Les Frasques Sexuelles de Cassandra 05

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Chapitre 5 : Un Noël chez grand-père partie 1.
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Partie 5 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 01/13/2017
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Cette histoire est 100 % fictive, toutes ressemblances avec des personnes ou des lieux réels ne sont que coïncidences.

Description du personnage principal. Elle se nomme Cassandra, elle a 18 ans et elle est une jeune femme de cent soixante-quinze centimètres avec de longs cheveux ondulés blond-platine, de grands yeux bleu clair, une peau d'ivoire légèrement bronzée et une ferme poitrine de taille 85 D.

Toutes suggestions par rapport à cette série seront les bienvenues, mais je ne m'engage pas à les suivre à la lettre.

Bonne lecture et merci !

À 18 jours de Noël, alors que mes parents s'envolent vers la France pour y fêter le temps des fêtes avec des amis et partenaires d'affaires français, Carl et moi, surtout moi, décidons de profiter de mon premier Noël en tant qu'adulte pour le fêter sans nos parents respectifs. Mais, pour ne pas y briser le côté familial de la fête, je décide que nous le fêterions chez mon grand-père maternel, mon grand-père Jacques, que j'ai l'habitude de surnommé affectueusement ; « » grand-pa Jaco « ». Que je n'ai pas vu depuis une bonne dizaine d'années, ce qui correspond à l'année que ma grand-mère est décédée dans un écrasement d'avion. Mon grand-père habite le quartier Miraflores de la ville de Lima, la capitale du Pérou. Je prends donc contact avec lui et je lui annonce mon intention de fêter Noël avec lui. Il en est agréablement surpris et me demande d'arriver le plus tôt possible pour que l'on puisse rattraper le temps perdu.

Une semaine de Noël, soit le 18 décembre, Carl et moi embarquons à l'aéroport de Québec. Après avoir fait une escale à l'aéroport de Dorval à Montréal et une autre à JFK à New York, nous atterrissons finalement à l'aéroport « Aeropuerto Internacional Jorge Chávez » de Lima. Nous y sommes accueillis par mon grand-père en personne avec son ami, son chauffeur et son garde du corps, mais surtout son ami, du nom de Renzo. Renzo est un homme dans la cinquantaine de race noir au physique très imposant, aussi imposant que John Coffey, le personnage principal du film « La Ligne Verte ». Tandis que nous sommes, mon grand-père, Carl et moi confortablement installés au frais sur la banquette arrière de la Tesla de mon grand-père, Renzo charge nos bagages dans le coffre de la voiture et s'installe au volant. Après moins d'une demi-heure de route, nous arrivons à la somptueuse villa de mon grand-père.

Bâtie sur trois étages, dont le troisième est un demi-étage avec une terrasse équipée d'un bar, d'une chaîne stéréophonique et d'une piste de dance avec des tables et des tabourets surélevés, comme ceux que l'on voit dans les discothèques et une dizaine de chaises de plage dirigées vers le devant du bâtiment. Des statues et des plantes servent de décoration pour cette pièce extérieure et dont tous les meubles sont faits d'un bois local clair sans peinture et d'un immense jacuzzi dans lequel vingt personnes peuvent y prendre place. Les chambres à coucher, au nombre de six, se trouvent au rez-de-chaussée pour des nuits plus fraîches, il y a la chambre de mon grand-père, celle de son ami et les quatre autres sont pour des invités éventuels. Quant aux salles chaudes, ce qui inclus la cuisine et la salle de bains et qui se trouvent dans le demi-étage qui est aussi un étage hyperventilé sinon la chaleur y serait insoutenable surtout lors de la préparation d'un repas par Dana, la cuisinière et femme de chambre, de mon grand-père, qui est dans la quarantaine, mais qui n'habite pas le demeure, ayant sa famille à elle vivant dans un autre quartier de la ville. C'est Renzo qui s'occupe de la transporter matin et soir de chez elle à son lieu de travail, la résidence de mon grand-père Jacques, et vice-versa. À l'étage du centre se trouve un salon avec un bar, un téléviseur ainsi qu'un bureau de travail avec ordinateur.

Nous passons, mon grand-père et moi, les trois premiers jours à rattraper le temps perdu. C'est durant ces jours que j'apprends la raison qui fait que lui et ma mère, sa fille, ne se parlent plus depuis le décès de ma grand-mère. En fait, elle et lui n'ont simplement jamais été très proches l'un de l'autre. En fait, grand-pa, Jaco, est un homme plutôt simple, ce qui fait qu'il est très aimé par ses deux employés. Pendant que je passe ces trois premières journées avec mon grand-père à rattraper le temps et à apprendre quelques mots en espagnol, Carl lui s'occupe à visiter les environs avec l'aide de Renzo qui lui sert d'interprète.

Le soir du quatrième jour, après le repas du soir, grand-pa, Jaco, décide de faire une « fiesta sorpresa » ou fête surprise pour nous faire vivre à Carl et moi-même une expérience de « party » péruvienne dont tous doivent se vêtir d'un costume de bain, car le party se fait dans le jacuzzi. Dès le début de la soirée, l'alcool coule à flots, et quand je dis « à flot » c'est littéralement le cas. Tandis que les convives profitent de la générosité de mon aïeul, Renzo lui se contente de siroter des jus sans alcool. Il me raconte qu'il ne peut consommer d'alcool depuis qu'il a été opéré au foie. Par compassion pour Renzo, je décide de me passer d'alcool pour l'accompagner dans sa consommation de jus 100 % naturels. C'est alors qu'il m'offre de faire quelques pas de danse avec lui, proposition que j'accepte immédiatement.

Je porte, à ce moment-là, un bikini vert d'émeraude, sans bretelle, un paréo translucide vert d'émeraude avec des motifs floraux aux couleurs multiples et une paire de sandales de cuir de style romain dont les lacets montent jusqu'en bas de mes genoux. Alors que grand-pa Jacques, Carl et les autres invités boivent et chantent dans le jacuzzi, Renzo et moi dansons une danse locale sur de la musique péruvienne d'une chaîne de radio locale que nous transmettent les enceintes de la chaîne stéréophonique. Au départ, nous dansons de façon énergique sous le rythme de la musique festive hispanique puis le rythme festif de la musique fait place à de la musique hispanique plus romantique nous forçant à changer le rythme de notre danse qui devient plus langoureux. Les yeux fermés et la tête appuyée sur l'épaule de mon partenaire de danse, je peux ressentir les puissants muscles de son corps sur lequel je suis appuyé ainsi que la forme de son immense sexe bandé sur mon ventre. Gênée par ma soudaine sensation de désir sexuel, je lui propose de nous assoir un moment, prétextant avoir les pieds endoloris. Il profite alors de la situation pour me demander.

-- Si vous voulez, Mlle Cassandra, je peux vous faire un massage plantaire !

Surprise par sa proposition et me sentant un peu obligé d'accepter après lui avoir donné comme prétexte d'avoir les pieds endoloris, je lui réponds en souriant.

-- Ce sera un plaisir pour moi !

Au passage, je jette un regard à Carl qui a un taux d'alcool sanguin évidemment très élevé et je suis Renzo qui me fait assoir sur une des chaises de plage et s'assoyant à mes pieds, les jambes écartées, une de chaque côté du pied de la chaise de plage, il me prend le pied droit et entreprend de le masser de ses mains puissantes, gigantesques, mais habiles. Je ferme les yeux pour mieux apprécier le contact des mains et des doigts de ce géant sur ma peau plantaire. Il passe de mon pied droit à mon pied gauche et vice-versa, tout en continuant le massage de mes talons jusqu'au bout de mes orteils.

Puis, après une dizaine de minutes de massage, je sens qu'il soulève mon pied droit. J'ouvre un œil pour constater qu'il porte mon pied à sa bouche et qu'il y enfonce mon gros orteil à l'intérieur de celle-ci. Je referme mon œil et découvre la sensation de me faire sucer et lécher sensuellement les orteils l'un après l'autre en partant du plus gros pour terminer par le plus petit et du plus petit jusqu'au plus gros. Au départ, la sensation m'est plutôt étrange et pas vraiment très agréable. Puis cette première sensation passée, je commence à y ressentir un certain plaisir. Finalement, « ce certain plaisir » se transforme rapidement en plaisir réel et je me mets involontairement à soupirer de plaisir.

Renzo dépose mon pied gauche sur la chaise de plage et se penchant sur mes pieds collés l'un à l'autre, il les bécote tendrement. Je suis paralysée tandis que ses lèvres chaudes, douces et charnues remontent le long de mes pieds pour atteindre mes chevilles. Elles remontent mes jambes jusqu'à mes genoux puis elles entreprennent leurs voyages vers ma féminité en me découvrant, au passage, de mon paréo qui me sert de fragile protection. Je rougis aussitôt, mais je ne fais rien pour mettre fin à tout cela, malgré le fait que mon fiancé, mon grand-père et ses invités se trouvent à environ cinq mètres de nous, et dont seule la pénombre nous cache légèrement de leur regard, si l'un d'entre eux a l'idée de regarder dans notre direction. Mon cœur bat de plus en plus vite et ma respiration se fait de plus en plus profonde et ardue tandis que ses lèvres sont à mi-chemin entre mes genoux et mon entre-jambes. Le déplacement, de ses lèvres sur mes cuisses avec le souvenir de l'immense sexe de l'homme, fait monter en moi le désir de me faire prendre maintenant et ici même. J'écarte significativement les jambes tandis que ces lèvres vicieuses s'engagent entre mes cuisses pour se poser sur le fond de mon bikini qui est le seul mince et fragile rempart entre ces lèvres buccales et mes lèvres vaginales. C'est sans réel effort que Renzo agrippe l'élastique de mon bikini pour le faire glisser sur mes jambes et le retirer complètement. Affolée, je lui dis sans faire trop de bruit.

-- Non pas ici, les autres, ils vont nous voir !

En riant, Renzo me répond.

-- Ne vous inquiétez pas, il n'y a pas de danger. D'abord ils sont tous intoxiqués à l'alcool. Ensuite, il fait trop sombre et les lampes qui éclairent le jacuzzi les aveugles, les empêchant de voir ce qui se passe à l'extérieur du jacuzzi, mais cela nous permet de bien les voir. Finalement, avec le son des enceintes braquées sur eux, ils n'ont pas de chance de nous entendre.

Puis d'un mouvement lent et sensuel, il finit de me retirer le bas de bikini tandis que je retire mon haut par moi-même. Il se lève et il retire son maillot de bain, mettant ainsi à ma vue la source de mon désir, qui est son immense appareil reproducteur. Il replonge sa tête entre mes jambes pour y savourer la délicatesse de mon sexe. Tandis que sa langue s'amuse avec mon clitoris qui me transporte rapidement dans le monde des merveilles charnelles, je lui caresse son crâne chauve oubliant la présence de tout ce monde dans le jacuzzi, je suis mentalement dans un tout autre monde.

Alors que je mouille à fond, Renzo se lève et il approche son membre viril de mon entrejambe qu'il enfonce doucement à l'intérieur de mon étroite féminité.

― C'est tellement gros ! Que je déclare, à cela il me dit en souriant.

― Ne t'inquiète pas, ton sexe ne va pas devenir tout relâcher et ce même si tu prends régulièrement de gros engins, il va rester aussi serré qu'il est maintenant.

Sur ces paroles, il plonge, toujours tout en douceur et en lenteur, son immense sexe plus profondément en moi. Je ressens alors son pénis, de cinq centimètres de diamètre, écarter ma paroi interne lentement, mais surement, en faisant augmenté la pression de ma chaudière du plaisir, qui je sens, va bientôt sauter dans une formidable explosion orgasmique. À peine, enfonce-t-il la moitié, de ses vingt-huit centimètres en moi, que je me mets à jouir soudainement. Renzo en profite alors pour me pénétrer de tout son membre ne faisant qu'augmenter l'intensité de mon orgasme déjà très intense. Il me laisse quelques minutes pour reprendre mon souffle et pour m'habituer à son sexe de taille peu usuelle pour moi, avant de commencer à me faire l'amour. Son très large pénis active tous mes points de plaisir vaginaux, me faisant crier de jouissance à chacun de ses allées et retours à l'intérieur de moi, augmentant ainsi la fréquence normale de mon rythme à avoir des orgasmes consécutifs. Ce qui fait qu'après seulement 15 minutes, je suis aussi épuisée que si j'avais fait l'amour durant plus d'une heure. Fort heureusement pour moi, il éjacule en moi après seulement une vingtaine de minutes me faisant jouir intensément une dernière fois, car le peu d'espace que laisse son membre tout au fond de moi pour son sperme fait en sorte que l'éjaculation, de ce dernier, fait augmenter la pression en moi, faute d'espace libre. Nous restons là collés quelques minutes à nous embrasser et nous caresser puis il se retire, me laissant un sentiment de vide intérieur pour quelques minutes, et, comme il me l'avait dit, mon vagin reprend rapidement sa forme originale.

Épuisée, je vais voir mon fiancé qui est bourré comme un âne et je lui dis que je vais me coucher. Il me donne un baiser sur les lèvres en me soufflant son odeur d'alcool au nez sans me poser de question ni donner l'impression qu'il a même remarqué mon absence, puis j'embrasse mon grand-père en saluant les autres invités d'un signe de la main et je vais me coucher.

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