Les Jumeaux Croisés 04

BÊTA PUBLIQUE

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« Elle sait »

Léa déposa le plateau et embrassa le cou de son amie en lui murmurant

« Tu ne m'en veux pas de t'avoir piégée? »

« J'aurais préféré que tu joues cartes sur table » répondit-elle tours empalée sur Loïc « mais tant que votre secret ne s'ébruite pas, il me serait difficile de regretter quoi que ce soit . Vous avez réveillé ma sensualité et je compte bien jouir de la situation et jouir de mes beaux jeunes amants! »

Ces derniers mots déclenchèrent une réaction immédiate chez le jeune homme toujours enchaîné sous elle. Il appela sa sœur :

« Léa, tiens-la , je vais la baiser à fond! »

Léa ne demandait pas mieux et se colla contre l'arrière-train et le dos de Lucie pendant que son frère donnait un premier coup rein dévastateur.

« Ouch, Loïc, doucement, tu vas m'estropier! »

Le jeune homme n'en avait cure et continuait à la marteler de toute la puissance de a verge. Le va et vient était tellement puissant que Léa sentit le plug anal ressortir de l'anus de Lucie et buter contre son bas-ventre. Très excitée, elle empoigna le plug et le renfonça sans ménagement dans le fourreau. Lucie hurla

« Léaaaaahhh! Tu vas me tuer! »

Sans se concerter, le frère et la sœur coordonnèrent leurs assauts, chaque retrait de la verge de chair correspondait à une plongée du plug en jelly. De son bras libre, Léa enlaça la taille de Lucie et la força à amplifier ses mouvements de haut en bas entre les deux pénétrations jusqu'à ce que la jeune femme explose à nouveau « CA VIENT! JE JOUIS! AAAHHH!!!

Léa laissa le plug sortir une dernière fois du rectum de Lucie tandis que Loïc la bourrait encore à trois ou quatre reprises. Lucie s'effondra sur la poitrine du garçon avant de s'arracher de sa verge et de basculer sur le côté dans un ultime gémissement, abandonnant un Loïc très content de lui-même mais les reins en feu. Voyant l'état de son frère, Léa s'empara du tube de gel et en enduit généreusement sa bite puis elle se débarrassa de son slip à nouveau trempé et l'étendit sur le visage de son frère. Celui-ci, tous ses sens en émoi, haletait de désir et sa verge fut prise de soubresauts

Léa ôta le plug qui lui occupait toujours les entrailles et le badigeonna autant que faire se peut de gel. Elle retira le petit plug du rectum de son frère et le remplaça par celui qui venait de la quitter. Le captif sans défense ne put résister à cette nouvelle attaque qui passa sans trop de difficulté l'obstacle de son sphincter déjà dilaté et fatigué par la présence du modèle junior.

Elle prit la place de Lucie mais au lieu de laisser la bite de son frère défoncer son vagin aussi béant que vierge, elle la présenta à l'entrée de son anus et poussa. A leur grande surprise à tous deux, l'énorme gland franchit l'obstacle presque sans difficulté. Le gros plug avait bien remplit son office et son orifice. Léa avait bien l'impression qu'un Alien avait envahi son rectum mais elle parvint à encore enfoncer la verge parfaitement lubrifiée de quelques centimètres avant de sursauter de douleur. Elle avait atteint la limite! . Elle fit passer sa main dans son dos et enveloppa la verge à hauteur de la zone acceptable par son rectum et commença faire de vigoureux mouvements des hanches qui arrachèrent des râles de plaisir à son frère qui sentait monter la jouissance en lui à vitesse grand V . Loïc avait l'impression que sa verge était prise dans un étau géant qui n'allait tarder pas à lui essorer les couilles si sa sœur continuait à s'empaler sur lui avec une telle frénésie.

« Je sens ta bite dans mon cul mon Lolo! Qu'elle est grosse! Tu aimes mon cul? »

« C'est bon ma lionne! C'est trop bon, continue, je vais jouir dans ton beau cul ......TIENS! PRENDS TOUT, JE VIENS! »

Léa sentit distinctement chaque giclée de sperme qu'il envoyait dans son rectum. Elle fit encore quelques va et vient pour s'assurer qu'il avait joui un maximum jusqu'à ce qu'elle sente la grosse verge dégonfler et se rétracter . Elle entendit un petit « plop » lorsque le gland fut expulsé hors de son anus. Elle embrassa tendrement le garçon complètement anéanti

« Je t'aime mon Lolo, tu es l'homme de ma vie et je serai toujours là pour toi »

Elle fouilla ensuite dans le sac de Lucie encore dans les vapes pour y trouver la clef des menottes et libéra son frère qui grogna un vague remerciement sans vraiment réaliser qu'il avait de nouveau les mains libres.

En explorant le sac, Léa avait repéré les autres jouets de Lucie parmi ses vêtements de rechange. Curieuse, elle ouvrit le plus petit colis et y découvrit une chaînette en « Y » qui reliait d'un côté un boîtier à piles avec un bouton de réglage et de l'autre côté se divisait en deux avec une espèce de pincette à chaque extrémité. Elle en comprit tout de suite l'usage et accrocha chacune des pincette à un de ses tétons. Le poids du boîtier batterie tirait sur les pincettes, déclenchant des ondes de plaisir dans ses seins qui semblaient encore s'alourdir.

Continuant à farfouiller, elle mit la main sur une boîte portant la mention « papillon » . l'illustration était très claire : placer l'engin sur la vulve avec le vibreur sur le clitoris.

Elle boucla la ceinture du papillon autour de sa taille et boucla l'entrejambe puis s'affala sur le lit aux côtés de ses amants toujours sans réaction. Elle joua d'abord avec la roulette des batteries des pincettes et sentit une décharge électrique frapper ses mamelons. « Aïe » s'écria-t'elle et elle s'empressa de ramener le courant à une intensité plus faible qui lui procurait juste une agréable stimulation .

Elle déclencha ensuite le vibreur du papillon et sursauta : la sensation était extraordinaire. Malgré le toucher synthétique de l'appareil, les frissons qu'il faisait naître dans son intimité étaient supérieurs à ceux de la langue de son frère ou de Lucie. Elle ferma les yeux pour profiter pleinement des vagues de plaisir qui l'assaillaient. Après quelques minutes de ce régime, elle se tétanisa et fut prise d'un grand spasme tandis qu'un orgasme ravageur explosait dans son ventre. Elle ne put s'empêcher de crier son bonheur, attirant l'attention de Loïc et de Lucie qui émergeaient enfin de leur torpeur. Ils admirèrent le corps couvert de sueur de l'adolescente qui tremblait encore sous les contrecoups des vagues orgasmiques qui l'avaient traversée.

Léa tâtonna pour trouver le bouton d'arrêt du papillon mais Lucie intercepta sa main et lui dit :

« Pas encore ma chérie, tu peux certainement jouir beaucoup plus! Loïc, tiens-là, je m'occupe des réglages! »

Loïc immobilisa sa sœur encore indolente tandis que Lucie augmentait l'intensité du courant dans les pincettes et le fréquence de vibration du papillon. Le garçon était fasciné par le spectacle des deux obus mammaires qui tressautaient tandis que le courant qui traversait les tétons les rendait durs comme du béton. Assuré de la passivité de Léa qui, toute à son plaisir, ne parvenait plus à remuer un cil, il s'empara de ses seins et les broya dans ses grandes pattes en poussant des « humpf » de désir bestial. Pendant ce temps, Lucie avait récupéré dans son sac une ceinture avec un double gode : le gros bout dirigé vers l'intérieur se retrouva bientôt fiché en elle et elle enduisit le gode le plus fin de gel avant se mettre à genoux entre les cuisses ouvertes de Léa. Elle glissa un oreiller sous le postérieur de la jeune fille, saisit les cuisses et les redressa pour dévoiler les belles fesses bien fermes de sa jeune amante puis elle pointa le gode externe vers le petit trou de sa jeune compagne et donna un grand coup de reins qui envoya le gode droit dans l'anus de celle-ci.

« AAAARRRGH » cria Léa « ARRÊTE, TU VAS ME TUER! »

Lucie ne sembla pas l'entendre car elle commença à lui défoncer l'anus, encouragée par les sensations crées dans son vagin par le gros gode vaginal qui la pénétrait chaque fois qu'elle prenait son élan pour baiser le cul de l'adolescente avec le gode anal.

Loïc avait fini par retirer les pincettes pour pouvoir sucer puis mordre les tétons tout en brutalisant les seins de sa sœur. Pris d'une une fureur génésique, il ne vivait plus que pour le plaisir que lui procurait ce traitement brutal . il se vengeait sur sa sœur de la douleur émanant du gros plug anal qui lui distendait l'anus et de sa verge à nouveau bandée alors même qu'il se savait trop au bout du rouleau pour espérer le moindre soulagement au travers d'une improbable éjaculation. Léa, quant à elle , naviguait sur un océan de plaisir et de douleur qui l'emmenait vers une conclusion orgasmique dont l'intensité montante l'effrayait presque ..

Lucie augmenta encore les vibrations du papillon et les cris de Léa atteignirent un paroxysme alors qu'une deuxième vague de jouissance la submergeait, déclenchant en retour l'orgasme de sa pourfendeuse qui s'écroula entre les cuisses de Léa, le gode toujours profondément enfoncé entre les fesses de l'adolescente. Ce paroxysme sembla éteindre les pulsions sadiques de Loïc qui, au contraire, enlaça tendrement sa sœur et lui donna de petits baisers tandis qu'elle geignait , toujours emportée par l'intensité de son orgasme.

Loïc se releva , se contorsionna pour faire ressortir le plug se dirigea vers la salle de bains parentale . Il avait besoin de s'éloigner un peu pour permettre à sa verge douloureuse de se relaxer . Il avait aussi eu une autre idée : pourquoi ne pas profiter du jacuzzi de ses parents? C'était un grand modèle pour deux et il se disait qu'il y avait certainement moyen de s'y assoir à trois. Il ouvrit en grand le robinet de remplissage et attendit que le jacuzzi soit à moitié plein avant de le refermer puis revint dans la chambre. Les filles n'avaient pas vraiment bougé : Lucie était toujours vautrée sur Léa ; seul le gode anal avait glissé hors des fesses de sa sœur qui étreignait son ainée. Loïc les secoua gentiment en disant

« Venez les filles, le jacuzzi est prêt ; il n'attend que nous » .

« Bonne idée » dit Léa « Mais tu devras me porter » ajouta Lucie

Il aida les filles à se lever et dut presque les soutenir jusqu'au bain bulles tant elles avaient été secouées par leurs orgasmes. C'est avec un soupir de bien-être que l'une et l'autre se laissèrent glisser dans l'eau chaude. Elles se serrèrent un peu pour laisser la place à Loïc qui les rejoignit après avoir mis le générateur en route.

Les filles émettaient des petits gloussements de plaisir en sentant les bulles les masser de toute part. Loïc lui était fasciné par les seins de sa sœur qui pointaient à la surface de l'eau, tels deux torpilles prêtes à le percuter. Pour éviter cette vue par trop tentante, il les imita et ferma les yeux pour se laisser masser par les grappes de bulles .

Après un laps de temps indéterminé, il entendit s' élever la voix de Lucie

« Vous voulez mes commentaires sur vos prestations? »

« Oh oui » dit Léa « Pourquoi pas » ajouta Loïc plus mal à l'aise. L'avant-veille il était encore puceau et manquait un peu de confiance en lui à l'énoncé du verdict d'une femme d'expérience.

« En fait, ce n'est pas étonnant que vous soyez frère et sœur car vous avez beaucoup de points communs : vous avez des corps splendides qui donneraient des envies à des couvents entiers ; vous avez une énergie fantastique et c'est difficile pour une vieille femme comme moi de vous suivre .. » « Lucie, tu n'es pas vieille » l'interrompit Léa .. « Comparée à vous deux mes enfants , oui je suis vieille mais vous me faites me sentir jeune, très jeune! .. Mais reprenons . Léa, tu m'as impressionnée en accueillant le canon de Loïc dans tes fesses. Je ne suis pas certaine d'y arriver un jour et pourtant j'aime me faire enculer . Je suis persuadée qu'une fois que ton petit con de vierge sera accessible, tu vas être une amante extraordinaire. Surtout si tu parviens à te faire baiser par ce monstre par devant et par derrière sans en porter les séquelles comme c'est un peu mon cas .J'ai du mal à fermer les jambes»

« Loïc, mon bel étalon, je te reprocherais bien de jouir un peu trop vite mais tu es tellement puissant que cela n'a pas beaucoup d'importance . Tu rebandes tellement vite que je n'ai jamais eu le temps de me sentir frustrée. Ceci dit, si tu dois nous baiser toutes les deux -- ou plus -- tu devras peut-être apprendre à ménager tes munitions! »

« Ou plus? » demanda Loïc soudain en alerte « Tu ne veux quand même pas organiser des partouzes alors que je n'ai pas encore pu prendre la virginité de ma sœur? »

« Pourquoi pas » le reprit Léa « Plus tu auras d'expérience, meilleur ce sera pour moi la première fois! Et puis on mettra les choses au point : tu es à moi ; je te prête à d'autres mais tu dois me revenir. Lulu, tu as quelqu'un en tête?»

« Mon amie Françoise. Une très grande amie... On a partagé des moments très très intimes si vous voyez ce que je veux dire. Elle est passée cette après-midi chez moi et elle a vu dans quel état vous m'aviez mis. Elle bavait de jalousie et je lui ai promis que je vous parlerais d'elle . Bon, elle est bien un peu plus,... beaucoup plus, grassouillette que moi mais c'est une vraie bombe sexuelle. Aussi bien avec les garçons qu'avec les filles d'ailleurs ... »

La main de Léa était partie en exploration sous-marine et avait fini par trouver la bite de son frère en pleine ascension

« Hum, je crois que Lolo est plus intéressé par ta proposition qu'il ne veut bien le dire!»

« C'est à cause de tes seins qui flottent comme des bouées, pas parce que tu veux que je serve de sex toy! »

« Menteur »

« Sœur maquerelle »

Ils se sourirent et se relaxèrent à nouveau ; le jacuzzi bien chaud avait des vertus apaisantes sur les sens enflammés. Au bout d'une demi-heure, Lucie s'excusa et sortit du bain pour se sécher et gagner les toilettes. Léa et Loïc se taquinèrent encore un peu en jouant à s'éclabousser puis prirent eux aussi le chemin de la sortie. Le frère remit son sempiternel bermuda tandis que la sœur rejoignait Lucie dans la chambre et essayait en pouffant le bustier deux fois trop petit pour son imposante poitrine. Lucie s'empara du chemiser de Léa qui ; vu leur différence de taille, lui descendait jusqu'au bas des fesses et ne mit pas de slip.

« Je veux être disponible tout de suite » expliqua-t'elle , mutine, à sa jeune compagne

Cette dernière décida d'imiter son ainée et trouva une chemise de son père qui la couvrait à l'identique et elles rejoignirent Loïc au salon.

Léa prépara un petit en-cas tandis que Loïc pillait le bar pour concocter des daiquiris. Ils trinquèrent joyeusement et continuèrent à évoquer les projets d'avenir pour leur trio.

« Normalement, la pilule devrait être pleinement efficace le week-end prochain » calcula Lucie. « Est-ce que cela vous dirait de venir chez moi pour le Grand Sacrifice de la Vierge? Je ne suis pas aussi bien installée que vous mais mon lit est aussi grand et nous ne serons pas dérangés »

« Les parents vont trouver curieux que je passe le week-end avec ma sœur et sa gyneco » objecta Loïc. « Je vais plutôt leur dire que je vais camper avec mon copain Dany dans un bois hors de portée GSM »

« Ce serait une bonne idée d'inviter Françoise le vendredi soir » réfléchit Lucie à voix haute. « Lolo pourrait faire un premier tour de manège avec elle pour évacuer la pression et il sera ensuite beaucoup plus à même de se concentrer sur ton plaisir ma chérie » ajouta-t'elle à l'intention de Léa.

« Bonne idée ma douce » dit Léa en se penchant pour embrasser la doctoresse dévoyée qui profita de leur étreinte pour masser le clitoris de sa patiente.

« Huuu, tu as bien récupéré » gémit celle-ci en écartant les cuisses pour faciliter les caresses

Son frère se leva du fauteuil où il était vautré et vint se camper devant les deux filles sur le canapé , la verge saillant sous le bermuda. Sans interrompre ses caresses, Lucie baissa le vêtement et engouffra la bite en érection presque maximale. Elle continua sa double masturbation des deux jeunes gens jusqu'à ce que Léa jouisse dans un sanglot . Loïc maintenant complètement érigé et excité se baissa et souleva Lucie du canapé. La jeune femme avait déjà admiré la musculature du garçon mais ne l'avait pas encore vu à l'œuvre.

Il la souleva sans effort apparent, les mains sous ses aisselles et incita Lucie à entourer sa taille de ses jambes. Il la plaqua ensuite contre le mur du salon et la laissa retomber, son sexe dur comme de la pierre cherchant à pénétrer le vagin ruisselant de Lucie. Elle se contorsionna pour faciliter la pénétration et dès que le gland fut introduit, Loïc commença à la labourer puissamment. Accrochée à ses larges épaules, Lucie se sentait totalement sous l'emprise du mâle qui la besognait sans merci. Elle sentait la colonne de chair l'envahir jusqu'au plus profond de son ventre dans des assauts qui lui arrachaient des glapissements de plaisir. Aucun de ses amants ne l'avait jamais autant possédée que ce jeune Loïc ; le jeune homme affirmait sa domination de toute la puissance de ses muscles et de sa verge .

Subjuguée par cet accouplement aux relents primitifs, Léa était repartie au quart de tour et se branlait avec frénésie sur le canapé, fascinée par l'avidité animale qui émanait de son frère en train de baiser son amie comme si la survie de la race en dépendait.

Lucie jouit une première fois et Loïc ralentit son rythme pour lui permettre de récupérer mais très rapidement, il reprit son martèlement furieux tandis que la femelle empalée sur sa verge était ballotée comme une poupée désarticulée. Léa jouit à son tour et ses gémissements de bonheur excitèrent encore davantage son frère qui accéléra la cadence malgré le resserrement des parois vaginales de son amante. Lucie n'en pouvait plus mais le mâle qui la besognait n'en n'avait cure. A chaque retrait, l'énorme gland sortait presque du vagin puis , lorsqu'il était à nouveau propulsé vers l'antre de félicité, il labourait au passage le clitoris et les grandes lèvres, déclenchant des spasmes et arrachant des cris de jouissance à sa victime consentante.

Lucie jouit une deuxième fois et hurla son plaisir à pleins poumons avant de se recroqueviller le long du torse de son amant en pleurant presque :

« Loïc, pitié, je n'en peux plus! »

Léa qui avait repris sa branlette solitaire, tout aussi incapable de se contrôler que son frère lui cria

« Vient, finis en moi! » et elle se mit en position de levrette, le cul dressé, prête à affronter à nouveau la redoutable intromission .

Loïc déposa Lucie dans le fauteuil, dégagea tant bien que mal sa verge de la vulve tétanisée et monta les escaliers quatre à quatre, son membre saillant battant la mesure. Il redescendit immédiatement tenant le tube de gel. Il s'agenouilla derrière sa sœur qui l'attendait les yeux fermés et oignit le petit trou d'une belle dose de lubrifiant qu'il fit pénétrer dans l'anus qui s'offrait. Il déposa également une dose sur son gland et l'étendit dans un mouvement de la main qui n'était pas sans rappeler une monumentale masturbation.

Lorsqu'il fut satisfait du résultat -- et sentant aussi que ses couilles commençaient à bouillir - il appuya son gland contre le sphincter de sa sœur et utilisa toute la force de ses reins pour la pénétrer sans rémission. A nouveau, le gros gland se logea dans le rectum sans difficulté et, à sa grande surprise, poursuivit sa progression au-delà de ce qu'il avait réussi en début de soirée. La vue de sa verge embrochant les fesses de sa sœur l'excita à un degré inouï et il commença à l'enculer avec délectation . (« je l'encule, j'encule ma sœur » chantonnait-il dans sa tête). Léa , tout aussi excitée, se branlait à nouveau avec application ; les ondes de plaisir neutralisant la douleur émanant de son anus monstrueusement distendu.

Loïc avait noué une de ses mains autour de la base de sa verge pour s'empêcher d'aller trop loin mais pour le reste, il y allait de bon cœur. Il commença à aller et venir entre les fesses de sa sœur avec autant d'entrain qu'il avait baisé Lucie ; le lubrifiant lui permettait une vitesse de pénétration presqu'aussi rapide ; seule l'étroitesse du conduit anal le freinait mais lui apportait en échange de telles sensations qu'il sentit bientôt monter sa sève telle un TGV.