Les Frasques Sexuelles de Cassandra 03

Informations sur Récit
Chapitre 3 : Soirée d’Halloween. (corrigé)
2k mots
8.8k
2

Partie 3 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 01/13/2017
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Cette histoire est 100 % fictive, toutes ressemblances avec des personnes ou des lieux réels ne sont que coïncidences.

Petit mot, par rapport à mon personnage principal, Cassandra. Elle est une jeune plutôt curieuse que perverse. Donc, il peut lui arriver d'avoir des aventures moins excitantes pour certaines et certains d'entre vous que d'autres. De plus, si le cœur vous en dit, des suggestions seraient les biens venus. Cependant, je ne m'engage pas à les suivre à la lettre surtout si elles ne cadrent pas avec mon personnage principal, du moins pour le moment. Qui sait ce qui se passera dans l'avenir ? Vos suggestions, si elles cadrent bien avec la personnalité de Cassandra, pourraient influencer la direction que prendra la série...

Bonne lecture et merci !

Je suis Cassandra, j'ai 18 ans et je suis une jeune femme de cent soixante-quinze centimètres avec de longs cheveux ondulés blond-platine, de grands yeux bleu clair, une peau d'ivoire légèrement bronzée et une ferme poitrine de taille 85 D.

Trois semaines avant l'Halloween, alors que je navigue sur le net, je tombe par hasard sur site prestigieux, mais particulier de rencontre dans lequel les membres recherchent d'autres membres dont les phantasmes sexuels correspondent aux leurs. De plus, les propriétaires de cette agence virtuelle n'ont pas lésiné dans la sécurité. Car en plus de devoir fournir des preuves de notre identité et un formulaire pour démontrer que nous n'avons pas de casier judiciaire, l'agence nous fournit une application pour téléphone intelligent de localisation qui servirait d'alarme en cas de danger que l'on peut enclencher par un simple mot ou son, au choix de l'utilisateur. Cependant, une telle sécurité n'est pas gratuite, car pour s'inscrire à ce site il faut débourser 500 $ par mois. Mais pour tout cela, il faut débourser 500 $ par mois. Intéressée, je décide de m'inscrire dans les catégories « Sexe forcé et chatouilles abusives ». Cependant, même si notre identité est connue des modérateurs du site, elle ne l'est pas nécessairement des autres usagers.

Deux jours après mon inscription, j'ai déjà une cinquantaine de demandes d'amis, mais l'une d'entre elles retient particulièrement mon attention. C'est celle d'un homme au début de la cinquantaine et dont les préférences se rapprochent drôlement des miennes. Je donne donc suite à cette demande et seulement cette demande, pour éviter de m'y perdre. Après maints échanges, nous planifions une première rencontre qui se fera à travers le jeu de rôle qui aura lieu durant la soirée d'Halloween.

Pour la soirée d'Halloween, Carl et moi avions prévu de la passer avec ses parents et des amis à un bal masqué qui aura lieu dans un club V.I.P. le Prestige Club. Ce type de club est de ceux que l'on ne peut entrer sans avoir un bon statut social. Pour la soirée, je porte un costume de sorcière pas vraiment compliqué. L'ensemble se résume à une robe courte avec des manches de dentelle noire de soie et dont la fange de la jupe est taillée en dents de scie, de longues bottes de cuir synthétique noir s'arrêtant juste au-dessus de mes genoux, montrant à la vue de tous une dizaine de centimètres de mes cuisses découvertes, et un chapeau de sorcière pointu fait de cuir synthétique noir. Vers 22 h, j'avertis Carl que je dois m'absenter pour une bonne heure, il acquiesce sans poser de question, étant occupé à discuter affaires avec un ami. Je prends l'ascenseur pour me rendre au stationnement qui se trouve au sous-sol du bâtiment.

Jusque là, tout fonctionne comme prévu. À 22 heures, alors que je sors de l'ascenseur pour me rendre à mon véhicule, quelqu'un m'attrape par-derrière et me met un linge sur la figure dont les émanations de chloroforme me font tomber dans un profond sommeil. Lorsque je me réveille, je suis attachée à un chevalet en forme de X avec un appuie-tête dont l'angle avec le plancher est d'environ 60 degrés. Je ne vois rien, étant aveuglé par le faisceau d'une ampoule, pendant du plafond, à la hauteur de mes yeux, et se trouvant à un mètre devant moi. Je sursaute alors qu'une voix grave se fait entendre :

― Bon retour, du monde des rêves, ma belle.

D'une voix pas trop rassurée, je demande :

― Pourquoi avoir utilisé du chloroforme ?

― Pour ajouter du réalisme à la chose.

Quelque peu rassurée, je constate que la voix du type ne m'est pas totalement inconnue. Puis sans s'attarder davantage sur les préambules il entre dans son rôle et me dit brusquement.

― Alors Mademoiselle, si vous voulez sortir d'ici, il faudra verser cinq millions de dollars dans l'un de mes comptes bancaires en Asie.

― Cinq millions de dollars ! m'écriai-je offusquée. Comment osez-vous ?

― Vous refusez ? Me lance-t-il d'un ton grave et autoritaire.

― Bien entendu fainéant. Si vous voulez de l'argent, allez le gagner.

― C'est comme vous voudrez. Me répond-il d'un ton semi-enjoué.

Sur ce, il me retire les bottes et après avoir attaché, de nouveau, mes chevilles au chevalet, il le fait basculer vers l'arrière dans un angle de 80 degrés par rapport au sol. Tandis que l'air frais du lieu coule sur mes pieds nus, je réussis à voir davantage de mon environnement. D'abord, je constate que la pièce est faite de pierres du plancher au plafond et qu'il y a d'autres chevalets comme celui sur lequel je suis installée dessus, de type moyenâgeux. Ensuite, j'aperçois sur ma droite une table sur laquelle sont disposés des instruments que je devine sous un tissu velouté rouge. Et enfin, je vois l'homme qui est tout habillé de noir, son costume étant celui d'un ninja comme ceux que j'ai vus dans certains films dont les noms ne me viennent pas en tête.

Avant que j'aie la chance de me poser trop de questions qui pourraient me faire angoisser, j'entends un bourdonnement de ce qui ressemble à celui d'un petit moteur électrique et plus particulièrement celui d'une brosse à dents électrique. Au moment où je devine ses intentions, il appuie la brosse sur la plante nue de mon pied gauche. Je réagis aussitôt, en secouant mon pied dans tous les sens, mais incapable de me retenir je me mets à rire avec modération.

― Ah ! Ah! Ah! Non, arrêtez, pas ça ! Ah ! ah ! ah ! ah ! ah !

Il ne dit pas un mot, mais il m'immobilise le pied de sa main libre en le tendant vers l'arrière augmentant ainsi la sensibilité de ma peau plantaire, me faisant rire avec moins en moins de retenue.

― Non ! Arrêtez! Ah ! ah ! Ah! Ah ! ah ! Ah!Ah ! ah ! ah ah ! ah ! ah s'il vous plait ! Ah ! ah ! ah ! ah ! ah ! ah !

Cela dure environ une bonne dizaine de minutes avant qu'il ne s'arrête et me redemande :

― Allez vous faire ce transfert ou bien je vais devoir continuer à m'amuser avec votre corps qui se trouve à ma merci.

― Va te faire foutre, espèce de lâche ! criai-je faussement en colère. En fait, j'en voulais davantage.

― Oh ! La demoiselle est devenue insolente. Sur cette déclaration, il s'approche de moi et il me chatouille les côtes ainsi que les aisselles du bout de ses agiles doigts.

― Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! Je crie de rire alors que des larmes me coulent des yeux et que mon corps entier est secoué de convulsions que je ne peux contrôler. Je suis tout en sueur et je reprends mon souffle lorsqu'il arrête de me chatouiller les côtés. Je n'en peux plus et je décide de céder et d'accepter son offre avant qu'il aille plus loin.

― Oui, j'accepte de transférer l'argent, lui dis-je. Il sourit et pour s'assurer que je ne change pas d'avis, il me chatouille l'intérieur de ma cuisse gauche à quelques centimètres de mon entre-jambes. Je deviens alors hystérique et je ris et hurle à gorge déployée alors que tout mon corps est secoué de spasmes et comme je suis sur le point de tourner de l'oeil, il s'arrête, me laissant haletante et toute couverte de sueur. Il me détache les mains et me présente une fausse carte que je passe dans un faux appareil qui est censé transférer l'argent de mon compte vers le sien puis il m'attache de nouveau les mains. Il n'y a que la moitié du temps de passé sur l'heure prévue.

― Vous avez eu ce que vous voulez, maintenant relâchez-moi! lui dis-je jouant la femme frustrée.

― Pas si vite ma chère. N'importe quel homme hétérosexuel ne voudrait pas manquer l'occasion de pénétrer son membre viril dans une telle beauté féminine. Me répondit-il en souriant.

Sur ce, il fait tourner le chevalet de façon à ce que je sois couchée sur le côté droit, puis il ouvre une trappe de tissu retenu par un velcro situé sur le devant de son pantalon. Il en sort son sexe et il me force à le prendre dans ma bouche. Dès que ce dernier est entièrement fourré dans ma bouche, mon ravisseur lui fait faire des va-et-vient à l'intérieur ma cavité buccale. N'ayant jamais fait cela, j'ai du mal à ne pas avoir des haut-le-cœur à chaque fois qu'il heurte ma luette, empirer par le fait que son membre viril devient de plus en plus gonflé au rythme de ses vas et vient. N'en pouvant plus, je tousse de façon incontrôlée alors qu'il retire son membre, qui est maintenant, gonflé à fond. Les dimensions sont assez impressionnantes, surtout en ce qui concerne son gland, qui est de mon avis, la partie magique du membre masculin.

Il me fait alors tourner de nouveau à la verticale puis il se place entre mes deux jambes ouvertes. Il saisit une paire de ciseaux, il coupe le fond de ma culotte et il frotte son gros bâton magique le long de ma fente de mes lèvres externes vaginales. Alors que je mouille de plus en plus, son immense gland s'enfonce lentement en moi jusqu'à ce qu'il se retrouve en entier dans mon vagin. Puis, il s'arrête, laissant le corps de son pénis à l'extérieur. Moi, qui m'attendais à ce qu'il l'entre en entier, suis vraiment surprise. Puis il entreprend des va-et-vient sans s'enfoncer plus profondément stimulant mon point G de façon constante. Je ne mets pas beaucoup de temps avant de mouiller à fond.

― Non, arrête ça! Que je supplie, d'une voix que je veux être suppliante, mais j'ai du mal à rester dans mon rôle ressentant le plaisir m'envahir alors que son gland magique me fait monter au firmament à la vitesse grande « V ».

― Je sais que tu aimes cela petite garce? Avoue! Me dit-il, d'une voix franchement arrogante.

― Tu aimes cela petite garce? Avoue! Me dit-il, d'une voix franchement arrogante.

Après quelques minutes, je ne peux plus y résister, alors que mon cœur bat à tout rompre, que ma respiration est de plus en plus saccadée, que ma peau est couverte de sueur et que mes muscles vaginaux sont pris de spasme, un puissant tremblement orgasmique me parcoure le corps pour s'extériorise, de ma bouche, par un long et puissant cri de jouissance

― Oh oui! Oui! Oui! Oh oui! Continue! Ah! Ah! Ah! Aaaaaaah! Je crie en atteignant l'orgasme. Oui oui oui oui oui ouuuui!

Il va de plus en plus vite pour finir par enfoncer son pénis tout au fond de moi tandis qu'il m'injecte son sperme tout chaud puis se retire de moi, qui respire comme si je venais de courir cinq kilomètres. Il me détache et il me rend mes bottes et une paire de petites culottes neuves, qu'il avait achetées en prévision de ce qui allait se passer. Puis il me dit :

― On va devoir y aller, sinon ton petit copain va se poser des questions!

J'acquiesce de la tête. Quinze minutes plus tard, je suis de retour à la petite fête, où j'y retrouve Carl qui ne semble pas avoir trouvé mon absence trop longue. Alors que les autres bavardent, de tout et de rien, moi je passe le restant de la fête à me poser deux questions par rapport à l'homme mystère avec lequel j'ai fait l'amour pendant une bonne heure sans avoir vu son visage ni avoir connu son nom.

― Qui est-il?

Me dis-je, sachant au fond de moi qu'il ne m'est pas inconnu, car je me suis tout de suite sentie en confiance entre ses mains et qu'il savait exactement comment me prendre ainsi que la marque habituelle et la grandeur exacte de mes petites culottes.

À suivre...

  • COMMENTAIRES
Anonymous
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2 Commentaires
CocuforeverCocuforeveril y a environ 7 ans
Quelle santé!

J'adore cette saga. Le cocu est formidable: il n'a toujours rien vu!. Vivement la suite.

trouchardtrouchardil y a environ 7 ans

Très bonnes idées donc belle histoire :)

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