Les Collants en Fibre d'Italie

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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« je vais vous nettoyer »

Joignant le geste à la parole, Marcello s'était emparé d'une poire en caoutchouc qu'il remplit d'eau tiède, puis il approcha de la table une sorte de haricot qu'il plaça juste sous mes fesses. Ajustant le bec le la poire dans mon sexe, il appuya sur le caoutchouc et je sentis l'eau gicler dans mon vagin. Il refit l'expérience plusieurs fois, jusqu'à qu'il m'assure que je n'avais plus trace de semence dans ma chatte.

Ensuite il me posa quelques questions sur ma vie intime, combien de fois, avec qui, quelle contraception.

Quand je lui dis que je prenais la pilule, il poussa de hauts cris, me disant que la pilule était dangereuse, surtout à mon âge, et que passé la quarantaine il ne fallait plus....etc.

Il me demanda d'arrêter aussitôt d'avaler ces « cochonneries », mais comme je lui disais les risques qui seraient alors les miens, il me dit qu'il était la pour ça et qu'il ne me laisserait pas dans l'embarras.

Encore une fois il me fit promettre d'arrêter la pilule et quand je repris l'avion du retour, j'étais persuadé de la justesse de son jugement.

Avant de partir il me fit cadeau d'une de ces poires en caoutchouc dont les femmes avant l'avènement de la pilule se servaient pour se laver et éviter une grossesse non désirée. Et c'est avec cette poire et deux colis plein de collants que je repris le chemin du retour le Dimanche soir.

A l'aéroport, je retrouvais mon mari, enfin revenu du bout du monde et qui m'annonça un nouveau voyage pour la prochaine fin de semaine. Je soupirais, en faisant une mine contrariée mais au fond de moi j'échafaudais le week-end qui pourrait être le notre à Eric et moi.

En fin de compte son voyage fut avancé pour le milieu de la semaine ce qui réjouit Eric. Le soir même il était dans mon lit, me réclamant des choses qu'un fils en principe, ne demande pas à sa mère. Mais j'avais été bien trop loin avec lui, et ceci depuis son enfance, quand il venait se blottir entre son père et moi, et puis plus tard quand son père partait loin du domicile et qu'il venait me tenir compagnie pour meubler ma solitude. Et puis encore un peu plus tard quand il s'éveillait à la sensualité et qu'il lui prit l'envie d'expérimenter avec sa propre mère. Je ne l'avais pas repoussé avec assez de fermeté, et profitant de ma faiblesse, il s'était engouffré dans la brèche pour me demander à chaque fois davantage, alors que j'étais de plus en plus faible pour lui tenir tête.

Aujourd'hui Eric était mon amant, je ne peux pas dire les choses autrement. Il lui en coutait quand son père était présent à la maison. Je le voyais bien à sa mine renfrognée quand il allait se coucher seul dans sa chambre. Il avait parfois poussé l'audace de venir dans mon lit alors que son père ronflait à mes cotés. Sans un bruit, à pas de loup, je sentais tout à coup le drap tiré et puis son corps chaud se glissait contre moi. Il était habile à la manœuvre, sans bruit, sans faire grincer le lit, le voila qui me tenait serrée contre lui et je percevais son érection à travers le léger vêtement de nuit que je portais. Il me troussait sans attendre et son sexe trouvait vite la voie de mon sexe. Je retenais un gémissement, tout juste un soupir quand je sentais mes chairs forcées par son gland qui connaissait que trop bien le chemin. J'avais son souffle brûlant sur mon épaule alors que sa bite poussait son avantage dans mon ventre et qu'il me retenait fermement contre lui.

Vous avouerais-je que j'ai aimé ce genre d'instant? La soudaineté de l'attaque, la vigueur qu'il mettait à me prendre, et surtout le danger de voir se réveiller son père allongé la, juste près de nous. Je dois dire que la première fois je suis restée la, dans l'impossibilité de protester au risque de réveiller Georges, mais aussi fascinée par l'audace d'Eric qui me besognait le vagin. J'avais le regard sur la nuque de mon mari, retenant mon souffle dans la pénombre, guettant le moindre de ses mouvements alors que mon fils me ramonait la chatte pour mon plus grand plaisir. Je m'appliquais à ne pas bouger, Eric le faisait très bien, il m'avait juste écartée ce qu'il fallait pour qu'il puisse introduire son membre et me pistonnait par derrière, me retenant par la hanche ou par les seins. La première fois il se laissa aller très vite, se répandant dans mon ventre et sortant tout aussi vite pour regagner sa chambre. Mais par la suite il prit plus d'assurance, s'étant rendu compte du sommeil sans fond où son père était plongé. Il prit plus de temps, il me câlina d'avantage, prenant même la liberté de me basculer sur le dos et de venir sur moi, jusqu'à toucher son père alors qu'il me prenait sauvagement dans la couche conjugale. J'ai eu très peur que l'irrémédiable ne se produise, mais Eric du haut de son audace me faisait savoir que nous ne risquions rien. Il affectait un petit sourire ironique lorsqu'il se retirait enfin pour aller dans son lit.

Je pensais à tout cela alors que Eric me faisait l'amour le premier soir où nous fûmes seuls à la maison. Il se déchainait sur moi, me plantant son sexe au fond du ventre et ahanant en me tenant fermement aux épaules. J'avais le corps écrasé sous lui et je sentais monter en lui l'instant suprême où un frisson irrépressible l'emporterait, l'instant où ses bras se refermeraient sur moi comme un joug qu'il m'imposerait, l'instant où je serai à lui au sens le plus primitif du terme et où je sentirai couler en moi les flots de sperme, à chaque tressaillement de son membre qui expulserait le jus de ses couilles.

Quand vint le moment, je pensais soudain que Marcello m'avait interdit la pilule. Il m'était impossible de me soustraire à Eric qui me tenait avec une force qui paralysait mes bras et mes jambes. J'étais sa chose, obligée de subir qu'il me remplisse de sa semence. Un moment de panique me prit, j'essayais en vain de me tortiller sous lui. Il prit mes mouvements pour de la jouissance et il me serra plus fort contre lui, écrasant mes seins sur son torse alors que ses reins martelaient mon ventre et qu'il inondait mon vagin. Je gémissais, et encore une fois il prit cela pour une acceptation sans retenue de sa bite en mon ventre. Il propulsa une dernière fois sa bite au fond de moi en poussant un grondement sourd. Les dernières goutes de sperme furent expulsées et il s'abattit sur moi à m'en étouffer.

Je me débattais, essayant de retrouver une autonomie de gestes que j'avais perdu. Eric s'en étonna et me retint contre lui.

« Je t'en prie libère moi! » Arrivais-je à lui dire dans un souffle.

« Qu'y a-t-il maman? »

« Je...je dois aller aux toilettes. »

L'étau d'Eric se desserra et je me ruais vers la salle de bains à la recherche de la poire de caoutchouc que Marcello m'avait donnée. Je fis couler de l'eau, j'en remplis la poire, j'y ajustais le tube de plastique et m'asseyant sur le bidet je me l'introduisais dans le vagin en appuyant de toutes mes forces sur la poire. La froideur de l'eau me surprit, je frissonnais tout en me disant que j'aurais pu y penser. En même temps, Marcello m'avait dit de surtout utiliser de l'eau fraiche, tueuse de spermatozoïdes. Je recommençais l'opération plusieurs fois pour bien me laver l'intérieur.

Toute absorbée à mes ablutions, je n'avais pas vu venir Eric. Dans ma hâte je n'avais pas fermé la porte à clé et il se tenait à l'entrée de la salle de bains, d'où il ne perdait pas une miette de mes faits et gestes. Je sursautais quand, relevant la tête je le découvris, intéressé au plus haut point par mon lavage intime.

« Qu'est-ce que tu fais maman? »

« Oh! Je...je me lave, tu vois?! »

« Mais....pourquoi? »

Comment lui expliquer? Je me lançais dans des explications embrouillées pour lui dire qu'en fin de compte j'avais renoncé à la pilule sur les conseils d'un médecin.

« Mais c'est débile! » Me répondit Eric.

« Pas tant que ça mon chéri, tu sais je vais bientôt attaquer la quarantaine et à cet âge la pilule devient dangereuse pour les femmes. »

Eric me regardait et je voyais un certain scepticisme dans son regard. Me levant du bidet, je remis la poire dans sa boite et me tournant vers Eric je lui dis: « Ne sois pas surpris, je ne suis la seule à faire ainsi. »

« Mais alors, tu devras à chaque fois te laver la chatte maman? »

« Oui bien sur »

« Tu imagines le risque? »

« Rassure toi chéri je prendrai mes précautions. »

Je ne suis pas sure d'avoir rassuré Eric ce soir la. Le lendemain je le sentis plus timide, plus mesuré, voir inquiet et au moment de jouir, je ne pus le retenir, il sortit de moi et se répandit dans le lit. Quand je lui demandais pourquoi il avait ainsi « sauté en marche » il me dit ne pas imaginer jouir en moi sans protection.

Je passais la soirée à le rassurer et ce n'est que le lendemain qu'il accepta de me prendre à nouveau comme il avait l'habitude de la faire.

Vint le Vendredi soir. J'avais en poche mon billet d'avion pour Milan et en même temps une réelle appréhension. Si Eric me faisait l'amour ce soir, je devais selon ma promesse garder en moi le jus de sa bite pour satisfaire Luigi et Marcello. Je ne pouvais décemment prendre ce risque. D'un autre coté, la vente des collants devenaient un business tellement lucratif, que c'était devenu une source de revenus importante pour moi. J'avais une réelle aisance pécuniaire maintenant, je pouvais m'offrir des tenues de prix, des bijoux couteux, etc...

Le dilemme était grand, Marcello pouvait fort bien me rejeter si je ne lui obéissais pas et alors, fini les tenues couteuses, les bijoux de luxe. Mais après tout, Marcello était médecin, alors, devais-je lui faire confiance? L'appât du gain me fit répondre oui et cette nuit la je me donnais ans retenue à Eric, le surprenant même en ne me précipitant pas dans la salle de bains pour me laver.

« Tu gardes tout en toi maman? »

« Heu...oui chéri, je ...ce n'est pas la période critique. »

En fait de période critique je n'étais pas si sure de moi, à quand remontaient mes dernière règles au fait?

Toujours est il que le lendemain matin je me présentais à Orly pour le vol vers Milan. Et la, panique, grève des contrôleurs aériens, pas un avion ne décollait ce jour la. Je sentis mes jambes se dérober sous moi et la panique me submerger.

Que faire? Aucun espoir que les choses ne s'améliorent avant Lundi, mais Lundi, il sera trop tard!

J'entendis une conversation entre deux hommes d'affaires près de moi: « Il reste le train, il y en a un qui part en soirée et il s'arrête à Milan, tôt demain matin. »

Un train! Il me fallait ce train, tout de suite, il fallait que j'aille impérativement à Milan et que Marcello m'examine. A coté les deux hommes d'affaire téléphonaient déjà à leur secrétaire, lui demandant de leur réserver une place dans le train de Milan de dix sept heures.

Je me payais de culot et j'abordais les deux hommes. Je leur expliquais que moi aussi j'étais dans le business et qu'il fallait à tout pris que je sois à Milan, et que donc, s'ils pouvaient me réserver aussi un billet...

Que pensez vous qu'il arriva? Le culot paie et bientôt ils m'assurèrent que mon billet de train m'attendrait à la gare de Lyon, le temps de m'y rendre.

Qui n'a pas vécu la panique que provoque une grève dans un aéroport ne peut comprendre ces gens prêts à sauter par-dessus le comptoir pour en découdre avec le personnel qui pourtant se trouve à son poste et fait ce qu'il peut. Il faut une bonne dose de sang froid pour résister, et puis un peu de chance aussi. En fait, se sont mes deux bienfaiteurs qui ont pris la situation en main. Ils m'ont entrainé vers les taxis, eux aussi pris d'assaut, et au terme d'une lutte farouche, nous voila partis pour la gare de Lyon. Nous avons commencé à faire plus ample connaissance tous les trois. Ils étaient tous les deux cadres dans l'industrie et ils se rendaient à Milan pour des réunions de travail. J'expliquais que moi aussi j'avais des réunions prévues, bien sur j'édulcorais largement le but réel de ma visite en Italie, en restant concentrée sur le commerce des collants de Luigi.

Arrivés à la gare, nous étions très en avance pour prendre notre train et ils m'ont offert le restaurant. Au cours du repas, l'atmosphère chaude et le vin aidant, la conversation devint plus familière et je voyais bien que mes deux compères rivalisaient en sourires et en manières pour attirer mon attention. Je voyais bien leurs regards luisants s'attarder sur les rondeurs de ma poitrine et je ne faisais rien pour les dissuader. Après tout, c'est grâce à eux que j'allais pouvoir rejoindre Milan et les deux italiens qui allaient m'attendre au train demain matin.

De la conversation familière ils passèrent carrément au flirt. Je les regardais avec amusement, pensant que les hommes étaient invariables dans leurs attitudes, mettez une femelle face à deux males et vous verrez rapidement le résultat. Encore une fois, l'expérience se révéla probante. Leurs sourires, leurs œillades leurs plaisanteries pour me faire rire, ils déployaient toute la panoplie, malgré leur âge, car ce n'étaient plus des premiers communiants. Ces hommes la frôlaient la soixantaine, et même si on devinait qu'il s'entretenaient, l'âge faisait son œuvre en arrondissant les ventres, l'embonpoint gagnait la partie.

Je me délectais d'être encore désirable à leurs yeux, j'avais mis pour le voyage une tenue en rapport avec ce qui m'attendait à l'arrivée et la soie légère de mon corsage dissimulait mal le léger soutien gorge qui maintenait mon ample poitrine mais sans trop la contraindre. Mes mouvements de buste provoquaient à chaque instant une vague qui soulevait la soie en cadence. Je voyais bien que leurs yeux rivés sur mes seins avaient de plus en plus de mal à s'en détacher. J'en jouais bien sur, je n'aurais pas été femme autrement. Le jeu de la séduction est un jeu que toute femme rêvent de poursuivre le plus longtemps possible. Demandez à une femme âgée ce qu'elle en pense!

Enfin vint l'heure du train. Sur le quai de la gare, un contrôleur nous désigna notre wagon. Bien sur nous étions ensembles puisque les billets avaient été pris ainsi. A ma surprise je me retrouvais dans un compartiment couchette à l'ancienne. Ce train de nuit était en fait L'orient express qui desservait Venise et il avait gardé le charme d'entant. Le compartiment comportait quatre couchettes, mes deux compagnons me laissèrent le choix de la mienne. Je choisis une couchette inférieure et ils s'installèrent à leur tour. Nous nous demandions si la dernière couchette serait occupée. Finalement comme nous avions fait connaissance, nous formions un petit groupe et n'avions pas envie que le cercle ainsi formé soit rompu par une arrivée intempestive.

Quand le train se mit à rouler, la dernière couchette était toujours libre et je vis un soulagement dans le sourire qu'ils me firent avec un bel ensemble. Je baissais les yeux pour cacher ma propre satisfaction, finalement, je préférais aussi que nous restions entre nous dans une sorte d'intimité de circonstance.

Le train avait pris de la vitesse et le paysage défilait par la fenêtre. Nous discutions tous les trois de nos métiers, ils me posèrent des questions sur les Galeries, sur mon rayon lingerie sur ce que je vendais le plus, sur la clientèle, sur les hommes qui venaient acheter la lingerie de leur femme. Je leur dévoilais mes petits secrets de vente, la gène de certains hommes, comment je devais les mettre en confiance et comment ils me récompensaient de ma complicité. Je voyais leurs regards toujours allumés et intéressés par mes seins qui ballotaient au rythme du train. Je ne faisais rien pour les cacher, je m'amusais de leur trouble et de leur concupiscence. Ils me firent des compliments plus familiers quand ils me demandèrent si les hommes achetaient les soutiens gorge de leur femme. Ils furent surpris de savoir que cela était plus courant qu'on ne le pense, surtout aux alentours de la saint Valentin. Ils me demandèrent si c'était mon mari qui m'avait offert ce beau soutien gorge dont-ils devinaient la dentelle sous la soie. Je riais en leur répondant que non, je l'avais choisis moi-même. Ils me complimentèrent pour mon goût, voulurent savoir si toute ma lingerie était aussi affriolante et comme je répondais par l'affirmative, ils me complimentèrent pour mes choix.

J'étais assise sur ma couchette et le plus vieux vint s'assoir près de moi. Souriant, il passa son bras autour de mes épaules. Je laissais faire, échauffée par le vin, par la conversation. Je sentis sa main me caresser et descendre doucement jusqu'à ma poitrine, ses doigts courir sur la soie légère, effleurer ma peau. Je frissonnais, je n'avais pas le courage de le repousser, il s'enhardit, empaumant mon sein droit pour le masser doucement. De longs frissons se mirent à courir dans mon échine et mon souffle devint plus saccadé. Ils avaient bien su me chauffer et maintenant dans cet espace réduit, dans les bois vernis et chauds j'étais prête à leur offrir ce qu'ils allaient me demander sans tarder. Son compagnon nous avait rejoint, et lui aussi me pelotait sans trop de gène. Je sentis des doigts défaire mon corsage pendant qu'on m'attirait et prenait ma bouche que je ne refusais pas. Une langue pénétra profondément en cherchant la mienne, je m'abandonnais tandis que d'autres doigts finissaient de me défaire de mon corsage, qu'une bouche chaude s'emparait de mes seins, que des doigts encore repoussaient les bonnets de dentelle, livrant ma chair nue aux palpations et aux succions. Tout mon corps fondait sous les attaques de leurs mains. Le staccato du train rythmait leur avancées, ils me déshabillaient en cadence, exploraient mon corps et moi je laissais faire, chaude et déjà consentante. J'avais envie, trop d'émotion depuis le matin, trop de stress, trop d'incertitudes, tout mon être voulait se détendre, me débarrasser de cette tension qui tendait mes nerfs.

Je fus débarrassée de mon corsage, puis ma jupe tomba et leurs mains caressèrent chaque centimètre carré de ma peau. Je leur livrais tout sans retenue ni pudeur, assise sur ma couchette, les seins nus ballotant aux cahots imposés par les rails, les cuisses largement ouvertes et palpées, caressées explorées. Le sexe visité par leurs doigts, un sexe qu'il trouvèrent humide déjà et vite débarrassé de la culotte si légère, si fragile, rempart bien éphémère.

Je fus étendue sur la couchette et couverte bientôt par un corps lui aussi dénudé à la hâte. Quelques mouvements maladroits et bientôt je sentais le sexe qui cherchait une voie vers mon propre sexe. Mes lèvres qui ne résistèrent pas et s'ouvrirent au gland impérieux qui les forcèrent. Et puis un « han! » poussé tandis qu'un coup de rein finissait par mettre fin à toute résistance. J'avais une bite en moi et mon vagin brulant l'accueillait avec délice, livrant ma chair à un pilonnage nerveux et puissant.

Je ne connaissais même pas son nom, juste un visage, quelques heures passées ensemble à attendre un train et me voila culbutée sur une couchette à subir les coups de bite de ce presque étranger qui besognait mon ventre d'un sexe nerveux et bien tendu. Il avait de l'expérience au regard de son âge, il savait se retenir, et il se retint jusqu'à ce qu'il sente que je le rejoignais dans la jouissance. Les contractions de mes muscles vaginaux le renseignèrent sur mon état, il poussa sa bite plus loin et plus vite, précipitant ma propre envie de jouir, je gémissais sous lui de plus en plus fort, le bruit des boggies donnaient du rythme à ses reins qui barataient furieusement ma chatte et dans le grondement d'une série d'aiguillages, je le sentis se libérer, son sperme jaillissant par longues saccades pour inonder mon utérus.

Je n'eus que peu de répit, son compagnon voulant à son tour profiter de cette aubaine que je leur offrais. A peine le premier se retira-t-il, que le second était déjà sur moi, cherchant mon sexe de ses reins, trouvant la voie ouverte par le premier et y glissant sans difficulté. Sa bite se mit à se mouvoir, elle envahissait ma chatte trempée de ma mouille et du sperme de son compagnon. J'entendais les bruits obscènes de succions provoqués par ce membre qui allait et venait au fond de moi. J'avais encore envie, je le rejoignais dans son plaisir, trop heureuse de me libérer moi aussi de cette fatigue nerveuse qui avait noué mes nerfs toute la journée. Je lui offris mon ventre pour qu'il se soulage et bientôt son sperme se mêla à celui du premier et à ma cyprine.

Jipai
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