Les Jumeaux D'amour Ch. 06

BÊTA PUBLIQUE

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Les jumeaux tournèrent la tête en même temps pour admirer l'autre fratrie. Gabi disparaissait presque sous le gigantesque corps de son frère. On ne voyait plus d'elle que ses longues jambes écartelées par le massif bassin fraternel qui rebondissait sur son pubis comme s'il était fait de caoutchouc.

« C'est .. ma ... fête .. » gémit-elle dans leur direction sans s'adresser à un des deux en particulier.

Toussaint les regarda aussi et accéléra le tempo de sa frénétique copulation. Et Loïc suivit. Les deux mâles étaient entrés en compétition et se déchainaient pour donner le plus de plaisir possible à leur monture qui était aussi la petite amie de l'autre. Ils ne faisaient plus l'amour, ils étaient lancés dans un match à l'orgasme et tous les points comptaient!

Plus expérimenté, Loïc parvint le premier à déclencher la jouissance de sa sœur dont les hurlements de plaisir faillirent le faire partir à son tour mais il tint bon ; bien décidé à poursuivre sa cavalcade. Gabrielle ne fut pas en reste longtemps et jouit à son tour

« LO.. ÏC .. LEA ... MOI .. AUSSI ... AAAHHH»

Restimulé par l'orgasme de sa petite amie sous la bite de son grand frère, Loïc recommença à pilonner sa sœur pour réaffirmer sa suprématie amoureuse.

« Ga.. bi ... il recom.. mence .. Il est .. si gros .. si dur ... il pense.. à toi .. et j'en .. pro... fite!

« Lé..a , Touss.. aussi .. jamais.. aussi .. bon ... énorme! »

Les deux machines à baiser n'en finissaient pas de ravager les délicates muqueuses de leurs partenaires. Ils n'étaient plus que deux bites géantes, ne ressentant plus rien si ce n'est leurs gonades au bord de la déchirure et leurs glands démesurément enflés qui écartelaient l'intimité de leur sœur.

« Ma Lionne... je vais .. je dois ... oooh »

« Oui .. Lo ... moi ... oooh si ... VIENS! »

« TOUSS! OUI ... JE TE SENS ... TU ... JOU...IS ... MOI.. AU.. SSI! »

« AAAARRGHHH » Toussaint avait donné un ultime et gigantesque coup de rein pour se planter au plus profond de sa sœur et il jouissait convulsivement, son énorme carcasse agitée de tremblements massifs, comme une fétu de paille dans le vent. Gabi l'avait agrippé et l'accompagnait dans son orgasme en lui mordant l'épaule pour ne plus hurler.

Léa et Loïc en était au même point si ce n'est que Léa n'ayant pas une montagne de muscles et d'os sur elle, avait complètement encerclé son frère de ses bras et de ses jambes et l'accompagnait solidairement dans chacune de ses convulsions.

Un quart d'heure plus tard, ils avaient assez récupéré pour s'installer plus confortablement. Les deux garçons au centre du lit se touchaient sans plus éprouver de gêne, leurs verges dégonflées mais néanmoins toujours impressionnantes presqu'au contact l'une de l'autre.

Les filles avaient changé de côté et Gabi reposait à moitié sur Loïc, sa tête sur son torse pour pouvoir converser avec Léa qui avait pris une position symétrique sur Toussaint. L'union afro-européenne dans toute la splendeur de ses contrastes de couleur!

« Bouh hou hou les garçons, qu'est-ce que vous nous en avez mis. Ca vous va bien de faire l'amour ensemble! » commenta Gabi

« Je me sens vraiment comblée » soupira Léa. « je suppose que ça se voit? »

« Hum voyons voir » répondit Gabi « Oui, tu as l'air d'une femelle heureuse parce qu'elle a été très bien baisée! »

Les garçons ne pipaient mot ; se contentant de savourer les compliments de leurs sœurs.

Machinalement, Léa avait commencé à caresser les bourses de son grand amant de bronze et la verge du garçon était agitée de petites contractions qui semblaient vouloir annoncer une résurrection proche. Curieuse, Gabi entama la même procédure de son côté et fut récompensée par un gonflement lent mais régulier et prometteur.

Après quelques minutes, Gabi regarda Léa

« Pipe? »

« Pipe! »

Et deux bouches gourmandes se penchèrent vers deux verges presque totalement érigées et deux garçons gémirent tandis que les filles s'acharnaient à leur rendre toute leur vigueur. Elles atteignirent rapidement leur objectif et se retrouvèrent en possession de deux sabres d'abordage flambants d'énergie.

« Ca te dirait un petit duel? » demanda Gabi mi- ironique, mi- excitée

« Oui, si j'ai le choix des armes » répondit Léa en faisant basculer Toussaint sur le côté et en se collant à son dos et ses fesses. « A moi la Verge Noire! »

Gabi en fit de même avec Loïc en s'exclamant « A moi Chevalier blanc! »

Pendant quelques minutes, elles jouèrent avec les bites des garçons comme s'il s'agissait de deux épées dans une parodie de combat de chevalerie. Loïc se rendit compte que chaque contact de sa verge avec celle de Toussaint l'électrisait au point qu'il la sentait agitée de soubresauts de plus en plus jouissifs et il craignait de jouir sur le ventre du garçon sans avoir eu l'occasion d'honorer sa belle. Il s'aperçut aussi que le frère de Gabrielle haletait et semblait au moins aussi troublé que lui par ce duel . C'est d'ailleurs Toussaint qui mit fin à ce singulier affrontement

« Frérot, tu ne crois pas que ces donzelles se sont assez jouées de nous? »

« Tu as raison grand frère ; il est temps de leur rappeler qui sont leurs Maîtres! »

Ils se dégagèrent de l'étreinte de leurs amantes et les firent s'installer à quatre pattes, face à face, en travers du lit. Debout derrière elles, ils les pénétrèrent en force, s'encourageant entre hommes du regard tandis que les filles s'embrassaient en gémissant sous ce double assaut déterminé.

« J'adore baiser ta sœur » haleta Toussaint entre deux va et vient dans la vulve de Léa ; son regard braqué sur sa grande verge noire disparaissant sous les fesses blanches

« A qui le dis-tu » répondit Loïc tout aussi fasciné par le contraste de sa verge blanche et des fesses chocolat de la femme qu'il baisait ... désirait ... aimait?

Le quatuor finit par jouir en ordre un peu dispersé mais avec la volonté farouche du plaisir de leur partenaire mâle ou femelle. Epuisés, ils se répartirent les lits : le garçons dans le king size ; aux filles le canapé-lit.

Au petit matin, Léa se réveilla comme d'habitude la première. Elle se dégagea très doucement de Gabi qui avait posé sa tête sur son épaule et sorti du lit. Elle sourit en voyant que les garçons dormaient en cuillères ; Toussaint collé contre le dos de Loïc.

(« Pour peu que Toussaint ait une érection matinale, Lolo va avoir une drôle de sensation au réveil ») se dit-elle en souriant mais elle se hâta vers la salle de bain pour profiter des lieux en toute quiétude. Elle termina à son aise et juste à temps pour offrir la place à Gabi qu'elle embrassa sur la joue au passage. Sept heures. Elle mit la TV pour les infos et surtout pour réveiller les garçons puis passa une commande de petits déjeuners au room service.

Toussaint et Loïc se relayèrent également dans la salle de bains mais avec une occupation beaucoup moins longue que leurs sœurs et amantes tant et si bien que dès le petit déjeuner avalé, vers huit heures, le quatuor partit en balade dans Paris. La chance était avec eux, la journée était magnifique et ils profitèrent au maximum de leurs quelques heures de villégiature avant de reprendre le TGV pour Lille.

N'étant de nouveau pas dans la même voiture, ils se répartirent cette fois filles / garçons et Loïc se décida à parler à Toussaint de Sylvie & Co

« Donc, si je comprends bien, toi et Léa, vous faites les putes pour des vioques? » résuma ce dernier

« C'est très cru comme raccourci mais c'est tout aussi exact » concéda Loïc « D'où crois-tu que nous tirons le fric? Nos parents payent le studio et nos études mais tout le reste, on le gagne au pieu! »

Le grand afro-européen éclata de rire « Si tu crois que tes vieilles n'auront pas peur de moi, tope-là! Je suis partant! »

« Et Gabi? »

« Entre ses études et ses entraînements, je ne sais pas si elle en aura l'envie ou le temps mais elle sait bien que malgré tous mes efforts, on tire le diable par la queue... Arf Arf! Elle essayera certainement de participer si cela peut rapporter -- comment disais-tu encore? Ah oui, des 'gratifications ' Arf Arf Arf! »

« Et pendant que j'y pense, merci pour ce week-end! Paris est une ville magnifique mais nous n'aurions jamais eu les moyens de la découvrir sans vous! »

« Tu en parleras à Gabi ou est-ce que tu préfères que je le fasse moi-même? »

« Laisse-moi faire, je sais comment lui présenter les choses. Ca fait 18 ans que je la connais, ma petite sœur! »

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1 Commentaires
WalteregoWalteregoil y a environ 9 ans
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Bonjour Lazarus,

Enfin une histoire où les blacks ne sont ni cruels ni idiots ET n'ont pas la plus grosse :) J'espère d'autres épisodes de ce genre. Continuez !

Walterego de Fringe

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