Les Frères Avant Tout

BÊTA PUBLIQUE

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« Je te mets en contact avec elle, mais toi, rends-toi utile un peu », se moque-t-elle en lui tournant le dos. Elle délace son haut de maillot qui tombe au sol. Nicolas secoue la tête en étonnement pendant qu'elle s'allonge dans sa chaise, sur le ventre, le visage appuyé sur ses avant-bras. Nicolas est figé, contemplant les courbes de Marie et ses belles fesses bombées, dont la forme rappel un ancre de bateau à la jonction des cuisses.

« Qu'est-ce que t'attends ? » demande Marie en anglant légèrement la tête vers Nicolas, debout derrière elle. « Tu sais pas comment ouvrir la bouteille? »

Nicolas s'agenouille finalement à la droite de Marie et commence à étendre le liquide lubrifiant sur son dos. Il peut aisément voir le flanc de sa poitrine écrasée contre la chaise, mais il prend toutes les précautions pour ne pas s'y aventurer. Il applique une petite quantité d'huile sur ses épaules et les bras. Elle devient rapidement scintillante. Alors qu'il s'apprête à se relever, elle en demande plus.

« Ben là, pas juste le dos, sinon j'aurai l'air de quoi ? Les jambes aussi, et les fesses, s'il te plaît », poursuit-elle d'un ton tout à fait banal.

Embarrassé, Nicolas jette un regard furtif à la porte par où est passé son frère, comme s'il allait commettre un grand crime, avant de se dire à lui-même qu'il réfléchit trop. Il enduit donc les mollets d'huile et se fraye un chemin vers le haut.

Avec les mains fermes de son beau-frère qui lui frotte les cuisses, sa respiration s'alourdit. Elle lui dicte comment faire. « Appliques-en en masse, et frotte bien pour que ça pénètre la peau. », demande-t-elle alors. Lorsqu'il lui touche les fesses, elle retient son souffle, remarquant du même coup qu'il prend bien son temps. J'avais jamais réalisé que ses mains étaient si grosses. Elle apprécie chaque seconde et obtient l'assurance qu'elle n'est pas seule quand elle ouvre les yeux et pose son regard sur le maillot bien rempli de Nicolas.

« Comme ça ? », demande timidement Nicolas.

« Oui, mais t'es passé vite entre les cuisses. » Elle se dit qu'elle exagère, mais son corps redemande d'être touché. Quand Nicolas obéit finalement, elle sépare les cuisses pour lui ouvrir le chemin. Elle sent sa main frôler contre son vagin, tout près, mais sans réellement y toucher. Son cœur bat plus vite. Encore une fois, Nicolas survole son sexe et il répète une troisième fois. Ses mains sont tellement puissantes. Il pourrait me frotter comme ça et partout ailleurs pendant des heures et je me plaindrais pas. Résignée, elle le remercie tout simplement, contrôlant du mieux qu'elle peut son excitation tandis que Nicolas part se rincer les mains à la piscine.

Alex ressurgit au bout de quelques minutes et commence à mettre la table à l'extérieur. Il retourne chercher une nouvelle bouteille de vin. Nicolas vient l'aider, et entre un des aller-retour à l'intérieur, Marie en profite pour renfiler son maillot et se tourner sur le dos. Lorsqu'ils ont terminé de tout placer, les trois s'entendent pour aller se changer avant de manger.

Nicolas prend la salle de bain, Marie et Alex leur chambre à coucher. Alex referme la porte derrière lui et sans l'avertir, il empoigne Marie et l'embrasse follement.

« Je suis vraiment vraiment allumé », murmure-t-il avant d'insérer la langue. « Je te prendrais ici contre la porte ».

Marie parcourt le maillot d'Alex et en ressort son membre rigide. Elle le caresse en continuant de l'embrasser. Certainement pas aussi allumé que moi. Elle a vu comment Nicolas la regarde. Elle a senti son érection contre son ventre et ses mains contre sa peau et près de son intimité. Ses idées se bousculent et l'attention croissante et moins subtile des deux hommes ne cesse de l'émoustiller.

Elle arrête subitement de l'embrasser et ralentit la cadence de sa masturbation. Son regard s'ancre dans celui d'Alex.

« C'est l'alcool qui te fait ça ! Tu vas devoir patienter, on a de la visite », l'agace-t-elle avec un regard mesquin. « Allons manger, et plus tard j'aurai une idée pour toi, j'espère que tu vas aimer ça. »

Alex affiche un large sourire. Ohhh ça c'est cruel. Elle sort une chemise blanche de son tiroir et l'enfile par-dessus son maillot, sans le boutonner, puis ouvre la porte et disparaît dans le couloir pour aller au sous-sol. Alex n'a d'autre choix que de se rhabiller et retrouver son invité.

Nicolas sort de la salle de bain, portant son short beige et un t-shirt gris sans manches. Il ne manque pas la chance de montrer ses bras le frère, note Alex.

Ils prennent tous place pour souper sous le parasol. Les discussions sont variées et les trois essayent d'éviter le sujet de la l'infidélité de Jessica. Le vin coule et le soleil tombe, offrant une température plus agréable. Lorsque tout le monde a terminé, Alex se lève pour commencer à débarrasser la table.

« Je vais aller prendre une douche rapide pour enlever toute cette huile », annonce Marie.

Les deux finissent de ramasser et se servent alors une coupe de vin, puis s'installent à la table de cuisine. Au début, la discussion est terne, mais profitant de l'absence de Marie et de l'inhibition que lui procurent ses nombreuses consommations, Nicolas aborde un sujet plus privé.

« En tout cas, Alex, toi t'as pas à te plaindre. Marie, c'est toute une femme. »

« T'as même pas idée, Nic. Surtout que ces temps-ci, on est plus aventureux, plus explorateurs. Elle est plus affamée aussi, je ne la reconnais pas. Juste là, elle vient de me prendre la queue dans la chambre et elle m'a laissé là pour sécher. Je suis encore dur comme de la roche », avoue-t-il en pointant son entrejambe.

Nicolas ne le dit pas, mais à entendre son frère parler il le redevient également. Je suis peut-être plus dur que toi, mon frère.

« Fuck, c'est cruel ça ! Ça m'a toujours turn on une femme qui sait me titiller comme ça. J'ai remarqué aussi qu'elle a une énergie différente », poursuit-il. Il se remémore du même coup quand il lui frottait le dos nu, les fesses et l'entrejambe. « C'est une femme comme elle dont j'ai besoin », tranche Nicolas au moment où se fait entendre la porte de salle de bain.

Marie revient de sa douche. Alors qu'elle remonte les escaliers, elle sent toute l'attention des deux hommes. Elle ne porte qu'une serviette blanche, juste assez grande pour recouvrir ses seins et se terminant au haut des cuisses. Quelques gouttes tombent de ses longs cheveux qu'elle a simplement tassés sur la gauche. Avec une main, elle tient le haut de sa serviette pour éviter qu'elle ne s'ouvre et quand elle passe près d'Alex, elle s'arrête et s'appuie sur son épaule, face à Nicolas.

« Tu te sens un peu mieux ? Si tu as besoin de quoique ce soit, surtout sens-toi à l'aise, ça nous fera plaisir. »

Avant de partir s'habiller, elle se penche par-dessus l'épaule d'Alex pour l'embrasser. Il se serait attendu à un petit baiser du bout des lèvres, mais elle insère la langue et l'embrasse pendant de longues secondes. Sa serviette s'étire vers le bas et Nicolas aperçoit partiellement les aréoles de Marie. Son imagination s'emballe alors qu'il se dit que si elle n'était pas sa belle-sœur, il se la taperait sans hésitation. C'est certain qu'elle fait exprès. Elle veut que je la regarde. À la dernière seconde, lorsqu'elle entame le geste de se redresser, leurs regards se croisent et elle lui sourit petitement. Il tourne rapidement la tête, mais il sait pertinemment qu'elle l'a pris en flagrant délit.

Elle repart dans le couloir et il ne peut se retenir de la suivre des yeux. Sa démarche est gracieuse et au bas de sa serviette, il peut aisément voir le bas de ses deux fesses qui balancent au rythme de ses hanches. Il s'imagine la suivre. Il s'imagine lui arracher la serviette. Il se visualise bien lui enfoncer son gros sexe directement dans son vagin mouillé.

Alex n'est pas incrédule et remarque la distraction de son frère. Il ne peut plus voir Marie d'où il est assis, mais il se doute que Nicolas a droit à un point de vue splendide. Il s'excite terriblement à l'idée de son frère qui scrute ainsi la femme de sa vie. Il est tellement enflé dans son pantalon que ça commence à être inconfortable.

Lorsque Marie revient de la chambre, les deux hommes l'attendent debout de chaque côté de l'îlot. Chacun tient une coupe de vin bientôt vide. Nicolas examine Marie, aussi subtilement qu'il le peut, de haut en bas. Elle porte une nuisette plongeante de satin rose qui dévoile le contour d'un soutien-gorge violet à dentelle. L'ornement d'un collier argenté repose dans son décolleté bien visible. Ses cuisses en liberté et entièrement dégarnies quittent gracieusement l'ouverture au bas de sa tenue. Sous ses élégantes lunettes à monture noires, ses yeux verts semblent lui sourire.

Les deux frères avaient passé la journée à l'épier et elle avait habilement su élever son jeu. Elle avait l'air plus sexy encore, et elle flirte avec les frontières de ce qui est approprié. L'éblouissement sur leurs visages fait grimper son pouls comme si elle venait d'aller courir.

« Et ma coupe à moi ? », commande-t-elle sur un ton farceur.

Les deux s'approchent alors plus près de Marie. Nicolas glisse une coupe devant elle et Alex s'empresse de verser le fond de la bouteille. Elle prend trois généreuses gorgées. Elle les regarde tour à tour d'un air grivois.

« Vous parliez de cul, hen ? »

Elle joue avec ses cheveux avec sa main libre, faisant tournoyer distraitement une couette. Le vin lui donne l'assurance qu'elle n'aurait pas normalement pour aborder le sujet aussi directement. Bien qu'elle soit blottie, le dos contre Alex, elle est à moins de deux pieds de Nicolas. Son regard s'arrête sur lui quand elle attend la réponse.

« C'est les femmes qui parlent de ça ensemble. Les hommes, on parle jamais de ça », lance Alex en blague lorsqu'il voit que Nicolas peine à répondre.

« Ah oui. Je vous crois », ajoute-t-elle sarcastiquement. « Dans ce cas, comme je suis une femme, vous pouvez donc en parler avec moi. »

Elle finit déjà la coupe de vin qu'elle vient de prendre. Avec la proximité, Nicolas peut aisément voir dans son décolleté. Il combat l'envie de regarder, mais ses yeux dévient bien malgré lui à plus d'une occasion pendant la conversation.

« Bon, raconte-moi un de tes fantasmes, Nic », demande-t-elle alors. Elle affiche son plus grand sourire coquin, à peine voilé par sa coupe de vin qu'elle porte à ses lèvres.

« C'est comme ça que vous parlez de cul entre femmes ? J'en ai pas vraiment. »

« Tu mens. C'est sur que t'en as quand même, non ? » Elle le pousse amicalement du bout des doigts. « Coucher avec deux femmes, peut-être ? » ajoute Marie.

« Je serais stupide de dire non à ça ! Comme tous les hommes — ».

« — OK, mais ça c'est évident. Nomme en d'autres », insiste Alex, l'interrompant.

« Je sais pas trop. Je vais y penser. »

« J'ai une idée pour te délier la langue. On essaye quelque chose », propose Marie. « Ferme tes yeux. Je compte à reculons et tu dis le premier fantasme qui te vient à l'esprit. »

Suspicieux, mais piégé, Nicolas obéit. La fraction seconde avant, Marie lui offre un clin d'œil. C'est rapide. C'est subtil, mais il l'a vu. Maintenant, il n'arrive pas à penser à autre chose, ce geste occupe toutes ses pensées. Il n'a que l'image de cette belle femme, son décolleté et ce clin d'œil. Le clin d'œil se répète en boucles dans son imagination alors qu'il attend impatiemment que quelqu'un lui dise d'ouvrir les yeux. C'était quoi ça ?

« Oublie pas, tu dois me dire un fantasme. Je te laisse y penser un peu. Dans 3, 2, 1... ouvre. »

Il n'a pas encore l'occasion de parler. La nuisette de Marie est au plancher, elle n'est vêtue que de son soutien-gorge et une petite culotte agencée. Elle a bon goût, puisque l'ensemble élégant épouse son corps à merveille. Il remarque avec stupéfaction qu'Alex aussi ne porte plus qu'un caleçon noir. Alors que Nicolas cherche toujours ses mots et arrive pour déblatérer quelque chose, Marie s'approche à petits pas, intimement près. Elle s'étire le cou vers lui, dépose fermement une main sur sa nuque et approche son visage pouce par pouce.

« Moi, c'est de prendre deux frères », chuchote Marie, si près de lui qu'il peut sentir l'odeur du vin sur son haleine. Marie a le cœur à la course, à un point tel qu'elle a l'impression qu'il éclatera.

Elle appuie ses lèvres humides contre celles de Nicolas avec le juste mélange de douceur et de conviction. Les deux paires de lèvres s'entremêlent et se massent lentement, sensuellement. Nicolas ne veut pas et ne peut pas s'arrêter. Emporté par le tendre baiser, il referme naturellement les yeux. La main de Marie se glisse le long de son dos et descend sur ses fesses sous les pantalons. Même son derrière est musclé. Avec l'autre main, elle vient prendre une main libre de Nicolas et la dépose sur ses propres fesses.

Tout se passe tellement vite et Marie insère sa langue fébrile dans la bouche de Nicolas. Nicolas sent la respiration lourde de Marie. Elle parcourt les muscles de son dos d'une main et empoigne son postérieur de l'autre. Il masse son beau derrière rond, tirant sur elle vers lui avec ses grosses mains, puissantes, mais délicates. Son soutien-gorge vient s'écraser contre son torse. Leurs corps brûlent l'un contre l'autre, chaleur contre chaleur.

Alex avait longtemps rêvé de partager sa femme. Il avait même été le premier à donner l'idée, qu'elle avait d'abord rejetée. « Tu serais pas jaloux ? Ce serait compliqué, il faudra établir des règles. Puis quoi, tu vas juste aller dans la rue et demander qui veut baiser ta femme avec toi ? » Ils en avaient parlé une fois ou deux après, mais elle s'était toujours montrée réticente. « En tout cas, si l'occasion se présente, j'espère que tu vas saisir ta chance. Pour toi, mais pour moi aussi ! » La simple idée de voir son incroyable femme avec un autre homme lui donnait des palpitations. Sa luxure l'envahit et il s'excite qu'elle se soit souvenue de son ouverture et qu'elle eût cédé à ses envies primaires. Quoi de mieux qu'une personne de confiance? Son propre frère, si bel homme, ne pourrait la décevoir et allait la respecter.

Il ne peut plus se retenir et sort son membre, bandé comme un cerf, et commence à se masturber doucement. Alex a les yeux rivés sur la petite culotte de Marie. La coupe brésilienne met bien en valeur sa magnifique paire de fesses. Jamais il ne l'a trouvé aussi attirante qu'en cet instant précis. Il savoure ce moment où elle prend le contrôle, où elle pousse contre le torse de Nicolas et l'arpente graduellement vers le short pour flatter sa queue à travers le tissu.

Les deux interrompent leur french. Nicolas, renversé, cherche toujours ses mots.

« Je... J'ai — . »

Les yeux barrés dans les siens, Marie lui déboutonne habilement le short qui glisse rapidement au sol. Pendant ce temps, Alex détache délicatement le soutien-gorge et les beaux seins de Marie se libèrent, Nicolas voit ses belles et imposantes aréoles et ses mamelons durs qui pointent vers lui.

« — Enlève ton t-shirt », commande-t-elle d'un ton ferme.

Elle attrape encore un court baiser, saisissant la lèvre inférieure de Nicolas dans sa bouche. Alex s'approche par-derrière et commence à embrasser le cou entièrement découvert de Marie sur son côté droit. Elle gémit tout bas et se tortille lentement, sensuellement. Avec une main, elle agrippe la tête d'Alex pour le retenir dans son cou et se tortille derrière contre bassin, passant ainsi dans un mouvement de grinding. Avec sa main libre, elle touche au torse nu de Nicolas en admiration de ses pectoraux puis elle l'embrasse encore, langoureusement, follement, ardemment.

Alex se libère et contourne Marie de sorte à lui faire face et s'adosse à l'îlot de la cuisine, coude à coude avec son frère.

Marie interrompt son baiser avec Nicolas. Maintenant debout devant les deux hommes, elle sait exactement ce qui est attendu d'elle. Elle s'empresse d'empoigner le membre d'Alex de la main droite, alors que la gauche flatte généreusement celui de Nicolas à travers son caleçon. Puis, elle tourne sa tête et commence à embrasser son mari passionnément. C'est plus tendre, plus cadencé et plus affectueux. Un frisson de plaisir lui remonte la colonne quand elle réalise que c'est la première fois de sa vie qu'elle alterne entre deux hommes de la sorte.

Du coin de l'œil, elle remarque que Nicolas s'apprête à baisser ses caleçons. Elle s'arrête brusquement et d'un ton autoritaire, elle retient la main de Nicolas.

« Non, non. », insiste-t-elle en le regardant avec un large sourire.

Tournée face à lui, elle s'agenouille le visage directement devant son paquet bien serré. Ses Under Armour noirs sont pratiquement sur le point d'éclater sous la pression. À travers le tissu, elle embrasse avec appétit son membre trois ou quatre fois, puis elle commence à tirer très lentement vers le bas, une main sur chaque côté, désireuse de révéler ce qui est dissimulé derrière.

« Après toutes ces années, j'avais hâte de voir ton tatouage au complet », plaisante-t-elle, à propos de sa rose.

D'un geste précis et calculé, elle baisse graduellement le caleçon. Une belle rose apparaît. Le tatouage est noir, avec quelques feuilles qui l'entourent sans la tige. Marie dépose un court baiser au centre de la fleur et continue de descendre soigneusement la culotte. Son pénis imposant bondit à peine un pouce devant son visage, relâché par la pression qu'exerçait le sous-vêtement. Sa queue est environ de la même longueur que celle d'Alex, mais un peu plus large en circonférence. La belle veine proéminente qui longe le dessus, pulsant au rythme de ses battements, est enflée comme elle les aime.

« Mmmmm. C'est une grosse tige pour une si petite fleur », plaisante-t-elle.

Sans hésitation, mais avec toute la grâce de ses gestes posés, elle enveloppe le bout en forme champignon entre ses petites lèvres. Quand elle recule, une traînée de liquides relie sa bouche au membre féroce de son beau-frère.

Une fois le caleçon baissé, elle empoigne le pénis devant elle, puis fait de même avec celui d'Alex. Dans ses petites mains, les deux membres en érection paraissent immenses. Elle branle le plein six pouces de chaque amant et rive ses yeux dans ceux d'Alex.

Celui-ci ne peut s'empêcher de sourire, un sourire large, comblé. Il regarde la femme de sa vie à genoux devant lui et son frère. Ses yeux verts comme des olives scintillent et elle affiche aussi un sourire enthousiaste et fier. Il sait qu'elle aime bien le sucer et, après toutes ces années, il se doute bien qu'elle désire ardemment goûter un autre homme que lui.

« Les invités d'abord, mon amour. »

Les trois rient un peu et Marie ne perd pas de temps. Tout en continuant de masturber Alex de la main droite et sans relâcher la queue de Nicolas de la main gauche, elle angle la tête et ouvre la bouche béante pour englober les testicules. Enchaînant les coups de langue, elle les lèche avec appétit, puis les embrasse. Nicolas expire longuement et Marie gémit. Portant d'abord sa main gauche sur le derrière de Nicolas, elle parcourt le côté de son membre en le serrant entre ses lèvres jusqu'au bout en quatre ou cinq aller-retour. Elle ne peut plus se retenir et lorsqu'elle remonte au bout elle ouvre grand et glisse le gros manche dans sa bouche, sans les mains, aussi loin qu'elle le peut. Sa récompense est immédiate puisque Nicolas s'exclame d'un premier long gémissement. Les va-et-vient vont lentement et soigneusement. Alex gémit au son de sa femme qui mastique sur la queue de son frère.

Elle savoure sans remords cette queue. Elle aime la sensation de sa circonférence plus importante que celle d'Alex. Nicolas n'arrive pas à le croire. Ma belle-sœur est en train de me sucer juste là devant mon frère.

C'est plus fort qu'elle. Elle sait qu'elle prend trop de temps sur Nicolas avant de changer pour Alex. Après tout, c'est pour lui changer les idées que tout ça a commencé. Elle se dit qu'elle peut continuer un peu. Elle porte sa bouche à ses testicules et les lèches fébrilement pendant encore un moment et forcément elle doit se tourner vers Alex. À son tour, elle lui fait une fellation bien baveuse, masturbant Nicolas au même moment. Elle se réjouit de ce sentiment inégalé, celui de contrôler les deux hommes.