Les Jumeaux D'amour Ch. 09

Informations sur Récit
Les émois érotiques de Léa et Loïc Tome II Chapitre 9.
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Partie 9 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 01/14/2015
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Chapitre 9 : Délires et Débauches (I)

Quinze jours plus tard, les deux garçons officiaient dans la cuisine de la villa des Delmotte pour y préparer force plateaux de cocktails et de zakouski tandis que 20 filles déchaînées fêtaient leur victoire en championnat dans le living room et le salon. Loïc et Toussaint s'étaient donc retrouvés volontaires désignés pour le service de ces demoiselles. Jean avait bien proposé de payer les services d'un traiteur professionnel mais Léa avait refusé arguant que le prêt de la villa pour le week-end était déjà un très beau cadeau à l'équipe et que les garçons se feraient une joie de les aider. Cécile , Jean ET Anne-Marie étaient donc partis dès le vendredi matin pour la Normandie, laissant à Tara le soin de prendre les messages à l'agence.

Léa commençait d'ailleurs à se demander s'il n'y avait pas quelque chose de louche dans la relation de ses parents avec la jeune fille. C'était la troisième fois qu'elle partait avec eux en week-end alors qu'ils n'avaient jamais accepté une quelconque compagnie pour leurs escapades « Cécile et Jean ». Loïc ne semblait pas s'en soucier outre mesure (« évidemment, deux femmes pour un homme, cela lui semble normal ») mais Léa avait de plus en plus envie de tirer cette affaire au clair avec sa mère . (« Et qu'elle ne me joue plus le coup d'Annie la Pauvre Orpheline ; il y a de la coucherie là-dessous!»)

Pour l'heure, elle dansait avec ses camarades du club en attendant les jeux de minuit qu'elles avaient préparé dans l'intimité de leur vestiaire. Certaines filles, plus 'chauffées' que d'autres par l'alcool et la danse avaient déjà tombé le maillot et dansaient en soutien voire seins nus pour deux d'entre elles peu gâtés au niveau de la poitrine. Les garçons regardaient toute cette agitation d'un œil goguenard qu'ils rinçaient au passage.

Ils savaient que les filles avaient l'intention de profiter au maximum de cette soirée vu que leur dernier match de l'année, la finale de la coupe de France 'universitaires', tombait au début de la période des examens et qu'elles n'auraient plus l'occasion de fêter un succès ou de noyer leur chagrin. Leur première place au championnat avec trois points d'avance sur les Parisiennes était donc leur seul défouloir après une saison riche en émotions

Loïc venait de remplir pour la xième fois le lave-vaisselle en grimaçant une fois de plus en se baissant. Depuis la fin de sa peu glorieuse saison de hand ball, il s'était mis aux sports de combat sous la férule d'un Toussaint qui semblait trouver très drôle de l'envoyer explorer les quatre coins du tatami en vol plané. Il en résultait une belle collection de bosses et d'hématomes de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel qu'il avait renoncés à compter.

Tout en le harcelant quotidiennement, Toussaint était secrètement fier de son élève qui mettait une détermination farouche à progresser sur ses traces même si certains mouvements se révélaient parfois douloureux par la suite comme, par exemple ce soir, ses flexions de lombaires.

Minuit sonnait déjà à l'horloge du salon et la musique baissa soudainement d'intensité tandis que les filles se mettaient à chanter sur l'air des lampions

« Le Sexathlon! Le Sexathlon! »

« Oh ho dit Toussaint à son compère . On va avoir du spectacle ... »

« A moins que ce ne soit nous qui en soyons le clou , Senseï! » répondit le plus jeune un peu craintif quant à l'imagination des joueuses.

Il se souvenait que trop bien de sa séance de 'torture', immobilisé sur sa chaise pendant que les filles se livraient à une bacchanale masturbatoire devant ses yeux impuissants.

Gabi vint les chercher dans la cuisine

« Les garçons, vous êtes attendus dans le salon! »

Elle prit la tête et les introduisit dans le salon ou deux matelas étaient apparus comme par magie au milieu de ce qui était jusqu'alors une piste de danse.

« Les filles, je vous présente nos invités d'honneur : 'L'Etalon Noir et Bite d'Ane! »

Léa continua « Le groupe de Jacqueline côté Bite d'Ane ; celui d'Olga côté Etalon Noir! Je vous rappelle les règles : c'est le premier groupe où toutes les filles auront eu un orgasme qui gagne le droit de traire nos zèbres!

Vous choisissez la position qui vous convient le mieux. Si vous ne parvenez pas à vous faire baiser parce que vous êtes trop étroites, vous avez le droit d'utiliser leurs bouches et leurs mains après deux tentatives infructueuses! »

« Léa .. » commença Toussaint

« Chhuut mon bel étalon, j'ai promis aux filles qu'elles auraient droit à un moment unique dans leur vie cette nuit si elles gagnaient le championnat et c'est toi qui offre la tournée. Rend-moi fière de toi ... et n'oublie pas que tu es en compétition avec 'petit frère' ce soir! »

Elle le mena à côté d'un des matelas et commença à le déshabiller lentement sous les sifflets des filles de son groupe. Après la disparition de la cravate et de la chemise, son torse recueillit pas mal de lazzi et de cris d'admiration malgré les cicatrices. Mais les cris redoublèrent lorsqu'elle eut enlevé le pantalon, dévoilant la monstrueuse bosse sous son boxer.

Gabi en était arrivée au même point de son côté et elle consulta Léa du regard qui hocha la tête. Les deux filles s'agenouillèrent derrière leurs hommes et baissèrent les caleçons en même temps dévoilant la paire de canons qui allaient être les vedettes de la soirée.

Il y eut un moment de silence troublé uniquement par la musique de 'Guns and Roses' puis ce fut un concert d'exclamations, admiratives pour les unes, surprises pour la plupart et même un ou deux cris de désespoir.

Gabi et Léa, en bonnes propriétaires, firent faire 360° à leurs hommes en caressant les parties les plus significatives : épaules, torses, fesses, cuisses et bien entendu les énormes verges et les bourses gonflées par l'excitation.

Les garçons s'étaient assez vite mis au diapason et roulaient un peu des mécaniques tout en faisant jouer leurs muscles pelviens pour agiter leurs membres d'une manière qu'ils espéraient assez suggestive pour mettre les filles de leur groupe en transe et les préparer à l'ordalie qui les attendait. Les deux capitaines s'étaient déjà dévêtues et Olga s'approcha de Toussaint en lui demandant de s'allonger sur le dos.

Le grand franco-malien s'exécuta et la grande blonde l'enfourcha. Son pubis n'était pas glabre mais couvert d'une toison très claire et soigneusement taillée qui mettait en valeur son sexe déjà brillant. Elle empoigna la verge du garçon et la présenta entre ses grandes lèvres et sans plus de préparatifs, s'empala dessus d'un seul coup. Ou plutôt tenta de s'empaler car le gland resta coincé dans l'entrée des délices.

Sans se laisser démonter, elle roula des hanches, remonta un peu puis réessaya, parvenant à progresser de près de cinq centimètres sur l'obélisque d'onyx.

« c'est monstRRRe les filles » dit-elle avec son fort accent russe « mais Olga peut le faiRRR! »

Heureusement, elle mouillait abondamment et la lubrification ne posait pas de problème mais son vagin avait du mal à se distendre suffisamment pour laisser passer en une fois la bite de Toussaint. Du coin de l'œil, ce dernier vit que les autres filles s'étaient déjà dévêtues et que plusieurs se caressaient déjà en matant le coït des deux géants.

De son côté, Jacqueline avait sucé Loïc, juste ce qu'il fallait pour bien humecter sa verge puis s'était mise à quatre pattes en offrant à Loïc de la prendre en levrette. Le garçon s'était exécuté d'autant plus volontiers qu'il n'était pas franchement excité par la poitrine plate et le visage un peu chevalin de la grande attaquante. Il progressait maintenant dans la vulve de la jeune femme au rythme des ondulations de son bassin qui dénotait d'une étonnante souplesse pour une femme de cette taille. Assez rapidement, il buta contre le col de sa matrice alors qu'il avait encore quelques centimètres à offrir.

Il commença alors à la prendre en puissance avant d'accélérer le rythme petit à petit. Jacqueline s'accrochait au drap qui recouvrait le matelas mais assez rapidement, ses bras lâchèrent prise et elles se retrouva arc-boutée sur ses coudes pour résister au Juggernaut qui la pourfendait. En même pas cinq minutes, elle se retrouva transformée en loque pantelante et gémissante, appelant son amant à redoubler d'efforts pour lui offrir l'orgasme qu'elle sentait monter en elle à la vitesse d'un express.

« OOOh, Les filles! ... Incroyab' ...! Vais .. jouir .. com' .. jamais ... jamais ... avant! Gabi ..! Merci ...! Trop oooh ..! BON! »

Loïc lui donna encore une demi-douzaine de coups de boutoir et elle s'écrasa sur le matelas qui étouffa ses cris de plaisir.

Il fallut l'aide de deux de ses coéquipières pour l'aider à se relever. Les jambes coupées, elle se laissa tomber dans un fauteuil . Une des autres filles en profita pour se présenter à Loïc en lui demandant de prendre la même position que Toussaint sur qui Olga avait enfin réussi à démarrer sa danse du ventre en geignant de plaisir-douleur.

La nouvelle cavalière de Loïc n'était autre que Nat dont Gabi lui avait vanté les prouesses sensuelles avec Hanna la masseuse et le garçon ne fut pas déçu. Plus en chair que sa leader, elle affichait une belle paire de seins bien fermes aux mamelons presqu'aussi larges que ceux de sa sœur. Il les caressa avec un plaisir non dissimulé tandis qu'elle s'empalait quasi sans difficulté sur la bite d'âne tant vantée. Elle eut un mini-orgasme qui l'immobilisa quelques secondes, juste le temps de dire

« ça ne compte pas! »

Et de se mettre à la chevaucher avec une énergie peu commune. Malgré son premier orgasme, elle fut rapidement ravagée par une jouissance spectaculaire qui la laissa pantelante au moment même où Olga s'écroulait elle aussi sur le torse de son amant.

Loïc se dit « Ouf, plus que 7 et Touss' doit encore en affronter 8! »

Pris par la sensualité débordante de ces filles décidées à se payer du bon temps, il commençait à douter de pouvoir tenir jusqu'au bout mais Gabi vint à sa rescousse

« T'en fais pas mon Lolo, si tu craques, j'ai le droit de te sucer jusqu'à ce que tu sois de nouveau prêt au combat! » lui dit-elle en s'accroupissant à ses côtés pour l'embrasser.

Une troisième fille s'était déjà juchée sur son membre et le chevaucha presque sans effort. C'était l'autre africaine du groupe , d'origine sénégalaise et qui semblait avoir déjà été pré-formatée pour les membres d'exception car, même si la verge de Loïc était maintenant parfaitement lubrifiée par les sécrétions de ses deux premières partenaires, elle glissa sur la bite géante avec une facilité déconcertante. Elle fut aussi plus longue à la détente mais son orgasme fut spectaculaire et ses cris montèrent dans l'aigu comme aucune fille avant elle « OUI.. OUI.. OUIIIIIIIIIIIII! ....C'EST BOOONN! ... OUIIIIIII! »

Entretemps, Toussaint avait refait une partie de son retard . Il faut dire que Léa avait un peu triché en suggérant à Louise, une grande fille brune qui aurait pu passer pour sa sœur, de se laisser prendre en missionnaire par son amant africain pour profiter de la sensation de domination absolue que le colosse pouvait exercer sur ses proies.

« Lé.. Léa ... Tu avais.. raison ... Suis une .. femelle .. prise .. par un mâle .. ENORME .. MALE! VAIS JOUIR, LEA, JOUIR .. DEJA .. TOUSS' ... N'ARRETE .. PAS! »

Elle donna des coups de reins tout le temps que dura son orgasme , terminant son tour complètement brisée par le plaisir. Les deux suivantes, plus qu'envieuses choisirent la même position tant et si bien qu'à mi-parcours, les deux garçons étaient à égalité , cinq filles hors combat chacun. A ce moment, Toussaint donnait des signes de fatigue et Léa lui ordonna de se remettre sur le dos pour récupérer mais ils reperdirent du temps avec la candidate suivante, la petite brunette qui relayait Gabi au poste de passeuse.

Malgré sa rivalité avec la jeune Malienne et toute la motivation qu'elle avait à battre le groupe de Gabi, la petite Isa ne parvint pas à faire pénétrer le membre du géant dans sa conque trop étroite. Léa finit par la saisir par les seins, la souleva et la déposa sur le visage de son amant.

« Vas-y Touss' , sers-toi de ta langue! Fais-la jouir comme un bon saint-bernard! »

Voyant cela, Gabi, connaissant les propriétés magiques de la langue de son frère prit le taureau par les cornes et fit signe à sa septième équipière de s'accroupir elle aussi sur le visage de Loïc pendant qu'Anne, la n° 6 ahanait sur la verge de son amant.

La petite Isa connut un orgasme express sous la gargantuesque langue de Toussaint qui enveloppait sa chatte, des grandes lèvres au clitoris, en un seul lapement . D'abord déconcertée par cette sensation totalitaire, elle attrapa très vite les cheveux du jeune homme et tira sa tête pour la coller plus avant contre son sexe, l'empêchant presque de mouvoir sa langue chaude qui l'emplissait d'un plaisir indicible. En quelques minutes elle était cuite et recuite et jouit bruyamment

« YAHOOO! LES FILLES ... JE PARS! IL M'A EU ... QUELLE LANGUE .. OOH!»

Hasard ou préméditation, deux des trois dernières candidates de Léa étaient plus portées sur les caresses féminines que sur les verges en érection et si Dominique, la n° 7, se jeta sur la Grande Verge Noire, la n°8 fit presque tomber Isa pour prendre sa place sur la langue démoniaque.

Toussaint, un peu en manque d'inspiration avec toute cette chair qui lui masquait la vue, envoya ses mains palper la poitrine de la n°8 qui s'avéra plus intéressante que ce qu'il avait pu voir jusqu'alors. Sans atteindre les dimensions de Léa, il pouvait au moins presser les deux mamelles dans ses mains et les tétons étaient de bonne taille. Cette exploration le remit d'aplomb et il recommença à jouer des hanches pour le plus grand bonheur de Dominique.

Moins favorisé par la nature au niveau de la langue, Loïc mena sa cavalière buccale plus lentement vers l'orgasme mais sa ténacité fut bientôt récompensée par les deux mains qui s'agrippèrent à sa tête tandis que sa langue se chargeait soudainement d'une rasade de cyprine. Comme Anne avait déjà été remplacée par Marylène, la plus grosse des filles du C.U.L. mais une excellente défenseuse, Gabi se dépêcha d'envoyer sa dernière équipière la relayer. Jessica eu la bonne idée de se tourner vers Marylène, ce qui permit à cette dernière de lui caresser le clitoris, laissant à Loïc le soin de se concentrer sur les grandes lèvres de Jessie qui ne tarda pas à gémir de petits « aah » prometteurs qui faisaient écho aux « AARGH » plus décidés de sa partenaire de chevauchée.

Ni Léa , ni Gabi ne s'étaient déshabillées jusqu'alors malgré l'atmosphère d'orgie sexuelle régnant dans la pièce. La plupart des filles qui avaient déjà chevauché les bites géantes avaient commencé à se masturber dès qu'elles avaient eu récupéré du maelström orgasmique vécu avec les garçons quand elles ne se livraient pas à des attouchements entre filles.

La pièce était remplies de gémissements allant des « AAAHH » tonitruants des filles qui chevauchaient les garçons à des « uuh » beaucoup plus discrets de celles qui jouissaient sur leurs propres doigts. Certaines avaient les yeux fermés, d'autres se repaissaient de la vue des corps dénudés qu'elles connaissaient pourtant par cœur après les nombreuses douches prises en commun.

Léa et Gabi s'embrassèrent en se collant l'une à l'autre

« Dès que nous aurons gagné, je te viole! » dit Léa dont la respiration était aussi hachée qu'un soufflet de forge

« Penses-tu! Je vais te faire bouffer ma chatte! » répondit une Gabi plus rouge qu'elle n'avait jamais été

« Mes nibards vont exploser si je n'enlève pas très vite mon soutien.. « gémit Léa

Cruelle, Gabi l'embrassa à nouveau mais une de ses mains malaxa brutalement chaque sein tandis que l'autre se logeait dans l'entrejambe et ouvrait la braguette du pantalon pour chercher le sexe enfiévré de son amie.

Léa geignait maintenant comme une chatte en chaleur et ne réalisa même pas que l'équipe de Gabi venait de l'emporter sur le fil alors que la dernière cavalière de Toussaint jouit sur sa langue moins d'une minute plus tard. Les applaudissements et les cris de joie de l'assistance finirent par la sortir de sa transe et elle se joignit à l'assemblée pour applaudir ses hommes couverts de sueur mais toujours triomphalement érigés. Ils se redressèrent et firent quelques pas chancelants avant de s'assoir pour récupérer ; leurs verges revenant progressivement en position de repos après la bataille éprouvante qu'elles avaient menées face à la horde des vagins affamés.

Leurs compagnes par contre bouillaient de l'intérieur et firent signe aux deux capitaines qui prirent position derrière les leader et commencèrent à las déshabiller. Olga qui avait suivi la presque défaillance de Léa ne manqua pas l'occasion d'une petite vengeance amicale et, après avoir ôté le chemisier et le pantalon de la jeune fille, lui tritura les seins par-dessus le soutien et lui laissa son slip, vérifiant à plusieurs reprises qu'il s'imprégnait bien du désir inassouvi de la pulpeuse jeune femme.

Jacqueline avait été moins dure avec sa partenaire et avait effeuillé Gabi en un tour de main, la libérant aussitôt pour permettre à cette-dernière de venir embrasser sa belle-sœur au bord de l'hystérie après toutes les attentions plus ou moins perverses d'Olga.

Elle finit par avoir pitié de la pauvre Léa et l'entraîna sur les matelas tandis que les autres filles faisaient le cercle autour d'elles. Gabi, sans se soucier de ses propres besoins, dégrafa le soutien de sa compagne et empoigna sa poitrine à deux mains pour sucer-mordre chaque mamelon alternativement. Puis, sans transition, elle arracha le slip trempé de Léa et s'accroupit entre ses cuisses pour la lécher. Elle n'eut que le temps de deux aller-retours sur le clitoris que Léa jouissait comme une folle

« AAARGHH! EN ... FIN ... GAB.. GABI ... AAARH .. MERCI ... AAARGH! »

Mais aussi salvateur que fut cette jouissance, elle n'était pas suffisante pour apaiser le tempérament volcanique de la jeune élève de Soise et Lucie . Elle attira Gabi à elle , l'embrassa puis se disposa tête-bêche sur le flanc avec elle. Les deux filles se déchaînèrent sur le bas-ventre l'une de l'autre et elles se mirent à crier leur plaisir de concert .

Elles jouirent très rapidement , trop excitées par toute la débauche qu'elles avaient elles-mêmes orchestrée au cours de la soirée, elles ne pouvaient se permettre le luxe de prendre leur temps et de faire preuve de la finesse dont elles avaient l'habitude.

Evidemment, leurs cris avaient réveillé l'ardeur des garçons qui se rendirent compte que leurs propre besoin d'assouvissement avait été complètement ignoré jusqu'ici par l'escadrille des femelles en émoi.

Bien que Loïc faillit se trahir en se dirigeant d'abord vers sa sœur, il rattrapa le coup et finit derrière Gabi qu'il retourna comme une crêpe pour l'installer ses à quatre pattes tandis que Toussaint en faisait de même avec Léa. Les filles se faisaient face et leurs cavaliers derrière elles se firent un signe de tête puis s'enfoncèrent dans les chattes béantes comme deux soudards. Les filles sursautèrent et émirent un double

« WAAAOOU! »

Les spectatrices étaient transfigurées par le spectacle des deux monumentales verges qui n'en finissaient pas de pénétrer les vagins de couleurs inversées. 'Ebony and Ivory' ou 'White and Black Blues' auraient été de circonstance au lieu du R&B que les filles avaient choisi pour ce moment de leur soirée.

Cette fois, les garçons n'avaient plus aucune intention de se retenir et ils y allaient de bon cœur, préoccupés uniquement par leur propre plaisir. Les autres filles commencèrent à applaudir en rythme et à crier des encouragements plus ou moins obscènes

« Vas-y Loïc, lâche tout! »

« Envoie la purée Toussaint! »

« Défonce-lui la chatte! »

« Explose son minou! »

Mais c'est à peine si les jeunes gens entendaient quoi que ce soit ; leurs univers se limitaient maintenant à leur mandrin et aux fesses de leur partenaire sous lesquels ils plongeaient aveuglément. Les filles s'étaient agrippées les mains et se communiquaient la montée de leur plaisir.

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