Les aventures de Karla 07

Préambule:

Il y a une suite seulement parce qu'il y a eu des témoignages, des avis ou des commentaires.

Sans cela a quoi sert de passer beaucoup de temps a écrire des récits?

Que ce WE fût long pour Karla. Le diner avec des amis de son mari, samedi soir, ne fît que raviver son aventure au Golf. Toutes ses pensées en ce dimanche soir sont tournées vers ses dépravations passées, et, elle le craint tout en le désirant au plus profond d'elle, à venir.

Le diner terminé, alors que son mari s'en va nonchalamment vers la TV, Karla découvre un message sur son portable. En lisant le nom de l'expéditeur, Karla, est sans dessus-dessous, comme une collégienne essayant de cacher son forfait à ses parents.

En l'occurrence elle se rassure en voyant son mari avachi dans le canapé. Aussi ouvre-t-elle le texto immédiatement.

"Bonsoir ma truie, je te veux demain à 10H chez moi avec uniquement un tablier des bas et un string. Attention tu dois ouvrir la porte ainsi vêtue. En attendant demain je veux recevoir d'ici 2 minutes une photo de toi à quatre pattes avec un objet dans chacun de tes orifices. Et je ne veux pas savoir si le moment est mal choisi!!!".

Karla s'affole, et au lieu de raisonner pour profiter du calme et de la discrétion de sa chambre, Karla se décide à réaliser cette photo dans la cuisine. Là même où Luc s'était amusé avec elle à quelques mètres de son mari.

Scrutant le salon, Karla retire sa culotte tanga puis récupère deux spatules dans le pot à côté des plaques de cuisson. En les voyants, elle se dit que Luc sera ravi de voir, fonction de l'orifice, les spatules en sens contraire.

Toujours aux aguets, de peur de voir son mari avoir une envie soudaine de revenir en cuisine, Karla s'insère les deux ustensiles. La demande de Luc l'a tellement excitée que les deux objets s'enfoncent tout seul. Karla en a conscience, et se maudit une nouvelle fois d'être aussi faible face à Luc et à ses désirs avilissants.

Kara scrute une dernière fois son mari. Pas un geste, il est scotché à une émission sans intérêt. C'est le moment se dit-elle.

Elle ouvre son portable, met le retardateur en marche, puis déclenche l'appareil. Malheureusement pour elle elle a à peine le temps de relever la jupe que la photo se déclenche.

Elle sait bien que Luc exige d'elle une photo nette avec son cul bien ouvert mais aussi son visage pour lui assurer de l'authenticité de la photo.

Ce n'est qu'à la cinquième prise qu'elle arrive enfin à obtenir un cliché satisfaisant. Satisfaisant mais pas parfait. Elle clique une sixième fois sur le bouton du téléphone, se met à Quatre pattes, retrousse sa jupe, se retourne, et se fige. Le clic du téléphone vient prendre la photo. Cette fois c'est sûr c'est la bonne.

Mais le stress s'empare d'elle quand elle entend son mari se lever du sofa. Pas le temps d'ôter les deux ustensiles, à peine celui de se relever, de réajuster sa jupe et de faire semblant de nettoyer un verre dans l'évier.

Son mari la frôle, ce qui occasionne chez Karla une décharge électrique tout le long de sa colonne vertébrale. Elle essaie de se contenir mais son cœur tourne à 200 à l'heure. Heureusement que son benêt de mari pense plus à son morceau de chocolat et son émission TV qu'à l'état d'esprit de sa femme.

Une fois reparti, Karla libère ses orifices des hôtes encombrants puis se précipite sur son téléphone pour envoyer la preuve photo attendue par Luc.

Tout en envoyant la photo, Karla se rend bien compte que l'image qu'elle offre est à des années lumières de la femme qu'elle a toujours été et voulu montrer à son entourage. Pourvu qu'il n'abuse pas de ma faiblesse ou naïveté se dit-elle. Mais d'un autre côté, la voie où l'entraîne Luc est tellement nouvelle et excitante que cela vaut le coup de prendre le risque se rassure-t-elle.

Sur ces entrefaites, elle reçoit un nouveau message de Luc: "pas mal mais en retard ... pour la peine à la place du tanga tu remettras tes spatules comme sur la photo, et le tanga dans la bouche".

Le lendemain, Karla s'affaire pour que son mari aille travailler. S'il se doutait que toutes ces petites attentions ne sont pas une preuve d'amour à son égard, mais une envie de se débarrasser au plus vite de lui pour s'habiller si l'on peut dire selon les directives de son homme.

Karla est tellement excitée après ces quelques jours d'absence qu'elle prend même le temps de s'épiler la chatte avec de la cire. "Jamais je n'aurais pensé accepter me rabaisse, souffrir autant pour un homme aussi misogyne" se dit-elle.

Mais ses pensées ne l'arrêtent pas et 1H plus tard Karla arrive en bas de l'immeuble de Luc. Elle sonne à l'interphone. Le bip lui indique que la porte est ouverte. Elle ne peut plus faire demi-tour, ... , mais cela fait bien longtemps qu'elle n'en n'a plus envie.

A l'entrée elle se regarde dans e miroir alors qu'un habitant de l'immeuble la croise. Une pointe d'appréhension la parcourt, mais seul son long manteau beige se reflète. Rien ne laisse transparaître que Karla a respecté à la lettre les instructions de Luc.

Elle a un tablier blanc qui tombe à mi-cuisse. Au niveau du haut les fines bretelles laissent voir les lourds nichons de Karla tant sur les côtés que devant. De toutes les manières le tissu laisse deviner aisément les tétons ou l'entrejambe. Entre-jambe mise en relief avec ses bas qui poussent à suivre avec attention ses jambes élancées et parfaitement galbées malgré son âge.

Une fois dans l'ascenseur, Karla enlève son manteau, retire son tanga qu'elle roule en boule pour immédiatement se le coller dans la bouche. S'il lui fallait encore une preuve de son excitation, elle l'obtient en mâchonnant sa culotte au goût bien prononcé.

Fort heureusement l'ascenseur ne s'arrête pas intempestivement. Karla, peut en toute liberté s'introduire les spatules comme la veille dans sa cuisine.

Si l'intromission fût rapide et aisée, les quelques pas dans le couloir pour rejoindre la porte de son amant le sont moins. Avec les deux spatules plantées dans ses trous luisants, Karla sent le plaisir monter bien malgré elle. Elle a envie de marcher doucement pour ne pas jouir en plein milieu du couloir, mais d'un autre côté ne veut pas trop traîner ici à la merci d'un voisin.

Heureusement pour elle, les lieux sont déserts, et c'est avec un grand soulagement qu'elle vît Luc ouvrir la porte. Sans un mot il introduit ses doigts dans sa bouche pour faire ressortir le bout de tissu trempé. Il l'exhiba avec une certaine fierté devant le regard quelque peu gêné de Karla, comme pour lui dire regarde ce que tu oses faire pour moi, venir quasiment à poil avec ton tanga dans la bouche

L: Bonjour ma salope de ménage.

K: Bonjour Luc.

L: Ca fait plaisir d'avoir une femme de ménage ainsi vêtue ...et en plus gratuitement.

K: de rien, surtout si j'ai une rétribution ensuite ... comme tu me l'as dit.

L: plus qu'une rétribution tu auras une surprise.

K: Ah bon??? Et quoi donc??

L: chaque chose en son temps sinon ce n'est plus une surprise.

K: Je suis curieuse ... et j'aime les surprises.

L: Alors tu devrais adorer celle-là.

L: En attendant tu vas faire le ménage et si je ne suis pas content de ton travail les spatules me serviront pour te punir.

K: pas trop quand même ...

L: tu veux décider à ma place? Rappelle moi qui tu es pour moi!!!

K: je suis ta truie?

L: Karla ma grosse truie qui va commencer par nettoyer les spatules avec sa bouche puis qui va me passer la serpillère à quatre pattes dans tout l'appartement. Répète.

K: Je suis ta grosse truie et je vais nettoyer ton appartement à quatre pattes.

L Oui à quatre pattes comme une bonne chienne soumise que je vais prendre en levrette quand bon me semblera. Allez commence!!.

Sans mot Karla prît la serpillère dans la cuisine et se mît à nettoyer. Croyant naïvement que la seule humiliation était de faire le ménage ainsi vêtue, au risque de se faire mater par un voisin, Karla se détendit rapidement.

Mais Luc revînt rapidement avec sa caméra à la grande honte de Karla. Il s'amusa alors à faire des plans larges puis des gros plans sur les seins, le visage ou encore le cul de Karla.

Pour renforcer l'embarras de Karla il lui adressa quelques remarques sur son statut de traînée pour lequel Karla devaient répondre son envie d'en faire encore plus sans savoir de quoi il en retournait.

Mais à force de parler le travail prenait du retard, aussi Luc se mît à claquer les fesses de Karla pour la faire accélérer. Karla comprît vite que les claques prodiguées par Luc augmentaient au fur et mesure d'intensité. Elle s'activa pour nettoyer efficacement le sol.

Avec un tel entrain, Karla ne prêtait plus attention à la caméra qui montrait une femme impudique aimant se faire malmenée. Ces seins ballotaient dans tous les sens, pour aller vite elle ne prenait pas garde et écartait ses jambes en toute impudeur, dévoilant sa chatte bien lisse et sa raie des fesses. Même les cris de Karla suite aux nouvelles frappes de Luc, laissaient transparaître du plaisir

Alors que Karla avait quasiment finie, Luc agrippa ses hanches et d'un coup enfila sa queue au plus profond de sa chatte. Il la prenait sans ménagement, s'empalant de toute sa force contre son cul.

Toute l'excitation contenue par Karla depuis plusieurs jours se libéra. Son corps dictait sa loi face à ses principes de bourgeoise.

K: Oh Oui vas-y Luc continue, prends moi bien.

L: Cela ne te gêne pas on dirait que je te fesse ou te compare à une traînée. Bien au contraire.

K: Tu me fais vibrer ... pas comme mon mari qui est trop mou, trop doux.

L: Ah bon ... peut-être n'a-t-il pas la truie Karla à la maison pour la défoncer comme elle le mérite? Non?

K: je ne sais pas mais toi tu me fais jouir à chaque fois ... Oh que j'aime quand tu me sautes comme cela .. vas-y Luc continue.

L: Tu sais moi aussi je suis curieux et je veux vraiment savoir si c'est ton mari qui n'est pas à la hauteur ou si c'est qu'il n'a pas encore découvert la grosse salope que tu es. Alors je l'ai invité à venir te baiser!

K: Quoi???

L: T'arrête pas continue de venir t'empaler contre ma bite ma chienne ... Oui il va venir te sauter sans savoir que c'est toi. Je vais lui dire que tu es ma femme de ménage, que tu es en chaleur et que je n'arrive pas à te satisfaire ... et donc qu'il peut profiter de l'occasion pour dégorger son poireau comme bon lui semble dans les orifices de ma femme de ménage ... qui n'est en fait que sa femme.

K: Mais il va me reconnaître!!!

L: Non car on va te prendre en levrette avec une nappe sur ton dos et ta tête ... Ta bouche sera le seul orifice qu'il n'aura pas ... c'est moi qui m'en servirait pour t'empêcher par là même de te trahir en beuglant.

K: Je t'en prie ...

L: Pas de mais ... et puis peut-être auras tu la chance de voir que ton mari est, lui, fidèle à sa salope de femme.

K: Luc je serais prête à me balader à poil dans la rue pour toi si tu empeches mon mari de me baiser ici.

L: Ce n'est pas très gentil de refuser à son mari son cul ou sa chatte alors que tu écartes si facilement les jambes pour moi e mes amis .... Tu vas faire ce que je te dis de faire. Et pour patienter je vais t'enculer.

Sans attendre Luc sorti sa verge du vagin de Karla, et lentement mais surement forca l'œillet de sa soumise. Karla laissa échapper quelques cris que Luc réprima par de belles claques sur ces fesses.

Luc s'amusa à titiller sa petite truie sur la necessité d'avoir le rectum bien ouvert car son mari risquait de profiter au maximum de ce trou que son épouse lui refuse obstinément.

Luc n'y tenait plus, cela faisait maintenant 10 minutes qu'il baisait Karla.

Il immobilisa sa queue dans les entrailles de Karla. Il prît les spatules disposées sur la table basse et les ficha dans le con de Karla. Cette pénétration sans préambule la fît quasiment jouir.

Luc de concert entre sa verge dans le cul de Karla et les spatules dans son vagin, il commença à imprimer un rythme de va-et-vients de plus en plus rapide et de plus en plus ample.

Luc malgré son endurance ne pût se contenir longtemps et dans une dernière projection en avant pour empaler le plus profondément possible Karla, il éjacula. Il fût quelques secondes de plus pour Karla. Les soubresauts de la bite de Luc accompagnés des spatules qui ramonaient son vagin finirent par faire exploser Karla.

Karla ne resta néanmoins pas très longtemps amorphe. Comme si Luc avait tout manigancé, la sonnette retentît moins d'une minute plus tard. Le stress d'être ainsi découverte par son mari ressurgît.

N'ayant pas d'autre échappatoire, Karla mît la nappe et la posa tant bien que mal sur son dos et sa tête.

Heureusement pour elle car elle entendait déjà son mari à l'entrée.

Luc: bonjour XXX

M: Bonjour Luc

L: excuse-moi si tu me trouves en caleçon mais j'avais complètement oublié ta venue

M: Pardon tu veux que je repasse?

L: Non non surtout pas. Pour tout te dire je suis avec ma salope de femme de ménage. Pardon d'être aussi cru mais s'en est une belle. Et j'étais en train de me la taper quand tu as sonné.

M: Ah ... je suis un peu gêné.

L: soit pas gêné ... tiens j'ai même une idée qui me vient à l'esprit. Cela ne te dirait pas d'en profiter?

M: Luc je ne peux pas ... tu sais je suis marié

L: Parce que tu crois que ta femme ne t'a jamais ou ne te fera jamais cocu? Tu es vraiment bien naif.

M: Non je ne peux pas.

L: tu manques une occase en or mon pote. Ta femme n'en sauras rien, crois-moi.

M: En plus ta femme de ménage ne me connaît pas, elle va prendre peur.

L: je t'ai dit que c'est une salope de première tu pourras même la sodomiser si bon te semble. J'en ai déjà fait profiter deux potes et crois-moi ils ne l'ont pas regretté. La seule chose c'est qu'elle ne veut pas qu'on la reconnaisse aussi tu ne verras que son arrière train et tu ne pourras la sauter qu'en levrette.

M: Oui mais si ...

L: bon décide toi c'est à prendre ou à laisser ... et crois-moi avec elle tes sauteries maritales te paraîtront bien insipides. La pétasse elle vient avec la chatte toute lisse et sans culotte pour que je la monte.

M: Mais ... bon ... d'accord, ça me tente.

L: Voila!!! Je savais qu'il y avait un homme viril derrière ce gentil mari. Allez, viens!!!

Karla sentît la queue à moitié raide de son mari la pénétrer. Il était doux comme à son habitude. Mais cela ne dura pas longtemps.

Voyant la timidité avec laquelle le mari de Karla baisait sans le savoir sa propre femme, Luc lui ordonna d'y aller plus franchement.

XXX se lâcha et n'hésita pas à donner des petites claques sur le fessier déjà bien rougi de Karla.

Luc de son côté présenta sa bîte à la bouche de Karla. Elle était prise au piège. Entre ses jambes son mari la prenait de plus en plus vigoureusement et devant ses lèvres se trouvait la bite de Luc qui avait précédemment titillé son anus.

Sans issue elle ouvrît la bouche et goba la bite au gout acre .Karla se démena pour la nettoyer et avec plaisir faire rebander Luc afin de profiter d'une troisième session.

Tel un poulet embroché, Karla voyait son mari la prendre de plus en plus rugueusement, bien loin du sexe prodigué à la maison. Mais tout d'un coup son mari abandonna son vagin pour tenter de la sodomiser. Après plusieurs tentatives il parvint à passer la barrière rectale. Par petits coups il commençait à s'approprier le cul de sa femme. Il lui prît même l'idée de branler le clitoris de Karla pour démultiplier les plaisirs de cette soit-disante salope.

Luc pouvait lire sur son visage la joie de découvrir un acte qui devait le faire fantasmer depuis longtemps.

Quant à Karla, à son corps défendant encore à ce moment, elle prenait du plaisir à être prise par ces deux hommes. Mais dans sa tête se profilait une question: Accepterait-elle de laisser son mari l'enculer dans le cadre normal de leur vie de couple?

Toujours est-il qu'elle sentît un plaisir diffus inonder son bas-ventre. Elle allait jouir grâce à son mari qui croyait avoir affaire à une belle inconnue.

C'est toutefois son mari qui lui grilla la politesse et dans un dernier élan déversa sa semence au plus profond de Karla.

Heureux et déboussolé le mari de Karla s'en alla très rapidement. Quant à Luc de nouveaux horizons s'ouvraient.

L: alors on a un mari callente.

K: je n'aurais jamais cru cela possible.

L: ce n'est que le début. En attendant enlève ton tablier et va étendre le linge sur le balcon.

K: pas toute nue, pas sans rien!

L: Une truie ne discute pas!!! Vas-y où je montre à ton mari que sa femme peut être encore plus salope.

Sans rien dire, Karla ôta son tablier et pendant 10 minutes étendît le linge avec comme seul habit ses bas auto-fixants. Une nouvelle fois la honte de s'exhiber avait rendu l'instruction de Luc difficile à réaliser. Mais au final c'est ce qui pimente cette relation extra-conjuguale, le risque, la honte et l'inconnu.

Le problème pour Karla est: où Luc va t'il bien pouvoir l'emmener prochaine fois?