Les Confessions d'un Nympho 1

Cher Docteur,

Je vous écris pour de l'aide. J'ai vu plusiers de vos articles et il semblerait que vous êtes le seul a pouvoir m'aider. Malheureusement, je n'ai pas d'argent a vous offrez et donc j'appelle a votre sense de charité dans ce cas.

Parfois je me demande si je suis normale. D'apparences, tout semble bein - jeune fille, vingt ans, assez belle, réussie bien a ses études, bonne vie sociale. Mais a l'intérieur toute est loin d'être parfait. Des fois je suise assise tentative dans une lecon de college quand tout un coup un besoin si feroce me prends que des fois j'ai des problemes a me contenir. Ca pourrait venir de n'importe quoi - par example, hier, j'étais dans une lecon de mathématiques, ma tête embrouillé dans du calculus, quand soudainement du coin de l'oeille je vois un type jouer avec son stylo.

Rien de fascinant vous vous dizer, mais pour moi c'etait une acte si sexuelle et si provocante que j'avais du mal a réspirer. Je regardais ses mains douz et forts, plein de caresses, s'élonger la longueur du stylo avec une gentillese presque frustrante. Toute idée de calculus bien en dehors de ma tête j'ai regarder ce jeune homme pour ce qui sembler d'être des heures. Ses movements me fascinait et dêjà je sentais des goutes de perspiration couler le long de ma cuisse. Finallement, apres encore une demi-heure de torture, la cloche sonna et j'ai pu m'echapper de la salle. Suffie de dire que deux minutes plus tard j'étais dans les toilettes de femmes bien fermer dans une cabine, mon slip au tour de mes genoux. Ca ma pris pas plus de trente secondes de me satisfaire et finallement j'étais libre de mon besoin. Mais combien de temps avant le prochain evenement banale a m'envoyer dans un tel état?

Est-ce que c'est dangereux de masturber? Je parle pas d'une ou deux fois par jour mais d'une bonne dizaine si pas plus? Je me rends bien compte du fait que c'est peut être un peu excessive mais est-ce que c'est vraiement mauvais? Je prend bien soin d'être discrèt et je crois que personne est au courant de mon petit secret - mais ca m'enquiète tout de même.

Le même jour que l'histoire du stylo, je retournais du college par un petit chemin qui me m'emmene sous un pont par une rivière. En approchant le pont je vois qu'il y a un homme debout en face du mur. C'est tout de suite apparent que l'homme est en train de pisser et en m'envoyant passer il s'arrête et se tourne dans ma direction. Avec surprise je vois qu'il a négliger de remetre sa bite dans ses pantalons. Je m'arrête et je lui regarde avec une expression confuse. Il me demande si j'ai envie de lui sucer ( a ce moment il était clair qu'il avait consommer un peu trop d'alcool) et m'approche avec sa bite exposée aux elements. Avec une crie, j'ai courue en direction de la maison, laissant les cries bourrée de l'homme derrière moi.
En arrivant chez moi je suis allez directement a ma chambre me cacher sous les couvertures. Apres plusieurs minutes j'était en fin calme et j'ai decidais que l'homme n'aurait pas pu me suivre dans un tel état. Mais les visions de sa bite, legèrement gonfler de sang refusait de s'en aller. Chaude sous les couvertures, j'ai enlevé les couvertures et mes vêtements pour étre nue sur le lit. Comme une boule feroce dans mon estomac je sentais le besion d'orgasme me prendre a nouveau. J'imaginé ce qui serrait passer si j'avais accepter l'offre de l'homme bourré. Sa bite aurait gonfler d'une bonne 20 centimentres je parrais. Comme ca aurait etait glorieux de la prendre entre mes levres, de la lecher du bout jusqu'a ses couilles. J'aurais eu du mal a la prendre en entier mais, je me disais, ca m'aurait laisser une chance d'accompanier les caresses de ma langue et des mes levres avec celles de mes mains. Ah oui comme ca serait bon de prendre sa bite dans mes mains et de pomper et lecher et caresser jusq'au bout. Je me doigter avec trois doigts et je sentais l'orgasme m'invader a penser a son sperme juter dans ma bouche et sur mon visage. Comme je lui voulais maintenant - si seulement j'avais rester avec lui et accepté son offre. J'ai continuer de me caresser et avec une main j'ai jouer avec mon cul pour poivoir sentir comme tout orifice était plein de bite et de chère. Avec un crie mon corps se trouvait en convulsions. L'orgamse semblait venir d'une profondeur incroyable et j'était a peine de respirer. Pour plusieurs secondes le monde disparu et ma vie, mon existence était rien que des sensations presque douleureuses. Sans me rendre compte je suis tomber dans un sommeil profond.

Vous voyez docteur la raison de ma lettre. J'ai peur qu'un jour je vie une fantasie comme celle que je viens de vous decrire. Mon besoin de plaisir et de plus en plus puissant et je ne sais pas ou ca va m'emmener. J'attend avec hâte votre response.

Charlotte

[Disclaimer - It is only in the writing of this short piece that I have realised just how terrible my mastery of the french language has become. Therefore I offer sincere apologies to any scholars of the french language or indeed french citizens that should come across it. I hope that you can skim over the discrepancies (sp?!) in grammar, accentuation and spelling and enjoy the story 'tout de même'!]