

. Tu devras essayer de te faire sucer par lui. Je suis sure qu'il est bon à ça aussi.

Mon pote se retire et je reste seul toujours attaché avec la jumelle qui se rapproche de moi.

He bien mon beau tu vas bien nous combler car je crois que tes potes ont autant envie de toi que nous.

Et elle me reprend la bite et les couilles dans les mains. Elle est experte car quelques minutes après je sens que l'érection revient.

Ce coup-ci elle veut en profiter et me gratifie d'une bonne fellation qui me pousse au bord de la jouissance. Au dernier moment elle arrête et me termine à la main.

Ce soir on changera ta position pour que je profite de ta queue me dit-elle avant de me laisser seul dans le salon.

Peu avant midi on me libère enfin de la position mais mes bras sont menottés dans le dos et un collier avec une laisse leur permet de me promener dans la maison. On m'emmène à la douche et le midi toujours nu je mange debout ce qu'ils veulent bien me mettre directement dans la bouche.

Après un café le deuxième couple dit à nous d'en profiter maintenant.

L'autre couple part et je suis forcé de me mettre à genou sur le tapis.

Ils remplacent le bâillon par un écarteur de mâchoire.

Je vocifère mais quelques coups de martinet me font taire.

Là les deux se déshabillent et me font face. Tiré par la laisse je me retrouve la tête dans l'entrejambe de la fille qui branle mon pote pendant que je la lèche.

Puis elle se retire et la queue de mon pote remplace sa chatte. Excité par la scène je me mets à lui faire une fellation sans réfléchir. Pendant ce temps elle m'attrape le chibre et se met à me branler avec vigueur.

Je suis surpris par la décharge de sperme de mon pote. Il me retient la tête au moment où je veux me retirer pour cracher et finalement je dois tout avaler. Il reste plusieurs minutes dans ma bouche avant de se retirer.

Il se retire enfin alors que je sentais sa bite reprendre de la vigueur.

La fille se couche sur le dos face à moi et tire la laisse pour que je me baisse jusqu'à son sexe que je commence à lécher.

Elle me tient la tête et je sens qu'il m'attrape les hanches et son sexe vient buter sur mon cul. Pour la deuxième fois de la journée je suis sodomisé et ça me fait toujours bander un max. je continue à lécher la fille qui se trémousse d'aise.

Il m'attrape la queue et commence à la branler.

Je suis comme fou je suce avec vigueur et je profite de la branlette experte.

Enfin il gicle et me lâche la bite. Je reste en rade avec mon gourdin dressé. La fille me repousse la tête et se met à quatre patte devant moi elle m'attrape la queue et la guide jusqu'à son sexe que je pénètre avec fougue.

En quelques minutes je jouis comme un malade.

Ils me relèvent et accrochent la laisse à une poutre au plafond. Je ne peux pas bouger de plus d'un mètre. Ils me laissent seul et quittent la pièce.

L'après-midi est interminable accroché à ma poutre les mains dans le dos je ne peux rien faire qu'attendre. Je n'ose pas crier car ils m'ont promis le fouet si je parlais ou émettais le moindre bruit.

Connaissaient les jumelles je sais que ce ne sont pas des promesses en l'air.

L'heure du repas arrive enfin et ils me décrochent du plafond pour m'emmener dans la salle à manger. Ce coup-ci je suis poussé sous la table et pendant qu'ils mangent je dois passer de l'un à l'autre sucer des queues ou des chattes.

Je ne mange rien ce soir-là.

On passe au salon ou chacun raconte comment il m'a pris.

Les entendre me fait avoir une belle érection et je commence à me demander pourquoi je suis aussi excité. D'autant plus que je m'aperçois que les queues ne me laissent pas indifférent.

Sur le canapé ils décident de faire un strip poker.

Pour que je ne perde rien du jeu ils m'enlèvent enfin le bandeau. Impuissant je les voie jouer et se déshabiller progressivement. Je reste en érection et les premiers sont maintenant nus. C'est l'heure des gages.

En fait tous les gages me concerneront. La première est une jumelle. C'est un gage sympa pour moi. Elle doit me faire une fellation. La garce s'arrête trop tôt et me laisse sur ma faim.

Le deuxième est un garçon. Même gage. En fait le premier gage pour tous c'est de me sucer. Cool.

Deuxième gage se faire prendre par derrière par moi. Les deux filles y passent et j'apprécie même si je ne peux pas aller jusqu'au bout. Puis c'est au tour d'un garçon. Pour la première fois de ma vie j'encule un mec.

Après c'est la partouze ou je ne suis pas convié. Ça dure une bonne heure et ils émergent hagards de leur partie. Ils trient à pile ou face ceux qui me gardent pour la nuit et tiré par la laisse je suis un couple jusque dans la chambre ou je suis attaché en croix au baldaquin et passe la nuit debout au pied du lit. Autant dire que je ne dors pas beaucoup.

Les jours et les nuits s'égrènent et je suis le sextoy de la maison.

Je porte quasiment en permanence le bandeau.

N'ayant pas confiance en moi, ils ne me libèrent jamais les mains et je suis lavé nourrit et surtout palpé par les quatre qui usent et abusent de mon corps.

Je m'y habitue et attends chaque fois avec impatience la prochaine expérience.

Heureusement j'ai le droit de jouir de temps en temps.

A la fin de la semaine ils me laissent seul à la maison une journée pour aller faire un tour dans la grande ville la plus proche.

Lorsqu'ils rentrent ils sont de bonne humeur et viennent me voir en me disant qu'ils ont des cadeaux pour moi.

J'ai les pires craintes. Elles sont fondées.

La première chose qu'ils montrent c'est un plug annal qu'ils s'empressent de me mettre dans le fondement.

Ceci pour que tu penses à nos queues en permanence me dit un des garçons.

Effectivement j'ai l'impression d'avoir une queue dans mon fondement.

La deuxième c'est une tenue de soubrette en latex qu'ils s'empressent de me mettre. Comme tu vas nous servir il faut que tu ais la tenue adaptée dit une des jumelles.

La troisième chose est une cage de chasteté. Là ce n'est plus marrant du tout. J'ai beau essayé de les empêcher quelques minutes après j'ai les couilles et la bite enserrées dans un carcan métallique qui ne laissera jamais la place pour ma queue en érection.

Puis ils sortent un ensemble de menottes et chaines et me les passent. Cinq minutes plus tard j'ai enfin les bras détachés de derrière mais j'ai des menottes au cheville qui me forcent à faire des tous petits pas d'une dizaine de centimètres et mes mains sont collées au corps et peuvent à peine saisir quelque chose si je me colle à l'objet.

Pour finir ma laisse est remplacée par une longue chainette qui est cadenassée dessus et relié à un anneau sur une poutre du salon.

Ils font des tests avec la longueur de la chainette et finalement la fixent.

Je peux déambuler dans le salon la cuisine et la salle à manger. Je peux aller jusqu'aux toilettes et c'est tout. Impossible de monter à l'étage ou descendre à la cave impossible de quitter la maison.

J'ai droit à cette liberté lorsque je suis de service sinon ils me rattachent à la poutre centrale du salon et je dois attendre parfois plusieurs heures qu'ils aient besoin de moi pour le service ou pour des activités sexuelles.

Ils ont aussi acheté des plus gros martinets pour me motiver si je ne suis pas assez efficace au service ou ailleurs.

Après avoir reçu un paquet de coups de martinet je rentre dans l'ordre et apprend à faire la cuisine, servir tout le monde à table débarrasser et faire la vaisselle.

Ceci ne me dispense pas de servir de sextoy et je me sers beaucoup plus de ma langue et ma bouche que de mon sexe pour le satisfaire femmes comme hommes.

batsbru
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