Les Jumeaux Croisés 05

« Que dirais-tu si on se laissait aller jusqu'à jeudi matin et puis ceinture de chasteté jusqu'à la Grande Partouze? N'oublie pas que tu vas devoir satisfaire trois femmes à toi tout seul!»

« Raison de plus pour bien s'entraîner » dit Loïc, rigolard, pour clore le sujet en plaçant dans la main de Léa sa verge qui avait déjà retrouvé une dureté de bon aloi.

« Mets-la entre mes seins mais installe-toi à l'envers » dit sa sœur, « comme cela tu pourras me caresser le clito pendant que je te masse avec mes nibards »

Le reste de la semaine sembla très long aux deux adolescents. L'heure de la délivrance semblait ne jamais vouloir sonner et même si Léa accepta de se laisser sodomiser avec douceur et prudence le mercredi matin, la tentation de faire l'amour plus classiquement devenait de plus en plus insoutenable!

De plus , dormir séparément était un déchirement pour le jeune couple secret mais ils ne voyaient vraiment pas comment faire accepter par leurs parents leur incestueuse relation. Bref, la tension ne cessait de monter et ils virent arriver avec soulagement le vendredi soir tant attendu.

Comme promis, Lucie avait revu Françoise le dimanche soir et lui avait raconté ses ébats amoureux avec Léa et Loïc mais avait prévenu son amie « Je n'en peux plus, je te raconte tout mais ne compte pas sur moi pour une partie de jambes en l'air. »

Très excitée par le récit de son amie, Françoise s'était caressée sans vergogne sous l'œil goguenard de Lucie qui ne manquait pas d'insister sur les dimensions de l'engin de Loïc ou la fermeté de l'imposante poitrine de sa petite amie (« ne dit surtout pas sa sœur! » se répétait- elle ). Avant la fin de récit hautement érotique, Soise, la jupe troussée jusqu'à la taille et le slip sur les chevilles, avait joui deux fois en se mordant les lèvres pour ne pas interrompre son amie par les gémissements qui lui restaient dans la gorge.

« Tu me promets que tu le laisseras me baiser, hein Lulu? Cela fait trop longtemps que je n'ai plus eu un mâle aussi bien monté et j'ai vraiment besoin d'être ramonée à fond»

« Mais oui ma douce, le scénario est prêt et c'est toi qui ouvriras le bal avec Loïc pendant que je m'occuperai de Léa »

Dès leur retour au bureau, Cécile et Jean avaient été noyés sous les affaires à traiter et avaient décidé de se jeter à corps perdus sur la masse de travail pour essayer de prendre de l'avance d'ici la fin juillet pour pouvoir prendre trois semaines de vacances début août. Et après, ils devraient aider les jumeaux à déménager vers Lille. Cécile avait même renoncé à se limiter à un mi-temps et elle aidait donc Jean jusque tard le soir. Le seul avantage de ce rythme forcené était qu'ils se retrouvaient seuls à partir de 18h lorsque leurs deux assistants rentraient chez eux. Ayant le champs libre, ils jouaient au patron dominateur et à la secrétaire perverse et cela se terminait inévitablement par un coït endiablé sur le bureau de Jean ou sur le tapis de la salle de réunion à moins que ce ne soit l'inverse ou les deux.

Cécile adorait ce genre de scènes impromptues où Jean la troussait sans un mot et la prenait encore toute habillée, penchée sur son bureau, la baisait en force et se libérait de la tension accumulée au cours de la journée avant de reprendre le travail comme si rien ne s'était passé. Elle appelait ces épisodes « les aventures de Melle Videcouilles ». A l'une ou l'autre occasion, elle avait inversé les rôles et c'était elle qui avait ouvert la braguette de Jean, l'avait masturbé sans avoir l'air de s'intéresser à lui puis l'avait chevauché jusqu'à ce qu'elle atteigne l'orgasme . Ensuite elle l'abandonnait avec son érection sans chercher à le satisfaire. Cela se terminait inévitablement par la revanche de Jean ; revanche ô combien satisfaisante pour tous les deux. Ils virent néanmoins venir le vendredi avec satisfaction. Les jumeaux avaient des projets chacun de leur côté pour le week-end et ils auraient la maison pour eux. Un deuxième moment « Cécile et Jean » d'affilée concluant une semaine riche en sensualité, que demander de plus?