Les Jumeaux Croisés 12

BÊTA PUBLIQUE

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« Moi ce sont tes seins qui me rendent fou. Je pourrais les caresser et les sucer toute la journée »

« Mais je t'en prie mon gros loup, ils sont tout à toi! »

Loïc baissa les deux demi-bonnets, révélant les mamelons et les tétons dardés. Il se pencha et se mit à en sucer un avec délectation tout en caressant l'autre

« Ouh mon Lolo, continue, uuh c'est bon, tu me fais mouiller comme une folle! »

Loïc avait bien envie de vérifier l'efficacité de son traitement mais il résista à la tentation ; il avait bien l'intention de d'abord transformer sa sœur en poupée pantelante de désir avant de s'occuper de sa cavité stratégique. Il continua donc à lui caresser le ventre et le seins tandis qu'il mordillait alternativement ses mamelons et le creux de son cou ou les lobes de ses oreilles.

Elle s'adossa au mur de la chambre et lui dit d'une voix mourante. « Je n'en peux plus, enlève ma jupe et baise-moi par pitié! » .

Avec un sourire triomphant, il s'accroupit et fit glisser la légère jupe élastique le long de ses hanches puis de ses cuisses puis son cœur s'arrêta. Sous la jupe, la coquine portait à nouveau le slip de sa mère qui le rendait fou. Il était quasiment bicolore à cause de la mouille qui maculait toute sa face avant, révélant encore mieux les grandes lèvres enflées de son sexe étroitement moulé dans le tissu. Il crut qu'il allait jouir dans le vide tant sa réaction de désir fut aussi brutale que bestiale. Il entendit vaguement la voix de sa sœur

« J'avais peur que Lulu et Soise ne t'épuisent. Une fille ne prend jamais assez de précautions »

Les deux femmes en question avaient récupéré de leurs précédents orgasmes et, toujours allongées sur le lit, s'étaient tournés vers les adolescents pour suivre leur accouplement en gros plan. Lucie, parfaitement consciente de l'effet magique du slip maternel glissa à son amie « Attends un peu, ça va être grandiose! »

Loïc s'était relevé et avait soulevé sa sœur par les aisselles, l'obligeant à écarter les jambes de part et d'autre de ses hanches et à s'agripper à sa nuque pour ne pas tomber. La soutenant d'une seule main, il écarta brutalement l'entrejambe du slip et plaça sa verge monstrueusement tendue entre les grandes lèvres de la vulve et sans attendre , donna un violent coup de reins, le prolongeant de toute la force de ses hanches et clouant son amante au mur

« AAAHHH » hurla-t'il de soulagement, la soutenant sous les fesses tandis qu'il la forçait.

« AAAHHH » répondit sa sœur sur le même ton

Excité au-delà du possible, le frère se mit à labourer sa sœur, arc-bouté pour accentuer au maximum l'amplitude de ses pénétrations sauvages.

« uuh, plus fort, aah, plus loin » le provoquait-elle

« Prends-ça .. et ça ... » ahanait-il en la bourrant de plus belle

Comme elle glissait un peu, il déplaça ses mains et les passa entre son slip et ses fesses pour assurer sa prise et recommença à s'acharner sur sa soeur

« Ca te plait .. hein.. mon gros loup .. le slip aah de .. maman oooh! Lolo, je vais ... aah JOUIR! OUIIII! JE VIENS!!! AAAAHHHHH! »

Les dernières paroles de Léa eurent raison de la résistance de son frère et il se cambra soudain, la soulevant à la seule force du bassin ; l'empalant au passage plus loin qu'il ne l'avait jamais prise et se libéra en elle en plusieurs jets. « YAAAH » hurla-t'il et il retomba ensuite, la heurtant au mur et sortant quasiment du vagin agité de spasmes mais il eut encore la force de la reprendre une dernière fois, jouissant en elle encore à deux reprises avant de se calmer, la tête entre ses seins.

« Ils sont magnifiques nos ados hein Soise »

« Oui et tu avais raison, c'était la plus grandiose baise qu'il m'ait été donné de voir! Et pourtant j'ai reçu cinquante fois plus de kilométrage de bites dans ma chatte que toi et Léa réunies»

Loïc avait pivoté et il s'était effondré avec sa sœur à côté des deux femmes sur le lit. Sa verge dégonflée finit par sortir du vagin et Léa remit le slip en place, le frottant contre son orifice béant.

« Qu'est-ce que tu fais » grommela-t'il encore à moitié groggy

« Je récupère ton sperme avec le slip de maman . Je vais le repasser sans le laver comme cela, la prochaine fois qu'elle le mettra, elle aura ton sperme sur sa fente »

« Léaaa » gémit-il

« Tu imagines, frérot, Maman se baladant toute la journée avec ton sperme et ma mouille plein son slip? Peut-être qu'elle sucera Papa avec ton sperme plein sa chatte ou bien papa lui fera l'amour alors qu'elle aura encore son slip comme tu as fait maintenant. »

« Leaaa, arrête, par pitié! Je bande de nouveau! »

« Extraordinaire » murmura Françoise en aparté à Lucie . Elles avaient assisté à la résurrection de la verge et étaient impatientes de voir la suite. « Mais pourquoi est-ce qu'elle l'appelle 'frérot'? »

« Shht » dit Lucie , « je t'expliquerai »

Léa se dégagea de sous son frère et le retourna, exhibant la verge à nouveau fièrement bandée aux yeux de ses amies « On ne touche pas » dit-elle, « il est à moi! »

Elle monta son frère et écarta à nouveau le slip du péché . Elle se saisit de la bite roide et la glissa à nouveau dans sa chatte bien lubrifiée puis amena les mains de son frère sur ses seins « Vas-y frérot, fais-moi mal, massacre mes seins, venge-toi! »

Loïc ne se le fit pas dire deux fois. Avec un grand « humpf » , il arracha le soutien-gorge de sa sœur. Une fois les deux superbes globes entièrement exposés à sa vue, il tira sur les bouts et les pinça jusqu'à les faire doubler de volume. Puis il s'attaqua aux mamelons qu'il encercla de ses grandes mains avant de serrer les seins de sa sœur pour n'en faire jaillir que la partie recouverte par les mamelons

« Uuh aahh » s'écria-t'elle sous le coup de la douleur. Ah oui, fais-moi les seins, fais-moi mal pendant que je te baise!»

Car pendant que son frère s'excitait sur ses seins , elle en avait profité pour le chevaucher avec une rare violence, plongeant sur son sexe sans répit, comme pour se venger de son infidélité avec leurs deux amies.

Lucie dit à sa compagne « Allons les aider! Je prends Loïc, à toi Léa »

Elle passa dans le dos de la cow-girl et commença à caresser les bourses du garçon puis se mouilla un doigt et l' introduisit dans son rectum . « Gaaow » cria le garçon en sentant le majeur de Lucie lui titiller l'anus ; il se cambra pour échapper à la mini-sodomie et s'enfonça dans le sexe de sa sœur au plus profond de son vagin contracté.

Françoise attaqua la jeune fille par devant , l'embrassant goulûment et plaquant ses gros seins sur ceux de sa cadette martyrisés par son amant. Loïc se partagea immédiatement entre les deux poitrines, faisant subir à Françoise le même traitement que celui qu'il infligeait à sa sœur. (« Tout le monde veut me broyer les seins aujourd'hui ») se dit la rouquine. Elle plongea sa main dans le slip distendu de Léa et lui caressa le clitoris, sentant passer le monstre de Loïc (« son frère?!! ») à deux centimètres de ses doigts.

Ainsi poussés dans leurs derniers retranchements, les jumeaux ne tardèrent pas à geindre de concert. Leurs mouvements devinrent plus saccadés au fur et à mesure que les attouchements de leurs amies et leurs propre accouplement sauvage les rapprochaient de la délivrance. A bout de désir, Loïc finit par abandonner la galerie de seins qui s'offraient à lui, saisit les hanches de sa sœur et donna un ultime coup de boutoir ; tout son être n'existait plus que par la coulée de lave expulsée de son gigantesque organe palpitant dans les profondeurs tropicales de sa jumelle.

Léa elle-même , accrochée au cou de Françoise, explosa sous l'effet conjugué de l'irruption du sperme fraternel et de la décharge électrique qui partit de son clito pour la foudroyer.

Elle s'abattit sur un Loïc complètement KO qui n'eut plus que la force de l'étreindre distraitement, plus par réflexe que par désir amoureux.

Françoise les laissa et attira Lucie à elle un peu plus loin sur le lit.

« Bouh ouh, il était temps ; vous vous êtes donnés le mot pour passer mes pauvres nibards à la moulinette »

« Ne te plains pas ; tu adores ça! N'oublie pas que je t'ai déjà vue avec des pincettes et des ligatures tellement serrées que tes seins avaient l'air de ne plus faire partie de toi! »

« Bon ok mais tu aurais pu me dire que nos tourtereaux sont frère et sœur! »

« Euh .. c'était à eux de se révéler ... moi j'ai dû m'en apercevoir par moi-même aussi mais j'ai été plus rapide que toi »

« C'est quand même scabreux comme situation »

« Ne m'en parle pas. J'en fais parfois des cauchemars mais dès qu'ils m'ouvrent leur lit, j'oublie tout! »

Quelques jours plus tard, Jean sirotait un café à une terrasse du Puy-en-Velay pendant que ses femmes pillaient les boutiques. Il avait bien eu un petit frémissement d'horreur lorsque Cécile avait proposé au petit-déjeuner de refaire la garde-robe très limitée d'Anne-Marie, se voyant traîné de boutique en boutique mais Cécile l'avait rassuré « Pas toi Jean, tu ne sers que de chauffeur ; c'est un shopping entre filles! ».

Son soulagement évident n'avait duré que le temps de réaliser que le budget 'nippes' de son ménage allait exploser. Deux femmes, cela ne signifie pas deux fois plus de dépenses mais quatre ou cinq ou fois plus vu qu'elles s'encourageaient l'une l'autre à 'essayer' la moitié du magasin! Par contre, il se rendait compte qu'il avait grand besoin d'une matinée de repos. A quarante ans, il n'avait plus les ressources d'un adolescent. Cela ne semblait pourtant pas être le cas de Cécile qui déployait une énergie sexuelle fabuleuse, sautant du lit d'Anne-Marie pour l'enfourcher lui.

Le dimanche, ils avaient batifolé pour la première fois nus autour et dans la piscine de la propriété. Cécile et Anne-Marie s'étaient ingéniées à exciter leur mâle à tour de rôle puis en duo et lorsque Jean, complètement épuisé, avait fini par demander grâce, elles avaient continué à se caresser, s'offrant encore une paire d'orgasmes chacune avant d'enfin se décider à profiter du farniente.

Les jours suivants, Jean avait essayé de s'octroyer une pause en organisant des excursions dans les environs mais les trajets en voiture s'étaient avérés bien dangereux avec les deux excitées de l'arrière qui se caressaient et jouissaient à qui mieux mieux tandis qu'il essayait de rester concentré sur la route. Et les haltes étaient autant de pièges puisqu'il se retrouvait à chaque fois en train de besogner l'une ou l'autre voire ses deux compagnes en pleine nature, trop excité lui-même par les miaulements qui avaient agressés ses oreilles durant le trajet précédent pour pouvoir se contenir plus longtemps.

Il vit revenir ses femmes avec un plaisir non dissimulé. A elles deux, elles attiraient l'attention de tous les mâles des environs. Suivant les conseils d'Anne-Marie, Cécile avait définitivement adopté un look plus jeune qui lui allait à ravir et à voir la quantité de paquets qu'elles transportaient, elle avait décidé de multiplier ses possibilités vestimentaires. Jean s'étonnait d'ailleurs de la docilité de sa Première Epouse en matière de mode. Dans tous les autres domaines, elle avait nettement le rôle dominant dans ses relations avec l'Epouse Cadette. Elles s'assirent avec un soupir d'aise. « Ouf » dit Cécile, « ça fait du bien de s'asseoir un peu! Tu n'imagines pas le nombre de magasins de mode que l'on trouve par ici» (« Aïe la carte de crédit » gémit Jean intérieurement)

Anne-Marie se tortilla sur sa chaise « Il y avait même une boutique ... coquine ; quand tu verras ce qu'on y acheté, tu ne tiendras plus en place! »

Jean les regarda d'un œil interrogateur.

« Tu ne voulais quand même pas que nous nous partagions les boules de geisha » le taquina Cécile. « Et on a aussi trouvé de quoi nous amuser quand tu seras trop occupés, sans parler de la lingerie spéciale . A propos, tu ne remarques rien chez Anne-Marie?

Son mari regarda de plus près la jeune femme, elle avait toujours son short et son débardeur mais peut-être que ... oui... les tétons pointaient maintenant à travers le tissu comme si elle avait les seins nus alors qu'il voyait les bretelles du soutien-gorge.

« Tu as bien vu » l'aida Cécile. « C'est un soutien compressif avec une échappatoire pour les mamelons et les tétons qui les fait ressortir comme de petits obus. J'en ai acheté un pour moi aussi mais tu le verras une autre fois. Aujourd'hui, c'est MaMie qui fait le show! »

Sur ces entrefaites, le serveur vint prendre la commande des dames et Jean nota non sans amusement que son regard était inexorablement attiré vers le débardeur de son Epouse Cadette. (« Avec ces deux-là, je vais finir par devoir me battre en duel » songea-t'il).

Ils préférèrent manger sur place et ne rentrèrent au gîte qu'en début d'après-midi pour profiter de la piscine. En rentrant, Anne-Marie mit évidemment Jean au supplice en lui faisant admirer le fameux soutien mais sans lui permettre de la toucher en disant « réserve-toi pour ce soir mon Maître ; maintenant, tout le monde à l'eau! »

Jean avait attendu ses femmes un long moment à la piscine, s'impatientant de leur retard croissant et imaginant déjà une mini-partouze entre filles lorsqu'elles apparurent avec des maillots de bains flambant neufs. Elles les firent admirer par Jean qui dut sauter dans la piscine pour dissimuler une érection par trop flagrante. En riant, elles le rejoignirent et jouèrent dans l'eau avec lui, ce qui le condamna à rester dans la piscine bien après elles.

Enfin calmé, il les rejoignit sur les transats où elles se doraient au soleil. Mais s'il pensait pouvoir faire la sieste, il fut vite détrompé en entendant un très léger bourdonnement, presqu'indistinct, qui semblait provenir d'Anne-Marie. Intrigué, il se dressa sur un coude pour regarder sa voisine de gauche. Elle se mordait les lèvres , haletait légèrement et croisait et décroisait ses jolies jambes. Derrière lui, Cécile murmura. « Ils ont de nouveaux modèles de boules de geisha dans ce magasin. A télécommande! » . Il se tourna vers elle qui lui montra un petit boîtier dont elle tourna la molette et son Epouse Cadette poussa un soupir plus bruyant avant de prendre sa serviette et de mordre dedans pour étouffer un cri.

Jean pivota sur le ventre pour masquer un renouveau d'érection qui se décupla lorsqu'il vit sa plus jeune femme l'imiter, agitée de soubresauts et étouffant des cris de plaisir dans sa serviette.

« Vous êtes des diablesses » gémit-il

La famille d'Emile le propriétaire les rejoignit et ils durent arrêter leurs jeux même si Jean eut un nouveau moment difficile lorsqu'Emile leur annonça qu'il ramenait ses petits-enfants au train le lendemain et qu'ils passeraient la journée à Lyon. (« Seuls pour notre dernier jour de vacances » se dit Jean, « ça va être une orgie de tous les diables ou diablesses! »)

Deux jours plus tard, en conduisant leur voiture en direction du Nord, il s'efforçait de ne pas trop se remémorer des dernières trente-six heures. Le jeudi soir avait été presque calme ; ils s'étaient contentés de faire l'amour « à la papa » ... si ce n'est qu'ils étaient trois à se donner du plaisir. D'un commun accord, presque tacite, ils avaient économisé leurs forces pour l'apothéose de leurs vacances le lendemain.

Il s'était réveillé particulièrement frais et dispos le lendemain matin dans la petite chambre, sans doute réveillé par le bruit d'une voiture qui s'éloignait . « Si Emile & co sont partis, pas besoin de s'habiller » se dit-il et, nu comme un ver, il passa dans la cuisine pour mettre le percolateur en route puis alla piquer une tête dans la piscine. Lorsqu'il revint à l'intérieur, le café était prêt et il entendait des bruits de douche et de chasse d'eau . les filles étaient réveillées aussi.

Il prépara la table du petit déjeuner et s'assit pour attendre ses compagnes qui tardaient . Il cria « Pas besoin de s'habiller, Emile est déjà parti! » . Dix minutes plus tard, à bout de patience, il s'apprêtait à aller les secouer lorsque Cécile entra dans le living. Elle était entièrement nue hormis les deux pincettes qui étaient fixées à ses tétons turgescents et reliées entre elle par une chaînette.

« Bonjour Maître » dit-elle les yeux baissés. « Acceptez-vous de recevoir vos servantes?»

Jean rentra tout de suite dans le jeu et répondit d'un ton sévère « Vous en avez mis du temps, femelle, vous devrez vous faire pardonner ce retard »

« Pardonnez-nous Maître mais je devais préparer votre jeune servante » et Cécile s'avança, tirant derrière elle une Anne-Marie d'une culotte en latex et d'un bustier en cuir noirs. Elle était en outre équipée des mêmes pincettes que son aînée mais en plus , sa bouche était obstruée par un bâillon à boule, ses mains étaient menottées dans son dos et elle portait un collier en velours avec une anse autour du cou. Elle progressa vers la table en se dandinant maladroitement et Cécile expliqua « Elle a encore du mal à supporter le plus petit plug anal, Maître, vous devrez la punir pour qu'elle accepte les deux modèles supérieurs faute de quoi son petit cul vierge ne pourra pas recevoir votre Membre Viril. »

Jean déglutit péniblement tandis que sa verge prenait de l'ampleur à vitesse grand V.

« Nous déjeunerons d'abord, Première Epouse ; ensuite nous veillerons à faire l'éducation de notre nouvelle épouse! »

Cécile fit asseoir sa MaMie, appuyant bien sur ses épaules pour bien enfoncer le plug qui était légèrement ressorti de ses fesses pendant sa progression et saillait sous le slip en latex. Elle servit ensuite le café qu'elle but avec Jean tandis qu'Anne-Marie gardait les yeux baissés sur sa chaise.

« Première Epouse, je suis satisfait de vos achats, je pense que nous allons pouvoir nous occuper de notre Epouse Cadette avec beaucoup d'enthousiasme »

« Et j'ai encore du matériel ici Maître » dit-elle en exhibant une mallette qu'elle avait amenée avec elle. « Voici le plug moyen, le gros, une belle provision de lubrifiant et un double gode auquel elle n'aura droit qu'après vous avoir fait jouir dans son petit cul »

« Très bien, femme, faites-lui boire un peu de café et de jus de fruit puis rendons nous à la piscine pour commencer nos réjouissances »

Il se rendirent sur le bord de la piscine main dans la main, tirant derrière eux leur jeune compagne dont le collier avait été relié à une longue lanière de cuir. Une fois arrivés, Jean prit les commandes : « Je pense qu'il est temps de passer à la dimension suivante » dit-il

« Voulez-vous que je m'en charge , Maître? »

« Non, c'est un droit qui me revient. Prépare le gode et baisse sa culotte, je me charge du reste »

Cécile fit s'agenouiller Anne-Marie et baissa la culotte en latex puis elle enduisit le gode moyen d'une onctueuse couche de lubrifiant et le tendit à Jean tandis qu'elle extirpait le petit plug des fesses de son amie. Jean n'hésita qu'une poignée de secondes avant d'enfoncer doucement mais sans faiblir le plug dans le rectum de la jeune fille qui poussait des « mmmh mmmh» étouffés par le bâillon. Cécile remonta la culotte serrante et l'obligea à s'assoir sur un transat, poussant à nouveau sur ses épaules pour assurer une pénétration maximale du gode et attachant la laisse au sommet du transat..

« Maître, auriez-vous la bonté de me prendre devant cette femelle pour me remercier de mes services?»

Jean dont la verge avait atteint des proportions inégalées eut du mal à rester dans son rôle

« Montre-lui d'abord comment honorer la verge de votre Maître, ensuite seulement je te prendrai »

Cécile s'agenouilla devant Anne-Marie et attendit la bouche grande ouverte que son mari vienne jusqu'à elle pour qu'elle puisse gober sa bite. La jeune fille poussa de nouveaux gémissements étouffés ; la tension sexuelle commençait à monter en elle et la vue du membre gorgé de désir de son amant à quelques centimètres de son visage la mettait au supplice.

Jean laissa Cécile le sucer pendant cinq bonnes minutes avant de l''interrompre . Il se coucha sur une serviette de bain et l'attira sur lui. Elle s'empala sur la verge maritale en faisant des commentaires à haute voix pour Anne-Marie aussi impuissante que tordue de désir sur sa chaise.