Les Expériences du Dr. Mercer 02

Informations sur Récit
Nouvelle demeure, nouvelle vie...
4.4k mots
4.21
20k
5

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/06/2017
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Des ombres et des fragments d'images passaient devant ses yeux, prenant à peine forme aux limites de sa conscience. Laura se souvenait de son chez-elle, un petit appartement à la périphérie de la ville, de sa colocataire, la connasse, Marie. Et puis. Et puis... OH PUTAIN!

La rouquine se réveilla, ses yeux s'accoutumant difficilement à la lumière de la chambre. De sa chambre? Elle se redressa brusquement, observant ce qui l'entourait. Les draps, le lit, l'armoire, les posters et les photos mal alignés. Tout était là, comme chez elle.

« Est-ce que ce n'était vraiment qu'un rêve? » se demanda-t-elle.

Elle se souvenait des œufs, de chacune de ces horribles sphères qui s'étaient enfoncées dans son corps, aussi clairement que si c'était encore en train de lui arriver. Une larme coula sur sa joue alors qu'elle essayait de repousser ces pensées et elle glissa doucement une main vers son ventre, effrayée à l'idée que tout cela n'ait pas été qu'un rêve, incapable de regarder vers le bas.

Sa main frôla sa poitrine, puis alla plus bas. La jeune femme commença à sangloter comme une petite fille, plus fort qu'elle ne l'avait fait depuis des années alors que sa main sentait un ventre plat et musclé. Elle parvint enfin à baisser les yeux, ça n'avait donc été qu'un rêve. Elle portait même une des culottes qu'elle avait l'habitude de mettre au lit. Se recroquevillant en position fœtale, elle pleura des larmes de joies.

« Un rêve, c'était juste un rêve » se répéta-t-elle encore et encore jusqu'à ce qu'elle entende un grattement sur le sol. Laura essuya ses yeux, sur le point de se glisser hors du lit pour enlacer sa colocataire dont les pieds devaient être l'origine de ce bruit.

Une fois assise, elle balaya les cheveux qui retombaient devant ses yeux et découvrit un peu confuse l'origine du bruit. Un chien était assis devant elle, la tête penchée tandis qu'elle l'observait. Elle n'avait pas de chien, Marie non plus.

« Qu-quoi... bégaya-t-elle, respirant plus rapidement. À qui es-tu? Que... Marie???!!! »

Seul le silence lui répondit alors que son regard volait frénétiquement d'un coin à l'autre de la pièce. Elle était loin de détester les chiens, mais elle n'en possédait pas, et la résidence avec une politique stricte sur ce point. Celui-là n'avait aucune raison d'être là.

Le chien, un énorme berger allemand à en juger par son apparence, bondit sur le lit. Laura n'arrivait pas à bouger, paralysée par la peur, tandis qu'il avançait lentement vers elle, puis se lova contre elle, glissant son museau entre ses seins nus. Puis il redressa la tête et lui lécha le visage alors qu'elle continuait à peiner pour comprendre ce qu'il se passait.

Soudain, une voix résonna dans la pièce. Une voix qui ne lui rappelait que trop bien un souvenir récent.

« Vous êtes réveillée Laura? Parfait! »

Elle se recula précipitamment du chien, manquant de peu de chuter du lit et de grimper au mur juste à côté. Le chien continuait de la regarder curieusement tandis que la voix poursuivait :

« Du calme Laura. Vous êtes en sécurité. Le chien est une sentinelle que j'ai créée pour vous. Pour vous protéger au cas où... des visiteurs imprévus pourraient être un problème. Ou vous-même. »

Le chien de garde retourna sur le plancher et revint lui lécher le visage, tentant de poser une de ses pattes sur sa joue pour la réconforter.

« Je..., bégaya la jeune beauté, tentant de se calmer pour que ses pensées forment des mots cohérents. J-je connais votre voix! Vous êtes qui? Où vous êtes? »

Ses questions s'évanouirent dans les airs, et alors que le docteur tentait d'y répondre, elle cria : « Où je suis?!?! »

Le Dr. Ian Mercer laissa échapper un soupir et secoua doucement la tête avant de répondre :

« Je suis le Dr Ian Mercer. Je vous ai capturé il y a quelques jours. Je suis au même endroit que vous, à bord de mon vaisseau. Les détails viendront plus tard. Mais pour ce qui est de votre environnement immédiat, il s'agit d'une réplique que j'ai fait de votre chambre. Navré si j'ai fait des erreurs. »

Il fit une pause pour prendre une gorgée de son café, pas franchement à son gout d'ailleurs mais bon, il était généticien, pas garçon de café.

« En ce qui concerne le chien, comme je suis persuadé que vous avez des questions à son sujet, je vous disais donc que c'est une sentinelle. Plus spécifiquement une Escorte Mobile d'Observation. Emo pour faire court. Il va se charger de surveiller pour moi votre évolution au cours des expériences auxquelles vous allez participer. Ne vous inquiétez pas à ce sujet, aucune ne présente de risque létal, elles pourront tout au plus être... désagréables à certains degrés. »

Les réponses de l'homme la déstabilisèrent. Elle passa un moment à bien les enregistrer avant de se laisser tomber contre le mur et de reposer sa tête sur sa table de chevet. Enfin s'il s'agissait vraiment de SA table de chevet.

« Pourquoi moi? » demanda-t-elle d'une voix faible, caressant distraitement la fourrure douce de son nouveau garde.

— C'est une bonne question Laura. Une qui possède plus d'une réponse et, avec le temps et suivant votre coopération, je finirai par y répondre avec plaisir. Mais pour l'instant, il faudra vous contenter de vous dire que vous juste eu la malchance de pénétrer ces toilettes au mauvais moment. »

Il s'arrêta à ça, la réponse qui était techniquement correcte. Ajustant son siège dans la pièce de surveillance, voisine de la pseudo-chambre de Laura, il jeta un œil à travers la vitre sans tain camouflée derrière un des murs de la chambre.

De plus en plus de larmes coulaient sur les joues de la jeune femme tandis qu'elle sanglotait de plus en plus fort. Elle réalisait maintenant qu'au fond elle n'avait jamais cru que ça n'avait été qu'un rêve, qu'elle n'aurait jamais eu cette chance. Ses pensées défilaient à toute vitesse dans sa tête tandis qu'elle se souvenait de sa famille, de ses amis, de ses collègues de boulot, même ceux qu'elles ne supportaient pas, Marie, Paul du travail qui n'arrêtait jamais de la draguer, son père qui n'avait jamais vraiment complimenté ce qu'elle avait pu accomplir, même quand elle avait fini major de sa promo.

« Je me doute que ce doit être un choc pour vous Laura, mais vous allez me permettre d'accomplir de grandes choses lors de ces expériences. » lui déclara-t-il.

Elle jeta un regard au plafond, à priori l'origine de la voix. Puis elle reporta son attention sur le chien, continuant de le caresser, ce qui l'aida à se calmer.

« Si... si vous m'avez capturé, c'était forcément dans cette boîte pourrie. Ces choses... Putain... Elles... Elles m'ont violée... »

Elle repartit derechef en sanglots. Le souvenir s'imposait dans sa tête, l'impuissance qu'elle avait ressenti alors qu'elle s'était offerte aux cosses, les femelles qui s'étaient jetées sur elle, les œufs qui s'étaient glissés en elle, dans son ventre, puis les appendices épais des cosses qui avaient remplacées les oviscaptes des femelles.... La jeune femme parvint a reprendre le contrôle de son souffle, à respirer profondément, remettre de l'ordre dans ses pensées et chasser les parasites de son esprit en se focalisant sur les caresses qu'elle donnait au chien. Autant profiter qu'il soit là pensa-t-elle. Une fois calmée, elle poursuivi :

« Ces... cosses et les... peu importe ce que c'était en fait, ils... m'ont fait quelque chose. Ils ont mit quelque chose en moi. Des œufs je crois. Qu'est ce qu'il leur est arrivé? Pourquoi est-ce que mon corps est revenu à la normale? »

Après un long silence, le docteur réactiva l'interphone, soupirant profondément avant de dire :

« Ca sera l'une des réponses à la question que vous m'avez posé plus tôt, et elle viendra plus tard. Mais je peux vous confirmer que vous avez bien donné naissance à leurs larves, vingt-quatre pour être précis. Toutes en bonne santé. Et je précise que vous avez accompli ça toute seule. »

Il lui laissa quelques secondes pour qu'elle puisse réaliser que c'était sensé être un compliment sincère puis réalisa qu'elle devait s'en moquer vu qu'il la retenait contre sa volonté.

« Ahem... Quoiqu'il en soit, leur cycle d'incubation est vraiment court... Comme pour la plupart de mes créations. »

Ne pouvant retenir une grimace en apprenant qu'elle avait mené l'expérience à son terme, elle cracha une réponse sarcastique :

« Ouais, quelle chance... »

Cependant, elle réalisa qu'il avait déjà fait référence à d'autres créations et elle se souvint de pourquoi il l'avait emmené ici. Un flot de nouvelles questions jaillit dans son esprit, la plus inquiétant concernant son prochain engrossement et quand il aurait lieu. Le docteur enchaîna, répondant sans le savoir à sa question.

« Bien. Maintenant que vous êtes réveillée et que j'ai répondu aux questions auxquelles je pouvais répondre, démarrons avec notre expérience du jour! » dit-il en enclenchant la commande qui allait remplir la pièce d'un gaz somnifère.

Laura recommença à sangloter, comprenant qu'il n'y avait pas d'échappatoire et la dernière image qu'elle vit fut le chien toujours assis en train de la regarder avec ses yeux bizarres. Et pour la première fois, elle réalisa qu'il ne respirait pas.

La douleur était la seule chose qu'elle arrivait à ressentir quand ses yeux s'ouvrirent de nouveau. Mais elle disparut rapidement alors qu'elle découvrait son nouvel environnement. Trois écrans étaient placés face à elle, l'aidant à découvrir sa situation. Elle était attachée sur une table vaguement en forme de podium, une ouverture sous son ventre et ses seins. Bloquée dans une position où elle était penchée en avant, elle vit qu'elle portait les mêmes escarpins et la même robe moulante que la nuit de sa capture.

L'écran à sa gauche montrait la vue d'une caméra située devant elle, fixée sur son visage et laissant aussi apercevoir sa généreuse poitrine dénudée pendant librement sous elle. L'écran à sa droite montrait la vue d'une caméra située derrière elle, révélant ses jambes tendues et légèrement écartées. Elle apercevait également son string, descendu à mi-cuisses et sa robe qui avait été remontée au-dessus de ses fesses, offrant une bonne vue sur son sexe exposé et sur ses talons hauts. Le troisième écran, entre les deux précédents, était pour l'instant éteint, ce qui n'était pas pour la déranger... Puis une voix la fit sursauter :

« Allez-y, appelez moi un pervers, mais j'adore vous voir être engrossée dans cette tenue. Vous avez bon gout après tout. Très sexy. »

Il ricana, sortant de derrière les écrans pour venir vérifier les signes vitaux de la jeune femme.

« Aujourd'hui vous allez être engrossée par une de mes premières créations. C'était sensé être un projet pour un gouvernement, que je ne nommerais pas, qui souhaitait une créature pouvant remplir un rôle militaire. Cependant j'ai besoin de produire un peu plus de spécimens pour terminer ce projet. »

Elle prit l'information avec précaution. S'il était aux ordres d'un gouvernement, des gens allaient peut-être venir. Peut-être qu'ils pourraient l'aider, peut-être qu'ils n'étaient pas au courant qu'elle était là? Ou peut-être, plus désespérant, qu'ils le savaient parfaitement et qu'ils s'en moquaient tant que ça faisait avancer leurs projets... Mais ces pensées s'évanouirent quand le docteur pressa un bouton sur sa tablette, ouvrant une porte à distance. Le bruit lui rappela pourquoi elle était là et la ramena brutalement à la réalité. Elle était sur le point d'être à nouveau engrossée... Alors elle commença à se débattre contre les liens qui la retenaient, réalisant à quel point ils étaient ridiculement serrés, pleurant et se mettant à respirer légèrement plus vite. Pendant ce temps, lui était ressorti de la pièce et avait activé un autre interphone :

« Je regarderais tout ça d'ici. Pas d'inquiétude Laura, tout va bien se passer. »

Les moniteurs lui montrèrent une énorme créature arachnoïde, aussi grosse qu'une voiture, se rapprochant d'elle. Ses yeux s'écarquillèrent d'horreur et elle redoubla d'efforts pour tenter de se sortir des menottes rembourrées qui immobilisaient ses poignets et ses chevilles. En vain, elles ne bougèrent même pas.

Rapidement, ça arriva dans son champ de vision. Définitivement une espèce d'araignée géante, ressemblant aux créatures femelles qui avaient pondu en elle quelques jours plus tôt. Sauf que son dos était complètement noir et semblait couvert d'épaisses plaques noires. Ça avait huit pattes plutôt que quatre, et une paire de pinces, semblable à celles d'un crabe, et un autre jeux de membres avec des appendices semblables à des mains à l'extrémité. Chaque main possédait une dizaine de doigts. Puis Laura aperçut sa queue, semblable à celles des créatures précédentes, mais plus épaisse et sans partie transparente, avec à l'extrémité un large renflement garni de deux crêtes différentes percées d'ouverture.

« Voici le projet S-32, nom de code : Arès. »

Le docteur fit une pause et la créature stoppa, semblant rendue curieuse par le son de sa voix.

« En avant mon beau, elle est toute à toi! »

La voix du docteur semblait presque être comprise par la créature qui vint se placer au-dessus du dos de Laura, ses pseudo-mains venant palper tout le corps de la jeune femme. Tandis que S-32 explorait son nouveau jouet, le généticien poursuivit :

« Ce qui vous a engrossé auparavant porte le nom de code Gémeaux. Et avant que vous posiez la question, oui, la plupart de mes créations sont nommées d'après les constellations du Zodiaque et non il n'y en pas que douze. C'est juste que j'aime bien les noms.

— Qu'est ce que j'en ai à foutre?! » cracha Laura avec une rage désespérée tout en sentant la créature explorant toujours plus son corps, sentant les mains monstrueuses glisser de son dos et de ses épaules sur ses flancs et ses hanches.

S-32 prit son temps autours de ses cuisses, explorant avidement sa vulve avant de revenir en arrière pour découvrir ses seins. Il sembla satisfait et n'alla pas plus loin, grognant calmement avant de commencer à jouer avec, les malaxant et les tirant délicatement, pinçant et tiraillant les mamelons.

Sur l'écran, elle pouvait voir que sa queue s'enroulait en direction de son bassin exposé.

« Non-non-non-non-noooooooooooo... » supplia-t-elle jusqu'à sentir une des crêtes venir appuyer contre sa propre fente.

Le moniteur central s'alluma alors, montrant une vue de côté d'elle-même, mais la caméra avait été équipée avec un système de scanner lui permettant de distinctement voir de l'intérieur la queue qui se pressait contre sa vulve. Et alors que l'écran allait sadiquement lui permettre de visualiser sur ce qu'elle allait ressentir, Arès poussa quelque chose à travers sa fente qui glissa entre ses lèvres et se dirigea directement au fond du vagin de Laura.

« N-n-non... Pas enc-core... » haleta-t-elle en sentant l'appendice la remplir.

Sur le moniteur elle pouvait le distinguer clairement, avec sa forme en aiguille, poussant contre son col utérin.

Le temps sembla se ralentir tandis que dans son esprit se succédèrent des flashs de ce qu'elle avait subit avec les Gémeaux. Paniquant complètement, elle essaya frénétiquement de s'échapper tout en suppliant désespérément. « Noooooooooooooon! Pas encore, pitié-pitié-pitiiiiiiiiiiiié! Pas ça!!! » pleura-t-elle, sanglotant entre chaque mot.

Ses larmes coulaient de nouveau abondamment, de ses joues jusque sur son cou, puis glissant sur ses clavicules et enfin le long de ses seins, toujours malaxés fermement par la créature.

« NOOOOOOOOON!!! » sanglota-t-elle en apercevant les sphères qui descendaient le long de la queue d'Arès sur l'écran du moniteur.

Ne sachant déjà que trop bien ce qui l'attendait, elle voulut fermer les yeux pour s'épargner ce spectacle mais elle ne put s'empêcher de continuer à regarder tandis que les sphères avançaient triomphalement vers son vagin déjà ouvert. Ça ne peut pas encore arriver, pensa-t-elle, pas encore des œufs! Le choc de sentir le premier œuf venir presser contre ses lèvres vaginales stoppa ses tentatives de lutte, puis il les écarta lentement, puis, en s'enfonçant, commença à dilater les parois de son vagin, réveillant une sensation instinctive mais horrible de plaisir.

« Non! » protesta-t-elle.

La caméra devant elle ne manqua rien de son regard, de ses yeux qui s'ouvrirent grands en sentant l'œuf qui allait finir de dilater son intimité.

« Je... ne... laisserais... pas... » grogna-t-elle, serrant les dents.

Elle s'efforça de contracter les muscles de ses parois vaginales, tentant d'expulser l'œuf hors d'elle. Sa respiration se fit forte et laborieuse, inspirations et expirations se succédant à un rythme soutenu pendant qu'elle faisait tout pour empêcher cette chose de rentrer en elle et d'atteindre sa partie la plus intime. Le regard fou, elle sourit à la caméra pour narguer le docteur, sentant qu'elle parvenait à bloquer l'œuf.

Mais son espoir de victoire fut balayé en instant alors qu'Arès, ne pouvant pas se laisser stopper, contracta puissamment son oviscapte, finissant brutalement d'enfoncer l'œuf dans le vagin de la jeune femme et le propulsant même au fond de celui-ci. Les yeux de Laura s'écarquillèrent au maximum tandis qu'elle subissait d'un coup brutal cette pénétration complète. Sa bouche resta béante sous le coup de la surprise et de la force de l'œuf qui venait de balayer sa tentative de résistance. Après un court instant de flottement, elle sentit son corps, sous le choc de l'intensité avec laquelle son intimité avait été possédée de force, réagir instinctivement en faisant éclater un orgasme puissant. Et alors qu'elle convulsait fiévreusement autours de l'oviscapte de la créature, un autre œuf pénétra son vagin et vint pousser le premier contre l'entrée de son utérus. Perdant totalement le contrôle de son corps face à cet orgasme ravageur, et réalisant qu'elle avait définitivement perdu la partie, elle s'effondra. Son esprit de résistance disparu, elle arrêta de se débattre, laissant tomber sa tête vers le sol sans parvenir à cacher ses pleurs à la caméra, qui ne loupait aucun des tremblements qui la secouait à chaque fois qu'un œuf franchissait les lèvres distendues de son sexe.

Tout au plus secoua-t-elle faiblement la tête en sentant le premier œuf pousser de plus en plus fort contre son col utérin, le forçant à lentement s'ouvrit pour le laisser passer. Laura ouvrait la bouche, criant en silence devant la caméra, ses yeux grands ouverts la fixant directement tandis que l'écran centrale lui montrait l'œuf qui pénétrait lentement dans sa matrice. Elle inhala bruyamment en sentant finalement cette chose massive rentrer sans douceur dans son utérus, écartant ses parois matricielles, avant qu'un autre œuf ne suive le premier, et un autre, et encore un autre.

Ses pleurs s'étaient asséchés lorsque le premier œuf avait fini par entrer au plus profond d'elle-même, son esprit peinant à assimiler la déferlante de sensations contradictoires provenant de son vagin profané. Elle gémissait et couinait, son corps se tortillant et se spasmant à chaque fois qu'un nouvel œuf pénétrait son utérus, tout étant enregistré sur les caméras et Mercer n'en perdant pas une miette. Les yeux de Laura restaient fixes, bloqués sur l'écran qui montrait le cheminement de chacun de ces œufs qui finissaient dans ses entrailles, la remplissant de plus en plus jusqu'à ce que quinze d'entre eux reposent en elle.

Une fois le dernier œuf déposé dans la jeune femme, S-32 se retira d'elle, rétractant son oviscapte puis positionnant la seconde crête contre la fente dilatée de Laura. Il fit cette fois entrer un pénis segmenté et très épais, qui se glissa facilement dans son vagin déjà bien dilaté. Alors qu'il s'enfonçait en elle, les arêtes des plaques péniennes et la simple circonférence de ce phallus monstrueux lui arrachèrent de bruyant gémissements de plaisir. Sa volonté brisée, Laura avait abandonné tout résistance et rien ne la protégeait plus des sensations pures qu'elle subissait. Ses mains s'agrippèrent au métal de son support et elle commença à gémir et couiner comme une chienne en chaleur tandis que le monstre la remplissait avec son sexe massive.

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