Les Jumeaux Croisés 10

BÊTA PUBLIQUE

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John la laissa faire pendant deux trois minutes, commentant à l'usage de ses amis « Elle est délicieuse cette petite » puis s'étendit sur le dos en l'invitant à le chevaucher. Léa s'exécuta, appréciant la fermeté de l'antique verge sur laquelle elle s'empala sans à-coup (« Evidemment , ce n'est pas Danny et encore moins Lolo « soupira t'elle). Elle fit fonctionner ses muscles intimes pour bien la sentir et entama sa danse du ventre.

Pendant ce temps, Sylvie avait déshabillé Loïc et exhibait avec emphase le gigantesque pénis en pleine érection (« heureusement que Léa a ouvert le bal sinon je ne sais pas comment j'aurais pu faire pour bander »). « Vous voyez mes amies, je ne vous avais pas menti, même Bert est largement battu! » Adeline s'était déjà dévêtue, exhibant une peau tellement lisse et tendue qu'elle faisait penser aux frères Bogdanoff. Elle attendait le garçon en se branlant au vu et su de tout la compagnie, haletant sans vergogne, bavant presque devant la bite gargantuesque qui lui était réservée. Elle se coucha sur le dos, replia les jambes et se caressa des seins certainement siliconés en disant à Loïc « Allez-y jeune homme, baisez-moi en force ». Loïc marqua un temps d'hésitation mais à côté de lui John avait entrepris de martyriser les seins de sa sœur et il décida de la venger en suivant les ordres de la vieille inconsciente. Elle était suffisamment lubrifiée pour accueillir le colosse mais le garçon dut néanmoins forcer pour s'enfoncer en elle tandis qu'elle glapissait « AAAH MAIS IL EST ENORME » Il ne parvint pas à faire rentrer toute sa bite alors il commença à la baiser sans ménagement ; jetant de temps en temps un coup d'œil sur sa sœur pour maintenir un niveau d'excitation suffisant pour rester en érection (« cette vieille peau avec toute sa chirurgie esthétique ne m'attire vraiment pas »). Heureusement, Adeline jouit assez vite, plutôt violemment et fut directement rassasiée. Elle resta allongée sur le matelas et c'est Marie-Jo qui se précipita , nue à ses côtés, à quatre pattes, proposant sa grosse chatte à l'empalage cadeau. Loïc fut soulagé qu'elle lui tourne le dos ; le bref aperçu qu'il avait eu de sa poitrine piteusement tombante et des bourrelets ventraux qui tombaient en cascade l'avait fait presque débander.

Dans cette position, elle rappelait à Loïc l'amie Françoise et cette seule pensée lui redonna assez d'énergie pour lui empoigner les hanches et la perforer d'un seul coup de reins. C'était un tout autre tempérament et elle encourageait le garçon de la voix à la pénétrer plus avant « VAS-Y MON BEAU, PRENDS-MOI A FOND, CONTINUE, ... ENCORE! » Ses grosses fesses ridées s'agitaient comme de vieilles tentures pleines de plis.

Peut-être à cause des cris de Marie-Jo, John poussa un gémissement étranglé et jouit dans Léa sous les yeux de son frère qui devint comme fou et martela la sexagénaire comme s'il voulait faire ressortir son sexe à travers son dentier. Elle beuglait sa satisfaction « OUI, CA C'EST DU SEXE, CA C'EST BAISER .. OOOH JE M'ENVOLE! SYLVIE, REGARDE, JE JOUIS! »

Elle s'effondra sur le matelas en gémissant tandis que du coin de l'œil, Loïc apercevait le gros Bert qui s'enfonçait dans sa sœur en levrette avec une bite étonnamment imposante pour un homme qui n'était plus de première jeunesse et Léa semblait réagir positivement à cette invasion d'un autre âge. Elle se mit à haleter et même à geindre de plaisir. Léa tourna la tête et vit son frère qui s'extirpait de sa monture. La seule vue de son énorme sexe sembla multiplier ses sensations car elle cria « OUI JE JOUIS » et se mit à trembler convulsivement. C'en fut trop pour Bert qui couina de manière un peu ridicule et jouit à son tour dans le vagin de Léa. La sueur faisait briller son crâne chauve et son ventre flasque reposait sur les fesses de Léa.

Loïc bandait maintenant comme un forcené ; il voulait sauter sur sa sœur et la baiser à mort pour effacer les traces du passage de ces vieillards lubriques qui l'avaient souillée mais avant qu'il ait eu le temps d'esquisser le moindre geste, Sylvie s'était couchée à côté de lui et l'entraînait sur elle. « venez jeune Loïc, faites-moi l'amour comme vous avez su si bien le faire la fois passée. Et s'il vous plait, donnez-moi votre semence, elle m'est précieuse »

Loïc obtempéra et monta sur Sylvie qui dut l'aider à la pénétrer mais une fois à l'intérieur de la place, il s'y retrouva aussi à l'aise qu'auparavant et, pour la première fois de la soirée, il eut l'impression de faire l'amour à une amie plutôt que de remplir une mission peu ragoutante .

Entretemps, Fery s'était rapproché du matelas de Léa, le sexe curieusement luisant, et avait entrepris de la sodomiser grâce au gel dont il s'était enduit. Il sembla un peu déçu par la facilité avec laquelle il s'introduisit dans l'anus consentant mais ayant déjà vu la verge du jeune homme, il dut comprendre que le petit trou de la jeune femme qu'il enculait avait été dompté par un calibre autrement plus imposant que le sien. Il en profita donc pour faire preuve d'une violence qu'il n'aurait jamais osé imposer à une de ses partenaires sodomites. Il n'avait cependant pas l'endurance d'un homme plus jeune et fut rapidement obligé de ralentir sa cadence ; ses muscles avachis ne lui permettant plus les performances dont il rêvait.

Sylvie avait enlacé son jeune partenaire et lui murmurait son plaisir à l'oreille

« Oui Loïc ... prenez-moi encore ... j'aime tant votre énorme chibre qui me défonce .. ; vous allez de nouveau me mener au septième ciel ... aaahh ... je vous sens vibrer aussi ... inondez-moi de votre foutre ... oooh ouuii ... Loïc ... je viens aussi ... AAAHHH! »

Au même moment, Fery explosa à son tour, tâchant de manière absurde de garder une certaine dignité en restant silencieux. Lorsqu'il abandonna Léa, les spectateurs virent en gros plan des coulées de sperme d'écouler de sa chatte et de son anus . Elle s'ébroua et chercha du regard son frère qui embrassait une Sylvie presque groggy.

« Sylvie » demanda Léa, « vous permettez que nous piquions une tête dans la piscine? Nous avons besoin de nous rafraîchir »

« Allez-y mes enfants ; dès que j'aurai retrouvé mes forces je vous y rejoindrai »

Les jumeaux sautèrent à l'eau bientôt imités par tous les autres plus ou moins remis de leurs émotions. Le frère et la sœur s'étaient éloignés du groupe et se nettoyèrent discrètement, ne voulant pas vexer leurs hôtes mais malgré tout désireux de se débarrasser des traces qu'ils avaient laissé sur leurs jeunes corps.

« Qu'est-ce que tu en penses » demanda Loïc à sa sœur.

« Bert , ça va si je ne le vois pas ; John et Fery c'est plus que limite. J'espère qu'ils payent bien »

Son frère la regarda avec étonnement « tu t'es vite habituée au système Sylvie »

« Bah, je préfère gagner mon argent de poche comme cela plutôt qu'en travaillant dans un King Mc Quick mais je voudrais pouvoir sélectionner les clients moi-même. Et toi? »

« Sylvie, pas de problème ; Marie-Jo : oui si elle paye mais Adeline plus jamais ; elle me dégoûte avec sa peau retendue »

Sylvie qui s'était rapprochée intervint « mes enfants, est-ce que je pourrais vous demander encore une petite prestation ce soir? mes amis et moi-même aimerions vous voir faire l'amour à vous deux. Cela nous stimulerait pour nous retrouver entre couples. »

Les jumeaux se regardèrent et hochèrent la tête sans avoir besoin de se concerter, comme dans leur enfance. Ils éprouvaient l'un et l'autre le besoin de se retrouver pour oublier les étreintes précédentes.

Ils donnèrent un show somptueux au sextet de sexagénaires. Ils firent l'amour dans toutes les positions , Loïc amenant Léa trois fois à un orgasme bruyant sous les applaudissements envieux des autres. Finalement , à bout de désir, il releva les jambes de sa sœur qu'il venait de faire jouir en position du missionnaire et présenta sa verge lubrifiée par les sécrétions devant l'anus de sa sœur et entreprit de la sodomiser avec délice. Devant ce grandiose enculage, les trois hommes avaient retrouvé leurs moyens et s'étaient vautrés sur les autres matelas avec la première femme qui leur était tombé sous la main. Sylvie avait néanmoins manœuvré pour que Bert et son sexe volumineux s'occupe d'elle tandis que John baisait Adeline comme une mécanique rouillée et Fery héritait de la voluptueuse Marie-Jo qu'il prenait en levrette . Sa silhouette dégingandée contrastant avec les replis de la replète matrone.

Loïc finit par jouir dans les tréfonds de sa sœur en rugissant de plaisir, bientôt suivi par un concert de cris et gémissements tant mâles que femelles.

La soirée se termina par une « collation » servie dans la salle à manger par la dame de compagnie soudainement réapparue de nulle part après que tous les invités se soient rhabillés. Loïc l'examina à la dérobée. Elle devait avoir la fin de la quarantaine mais ne manquait pas de charme et il se demanda si son rôle ne se terminait pas parfois dans le lit de la dame d'Arcques ...

A la fin du repas, les jumeaux prirent congé de la compagnie . les convives maintenant assouvis ne s'intéressaient d'ailleurs plus vraiment aux deux jeunes gens, préférant de loin des sujets de conversation de leur génération. Sylvie les raccompagna jusqu'à la porte et leur remis la fameuse enveloppe contenant la « gratification » en ajoutant qu'ils avaient été des invités exceptionnels et proposant d'en reparler à l'occasion. Ils acquiescèrent et s'éclipsèrent. Une fois dans la voiture, Léa ouvrit l'enveloppe et poussa un cri de surprise : elle contenait quatre mille euros en coupures de cinquante. En une soirée ils avaient gagné les salaires mensuels de deux employés qualifiés.

« A ce tarif-là, je veux bien encore me taper Adeline » grommela Loïc

« Le truc, c'est de ne pas nous séparer » renchérit sa sœur. « Quand ce vieux dégoûtant de John me touchait, je te regardais et cela me donnait l'excitation nécessaire pour continuer à simuler »

« Idem pour moi et Adeline-la-trafiquée » renchérit Loïc

« Je me demande si Sylvie est à la recherche d'autres jeunes pour faire frémir sa cohorte de vieux débris » se demanda le garçon. On pourrait mettre Danny dans le coup et prendre un pourcentage sur ses 'gratifications'. Il ne roule pas sur l'or et sa copine ne baise pas. C'est le candidat idéal »

« De mon côté, Tahira, c'est hors de question mais je pense que les deux chipies, Melissa et Morgane, seraient capable de tout pour un peu de fric. Avec leurs goûts de luxe, leurs parents ne peuvent pas suivre et leurs petits copains non plus. »

« Souviens-toi quand même de l'histoire de Lucie et Léa, on ne peut pas se laisser prendre au piège de ce monde. Si on lance une agence de rencontres, il faudra éviter de se laisser accaparer ... et sans doute aussi veiller à un montage juridique béton. Qu'on appelle ce fric, 'gratification' , 'salaire' , 'cachet' ou dieu sait quoi encore, cela reste de la prostitution pure et simple et les organisateurs seront traités de maquereau et maquerelle ... »

« Tu as raison, ne nous emballons pas et rentrons. J'ai besoin de prendre une très longue douche ... et de faire longuement l'amour ... si ces vieilles peaux ne t'ont pas épuisé. »

«T'en fais pas sœurette, pour toi je ne serai jamais à court d'érection, même après une soirée de ce genre »

« Vantard »

« Traînée »

Tout le long du chemin du retour, Léa caressa l'entrejambe de son frère , l'obligeant à modifier sa position de conduite à plusieurs reprises pour laisser sa verge se développer dans son pantalon. Arrivés devant la maison, elle ouvrit la braguette de son frère et extirpa la bite monumentalement érigée hors du boxer et le suça sans se soucier d'un éventuel promeneur nocturne. Loïc ne se tenait plus et finit par l'arracher à son œuvre faute de quoi il allait jouir avant d'avoir pu l'honorer.

Ils passèrent tous deux par la douche avant de se retrouver dans le jacuzzi des parents où, pour la première fois, ils se livrèrent à une joute aquatique. Copuler dans un milieu liquide s'avéra plus difficile que ce que leurs lectures les avait laissé supposer et ils s'achevèrent sur le lit parental dans une étreinte plus amoureuse que sensuelle. Ils ressentaient tous deux le besoin du contact de la peau de l'être aimé après la bacchanale gériatrique chez Sylvie.

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