Les Jumeaux D'amour Ch. 09

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« Lé..a , il va .. m'avoir.. gros .. sexe ... trop .. bon .. »

« Gab .. viens.. moi.. au..ssi . Tenir .. encore .. peu .. »

Toussaint donna le signal de l'explosion finale en logeant en beuglant son obélisque de jais tout au fond de la vulve rose de Léa qui explosa quasi simultanément, écrasant les mains de Gabi qui se contorsionna à son tour pour déclencher l'orgasme salvateur de son propre amoureux.

Tous quatre s'effondrèrent sur les matelas sous les applaudissements de l'assemblée émue par cette démonstration de puissance sensuelle.

Petit à petit, la soirée reprit un cours plus sage ; les garçons évacuèrent les matelas, les filles se remirent à danser mais avec une préférence pour les slows et à quelques reprises, des couples et un trio s'éclipsèrent vers l'étage pour profiter de la literie disponible.

Au petit matin, les dernières combattantes abandonnèrent la partie et reprirent le chemin de leur foyer non sans s'échanger quelques promesses de nouvelles sorties plus ou moins érotisées. La prochaine saison du C.U.L. s'annonçait d'ores et déjà torride.

Les quatre amants s'effondrèrent sur leurs lits . Loïc s'installa en cuillère avec Gabi, la verge bien calée dans la raie de ses fesses et ils s'endormirent instantanément. Léa se prépara à dormir sur le dos et Toussaint se coucha sur le ventre passa une jambe sur une de celle de Léa et sa grande patte vint envelopper son sein droit.

« Léa je t'aime » murmura t'il « Et même si je baise encore un million de filles, tu seras toujours la seule à qui je fais l'amour! »

« Idem, mon ... » elle s'endormit comme une souche.

Ils ne se réveillèrent que vers midi et, sans prendre le temps de se laver, entamèrent une course contre la montre pour remettre la maison en ordre avant le retour des parents Delmotte. Les filles bourrèrent la machine à laver avec les draps de tous les lits qui étaient maculés d'humeurs diverses puis nettoyèrent toutes les pièces avant de refaire les lits avec des draps frais tandis que les garçons évacuaient un tombereau de bouteilles vides et de plats devenus immangeables. Puis ils nettoyèrent le rez-de-chaussée et remirent les meubles en place . Ils étaient tous deux restés nus vu que leurs pubis étaient assez irrités par la multitude d'entrejambes féminines qu'ils avaient visitées dans la nuit. Ils avaient bien utilisé de la pommade adoucissante mais préféraient malgré tout ne pas porter de vêtements aussi longtemps que possible. Ils durent bien se résoudre à passer sous la douche et à se rhabiller peu avant 17 heures et redescendirent en marchant un peu comme des canards sous les quolibets de leurs sœurs et amantes.

Cécile avait envoyé un texto à Léa pour lui signaler qu'ils ramenaient de quoi dîner aussi la bande des quatre s'installa dans le divan et le fauteuil pour prendre un apéro léger en les attendant. Ils n'eurent pas à attendre longtemps ; peu avant 18 heures, le moteur de l'Espace retentit dans l'allée du garage. Les quatre se levèrent plus ou moins péniblement pour aller accueillir les voyageurs du week-end qui entrèrent les bras chargés de victuailles. Loïc fit signe à Toussaint et , après avoir embrassé Cécile, Jean et Anne-Marie, ils ramenèrent les bagages et les déposèrent au premier.

Après avoir jeté un coup d'œil circonspect sur l'état des lieux, Cécile se détendit un peu et entraîna sa fille dans son ancienne chambre .

« Alors ma chérie, tu n'as rien à me raconter à propos des Sawané? »

« Pas grand-chose Maman, Loïc couche avec Gabrielle et moi avec Toussaint .. »

Cécile fut un peu estomaquée par la candeur de sa fille

« Tu veux dire que vous sortez ensemble? Que vous êtes bons amis? »

« Non Maman, on couche .. Tu as vraiment besoin d'une description? »

« Non, non.. je suis un peu surprise c'est tout ...Ils sont très bien mais ils ne sont pas vraiment du même milieu que nous .. »

« Maman! Qu'est-ce que cela a à voir avec les sentiments? Est-ce qu'Anne-Marie vient du même milieu que nous? »

« Qu'est-ce que tu veux dire? » demanda Cécile tout d'un coup très rouge d'embarras

« Tu le sais parfaitement. Ne me dis pas qu'elle ne couche pas avec Papa! »

... « Pas seulement avec ton père » murmura Cécile

Ce fut au tour de Léa d'être désarçonnée mais sa maturation sexuelle des derniers mois l'aida à se reprendre.

« Ca me rassure! Je craignais que tu te soit laissée faire mais si vous la partagez, c'est nettement mieux! »

« Ca ne te choque pas? »

« Pourquoi est-ce que je serais choquée parce que ma mère fait ce que je fais? »

« Parce que toi aussi? »

« Et bien plus que toi Maman! »

« Moi qui te prenait pour une oie blanche! »

« Je dois te décevoir ... ou te réjouir , hi hi »

Elle embrassa sa mère

« A l'occasion, il faudra qu'on se fasse une sortie mère-fille pour nous raconter nos débauches » (« mais quand même pas toutes! »)

« Bonne idée, allons rejoindre les autres! »

Jean était occupé à ouvrir des huîtres en expliquant le tour de main à un Toussant plus qu'intéressé tandis que Loïc et Gabrielle mettaient le couvert et qu'Anne-Marie présentait pâté au cidre et cochonnailles bretonnes sur la table.

Jean demanda soudain à Toussaint « J'y pense Toussaint, si vous êtes musulman, dîtes-le , nous avons aussi un reste de poulet froid et des œufs de notre pique-nique de ce midi si vous ne voulez pas manger de porc! »

« Pas de problème Mr Delmotte, mon père était catholique et ma mère athée. Gabi et moi , nous avons été élevés entre les deux mais sans a priori pour le porc! Ceci dit, nous ne sommes pas trop familiarisés avec les cochonnailles ; il n'y a pour ainsi dire pas de cochons au pays!»

« Tu peux m'appeler Jean , tu sais, je me sentirai un peu moins vieux! Tu veux essayer d'ouvrir ta première huître?»

La conversation à table roula d'abord sur la fête --« on a dansé jusqu'au petites heures »- puis sur le week-end en Normandie -«on s'est beaucoup promené sur les plages »- . Léa jeta un regard appuyé à sa mère qui rougit à nouveau mais semblait quand même un peu amusée de savoir sa fille dans le secret de leur triangle amoureux.

Anne-Marie donna aux jumeaux des nouvelles de Tahira qui semblait filer le parfait amour avec son Karim.

Les huîtres avalées, ils firent honneur aux charcuteries normandes et bretonnes accompagnées bien entendu de cidre local

« Mais d'où vous vient cet amour du cidre? » demanda Loïc entre deux gorgées appréciatrices.

« C'est une longue histoire » répondit Jean mais pour faire court, disons que sans un cruchon de cidre partagé par deux jeunes clients solitaires d'une crêperie il y a vingt-deux ans, ben, vous ne seriez probablement pas là! »

« Vive le Cidre alors « s'exclama Loïc

Gabi se leva soudainement et alla chercher une enveloppe blanche dans son sac .

« Je voudrais profiter de votre présence à vous tous pour obliger mon frère Toussaint à accepter ce cadeau qui en plus ne vient pas de moi seule » dit-elle et elle tendit l'enveloppe à Toussaint

« Qu'est-ce que c'est? » demanda Anne-Marie qui ne pouvait pas réfréner sa curiosité alors que les jumeaux regardaient ostensiblement en l'air

Le frère de Gabi ouvrit l'enveloppe et .. devint pâle

« C'est une facture pré-réglée pour une opération de chirurgie esthétique » dit-il d'une voix blanche « Gabi! Comment as-tu pu! Pense à tes études! tu dois te faire rembourser! tu ... »

Cécile lui enleva le document des mains « Je ne crois pas que ce soit possible Toussaint . Il n'y a pas de clause d'annulation . J'ai bien peur que vous ne soyez forcé d'accepter »

« Mais d'où vient l'argent? »

« J'ai reçu une très grosse prime pour la victoire en championnat et tous nos nouveaux amis ont contribué pour la différence «

« Gabi ... »

« il y a une carte dans l'enveloppe ; j'y ai écrit les noms de tous ceux que tu dois remercier mais tu peux déjà commencer par ces deux-là » dit-elle en montrant les jumeaux assis en face d'eux.

Le grand Toussaint se leva et alla les embrasser. Loïc sur la joue et Léa sur la bouche qui maintint le baiser un peu trop longtemps, juste pour faire passer le message.

Elle toucha la balafre « Elle va quand même peu me manquer celle-là »

« Pas à moi! » répondit son amant en éclatant de rire.

Le week-end suivant devait être studieux vu la proximité des examens de fin d'année mais Toussaint leur prépara une moambe le samedi midi, décrétant une pause pour la soirée.

« Lundi, je vais être opéré, le week-end prochain a lieu la finale de la coupe et vous êtes et serez plongés dans vos bouquins jusqu'au début juillet. Ce soir, c'est notre dernière occasion de faire la fête -- sagement! »

Il fit la vaisselle tout seul pour leur permettre de se replonger dans leurs bouquins puis disparut pour les laisser étudier à leur aise.

« A 18 heures tapantes, vous arrêtez. OK? »

A 17h59, Gabrielle redescendit de son appartement au moment où les jumeaux rangeaient leurs livres et ordinateurs .

« Toussaint n'est pas encore là? »

On sonna à la porte, deux fois, le code habituel de Touss'. Léa lui ouvrit via le parlophone et à 18 :00 :47 , le géant faisait son apparition avec un sac bien rempli.

« Bien, je vois que tout le monde a respecté le timing! »

Il embrassa Léa passionnément puis sa sœur avec à peine moins d'enthousiasme.

« Mes amours, puis-je vous demander de vous déshabiller pendant que je confère dans la chambre avec mon petit frère »

Les deux filles obtempérèrent, frétillant par anticipation en se demandant quel jeu Touss avait bien pu inventer. En bonnes représentantes du sexe féminin, elles prirent bien soin de ranger convenablement leurs vêtements au fur et à mesure qu'elles les ôtaient.

Lorsqu'ils revinrent, ils firent assoir les filles chacune sur une chaise qu'ils disposèrent face à face , parallèlement à la table de la cuisine. Loïc prit alors dans le sac une boule faite d'une longue lanière de soie blanche et en tendit une autre, noire, à son compère. Toussaint commença à ligoter Léa à sa chaise, l'emmaillotant presque complètement autour du dossier et des pieds de la chaise sauf les seins et le bassin.

La vue était tout à fait spectaculaire : deux splendides jeunes filles immobilisées par la soie de la couleur de l'autre qui offraient leurs organes sexuels sans défense à la convoitise de deux mâles en rut. Elles se regardèrent avec un sourire, tout aussi excitées par la vision de leur vis-à-vis que ne l'étaient les garçons.

Mais elles n'étaient pas au bout de leurs surprises car Toussaint prit Loïc par l'épaule et leur déclara

« Nous avons omis de vous dire que nous avons suivi une petite thérapie chez Doc Lévèque il y a deux semaines et nous sommes ravis de pouvoir vous en présenter les résultats. Il se tourna vers son frère blanc et l'embrassa avec autant de feu qu'il l'avait fait pour les filles. Loïc se colla à lui et lui rendit son baiser en enlaçant le cou du géant.

Les filles étaient pétrifiées de surprise et ouvraient des yeux comme des soucoupes, surtout Gabi qui connaissait l'aversion de son frère pour l'homosexualité. Les garçons se déshabillèrent l'un l'autre en essayant de ne pas interrompre leur baiser. Lorsqu'ils furent entièrement nus, les filles découvrirent les deux sexes géants glorieusement dressés l'un contre l'autre et Léa gémit ; elle commençait à comprendre dans quel traquenard elles étaient tombées. Gabi haletait déjà ; a vue des verges de son frère et de son amant avait fait monter sa température interne de plusieurs degrés.

Toussaint s'approcha de Léa et suça ses tétons pour les rendre le plus dur possible tandis que Loïc en faisait autant avec Gabi. Ils prirent alors des chaînettes dans le sac auxquels étaient fixés trois objets. Les deux premiers étaient des pincettes qu'ils fixèrent aux tétons de leurs compagnes tandis que le troisième était un poids qui exerça immédiatement une traction sur les chaînettes, envoyant des impulsions de douleur-plaisir dans la poitrine des filles.

Léa voulut parler mais Toussaint avait vu les choses en grand et il sortit de son sac deux colliers à boule-bâillon qu'ils enfoncèrent dans leurs bouches. Ils se masturbèrent l'un l'autre en contemplant leur œuvre d'un air satisfait. Puis toussaint annonça

« Et maintenant le clou du spectacle très chères! Cela fait maintenant dix jours que je m'entraîne en cachette ; j'espère que ce sera suffisant»

Il sortit un tube de lubrifiant de l'inépuisable sac et en enduisit copieusement la verge hypertrophiée de son ami puis il lui tendit le tube et se pencha vers la table , s'appuyant sur ses avant-bras et présentant son arrière-train musculeux en direction de Loïc. Celui-ci en mit sur deux de ses doigts et les enfonça dans l'anus du géant noir.

Leur jeu était maintenant clair et les deux filles protestaient énergiquement, réclamant sans doute que les deux mâle s'occupent d'elles au lieu de perdre leur énergie entre eux mais seuls des gémissements très étouffés passèrent l'obstacle de la boule. Entretemps, Loïc avait pointé son énorme braquemart contre l'entrée du rectum de son frère africain. Il poussa, poussa et son gland finit par s'emmancher dans l'étroit conduit. Toussaint ne put s'empêcher de le supplier

« OUCH! Doucement Lolo! Je suis encore vierge! »

Loïc lui laissa un moment pour que son anus s'adapte au colossal mandrin qui le dilatait monstrueusement puis repris sa progression

« AARGH! Con.. ti .. nue.. Montre.. aux filles .. comment .. deux .. hommes.. s'aiment .. AARGH! »

Implacablement, Loïc continuait à enfoncer sa bite dans le rectum de son ami jusqu'à ce que dans une dernière poussée, il se trouve complètement fiché en lui. Il essuya la sueur sur son front d'un revers de la main et dit

« Ton cul est délicieux grand frère ; je vais prendre mon pied à te sodomiser comme une gonzesse! » dit Loïc en entamant un lent va et vient

« Salaud .. AARGH! Vas-y! ..Encule-moi ... avec ta grosse bite blanche .. »

« Plus grosse que la tienne .. »

« Oui .. plus .. grosse .. si .. grosse! AARGH! »

De la bave s'échappait de la bouche de Léa tandis qu'elle agitait ses seins, la seule partie encore mobile de son individu pour essayer d'envoyer le poids contre son clitoris ou en espérant que les tractions sur ses tétons finissent par lui procurer un soulagement orgasmique même réduit.

Gabi n'était pas en meilleur état mais plus souple que son amie, elle avait réussi à coincer le poids entre ses deux hauts de cuisses et frottait avec délectation l'objet métallique contre son clitoris enfiévré.

« Regaaar.. de ta sœur .. aaah ...elle .. triche .. ooh j'aime .. ton cul! »

« AARGH.. ta bite .. me .. tue .. Gabi.. tu ... seras .. la ... suivan.. te! »

« Mmmmh iiii! »

« TOUSS' .. ELLE .. JOUIT ..! ET MOI.. AUSSI .. DANS .. TON CUL! AAARRHH! »

Loïc s'écroula sur le dos du géant et le couvrit de petits baisers.

« Merci mon beau! C'était très bon! »

Sa bite ramollie fut expulsée de l'anus de Toussaint qui se releva avec soulagement

« il est temps que je pense un peu à moi » dit-il en se dirigeant vers sa sœur. Dans son coin, Léa protesta en s'agitant en vain sur sa chaise. Elle émettait des sons indistincts « A .. OUA .. MMh .. OU .. A » qui devaient sans doute indiquer sa volonté désespérée de passer avant Gabi mais Toussaint ne tint pas compte de ses suppliques ; il libéra Gabi et lui fit prendre sa place sur la table. Sans transition, il la pénétra avec un soulagement évident et passa tout de suite à la cadence de guerre. Mais alors qu'il sentait le vagin de sa sœur se contracter autour de sa verge, il fit un effort surhumain sur lui-même et se retira de la vulve palpitante.

Il enduisit l'entrée de l'anus de Gabi d'une épaisse couche de lubrifiant avant d'en faire autant avec sa verge puis se tournant vers Loïc

« Tu permets frérot mais tu as déjà eu la virginité de ta sœur ; il n'est que juste que je prenne celle de la mienne »

Loïc s'avança pour embrasser sa petite amie, lui caressa les seins puis, passant la main sous son ventre, commença à caresser son clito

« Vas-y Touss' , je m'occupe d'elle! »

La cambrure des reins de Gabi facilitait l'invasion de ses fesses et son frère en profita pour ficher son gland entièrement dans l'anus de sa sœur dès la première poussée. Elle cria de surprise autant que de douleur mais Loïc compensa habilement en accélérant ses caresses clitoridiennes. Prise entre deux feux, la belle basketteuse laissa son grand frère lui dilater l'anus et la sodomiser de plus en plus vigoureusement jusqu'à ce qu'il éclate en elle en beuglant. De son côté, Loïc abandonna le clitoris de Gabi et pénétra son vagin béant avec trois doigts. Au bout de trois autres assauts, elle jouit elle aussi , miaulant son plaisir.

Loïc regarda sa sœur qui était dans un état de frustration indescriptible et, se souvenant de sa propre séance de torture, pris les Sawané par les épaules en disant « Venez, allons nous débarbouiller, on s'occupera de Léa plus tard ... ou pas! »

Dix minutes plus tard, rafraîchis, ils étaient de retour... avec un plan bien au point car Gabi s'accroupit devant Léa. Loïc puis Toussaint vinrent lui présenter leurs verges semi-flaccides à tour de rôle pour qu'elle leur rende toute leur vigueur. Sans la boule qui lui obstruait la bouche, Léa aurait certainement hurlé des obscénités. Elle avait trempé la chaise de sa cyprine qui s'écoulait de son vagin béant.

Enfin, son frère eut pitié d'elle et la libéra. Elle arracha la boule-bâillon et lui sauta dessus. Plongeant sa langue dans sa bouche pour la violer, elle noua ses jambes autour de ses reins et essaya désespérément de s'empaler sur lui.

« Baise-moi! Mais bon sang, baise-moi! »

Bonne fille, Gabi se chargea de l'introduction de la verge fraternelle dans la vulve de son amie

« AAAAHHH! EENNFFFIINN!!! »

Elle avait à peine hurlé son soulagement qu'elle sentit deux énormes mains saisir ses hanches et une grosse bite bien lubrifiée se présenter contre son sphincter

« TOUSSAINT! NOON! PAS LES DEUX! VOUS ALLEZ ... AÏÏÏÏEEEÏÏϨ! »

Elle avait été tellement frustrée par les scènes de débauche auxquelles elle n'avait pu participer que son anus s'était dilaté de lui-même, comme si elle appelait une pénétration par là aussi. Toussaint en profita pour emmancher gaillardement sa verge noire en elle et trouva tout de suite un rythme de moteur deux temps avec son complice Loïc.

« AAAHH! MONSTRES! AAHH! MON .. VENTRE .. PLEIN... EXPLOSER!!! »

Les garçons accélérèrent et les cris de Léa montèrent d'une octave

« AAÏÏÏ! JOUIS ENCORE! ... DONNEZ-MOI ... DONNEZ-MOI!!! AAAHH! »

Toussaint rendit les armes le premier. Enlaçant sa femme blanche et son beau-frère dans ses bras d'ours, il jouit au fond des fesses de Léa en lui mordant légèrement l'épaule

Loïc était lui-même au bord de l'explosion et matraqua le vagin de sa sœur jusqu'à ce qu'il se vide en elle, déclenchant un troisième orgasme particulièrement violent chez elle. Ses jambes lâchèrent prise et elle serait tombé si ses amants ne l'avaient soutenue dans leurs bras puissants ... et de leurs bites toujours arrimées en elle

Gabi regardait le trio avec envie

« Dites les garçons, j'espère que vous avez des réserves parce que je veux aussi essayer votre sandwich! »

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