Les aventures de Karla 05

Informations sur Récit
Quand l'amant rencontre la mari.
3.8k mots
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1

Partie 5 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 03/08/2014
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Tout d'abord merci pour les quelques commentateurs qui ont écrit quelques mots.

Avec ce chapitre, plus long que les précédents, j'attends un peu plus de commentaires EN PARTICULIER pour me dire ce que Karla va devoir faire a contrecoeur dans un prochain chapitre et vos vêtements préfères pour une BCBG SOUMISE.

Merci d'avance

--------------

Voilà quelques jours que Karla est sans nouvelle de son tourmenteur. Elle retrouve sa calme vie d'épouse, mangeant son petit déjeuner devant son mari plus attentif à la radio qu'à elle.

Karla quant à elle est dans ses pensées.

Que fait-il? Pourquoi ne la contacte-t-elle pas?

Karla essaie de s'en défendre mais elle est accro. Elle se languit d'être prise en main par Luc. Et lui qui est toujours aux abonnés absents.

Karla en est même jalouse. Elle pense qu'il a trouvé une nana plus jeune, qui sait plus salope prête à aller encore plus loin qu'elle.

Elle ne veut pas retourner dans sa triste vie ordinaire. Pourvu qu'il la rappelle, et alors ... alors ... elle lui prouvera quelle digne soumise elle pourra être.

C'est sur ses pensées que le téléphone sonne. Retour à la réalité se dit-elle en voyant son mari décrocher.

Mari : Monsieur X à l'appareil.

Tél : Bonjour Monsieur, je suis l'agent de sécurité du magasin XXXX.

Mari : que puis-je pour vous?

Tél : votre femme a semble t'il perdu un portefeuille avec des boucles d'oreille dedans.

Mari : Karla, j'ai un certains Luc du magasin XXX qui me dit avoir retrouvé des affaires à toi ... Euh Monsieur, ma femme va venir les récupérer.

Tél : Non je pense qu'il est préférable que je vous les amène demain matin à la même heure car je suis de garde de nuit et je n'ai pas 100% confiance en certaines personnes du magasin.

Mari : Si cela ne vous dérange pas alors d'accord.

...

Mari : Oui oui je serais là pas de soucis dans tous les cas ma femme aussi. Au revoir Monsieur et merci!

Karla en entendant cela se sent défaillir. Ses joues sont rouges. Elle est embarrassée par ce qu'elle vient d'entendre.

Luc lui a chapardé des affaires pour s'en servir d'alibi et rencontrer son mari.

Au même instant son portable vibre. Machinalement, elle le prend et regarde le message.

Il provient de Luc. Ses mains tremblent, son cœur palpite, le reste de son corps est en émoi.

Elle ouvre le message : « salope, comme tu as pu l'entendre à l'instant je vais passer demain. Tu as intérêt à te faire belle pour moi. Et par belle je veux te voir habillée comme une grosse chienne qui veut faire plaisir à son MAITRE.

Donc robe moulante avec un string ficelle et tes nichons libres de mouvements et la chatte bien lisse!!!

Si tu n'as pas ce qu'il te faut, tu as toute la journée pour aller l'acheter. Ne me déçois pas ma pouliche. »

Karla referme promptement le message. Elle n'ose regarder son mari qui n'a pas fait attention à l'excitation mêlé d'anxiété de sa femme. Au contraire il lui dit au combien il trouve cet homme charmant et gentil de se déplacer.

Tout l'opposé de Luc sournois et pervers. Quel idiot de mari se dit-elle. Mais comment va-t-il réagir quand il la verra habillée ainsi?

Elle est prise au piège. Ne pas s'habiller comme Luc le demande c'est risquer de le perdre. Et porter une tenue de salope devant un inconnu, aux yeux de son mari, c'est risqué.

Son cerveau tourne à fond pour l'aider à sortir de cette situation. Elle a une idée, elle mettra une ancienne robe devenue trop étroite au dernier moment et prétextera qu'elle ne peut plus se changer. Le timing est essentiel mais c'est faisable.

Toute la journée Karla ne pense qu'au lendemain a ce que Luc va oser faire ou lui faire faire devant son mari. Elle n'a qu'une crainte c'est qu'il révèle leur relation. Mais elle se dit que Luc n'osera pas car c'est ce qui rend la situation si piquante.

Quand elle s'apprête à se coucher son mobile vibre à nouveau. Luc, c'est encore lui. Ce pervers joue avec elle.

« Ma grosse salope, passe une bonne nuit car demain je vais te faire faire du sport J »

Le lendemain matin, Karla est fébrile. Bien évidemment elle a mal dormi.

Il est 8H quand elle reçoit à nouveau un SMS. C'est Luc bien sûr.

Il lui annonce qu'il sera là dans 30 minutes.

Karla est perdue, elle part dans tous les sens. Il lui faut bien 3 minutes pour reprendre ses esprits.

Une fois calmée, elle part dans la salle de bain se doucher. Après une douche rapide, elle en profite pour assurer que sa chatte est bien lisse. Le passage de la lame sur son minou la fait subitement mouiller.

Le corps séché, elle s'habille alors. Sa robe est, comme elle le pensait, bien sérrée. Faut dire que Karla a pris des formes depuis quelques années.

Par contre ce qu'elle n'a pas anticipé c'est que l'élasticité du tissu fait remonter à mi cuisse le bas de la robe. Elle a beau tirer rien n'y fait, ce qui donne une allure encore plus sexy ou salope à Karla. D'autant plus que le string ficelle laisse une légère démarcation. Légère mais bien visible pour un œil expert comme Luc elle en est sûr. Ce qu'elle espère c'est que son mari sera moins pointilleux.

De retour à la cuisine, son mari est surpris de la voir ainsi vêtue.

Mari : Pas terrible Chérie cette tenue.

Karla : Pourquoi? C'est une robe que je portais il y a 10 ans.

Mari : Oui mais maintenant cela fait vulgaire sur toi. Excuse moi mais on dirait une vieille pute.

Kara : ce n'est pas très gentil. Bon je prends rapidement mon petit déjeuner et je me change.

Mari : N'oublie pas que le gardien va arriver et je n'aimerai pas qu'il se méprenne sur ton compte, et ...

La sonnette retentie. Karla a un petit sourire de victoire.

Le mari de Karla fait rentrer Luc et l'invite à la cuisine. Jouant parfaitement la comédie Luc se présente et souligne à son mari quelle belle femme il a.

Karla rougit sachant les sous-entendus qui se cachent derrière. Mais son mari s'arrête au premier niveau et s'enorgueillit du commentaire au sujet de sa femme.

En confiance il propose un café à Luc qui se précipite sur l'occasion pour s'incruster.

Karla est tendue, elle est excitée de voir côté à côte son mari et son amant. Et elle a peur. Cet homme est capable de tout, elle en est sûre, capable de l'obliger à se rabaisser devant son mari. Mais cette peur lui génère une chaude sensation au niveau du bas ventre. Elle mouille.

Luc ne regarde plus sa soumise. Il a réussi à engager la conversation avec son mari.

Luc : Et comment trouvez-vous notre nouveau centre commercial?

Mari : Oh vous savez c'est ma femme qui y va ...

Luc : excusez-moi mais j'ai quelques urgences donc en même temps que nous parlons je surveille et risque de répondre à mes SMS.

Mari : faîtes comme chez vous je comprends.

Luc : je vous remercie, ce n'est pas très poli mais le boulot vous comprenez.

Mari : bien sûr.

Tout en parlant Luc écrit un SMS que ... reçoit Karl quelques instants après.

A nouveau de manière instinctive Karla regarde l'émetteur du mail.

A la lecture du nom, c'est nichons se durcissent instantanément. son minou s'humidifie.

Avec appréhension elle ouvre le SMS :

« Quelle salope tu fais, comment oses tu devant ton mari te balader ainsi!!! Bombe le torse au moins pour me montrer tes gros nibards et tes tétons sale truie! »

Karla s'attendait à des mots crus mais aussi à des mots de félicitation pour sa tenue. Au contraire Luc s'amuse à l'humilier.

Oui mais en même temps la situation et ces mots sur son portable l'excitent. Alors comme il le demande elle bombe de manière innocente le torse . De manière nonchalante elle met en exergue ses seins dont les tétons pointent fièrement au travers du tissu.

Un deuxième SMS tombe : Tu es prête à tout pour te faire baiser n'est-ce pas? Réponds!

Karla répond oui je veux que tu me baises!

Luc continue son jeu de parler uniquement avec son mari, ignorant officiellement sa femme, tout en écrivant derrière des mails toujours plus crus et directs à Karla.

Les messages défilent « c'a fait quoi de t'habiller comme une grosse pétasse? » puis « tu iras faire des courses comme cela d'accord? » ...

Quelle scène surréaliste de voir Luc discuter comme si de rien n'était avec son mari et à côté de cela envoyer à son épouse des messages pervers.

Malgré cela, Karla répond. Electrisée par ce jeu et ce que sous-entendent ces messages.

Jusqu'au moment où arrive le dernier SMS. Ce n'est plus une promesse mais un ordre :

« Va enlever ton string dans le salon, enfonce le dans ta chatte et prends une photo que tu m'envoies sur le champ!!! »

Karla a le souffle coupé par l'ordre abrupt qui tombe. Elle pique un fard que fort heureusement son mari ne remarque pas.

Excitée, mais avec la boule au ventre d'oser cela à quelques pas de son mari, Karla se lève. Elle rajuste le bas de sa robe qui était remontée en haut de ses cuisses laissant entrevoir son entre-jambe.

Luc n'en n'a pas perdu une miette et sourit. Heureusement que son mari lui tourne le dos et s'intéresse à son hôte.

Karla fébrile se rue dans le salon. Téléphone dans la main droite, elle remonte sa robe au-dessus de ses hanches, descend son string trempé à ses pieds, passe une jambe puis l'autre. Elle ne fait même pas attention à ce qu'elle peut laisser entrevoir au travers de la fenêtre.

Elle écarte les jambes, se penche et, introduit le mince bout de tissu entre ses lèvres. Elle pousse un peu, pour ne laisser ressortir qu'une sorte de languette en dessous de son minou rasé de quelques jours.

En transe, Karla se photographie et sans y réfléchir envoie la photo avant de remettre en ordre son unique vêtement désormais. Comme si elle attendait l'autorisation de Luc pour recouvrir un minimum de décence malgré la situation dégradante dans laquelle elle se trouve.

Mais finalement elle n'a pas si tort que cela. Avant même de quitter le salon, Luc lui répond.

« tu peux revenir mais je veux tes fesses à même la chaise quand tu te rassoies!!! »

Karla va défaillir, s'exhiber ainsi telle une vulgaire salope à quelques centimètres de son mari. Son coprs la pousse à le faire quand son cerveau lui rappelle le caractère inapproprié.

De retour dans la cuisine, Luc le sourire carnacier scrute Karla. Son mari toujours attentif à Luc, elle relève sa robe au-dessus de sa chatte et s'assoie en un éclair. Elle est morte de trouille mais son con lui mouille tant l'excitation est devenue incontrôlable.

De peur de laisser deviner sa situation Karla se colle contre la table. Elle est tétanisée.

Elle sursaute quand elle sent un pied s'immiscer entre ses genoux. Bien évidement c'est Luc. Avec son pied il lui fait comprendre d'écarter ses jambes qu'elle gardait serrée. L'air frais s'engouffre dans son entrejambe. Elle croit bien qu'une seule caresse avec son pied va la faire jouir tellement son corps est en ébullition.

Luc se lève. Il ne va pas partir quand même se dit Karla. Pas dans l'état ou il m'a mise, pas seule avec son mari dans une telle posture.

Luc : avant que je n'oublie, voici les affaires qu'avait oublié votre femme. Un portefeuille, les boucles d'oreille, une bombe chantilly, des bougies, et une tapette tue mouche rose fluo.

Mari : Mais pourquoi une tapette nous en avions déjà? Et en plus rose fluo!!

Karla : euh oui c'est-à-dire que .... Elle était vieille est j'avais envie d'un truc plus gai.

Luc : Comme cela vous éviterez de la perdre. C'est toujours bien utile contre les insectes ou les chiennes désobéissantes!!!

Mari : Ah vous avez des animaux?

Luc : Pas beaucoup, j'aimerai mais il faut s'en occuper et je ne suis pas patient.

Mari : Qu'avez-vous alors?

Luc : J'ai toujours aimé les juments, ne me demandez pas pourquoi, mais au final je suis le PROPRIETAIRE d'une belle chienne. Un peu mutine mais avec la badine je peux vous dire qu'elle va finir par filer droit. Vous n'êtes pas de mon avis Madame?

Karla : Pardon, euh ... j'étais dans mes pensées.

Mari : Monsieur te demande si tu es d'accord avec lui sur le fait d'être strict et sévère vis-à-vis de sa chienne.

Karla : Je crois que oui si elle le mérite.

Luc : le problème c'est qu'elle est en chaleur et parfois je n'y vais pas de main morte ... mais je ne vais pas vous raconter ma vie.

Mari : cela ne me dérange pas. Revenez si vous voulez nous aurons ainsi l'occasion de parler plus longuement. Dans tous les cas je dois partir. Cela a été un plaisir de vous rencontrer.

Luc : Je vais y aller moi aussi.

Mari : Non finissez votre café et laissez-moi votre carte pour parler plus longuement. J'aimerai faire changer d'avis ma femme pour avoir un animal domestique à la maison.

Luc : Si vous voulez je reviendrai avec des photos pour vous montrer comme elle est belle.

Mari : Bonne idée, mais je me presse je vais être en retard. Bonne journée.

Karla est médusée. Traitée de chienne devant son mari sans qu'il s'en rende compte.

Elle le cul à même sa chaise de cuisine, les jambes grandes ouvertes laissant entrevoir la petite languette qui ressort de sa vulve alors que le haut de sa robe expose outrageusement ses nichons.

Jamais elle n'aurait pensé se laisser avilir ainsi pour un homme. Et pourtant elle le fait en toute lucidité, sans contrainte hormis la gêne d'accepter cela sans rechigner.

Luc se lève. Il n'aurait jamais cru cette entrevue aussi trépidante et comique.

Luc : alors grosse cochonne comment oses tu te foutre quasiment à poil devant un quasi inconnu à quelques centimètres de ton mari!

Karla : J'ai fait ce que tu demandais comme tu me l'as ordonné.

Luc : vouvoie moi salope! et lève-toi par ailleurs.

Karla se lève. Elle s'apprète instinctivement à remettre sa robe pour cacher son sexe. Mais Luc l'en interdit.

Luc : Qu'est-ce que c'est que cela?

Karla : ma toison qui repousse.

Luc : Je t'ai demandé d'avoir le minou lisse!!! J'ai bien fait de dire à ton mari que tu es une chienne un peu têtue. Et que fait-on pour que les chiennes comme toi soit obéissantes.

Karla : On les punit.

Luc : parle au présent et à la première personne ma salope! Et surtout soit plus claire, je ne vais pas te punir je vais utiliser cette belle tapette sur ton cul.

Karla : vous allez me fesser pour ne pas avoir le minou lisse ... Luc s'il te plaît

Luc : pas de jérémiade Karla. Quand on est une grosse cochonne que dis-je une belle truie comme toi il faut assumer son rang. Comme cela tu y penseras la prochaine fois.

Karla : Mais ...

Luc : STOP! Penche-toi, les mains en appui sur les rebords et les bras bien tendus. Maintenant écarte bien tes jambes pour que je vois tes trous tressaillir en même temps que ton cul va rougir. Tu vas apprécier les 20 claques. Et attention si tu lâches la table ou referme les jambes c'est 10 de plus

Karla vaincue se penche sur la table de cuisine. Pas le temps d'appréhender la punition que les premières taloches s'abattent sur ses fesses. Elle crie, a envie de lâcher la table mais 10 de plus c'est pas possible alors elle se dandine faisant balloter ses seins à droite puis à gauche.

Luc n'est pas tendre. La vingtième fessée admise, Karla a deux belles marques rouges qui ressortent de sa chair blanche.

Ca l'excite d'avoir cette quinquagénaire à ses ordres. Il imagine tant de possibilités, tant de jeux à mener avec elle.

Mais plutôt que de se projeter il préfère vivre dans le présent. Après lui avoir fait remarquer qu'avec cela elle risque de devoir faire attention quand elle s'assoira. Luc tire d'un coup le string fiché dans son con.

Karla émet un cri de surprise. Cri qu'étouffe rapidement Luc en lui fourrant dans la bouche sa culotte détrempée.

Les choses s'enchaînent rapidement sans laisser le temps à Karla de réagir ou d'anticiper. Mais au fond elle n'attend que cela, être brusquée, secouée.

Luc avec sa longue verge s'empale jusqu'à la garde dans le con de Karla.

Et il en ressort pour ne garder que son gland dans son fruit défendu, pour mieux s'empaler à nouveau d'un trait.

Et ses mouvements amples mais secs se succèdent.

Avec l'excitation d'avoir due s'exhiber, le string ne permet plus de contenir les râles de Karla. Elle va jouir dans quelques instants.

Luc le pressent et avec perversité se ressort laissant Karla aigrie de ne pas pouvoir jouir rapidement.

Luc tire les cheveux de Karla pour la forcer à rapprocher son oreille de la bouche de Luc.

Luc : je vais prendre ton cul comme je te l'ai promis. Ecarte bien tes fesses et détends toi!

Karla : Non pas par là?

Luc : Tais toi et détends ton petit œillet sinon tu vas avoir mal.

Karla reçoit une claque magistrale sur con cul déjà endolori. Elle a compris qu'elle va se faire sodomiser, qu'elle doit le faire pour garder son amant pervers.

Luc qui vient de se badigeonner le gland, force l'œillet de Karla. Elle n'est pas habituer cela se voit mais il ne faut que quelques secondes pour que la porte arrière de Karla s'ouvre.

Même si ce n'est pas douloureux, Karla n'est pas à l'aise. Elle se sent abjecte avec ce mandrin qui remonte son conduit.

Luc n'en n'a que faire et lui demande alors de se branler le con en même temps qu'il commence ses va et vient.

Elle sent montée l'excitation de Luc. Ces gestes sont virils puissants. C'est ce qu'elle aime en lui, qu'il prenne possession d'elle avec vigueur.

Il lui agrippe un sein pour mieux le pincer pendant qu'il s'empale toujours plus dans son fondement.

Une nouvelle fois Karla est surprise d'aimer une telle pénétration. Faut dire que ses doigts se démènent pour ne pas laisser la chatte exclue du plaisir?

Combiner à cette bite qui se secoue dans son conduit, Karla finit par exploser et s'écroule sur sa table de cuisine.

Mais Luc ne lui laisse que peu de répit. Il la force à s'allonger sur la table la tête pendant dans le vide.

Luc lui explique qu'ainsi positionner elle va pouvoir avaler sa longue tige jusqu'à la garde quitte à ce que cela lui titille la trachée.

Pas le temps d'imaginer la scene ou d'appréhender. Luc lui présente déjà sa queue. Il lui fait lécher pour la nettoyer. Mais très rapidement Luc veut plus. Il veut baiser la bouche de Karla sans ménagement.

Avec poigne, il agrippe ses cheveux et se branle dans sa bouche. Karla laisse échapper des bruits de succions bien malgré elle.

Elle a honte d'aimer être une quasi poupée serviable à souhait. Mais elle en aime les conséquences.

Luc : tous tes trous sont à moi et je m'en servirai comme bon m'en semble ma salope, d'accord?

Karla : Oui Luc.

Luc : Oui Monsieur . Vas y colle bien tes lèvres à ma tige fait bien ventouse pour que j'éjacule directement dans ta gorge!!! Vas y dis mois ce que tu es. Je veux entendre tous tes surnoms hauts et forts.

Karla : je suis ta salope, ta grosse cochonne ta truie , ta chienne soumise.

Ces échanges verbaux, ravive l'excitation de Karla.

Mais Karla ne voit pas ce que trame encore Luc.

Soudain, elle ressent une vive morsure au niveau du bas ventre. Puis une nouvelle à quelques centimètres de sa fente. Elle se contorsionne pour voir malgré la bite de Luc dans sa bouche ce qui se passe.

Luc s'amuse à lui verser de la cire chaude à partir de la bougie qu'il a allumée dans son dos.

Certes la brulure n'est pas violente mais elle semble augmenter avant de s'atténuer une trentaine de secondes plus tard.

Luc lui dit que la cire tombera tant qu'elle ne l'aura pas fait éjaculée dans sa bouche de cochonne.

Au moment de finir la phrase une goutte de cire vient de s'écraser sur les lèvres joufflues du con de Karla.

Malgré le bâillon que représente la queue de Luc, Karla mugit ; et ce met à furieusement astiquer avec sa bouche le membre viril de Luc.

Luc : C'est bien roulure. Maintenant tu vas pouvoir t'appliquer à bien avaler et à n'oublie pas lécher les restes.

Karla : Hum, Hum , Hum

Luc : on ne parle pas la bouche pleine. Aller pompe ma salope.

Karla : Hum, Hum , Hum

Luc : Voila ta ration va venir ma petite chienne.

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