Les Jumeaux D'amour Ch. 10

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Léa jouit à nouveau et à bout de désir, il se redressa sur ses genoux, souleva ses cuisses de ses bras de gorille et fit aller et venir son corps convulsé sur sa bite boursoufflée. Elle n'était plus son amante mais le simple réceptacle d'une éjaculation indispensable à l'assouvissement de sa frénésie sexuelle.

Une blanche proie pour un noir prédateur.

« AAAARRRHHHHH! LEAAA ... JE ... JE... T'AI...me!»

Il éjacula enfin et son hurlement de triomphe trouva un écho étranglé dans la bouche du réceptacle soudé à son pubis par son étreinte de mastodonte

« Uugh uuh »

Il lui fit encore faire trois allées et venues le long de l'interminable colonne de chair sur laquelle elle était vissée jusqu'à ce que l'infernale pression dans sa bite ne retombe à un niveau supportable. Il la laissa alors choir sur le matelas et resta prostré devant le corps marqué de son aimée , sa verge rapetissant lentement jusqu'à être expulsée de la chatte plus que comblée.

Il se laissa tomber à côté d'une Léa à demi-inconsciente au moment où une salve d'applaudissements partait de la porte restée ouverte. Léa ne réagit pas mais Toussaint leva son grand poing en direction des visages hilares de Gabi et Loïc.

« Grandiose! Bravo! » s'exclama le jeune homme

« Bis! Encore! » ironisa Gabi

« Retournez à l'étage des baisouilleurs! Ici c'est du sérieux!! »

« Je viendrai témoigner .. dès que je pourrais me lever ... dans deux semaines ... » dit la voix mourante de Léa. « Je suis une femme très bien baisée, je dirais même monumentalement bien baisée par ton grand sauvage de frère, Gabi! »

« J'ai bien vu qu'il s'est amélioré » répondit-elle. « il faudra que je le réessaye après les examens mais pour le moment, j'ai mon compte aussi » dit-elle en déposant un baiser sur la joue de son amant blanc.

« Comment s'est passé le déplacement avec Soise et Lulu? » demanda Loïc

« On a fait une mini croisière sur le Canal Saint-Martin et ... »

« Crétin! C'est le score qui m'intéresse! »

« Le C.U.L. gagne par 78 à 62 ; Gabi a marqué ... »

« Je vais le frapper! Combien d'orgasmes? Abruti!»

« Haaa, fallait le dire! Moi 6, Lulu 7 ou 8 et Soise ... au-delà de dix, j'ai arrêté de compter! Elle est trop forte! »

« En même pas 24h, c'est pas mal du tout! »

« On a un peu triché dans le train ... Tu connaissais les toilettes PMR? »

« Non mais je sens qu'on va étudier le sujet la saison prochaine! »

Sur ces entrefaites, Gabi s'était assise à côté de Léa toujours prostrée et lui caressait les cheveux.

« Ma pauvre chérie, on dirait qu'un banc de piranhas s'est attaqué à tes seins avant qu'un gorille ne joue tu tam-tam dessus! Demain, tu pourras les exhiber à côté du Drapeau ; ils seront rouges, blancs et bleu! »

« Et tu n'as pas encore vu mon pauvre minou ; j'ai l'impression que les grandes lèvres sont à 20 centimètres l'une de l'autre et que le col de mon utérus a reculé d'au moins autant! Sans parler de mon point J!»

« Tu veux dire ton point G? Pour ce qui est du minou, on est à égalité. C'est pas pour rien que Lulu a appelé mon petit blanc 'Bite d'Ane'! »

« 'G', c'était avant ; Quand Touss' m'a sautée, il a aussi fait sauter l'alphabet . on est au moins à 'J' et probablement plus loin! »

Loïc s'était lui aussi assis sur le lit et caressait la poitrine de son ami.

« Félicitations grand chef! Je n'ai jamais vu ma sœur aussi anéantie ou alors quand on s'y est mis à plusieurs avec Lulu et Soise! »

« Arrête de me caresser, tu me fais bander et je suis trop crevé ; ça fait mal! »

Taquin, Loïc soupesa les bourses noires

« Pourtant on dirait qu'il y a encore du stock ... tu veux que je te suce? »

« Plus tard peut-être . Maintenant, j'ai soif et j'ai faim! »

« Ah ces mâles », soupira Gabi. « Une fois leur bite satisfaite, ils ne pensent qu'à se goberger! »

« Qu'est-ce que c'est que ce mot -là? » demanda Loïc interloqué

« Cela vient d'une des expressions favorites de ma mère 'les femmes gambergent, les hommes gobergent ' . Autrement dit, vous ne pensez qu'à vous remplir le ventre! »

« Donne-moi une heure et je vais remplir le tien, femme! »

« Désolé mon beau mais tu devras attendre que j'ai fini d'étudier, ce que tu ferais bien de faire aussi d'ailleurs! »

Les jours suivants furent de nouveau très calmes pour Toussaint, du moins sur le plan sexuel. Même Sylvie ne donnait plus signe de vie. Le seul moment important fut son rendez-vous chez le chirurgien qui ôta les points de suture et remplaça le volumineux bandage par un fin pansement compressif qu'il pourrait ôter lui-même vers le 15 juin.

(« J'aurais bien aimé en être quitte pour le mariage du Doc mais ce serait idiot de prendre des risques à ce stade » soupira t'il)

Pour la première fois depuis qu'il connaissait Léa, il lui arriva même de se masturber pour se libérer de la pression qui l'habitait. Cela lui arrivait jadis dans son adolescence et de temps en temps plus tard quand il n'avait que Gabi qu'il n'osait pas toujours solliciter vu son entraînement sportif mais avec Léa, c'était plutôt l'inverse. Il comprenait bien entendu sa volonté farouche de réussir ses examens et se réjouissait même de son influence sur Gabi mais il souffrait de son isolement.

C'est donc avec une joie non dissimulée qu'il prépara puis se rendit au mariage du Doc et de sa Dame. Sylvie l'avait déjà réservé alors que Soise et Lucie lui avaient bien fait comprendre qu'elles comptaient sur ses services le même jour.

Sylvie l'accapara dès la fin de la cérémonie et ils trouvèrent refuge dans une des chambres du premier. Il lui fait l'amour dans toutes les positions sous le regard dégoûté de Caroline. Il ne s'en formalisa pas ; il avait bien compris que son aversion ne venait pas de la couleur de sa peau mais de son sexe. Il aurait pu être blanc, jaune ou vert qu'elle l'aurait regardé de la même façon à la limite du haut le cœur.

Il prit un malin plaisir à s'exhiber le plus possible, brandissant son énorme verge comme un étendard avant de pourfendre Sylvie avec une vigueur qui la laissa pantelante. Il lui fit subir le « Toussaint spécial » avant de la laisser se défoncer la chatte en cow-girl puis il la prit en levrette tandis qu'elle essayait de brouter le miel de sa compagne . Il la martela avec un tel entrain qu'elle ne parvenait pas à s'occuper convenablement de sa femme, ne parvenant qu'à l'exciter sans pouvoir lui offrir l'assouvissement.

Lorsqu'après son quatrième orgasme, Sylvie finit par s'effondrer sur le lit quasi inconsciente, Caro, au bord de la crise de nerf, renversa le grand mêle et l'enfourcha et s'empala péniblement sur la bite monumentale en geignant des insultes supposées compenser le plaisir qu'elle prenait à se faire emmancher

« Immonde bite ... aaaahh ... orduuuure de mââ aah le! Ton chibre est oooh infect! .. Je te hais .. aah .. fonica .. aah .. teur! Tu me déchiiiiires ... sauvage .. oooh ... «

Surexcité par cette femelle rétive, Toussaint lui enserra les hanches dans ses énormes mains et la fit monter et descendre sur sa verge pleinement érigée ; ne lui laissant aucune possibilité d'encore dicter son rythme ou sa loi

« Lâche- moi , brute .. ooh .. arrête .. aaah .. pas ça .. je .. vais .. jouir .. sur .. ta bite .. obscène ... NON! PAS CA! .. PAS TON .. OOOOH .. SPERME .. AAAAHHH INFA AAAH ME! »

Toussaint la maintint empalée jusqu'à la garde sur son sexe en feu tandis qu'il se vidait avec une double délectation dans le vagin contracté de la lesbienne ravagée par l'orgasme le plus détestable de sa vie. Elle s'abattit sur le mâle agresseur en gémissant et en le griffant jusqu'au sang, sanglotant sa jouissance et sa révulsion dans le même temps.

Lorsqu'il eut fini de se soulager en elle, elle se roula en position fœtale et Sylvie vint la recouvrir en lui murmurant une cascade de mots tendre en faisant signe à Toussaint de prendre l'enveloppe sur ses vêtements et de les laisser. Elle lui fit un clin d'œil et un sourire tandis qu'il se rhabillait. Il avait bien mérité sa 'gratification'.

Il but un verre de jus fruit avec le Doc avant que Lucie ne lui tombe dessus. Elle l'emmena sans aucune gêne à travers le jardin, déclenchant au passages des regards surpris voire jaloux ou malveillants. Une fois arrivés dans la chambre de Soise, elle s'appuya au mur et, lui prenant la main, lui fit explorer le côté de s cuisse droite dénudé par une longue fente dans sa robe. Il fut particulièrement excité par l'idée qu'elle lui était ainsi offerte sans défense, surtout lorsqu'il découvrit que la hauteur de la fente interdisait le port d'un slip.

Il passa sa main à travers la fente sous la robe et s'empara de sa conque déjà bien imprégnée de mouille.

« Mmh » fit -il, « tu m'as l'air en forme, Lucie! »

« J'ai surtout besoin d'être bien baisée mon grand mâle . Tu vas me baiser, dis? »

Pour toute réponse, il introduisit son majeur dans sa vulve et, d'une seule main, la souleva du sol.

« OOOHH! TOUSS' .. »

Il la maintint en l'air pendant que, de l'autre main, il dénudait sa poitrine nue sous cette robe de pécheresse . Il la hissa encore un peu plus haut jusqu'à ce qu'elle puisse entourer ses reins de ses jambes ; la robe retombant à moitié autour de leur deux corps. Ses mains abandonnèrent son sexe et ses seins pour la soutenir sous les fesses tandis qu'elle se déhanchait pour positionner sa chatte sur la verge géante. Elle dut forer un peu pour la faire pénétrer en elle mais bientôt elle sentait l'énorme présence lui distendre le vagin.

« Vas-y mon Toussaint » gémit-elle, « bourre mon minoou! Ecartèle-moi avec ta bite de gorille en rut! Défonce-moi dans le mur! »

Il y alla de bon cœur, l'amenant très vite à un premier orgasme qui l'aurait fait tomber s'il ne l'avait pas tenue aussi fermement. Il lui laissa à peine le temps de reprendre ses esprits qu'il recommença à la marteler contre le mur. Il la pistonna pendant une dizaine de minutes, la faisant geindre en continu tandis qu'elle montait en puissance vers la jouissance. La porte à côté d'eux s'ouvrit et il faillit lâcher sa cavalière jusqu'à ce qu'il reconnaisse la tignasse rousse de Françoise. Juste à ce moment, Lucie jouit pour la deuxième fois t même encore plus violemment que la première

« AAAHH! .. TOUSSAINT ... ENCORE .. PLUS FORT ...! BOURRE-MOI!

Françoise se glissa dans l'espace laissé libre et referma précipitamment la porte avant que les cris de son amie n'alertent les autres invités.

Toussaint poussa un sourd grognement, empala Lucie encore deux fois et s'immobilisa.

Lucie redescendit péniblement à terre et lissa sa robe qu'elle n'avait pas ôtée pendant son sauvage accouplement et embrassa Françoise.

« Ouf! Ma chérie, j'ai l''impression d'avoir été passé à la moulinette. Cette Léa! Elle sait choisir ses hommes! Heureusement que j'avais choisi cette robe fendue ; c'est la plus pratique»

« Surtout qu'avec une fente aussi haute, tu ne peux pas mettre de slip! »

Françoise regarda Toussaint qui débandait lentement.

« Et maintenant qu'il s'est déversé en toi, comment vas-tu faire pour qu'on ne voie pas les traces dans deux minutes? »

« Qui te dit que j'ai envie de cacher que j'ai été somptueusement baisée? »

« Salope! »

« Jalouse! »

Elles éclatèrent de rire et s'embrassèrent. Toussaint en profita pour avaler en cachette la dose de 'pot lillois'.

« Toussaint, j'ai une folle envie de subir le même sort que Lulu mais je suppose que tu es hors combat pour un bout de temps? »

« Avec toi Soise, ce ne peut être que très temporaire! »

« On va arranger ça! Lulu, pour te faire pardonner, suce le pour me le rendre dans l'état où tu l'as trouvé! Moi je m'occupe du haut! »

Pendant que Lucie s'accroupissait et prenait le phallus géant dans sa petite bouche, Françoise baissa le haut de sa robe sans bretelle, offrant ses seins aux mains du géant noir tout en relevant la tête pour qu'il l'embrasse .

Comme tous les hommes hétérosexuels, quelques homos et une bonne partie des lesbiennes, Toussaint était incapable de résister aux seins de Soise. Il les broya dans ses grandes pattes et elle gémit de bonheur dans sa bouche, heureuse d'avoir un mâle aussi puissant à sa disposition. Le jeune homme sentit sa verge durcir à nouveau dans la bouche serrée de Lulu. Soit l'élixir du Docteur Lévèque faisait de l'effet bien avant l'heure, soit les seins de Soise avaient un effet magique sur lui.

Lulu dut abandonner le combat face à la monumentale verge d'ébène qui avait retrouvé toute sa splendeur. Comme avec Loïc, elle ne parvenait pas à contenir un monstre de cette taille dans sa bouche. A regret , elle se releva et donna l'accolade au couple enlacé.

« Je vous laisse vous amuser ; je vais répandre la bonne parole dans le jardin! »

« Chic, Toussaint pour moi toute seule! J'espère que tu es en forme mon beau mâle , j'ai envie que tu me baises deux fois plus fort que cette gringalette! »

« Viens ici ma belle! »

Il la renversa sur le lit et troussa sa robe jusqu'aux hanches

« Tu n'as pas non plus de slip! »

« Je n'ai jamais prétendu en avoir un! »

Il lui écarta les jambes et se coucha sur elle.

Elle était tellement ouverte et moite de désir qu'il n'eut aucun mal à trouver l'ouverture et entama une lente pénétration dans le vagin palpitant.

« Touss'! J'avais dit en en force! Cruel! Tu veux me faire grimper au plafond »

Il ne répondit pas, continuant sa progression avec la même provocante lenteur, bloquant ses hanches avec son bassin pour l'empêcher de venir à sa rencontre. Les nerfs en pelote, elle le mordit à l'épaule juste au moment où il arrivait en fin de course ; sa verge géante emplissant complètement le vagin palpitant.

Il démarra alors ce que Léa appelait le « Toussaint Spécial » , écrasant la femme pantelante sous lui, il commença à la pilonner comme un forcené, ne lui laissant aucune possibilité de bouger sous lui. Soise gémit puis délira de bonheur

« Enfin ... c'est ça ... qu'il me .. fallait .. ooh ... Touss .. Baise ta .. femelle en ... chaleur ... massacre-moi ... la chatte ... oui ... tu es le plus fort... oooh TOUSS' .. je suis à toi ... »

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LazarusHarshawLazarusHarshawil y a environ 9 ansAuteur
Désolé

la suite est en attente d'approbation par Literotica depuis dix jours mais plus rien ne bouge. Eventuellement, si vous me laissez une adresse mail, je peux vous l'envoyer par courriel !

Lazarus

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