Les Collants en Fibre d'Italie

BÊTA PUBLIQUE

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Jipai
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Je sursautais en sentant sa langue sur ma fente, il la caressait de haut en bas et de bas en haut, comme on lèche une glace. Visiblement j'étais son dessert! Je frémissais, je commençais à gémir. Le vieux type prit mon sexe comme pour un baiser sur la bouche, ma fente toute entière était dans sa bouche et il me titillait de sa langue comme on le fait pour un baiser érotique. Je gémis plus fort, malgré moi je me livrais, je me laissais entrainer vers le plaisir qu'il était en train de me procurer. Un vieillard de quatre vingt treize ans me bouffait la chatte et allait me faire jouir!!

« Ooooooooooohh! » Mon bassin se souleva pour une ultime offrande avant que je ne crie ma jouissance jusqu'à l'épuisement.

Après cet épisode, tout c'est un peu précipité. Luigi et Marcello ont insisté pour que Marcello devienne mon gynécologue. Leurs yeux brillaient tandis qu'ils me présentaient les avantages que je pourrais en tirer, Luigi me promettant de m'approvisionner gratuitement ou presque en collants spéciaux. J'hésitais parce que l'Italie n'est pas précisément à coté, mais les deux se relayaient pour me faire miroiter les avantages qui seraient les miens. Ils mirent au point une formule, je viendrais tous les mois à Milan, Luigi me préparerait une carton plein de collants que je pourrais écouler à ma guise, et en même temps, Marcello pratiquerait sur moi la consultation gynécologique. Il ne me précisa pas comment ni qui serait la, mais je compris que Luigi ferait partie de la consultation.

Je finis par céder tant les deux compères étaient persuasifs, et puis, l'idée de fournir le tout Paris en collants un peu spéciaux, transformant chaque femme en une bouillonnante femelle prête à tout, cela avait une connotation perverse qui m'allait bien je trouve. Combien de mari se retrouverait cocu après que sa femme serait venu me voir, en cachette bien sur, pour acquérir des collants d'une finesse incomparable mais qui avaient par-dessus tout la propriété de les transformer en bombe sexuelle. Je pourrais faire ça innocemment, juste proposer le produit, pas l'imposer et surtout ne rien dire de son pouvoir. Cela promettait de délicieux moments, imaginez une épouse jusque là sage et qui transforme en une furie avide de sexe! Je pourrais voir celles qui apprécieraient, celles qui ne gouteraient pas la plaisanterie et se demanderaient tout à coup ce qui leur avait pris de céder aussi facilement au premier homme qu'elles auraient rencontré. Imaginez vous ces femmes larguées en plein Paris, le cul emballé dans un collant qui est si fin qu'il se devine à peine et qui en plus leur fait mouiller la culotte comme jamais auparavant. Imaginez les prenant le métro et se collant aux hommes à la recherche d'une érection vite venue. Imaginez les encore chez leur médecin se laissant palper, redemandant que le praticien reprenne ses palpations, imaginez les guidant la main du médecin entre leurs cuisses. Imaginez les encore à confesse avec leur prêtre préféré, les femmes pieuses ont toujours un prêtre préféré, celui qui alimente leurs rêves érotiques.

Tout ces scandales potentiels me faisaient sourire, il y avait la de quoi déstabiliser une société bien pensante, faire de cette ville à peu de distance, une cité traversée de scandales de toutes sortes.

Cette vision dans ma tête fit pencher la balance, j'acceptais le voyage de Milan tous les mois. Les deux hommes exultèrent, ils applaudirent à ma décision et ils m'invitèrent aussitôt au restaurant pour sceller cet accord. Durant le repas, Marcello me demanda de préciser quel genre de rapport j'avais avec mon fils, il me demanda des détails sur Eric, comment il en était venu à coucher avec sa mère régulièrement, remplaçant son père trop absent dans le lit conjugal. Je lui racontais ma libido à fleur de peau, et ce faisant je sentais la pointe de mes seins pousser le fin tissu de mon soutien gorge. J'en avais de frissons de me confier ainsi à lui, un médecin certes, mais dont je soupçonnais les intentions. Et puis il y avait Luigi qui était la, bien que sachant moins bien le français que son ami, Luigi comprenait quand même le sens de notre conversation et je voyais briller ses yeux noirs alors qu'il m'écoutait avec attention.

Je déballais tout à Marcello, sans doute l'effet collant dont je portais un modèle. Je ne lui cachais rien d'Eric venant très tôt me rejoindre dans le lit quand son père partait travailler. Nos jeux innocents d'abord et puis de moins en moins, ses attouchements qui faisaient dresser mes seins, ses mains baladeuses du coté de ma poitrine et l'effet qu'il me procurait. Plus tard ses mains aux fesses, d'abord sur le mode du jeu et puis petit à petit il se faisait caressant, oui, je racontais tout cela. Marcello semblait parti dans un rêve, il m'écoutait silencieusement, ne m'interrompant que pour obtenir une précision, relançant mes confidences de temps à autres.

Il me posa quelques exigences pour la consultation suivante, me demandant de m'habiller de façon très sexy, avec de beaux dessous et bien sur en portant les collants de Luigi. Il semblait qu'il avait beaucoup appréciez de trouver le sperme de mon fils dans mon vagin et il me demanda de revenir le voir ainsi garnie de la semence d'Eric. Il me demanda aussi si cela ne me gênait pas que Luigi assiste à la consultation, j'aurais eu mauvaise grâce de refuser vu qu'il était présent à la séance que je vous ai raconté plus haut. J'acquiesçais donc, va pour Luigi, après tout, il était à l'origine de tout cela et tout pouvait s'arrêter à cause de lui.

Je revins donc à Paris avec mon carton de collants ultra fins que je me promettais d'écouler en marge de mon travail aux Galeries.

Je dois avouer que les choses allèrent assez vite, bien plus que je ne l'aurais souhaité. Les femmes faisaient presque la queue pour acheter mes collants. Cela aurait pu devenir suspect aux yeux de mes supérieurs, je devais redoubler de prudence, je donnais rendez vous à mes clientes dans les cabines d'essayages et la je fus surprise plus d'une fois de voir avec quelle rapidité et avidité elles se précipitaient sur les collants pour les enfiler et partir comme des folles. Certaines arrivaient nues sous leur jupe pour aller plus vite et enfiler ce collant magique qui provoquait en elles de telles montées de désir.

Mon stock fondait comme neige au soleil et bien vite je dus téléphoner à Luigi pour lui dire de me préparer un autre carton que je viendrais chercher durant le week-end suivant.

Eric ne fut pas ravi quand je lui avouais que je serai absente tout le week-end. Il avait en tête, je pense, d'autres projets pour nous deux. La perspective de nous retrouver seuls dans l'appartement lui faisait venir à l'esprit des fantasmes qu'il se promettait d'assouvir dès que nous serions dans notre intimité si torride.

Aussi, quand je lui dis qu'il devrait se débrouiller seul Samedi et Dimanche, je vis sa mine se renfrogner. J'essayais de lui expliquer que le travail m'appelait la bas, mais je ne suis pas sure qu'il me crut. Au fond de lui-même il devait se douter que sa mère si sensuelle partait pour des aventures dont il serait absent. Je n'avais probablement pas été assez persuasive et je me promis de tout faire pour lui redonner le sourire.

Le Vendredi soir je rentrais donc du boulot et me précipitais sous la douche pour me délasser et me faire belle pour lui. Une fois la douche prise, je me couvrais d'une crème protectrice de la peau dont je savais que la douceur le rendait fou. Je passais sur mes seins de cette crème qui me fut donnée par le patron de mon mari et qui avait le don de faire dresser mes globes. Ensuite je me maquillais avec soin, prenant une attention particulière à me faire des yeux profonds et mystérieux. Ensuite je m'habillais comme il aimait que je le fasse, Eric aimait la lingerie fine, les choses sexy mais portables tous les jours, les beaux soutiens gorges en dentelle qui ne cachent que peu de chose au regard tout en soutenant correctement les nichons des dames un peu mures comme moi. Il aimait les bonnets profonds qui moulaient mes seins et les maintenaient fermement à un niveau élevé. Je m'arrangeais pour que ce niveau soit un brin provocateur, aidée en cela par la crème, je savais que la vision de mes globes rehaussés allait attirer son regard immédiatement. Ensuite j'enfilais une culotte assortie au soutien gorge, Eric aimait tellement mes culottes, il adorait me voir porter de petits slips coquins. Enfin, j'entourais mes hanches larges d'un porte jarretelles auquel j'accrochais de bas fins et brillants. Inutile de mettre une robe, j'en avais pas envie, une robe de chambre suffirait et serait plus pratique à enlever s'il lui prenait l'envie de me culbuter sur le lit sans trop me ménager comme il lui arrivait de le faire quand les filles du lycée l'avait bien excité en journée.

J'attendis mon fils chéri en préparant le repas du soir, de petits plats qu'il aimait picorer quand nous avions un peu assouvi notre soif l'un de l'autre.

Quand il rentra de ses cours, Eric me vit et me détailla de la tête aux pieds. Je me retournais et je lui souriais en lui ouvrant mes bras. Il s'y précipita, fourrant sa tête dans mon cou et me serrant fort contre lui. Je ne tardais pas sentir la bosse grossir et durcir dans son pantalon. Comme je l'avais prévu, Eric me caressa le dos et puis très vite ses mains descendirent sur mes fesses qu'il empoigna fermement en m'écrasant contre lui. Il ne tarda pas à défaire la ceinture de ma robe de chambre et celle-ci tomba de mes épaules, livrant à mon fils le spectacle de sa mère apprêtée pour lui. Les yeux d'Eric brillaient, je savais à quel point me voir ainsi habillée de mes dessous sexy le faisait bander. Sans un mot il me prit la main et me guida vers ma chambre. Tout en m'embrassant à pleine bouche il me fit tomber sur le lit qui poussa sa plainte habituelle quand Eric me faisait tomber sur lui.

Eric me couvrait déjà, mordant mes épaules et mon cou tandis que son genou s'efforçait d'écarter mes cuisses. Il n'eut pas beaucoup à forcer pour que je m'ouvre à lui. Avec dextérité il se défit de son pantalon et de son slip avant de s'intéresser à mon ventre, mon pubis et enfin ma fente qu'il trouva déjà moite sous ma culotte. Tout en m'embrassant à pleine bouche il me masturba doucement. Bien vite mon vagin fut inondé de cyprine et Eric monta sur mon ventre. Je sentis sa bite dure contre ma peau et mon pouls s'accéléra. Il repoussait un peu ma fine culotte comme il avait l'habitude de procéder, je le laissais faire, il se tortillait sur moi et son activité était un vrai bonheur érotique. Sa verge se glissa entre mes cuisses et je la sentis presser délicieusement ma fente découverte. Eric releva la tête et il me regarda. Il était grave, nos regards se croisèrent et je vis dans le sien tout le désir que je lui inspirais. Nos regards toujours rivés l'un à l'autre, je sentis ses reins pousser et mes lèvres intimes céder petit à petit. Quand son gland franchit la porte de mon ventre, je poussais un léger râle, je sentis mon corps se tendre et s'offrir, mes cuisses s'ouvrir un peu plus, mon bassin se positionner pour mieux recevoir le sexe qui déjà plongeait dans mon vagin.

Je frissonnais, Eric donna un coup de rein en même temps qu'il poussa un « han! » propulsant son membre au fond de mon ventre. Je sentais son gland repousser mon utérus. Il me prit ferment les épaules et il commença à besogner mon vagin qui n'en pouvait plus de baver sa cyprine. La bite de mon fils allait librement dans le canal qui l'avait vu naitre. J'entendais distinctement le clapotis de nos mouilles mêlées à chaque fois que Eric pistonnais mon ventre. Je me laissais faire en fermant les yeux, la sensation m'était délicieuse et je ne pouvais rêver d'un amant plus aimant ni plus actif. Eric donnait tout ce qu'il pouvait pour m'entendre enfin gémir sous lui. Mes gémissements se transformaient en plaintes, en appels plutôt, je le voulais en moi, tout à moi, rien qu'à moi et je voulais son sperme.

Je le lui dis à l'oreille comme d'habitude.

Eric se déchaina alors, l'amant attentionné fit place à une bête furieuse que rien ni personne ne n'aurait su détourner de son but. J'aimais quand il se déchainait ainsi. Je devenais sa chose, sa femelle et bien plus encore, le ventre où il allait décharger sa semence. Je le sentis prêt à l'éjaculation, son corps frémissait comme un cheval que l'on aiguillonne, ses bras puissants m'écrasaient contre lui en une possession animale. Sa bite eut un sursaut et je sentis le flot de sperme érupter par vagues et son gland palpitait en crachant la liqueur blanche qui inondait mon vagin, noyait mon utérus et dégoulinait entre mes cuisses.

Dans un dernier cri primal, Eric poussa en moi une verge gorgée du sang qui battait dans ses tempes à un rythme fou. Ecrasé contre mes seins, je percevais les coups sourds de son cœur jusque dans ma poitrine.

Il s'effondra sur moi, épuisé et heureux. J'étais moi aussi heureuse d'avoir procuré autant de plaisir à un être que j'aimais par dessus tout. Je l'enlaçais de mes bras et je berçais nos corps qui cherchaient le repos.

Un peu plus tard nous étions tous les deux attablés dans la cuisine à picorer notre diner. L'atmosphère était joyeuse, Eric apparemment avait un peu oublié ses rancœurs envers moi et c'est lui qui me proposa à nouveau de revenir dans la chambre pour une soirée torride, en me prenant par la main et en m'entrainant à sa suite.

Je me laissais guider par lui, il me demanda de le sucer pour commencer et c'est avec émotion que je pris en bouche sa verge encore toute odorante de nos fluides corporels. Je fermais les yeux, le prenant en bouche pour le caresser de ma langue et le pomper pour faire grossir et durcir sa bite qui allait une fois encore, et sans doute plus d'une fois, me remplir de sperme et de bonheur.

Ce qui s'en suivit fut à la hauteur de mes espérances, Eric se montra un amant imaginatif et performant, endurant jusqu'à m'épuiser, il me chevaucha trois fois et jusqu'à fort tard dans la nuit avant qu'il ne s'écroule et s'endorme comme un bébé. Je caressais son visage comme je le faisais quand il était petit, je vis naitre un sourire sur ses lèvres et je m'endormais à mon tour.

Le lendemain matin je devais m'envoler tôt pour Milan, je me levais donc aux aurores alors que Eric dormait encore prêt de moi. Je fis ma toilette matinale en prenant bien soin de ne pas me laver la chatte comme je l'avais promis à Marcello. Eric avait versé en moi des flots de sperme et mes cuisses en étaient encore imprégnées et maculées de liquide figé. J'en laissais quelques traces sur mes cuisses, évitant de laver mes poils pubiens encore tout poisseux de nos ébats de la veille. Pour garder intacte cette scène j'enfilais par-dessus une culotte suffisamment enveloppante pour que rien ne puisse échapper, et c'est ainsi que j'embarquais dans le premier avion pour Milan.

Luigi et Marcello m'attendaient à l'aéroport, dès qu'ils me virent ils me firent de grands signes pour se signaler à moi et ils m'accueillirent avec de grands sourires et des exclamations d'enthousiasme sur ma tenue et ma supposée beauté.

Sur le chemin de chez Marcello, Luigi me questionna sur la vente des collants, je le rassurais en lui expliquant que les parisiennes raffolaient de ses créations et qu'elles faisaient la queue à mon stand pour acheter ses collants. Je lui affirmais que je me faisais forte de vendre le double de ses collants s'il y consentais, et qu'il me prépare deux cartons au lieu d'un seul. Luigi réfléchis à ma proposition, la main caressant le menton, je le voyais plongé dans ses réflexions.

Nous arrivâmes rapidement chez Marcello qui me promit un grand week-end avec un sourire complice. Nous entrâmes tous les trois dans ce qui était son cabinet en même temps que son domicile.

« Te souviens tu de la promesse que tu m'as faite la dernière fois? »

« Oui bien sur »

« Et alors? »

Je baissais la tête en rougissant. Sans doute trouverez vous osé que je sois encore rougissante après tout ce qui avait précédé entre nous, mais que voulez vous, une femme est une femme et la pudeur fait partie intégrante de son environnement. Marcello me réitéra sa question, « Alors, as-tu procédé comme je te l'avais demandé? »

Je hochais la tête de haut en bas en évitant son regard.

« Hé bien nous allons vérifier tout cela » me dit Marcello en me désignant la table d'examen moderne et confortable qui trônait au milieu de son cabinet.

« Déshabille toi entièrement et installe toi sur la table » me demanda-t-il alors que Luigi était resté en retrait pendant que Marcello me questionnait. Je l'aperçus dans l'ombre, à l 'écart, silencieux mais attentif au moindre geste de son ami le médecin. Je me déshabillais comme me l'avait commandé Marcello, ne gardant que mon soutien gorge, celui que j'avais mis la veille au soir pour Eric, et ma culotte enveloppante qui enserrait mon sexe en le gardant dans l'état où il était cette nuit.

Avant qu'il n'installe mes jambes dans les gouttières, Marcello fit glisser ma culotte et la donna à Luigi qui s'en empara pour la renifler.

« Ma! Qué délicio » Luigi reniflait à plein nez ma culotte imprégnée des effluves de ma chatte et du sperme de Eric.

Pendant ce temps, Marcello m'installait en posant mes cuisses sur les gouttières et en écartant celles-ci. Puis il s'installa sur son tabouret entre mes cuisses ouvertes et ajusta une lampe sur son front.

« Mmmm! Je vois que ton fils a bien travaillé dit il, tu as la chatte bien garni de foutre. Luigi, vient voir un peu comment notre amie s'est faite farcir du jus de son petit.! »

Luigi approcha et je sentis son souffle contre mon sexe, pendant que Marcello prenait un spéculum sur la desserte auprès de lui.

« Ecarte moi les lèvres, commanda-t-il à Luigi. »

La grosse patte de Luigi me saisit de part et d'autre de mes lèvres intimes et força mon sexe à s'ouvrir. Je sentis le froid du métal du spéculum et je ne pus retenir un frisson en même temps que mon corps se tendait.

« Ne sois pas si nerveuse! Me dit Marcello, je ne te ferai aucun mal, et si tu as mal tu me le dis. »

Le froid engin pénétrait doucement mon vagin. Quand Marcello le jugea en place, il manœuvra une molette qui écarta les deux pans du spéculum, livrant ma chatte aux regards des deux amis. Marcello se pencha avec sa lampe pour mieux m'examiner. Je le vis plisser les yeux, le souffle court lui aussi. Il avait pourtant l'habitude de ce genre d'examen, mais celui-ci l'excitait au plus haut point.

« Regarde, dit il à Luigi, elle a la chatte pleine, le gamin a du la baiser au moins trois fois pour qu'elle soit aussi remplie. »

« Combien de fois? » me demanda-t-il en relevant la tête.

« Heu...quatre. »

« Mmm! Le jeune homme a de la ressource, l'utérus est noyé dans le sperme, regarde Luigi, tu vois ça? Attends j'écarte encore un peu. »

Les deux ailes du spéculum s'écartèrent encore un peu, m'ouvrant de façon bien indécente au regards curieux des deux qui se penchaient dans un parfait ensemble sur mon vagin écartelé.

Puis Marcello me caressa le clitoris au point d'éveiller mes plaintes et mes gémissements.

« Voila, vous êtes encore prête à vous faire enfiler me dit il. Mon ami Luigi va se faire un plaisir de vous prendre la sur ma table. Il se recula et invita Luigi à prendre sa place. celui-ci avait ouvert sa braguette et sortit un membre fort honorable. Il avança le bassin jusqu'à me toucher et c'est à peine si je sentis sa bite entrer en moi tant mes chairs étaient encore distendue par le spéculum. Luigi se mit à s'agiter en moi et bientôt ce fut son sperme qui se mêla à celui d'Eric.

Après, ce fut le tour de Marcello, qui était bien plus fort que Luigi, et je me dis que ses patientes avaient bien de la chance quand je sentis son gland qui coulissait entre mes muscles vaginaux distendus. Marcello m'avait ouverte au spéculum pour que je puisse le prendre en moi. Il s'agita avec une certaine science de la baise, me faisant gémir et crier enfin avant qu'il ne décharge de puissants jets de foutre qui vinrent se mêler à tout le sperme qui était déjà en moi.

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