Les Jumeaux Croisés 09

Informations sur Récit
Les émois érotiques de Léa et Loïc Chapitre 9.
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Partie 9 de la série de 12 pièces

Actualisé 07/23/2022
Créé 12/19/2014
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Chapitre 9 : L'Extase

Les jours qui suivirent furent des jours de félicité pour les jumeaux. Vu les longues heures de leurs parents, ils avaient la maison pour eux et, hormis l'entretien et l'achat de victuailles, leur seule préoccupation était de savoir où et comment profiter du corps de l'autre. Nus ou quasi nus la plupart du temps, ils firent l'amour dans toutes les pièces de la maison ; le plus souvent à l'initiative de Loïc mais régulièrement, c'était Léa qui le provoquait voire le prenait contre son gré. Sans le savoir, elle reproduisait le jeu de sa mère avec son père en branlant son frère à l'improviste et en introduisant dans sa chatte déjà lubrifiée le gros sexe à peine réveillé. Elle se faisait jouir le plus vite et le plus bruyamment possible pour l'abandonner ensuite au sommet de la surexcitation. Parfois elle jouait à la sœur compatissante et le suçait immédiatement pour le soulager au plus vite ; à d'autres moments, elle se refusait à lui jusqu'à ce qu'il n'en puisse plus et soit la supplie soit fasse mine de vouloir la prendre de force.

Loïc n'avait plus jamais essayé de la prendre contre son gré mais Léa acceptait par accord tacite de se soumettre au final au désir de son frère ou du moins de le satisfaire ne fût-ce qu'avec ses mains si elle-même n'était pas d'humeur, ce qui arrivait très rarement. De même, Loïc avait dû à l'une autre reprise utiliser sa langue et ses doigts pour lui donner l'orgasme qu'elle réclamait ; même un super-étalon pouvant donner des signes de faiblesse au cours de leurs marathons sensuels quotidiens.

Avec la fougue de la jeunesse, ils commençaient dès leur toilette terminée avec une prédilection pour la position du missionnaire qui leur permettait à tous deux d'atteindre un orgasme rapide, les yeux dans les yeux, guettant les premiers signes du plaisir de l'autre.

Après le petit déjeuner, démarrait ce que Loïc appelait le duel : il prenait Léa dans n'importe quelle position en essayant de la faire jouir à répétition jusqu'à ce qu'elle demande grâce mais Léa se défendait et usait de toutes ses armes pour faire jaillir la semence de son frère avant qu'elle-même ne s'écroule épuisée par une salve d'orgasmes multiples. Loïc gagnait souvent vu sa capacité à ne presque pas débander après avoir joui à moins que sa sœur ne lui offre son cul auquel cas , le plaisir était tellement violent qu'il se retrouvait incapable de continuer à la baiser sans période de récupération.

Léa avait gentiment mais fermement annoncé à ses deux nouvelles amies que son frère lui était exclusivement réservé jusqu'à ses règles. Cela n'empêchait pas les deux coquines de lui téléphoner dès qu'elles avaient un moment de libre, sachant parfaitement qu'elles tomberaient probablement au milieu d'un moment particulièrement érotique.

Ce fut le cas dès le lundi matin. Ils en étaient à une phase du duel où Léa, ayant déjà joui à deux reprises, essayait de faire venir son frère en se faisant prendre en levrette, les reins bien cambrés pour mettre en valeur ses fesses et faciliter une pénétration maximale. Quand son GSM sonna, elle le prit plus par provocation envers son frère acharné à la pilonner que par envie de tenir une conversation.

« Bonjour Françoise .... Pourfendue ma chérie! Baisée par l'énorme bite de mon Lolo. ... Ce matin déjà deux fois....Et toi? Tu te masturbes? C'est bon? ... Lolo, Soise imagine que c'est elle que tu baises et elle mouille comme une folle. Elle gémit au téléphone. Tiens, je mets le haut-parleur pour que tu l'entendes ... Soise, il me prend encore plus fort. Sa bite grossit encore, je crois qu'il va m'inonder de son foutre .... »

« AAAH » entendit-elle dans son dos

« Ca y est Soise, je sens son foutre dans ma chatte . Y'en a tellement »

« OOOOHH » crachota le GSM

« Et il reste bien dur. Enfin pas autant qu'avant mais je crois que je vais encore avoir droit à un tour de manège. Je te passe Lolo, je vais un peu le sucer pour le remettre totalement d'aplomb. »

« Oui Françoise, c'est moi.... Oui elle me suce très bien . Elle a fait des progrès. Elle parvient à prendre la moitié de ma queue en bouche maintenant . AAH c'est bon ... Pour toi aussi? ... Tu avais un gode dans ton sac? ... Quoi ça? OK . Ma lionne, Soise voudrait que je baise tes seins pendant qu'elle réchauffe son gode entre les siens. .. Je te repasse Léa ..

« Oui Soise, sa bite est de nouveau bien grosse entre mes seins et il les comprime pour les baiser . Et il pince mes pauvres tétons. Tu devrais voir son gland tout rouge qui surgit entre mes mamelons. Il a certainement envie de le fourrer ailleurs.... Non pas aujourd'hui. Il m'a sodomisée la moitié de l'après-midi hier et j'ai le cul encore un peu sensible. ... OK je te le repasse pendant que je le suce à mort! »

« Oui Soise, elle me suce de nouveau et elle me tripote les couilles en-même temps. Tu fais quoi??, Léa, Soise a fourré son gode dans son cul et se caresse le clito... Oui tu m'excites. Oui, c'était très bon de prendre son beau cul hier. Tu aurais dû voir ma queue entre ses fesses... Elle se caresse aussi maintenant. Elle ne t'a pas dit qu'après que j'ai joui dans ses fesses, elle m'a enculé avec le double gode de Lucie jusqu'à ce a qu'elle jouisse en m'enculant. Et moi j'étais de nouveau bien dur alors je l'ai sautée en missionnaire dès qu'elle a eu récupéré. Ma lionne, Soise jouit de nouveau ... et moi aussi je crois que aaah je vais venir dans ta bouche... je vais venir ... OUI , CA Y EST! BOIS-MOI, AVALE TOUT!!! ...... Soise, ... Léa jouit aussi .... »

En toute fin d'après-midi, c'était le tour de Lucie d'appeler Léa

« Bonsoir Lucie ... Non, ils ne rentreront qu'assez tard ...Au moins elle a téléphoné pour se décommander ... Lolo est très calme pour le moment... Il est occupé à me raser l'entrejambe... Je préfère être débarrassée de tous mes poils quand j'ai mes menstruations .... Non, il le fait très bien. Il se rase aussi à la lame et il ne se coupe jamais. Quoi que je sens sa main trembler.... Oui moi aussi je me demande pourquoi hi hi! .... Heureusement il a presque fini... Voilà c'est fait. Et maintenant j'ai droit à une serviette chaude pour calmer le feu du rasoir... Oui il est très attentionné.... Et maintenant il vérifie si mon clitoris va bien ... Toi aussi? .... Attends, je dois avoir un petit problème parce que eeh il me lèche... Je vais pouvoir te le passer parce qu'il remonte... Ouh! Je sens quelque chose de très gros et de très dur qui veut entrer dans mon minou tout glabre. Je suis tellement mouillée qu'il a pu entrer sans aide malgré sa taille ... Je le sens qui progresse en moi... Il me remplit le ventre ma chérie! Ca n'arrête pas de monter! Ooh . Il est tout au fond de moi. Je sens son gros gland à l'entrée de mon utérus... »

« Salut Lulu » grogna Loïc dont le visage était maintenant à portée du GSM

« Elle te fait le bonjour et t'envoie ses meilleurs encouragements à bien me baiser pendant qu'elle se branle... Oui Lulu, oui il me prend en force. ... Il m'a relevé les jambes et me défonce comme une brute ... Aaah ... C'est bon d'être une femme ... Cinq orgasmes pour moi, trois pour lui .... Je vais encore jouir ... Aaah... Oui je t'attends ma chérie mais aaargh , dépêche-toi ... c'est difficile de résister à Bite d'Ane. Oui, viens avec moi ... JE JOUIS ... AAARGH! »

« Lulu? C'est moi. ... Elle est un peu out ... Non, je n'ai pas joui ... Me branler sur elle? ... Marquer mon territoire? Bonne idée . Ooh, voilà, je suis sorti et je branle mon gros bout tout mouillé . Oui elle est très excitante. Ses grosses lèvres sont toutes gonflées .. aah c'est bon .. et ses seins sont bien durs... Je vais les couvrir de sperme ...AAAHH C'est parti, je gicle partout sur elle ... Lucie ... Je jouis, c'est trop bon ... Ooh .. Oui ... Toi aussi je t'entends ... Je gicle encore .. Oui ma belle , la semaine prochaine pour toi ... Aaah bientôt! »

Dans les jours qui suivirent, Léa s'ingénia à tirer au moins six éjaculations par jour de son frère qui au fil de la semaine avait de plus en plus de mal à mériter son statut de super-étalon. Non qu'il ne lui rende la pareille! Il la faisait jouir plus souvent qu'à son tour mais chaque fois qu'il pensait avoir calmé la libido de sa sœur, elle revenait à la charge parfois même sans en éprouver le moindre désir si ce n'est une volonté farouche de laisser son frère complètement épuisé aux mains des deux vieilles « J'ai promis de le prêter ; je n'ai pas promis qu'il serait en bon état! » se répétait-elle!

Le matin, il n'y avait pas de problème : ils faisaient une première fois l'amour comme des lapins puis après le petit-déjeuner, au cours de leur « duel », elle essayait de le faire jouir deux fois. Cela lui valait souvent trois ou quatre orgasmes à elle-même mais elle récupérait plus vite que son jumeau et elle repartait au combat tambour battant. C'est l'après-midi que les choses se corsaient. Elle devait utiliser toutes les ressources de sa garde-robe et celle de sa mère pour réveiller son intérêt .

Se balader avec le fameux slip mais aussi un soutien-gorge de sa mère de deux tailles trop petit pour elle lui avait permis de d'abord branler son frère pétrifié au garde-à-vous et le faire jouir sur son ventre avant de le monter et de le chevaucher en écartant simplement le slip pour laisser sa verge la baiser. Les yeux braqués sur la pièce de tissu, il avait été particulièrement rapide cette fois-là. Et elle avait réussi à le refaire bander sans trop de problème en lui murmurant à l'oreille des phrases comme « Tu as envie de baiser ta mère frérot? Tu imagines ta grosse queue dans sa bouche? ». Il l'avait prise en levrette avec une véhémence incroyable pour un garçon qui avait déjà joui cinq fois et ils avaient à nouveau tous deux atteint l'orgasme en criant leur bonheur.

Avant le retour de ses parents, elle l'avait à nouveau branlé en entourant sa verge du slip de sa mère bien humecté de sa propre cyprine. Dans le même temps, elle lui fourrait sous le nez ses seins toujours sanglés dans le soutien qui explosait sous leur pression. Elle avait réussi à encore extraire de ses couilles un filet de sperme en lui rappelant qu'il allait jouir dans le slip maternel.

Le même scénario se répéta le lendemain matin mais après le déjeuner, elle mit sa mini-jupe et le marcel de son frère sans culotte ni soutien. Après s'être baissée devant lui en tournant son splendide cul nu vers lui, il la colla contre le mur et lui fit l'amour debout, soutenant son poids de ses bras puissants. Accrochée à sa nuque, elle se laissait défoncer en gémissant. Lorsqu'elle se sentit au bord de l'explosion, elle resserra ses muscles intimes comme pour le traire et Loïc salua l'orgasme de sa sœur en aspergeant son vagin de son sperme. Les jambes un peu coupées, elle se coucha sur la table de la salle à manger, théâtre d'autres de leurs coïts sauvages, releva le marcel et se tripota les seins sous l'œil de plus en plus intéressé de son frère. Lorsqu'elle écarta les lèvres de sa vulve pour lui montrer son foutre qui glissait lentement en dehors, il était fin prêt et recommença à lui faire l'amour comme un possédé ; la menant deux fois à l'orgasme avant de rendre les armes.

Le jeudi, elle changea encore de tactique, ne prenant aucune initiative et au contraire, montrant une totale soumission envers les désirs de son frère. Pris au jeu, Loïc lui commanda de s'habiller en soubrette et la prit dans toutes les positions que son imagination enfiévrée lui dictait. A ce jeu, la soubrette dévergondée jouit huit fois et son maître de maison six dont par deux fois dans sa bouche gourmande. Il fut particulièrement émoustillé par les bas résilles à élastique qui soulignaient la longueur des magnifiques jambes de sa sœur. Sentir ces jambes gainées de nylon qui se refermaient sur ses reins et l'encourageaient à la pénétrer plus profondément et plus vigoureusement accroissait encore son plaisir. Il ne pensa même pas à la prendre en levrette tant cette sensation en position de missionnaire l'emmenait au septième ciel.

Léa commenta abondamment leur après-midi à Soise et à Lucie qui ne manquèrent pas de leur téléphoner entre deux-rendez-vous. Françoise promit d'ailleurs de se procurer le même genre d'accoutrement, ce qui stimula Loïc avant leur dernier tour de baise.

Le lendemain, Léa se réveilla avec une légère gêne au bas-ventre et comprit que ses menstruations n'allaient plus tarder. Après le coït express du matin, elle expliqua la situation à Loïc qui accepta de remplacer le duel par une fellation et une masturbation endiablée se terminant par une copieuse éjaculation sur ses seins.

Il pensait pouvoir profiter de l'après-midi pour récupérer mais la coquine avait plus d'un tour dans son sac. Elle vint s'asseoir à côté de Loïc qui regardait la TV et retira son slip . Elle ramena ses jambes sur son torse et exhiba le tube de lubrifiant qu'elle ouvrit et commença à en introduire dans son anus. Loïc avait compris le message et son sexe jaillit hors de son short. Léa en profita pour l'enduire également d'une onctueuse couche de gel avant de se mettre à quatre pattes devant le divan. Loïc se laissa tomber à genoux derrière elle et pointa son sexe vers le petit trou de sa sœur. Il lui écarta les fesses et commença à pousser. Il fut heureux de constater que le sphincter résistait de moins en moins à chaque sodomie et il commença à l'enculer avec délectation. Léa geignait doucement au début mais se mit à ahaner dès qu'il accéléra la cadence et la profondeur de ses pénétrations.

Il se pencha et empoigna les seins de sa jumelle qu'il pétrit avec une sorte de sauvagerie tandis que ses mouvements de hanche devenaient de véritables coups de boutoir. Lorsqu'il se redressa, il donna un coup de reins qui arracha un cri de douleur à sa sœur et il s'aperçut que son sexe disparaissait complètement dans l'anus distendu. « Ma lionne, je t'encule jusqu'aux couilles! » « Je le sens, je sens ta grosse bite d'âne qui me défonce le cul. Vas-y mon gros loup, encule ta sœur et jouis dans mon cul! »

Loïc n'avait pas besoin d'autant d'encouragements et après une demi-douzaine de va-et-vient, il jouit tout au fond de son rectum avec un grand « humpf » et il s'écroula sur le dos de Léa, accroché à sa poitrine qu'il caressa cette fois avec beaucoup de douceur. Léa soutint son poids sans broncher mais alors que la verge commençait à se rétracter, elle fit fonctionner son sphincter, empêchant le gland encore tuméfié de s'évader.

« Caresse-moi mon gros loup, fais-moi jouir ; j'ai trop envie de prendre mon pied avec ta bite d'âne dans le cul! »

Alors qu'un instant auparavant, Loïc était persuadé d'avoir atteint ses limites, le langage cru de sa sœur réveilla sa libido et il s'empressa de lui obéir. Une main caressant la vulve béante et le clitoris, l'autre le gros sein droit, il ne gardait son équilibre qu'à la force de ses muscles dorsaux. Léa, agitée de soubresauts, ne lui facilitait pas la tâche jusqu'à ce qu'il sente sa verge épuisée reprendre du service. Une fois en pleine érection, elle lui permit de se stabiliser en faisant levier juste au moment où sa sœur se cabrait comme une pouliche rétive et clamait son orgasme

« AAAHH, JE VIENS MON LOUP¨! JE VIENS AVEC TA BITE DANS L'CUL! OOOHHH! »

Elle s'écroula à plat ventre, entraînant Loïc qui se renfonça au plus profond de ses reins ; sa verge complètement érigée réclamant satisfaction.

« Elle a le chic pour me ressusciter les couilles et puis me laisser en plan avec la bite en feu » se dit-il. Pendant qu'elle reprenait lentement ses esprits, il se dressa sur ses bras et recommença à la pistonner doucement, appréciant la vue de sa grosse verge pénétrant les fesses tellement attirantes de sa jumelle.

« Au moins cette fois je vais en profiter ; mes couilles sont tellement nases que je ne suis même pas certain de pouvoir encore éjaculer »

Léa geignait doucement. Le monstre qui se mouvait dans ses entrailles lui laissait une sensation d'inconfort mais elle ne voulait pas l'arrêter, bien décidée à épuiser les réserves de foutre de son frère avant de le laisser aux mains de ses deux amies. Décidée à ne pas céder, elle recommença à se masturber pour trouver du réconfort tandis que son frère la sodomisait sans faillir. Malgré les orgasmes à répétition, le besoin d'une nouvelle extase se fit lentement sentir chez les deux partenaires. Loïc accéléra progressivement son rythme , n'hésitant plus à s'enfoncer dans la cavité anale jusqu'aux bourses maintenant qu'elle s'était adaptée à ses dimensions monumentales.

Les gémissements de Léa allaient crescendo avec la montée en puissance de l'étalon qui lui pourfendait le rectum. Son clitoris complètement dardé donnait les premiers signes de la proximité d'un orgasme et à la véhémence des coups de reins de son frère, elle sentait bien qu'il n'allait plus tarder à s'épancher lui aussi. Ce dernier finit enfin par balbutier

« Ma lionne, tu vas encore me faire aah jouir. Ton cul! C'est trop bon. JE VIENS, LEAAHHH! »

Cette dernière accéléra la danse de ses doigts et jouit elle aussi tout en sentant une dernière giclée de sperme se perdre dans son anus distendu. Loïc se laissa aller sur sa sœur, l'étouffant presque mais elle ne se plaignit pas, savourant encore les reliefs de son orgasme. Elle tourna la tête et il lui embrassa la joue. Cette fois, elle n'avait plus la force de le retenir et sa verge qui se dégonflait rapidement fut bientôt éjectée par le sphincter épuisé. Il roula sur le dos et elle vint l'embrasser avec autant de tendresse que leur passion avait été éclatante.

La soirée fut calme voire un peu morne. Cécile et Léa partageaient le même calendrier de menstruations qui les laissait pour le moins moroses même si aucune des deux n'avait de règles douloureuses, Loïc, lui, avait le bas-ventre douloureux après ses excès de la semaine et se demandait avec inquiétude s'il pourrait honorer Lucie et Françoise le lendemain. Même Jean qui avait pourtant moins donné que son fils se sentait au bout du rouleau. La pause menstruo-mensuelle allait faire du bien! Loïc annonça qu'il allait passer un nouveau week-end avec son copain Danny et ses parents gobèrent le pieu mensonge sans broncher, à la grande détresse de Léa qui au fonds d'elle-même espérait sans doute un refus qui obligerait son frère à rester auprès d'elle.

Quand Loïc dit au revoir à sa sœur le lendemain matin, elle avait les larmes aux yeux et lui-même ne se sentait pas le matamore qu'il s'était imaginé. La plupart des garçons de son âge auraient donné un bras et une jambe pour être prêté par leur petite amie à deux maîtresses occasionnelles mais lui ressentait surtout une énorme impression de trahison.

En fin d'après-midi, alors que Léa se morfondait seule dans sa chambre, ayant refusé d'accompagner ses parents faire les achats de la semaine, son GSM sonna. Elle faillit ne pas décrocher en voyant le nom de Lucie ; elle n'avait aucune envie d'entendre raconter les exploits de son frère-amant ou le nombre d'orgasmes que les deux femmes avaient atteint. Mais les bonnes manières -- et peut-être aussi un certain orgueil -- l'emportèrent et elle ouvrit la communication

« Léa ma chérie, c'est affreux » s'exclama Lucie sans même lui dire bonjour « C'est Lolo, il ne parvient pas à jouir. Soise et moi on a déjà joui 3 ou quatre fois chacune, on l'a sucé et masturbé, il nous a sodomisé avec son grand machin mais pas moyen de le faire venir et maintenant il a une crampe pas possible. Essaye de lui parler ...je te le passe, il est en train de m'enfiler en levrette»

Interloquée, Léa entendit la voix haletante de son frère

« Ma lionne, je n'en peux plus, dis-moi que je peux jouir »

« Mais oui mon gros loup mais dis-moi d'abord ce que tu fais »

« Je prends Lucie par derrière pendant que Soise me suce les couilles »

« Est-ce qu'elles ont déjà bien pris leur pied? »

« Oui, trois fois chacune et Lucie est en train de craquer de nouveau »