Les Amours de Sylvie

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A cette epoque je vivais en celibataire dans une petite ville du Sud ou les distractions etaient rares et donc l'essentiel des distractions etaient les parties entre amis et..le sexe! En ce temps benis ou le Sida n'etait meme pas une lointaine menace, il faut dire qu'on s'en donnait a "coeur" joie!

Les couples se faisaient et se defaisaient avec le plus grand naturel et j'en garde mes meilleurs souvenirs!

L'un ou plutot l'une d'entre elles s'appelait Sylvie, une francaise de 24 ans au regard et a la demarche charges de sensualite et qui attirait ainsi au moins autant que par ses formes, classiques, ni mince, ni potelee..

Les circonstances et la langue aidant, nous devinmes vite amis et encore plus vite "fucking pals!" C'etait une partenaire plus qu'agreable, un melange de pudeur naturelle mais aussi une attitude tres directe au sexe! Elle adorait baiser, avait eu beaucoup d'amants depuis ses 17 ans et ne regrettait rien, s'offrant volontiers des qu'elle sentait a la fois de l'attirance physique et du respect mutuel! Bref, une perle rare!

Elle me disait que baiser et jouir la rassurait et lui faisait oublier le manque d'estime que certains s'etaient acharnes a lui inculquer dans son enfance. Jouir pour elle etait une sorte de "victoire" et de revanche et ma foi, pourquoi la priver?

J'aimais bien son corps, souple et lascif, ses seins ni trop gros ni trop petits, bien galbes tenant merveilleusement dans la paume, aux areoles a peines marquees et aux tetons ultra sensibles! En les caressant avec sensualite, en melangeant caresses et baisers, on la faisait rapidement frissonner et onduler, signe de la montee de ses desirs. Laisser glisser une main vers son sexe rencontrait alors une toison courte et drue comme de l'astrakhan mais de couleur chatain clair avec des reflets dores, declenchant un sursaut de son bassin.

Encore un peu et on arrivait a un clitoris deja dur qui roulait delicieusement sous les doigts, declenchant un gemissement d' approbation ; et enfin entre deux levres gorgees, une chatte delicieusement humide et parfumee ou mes doigts etaient quasiment aspires. Alors je commencais a la besogner, ecoutant son souffle et suivant ses mouvements pour trouver un rythme a la fois circulaire et d'avant en arriere. Ses gemissements haletants commencaient rapidement a s'accelerer et son vagin se dilater avant d'exploser dans une fontaine de jouissance et un long rale. Parfois elle jouissait en saccades decroissantes en intensite apres avoir aggrippe mon poignet de ses deux mains et m'imposant son propre rythme saccade, se masturbant par mon intermediaire et c'etait un plaisir de la faire durer, accompagnant sa descente de son septieme ciel.

A ce moment, c'etait souvent l'occasion de me glisser jusqu'a sa chatte et me regaler a lui faire subir tout ce qu'une langue peut faire passer de sensations, une sorte de discours muet et qui etait apprecie, croyez moi!

Tout y passait,entre lui lecher chaque recoin avec sensualite ou vigueur, faisant rouler son clitoris entre ma langue et mes levres, le sucant jusqu'a l'epuisement, enfoncant ma langue au plus loin de cet abime mysterieux d'ou jaillissaient parfois des bouffees de sucs parfumes, le plus loin possible regrettant que notre Createur ne nous ait pas dote d'une langue plus longue de quelques centimetres car on sentait ses appels pour aller plus loin, me maintenant entre l'enclume de ses mains sur ma tete et le marteau des coups de boutoir de ses reins. Parfois, ma perseverance se transformait presque en un rodeo sauvage ou elle s'avouait finalement vaincue dans un cri ou un rale, n'inondant le visage de ses sucs, un regal!

La, en general, c'est elle qui me faisait glisser sur elle, soit me saisissant pour m'enfoncer en elle soit me laissant coulisser et la penetrer presque sans effort.

Et nous commencions a baiser comme une danse ou chacun menait le bal, chacun a son tour.

Avec une aussi bonne " baiseuse" j'avais appris a me retenir, ralentissant ou stoppant la montee de mon plaisir considerant que chaque orgasme que je lui faisais subir ne ferait qu'augmenter le mien.

Dans nos danses, j'explorais toutes les possibilites, ondulant en elle, parfois la martelant de coups rapides pour la surprendre, la dressant a s'exprimer sans entraves. Au final, c'est souvent elle qui declenchait le summum, croisant ses jambes sur mes reins et me martelant de ses pieds croises et en meme temps m'enfoncant ses doigts sur mes fesses ou mes reins, me donnant en quelque sorte le "la" du rythme qui l'excitait! Nos jouissances etaient de veritables explosions me laissant dans des eblouissements successifs, aneantissant dans mes decharges deseperees toute sentation de mon corps avant de nous laisser, haletants comme echoues sur une plage rejetes par une tempete titanesque et reprenant lentement conscience de mos membres.

On pouvait rester assez longtemps enlaces sans dire un mot avant de parler de nos experiences et sensations comme si apres l'epuisement physique, on continuait de baiser en paroles.

Sans jamais etre vulgaire, elle abordait tous les sujets sans complexes, a la fois tres chaste et tres sensuelle.Elle adorait me sucer egalement et je dois dire que c'etait un veritable regal ; elle reussissait a me faire rebander car elle me disait qu'en sucant, elle faisait faire a ses levres, sa bouche et sa langue ce qu'elle aimerait que sa chatte puisse faire quoique la encore elle arrivait a contracter a volonte ses muscles pour, comme elle me le disait en riant " aspirer ta bitte au fond de moi. Elle y est si bien que j'aimerais parfois la garder!"

Elle avait eu une mauvaise experience anale, defloree par un amant egoiste qui l'avait longtemps "braquee" contre cette position. Avec beaucoup de patience, je lui fis sinon apprecier du moins accepter quelques enculages. Elle finit par y trouver gout, quoique estimant que dans une orgie, a la limite..pour augmenter la sensation physique et surtout l'idee de la penetration et du desir.

On en resta donc la pour l'instant et les semaines passerent. Elle savait que j'avais des aventures avec d'autres filles ( mais aucune ne baisait aussi bien, je dois l'avouer ) et je lui laissais egalement sa liberte.

Un jour elle me confia qu'un Canadien du nom de Jay avait commence a la draguer et qu'elle le trouvait assez excitant...Comprenant l'allusion, je lui dit qu'elle etait libre et au bout de quelque temps ou nos relations s'etaient espacees, elle m'invita en me prevenant qu'elle voulait me le presenter, estimant qu'on s'entendrait certainement.

On se retrouva donc tous les trois chez elle en debut de soiree et l'ambiance de detendue et un peu superficielle se rechauffa imperceptiblement ; on se partageait donc la meme fille et celle ci loin de vouloir nous opposer semblait aussi sensuelle envers chacun de nous.

Finalement nous sentant acquis a l'idee de l'"honorer" comme elle le meritait ( on s'etait decouvert un point commun : la passion de la faire jouir autant que possible, elle s'eclipsa pour une douche rapide et revint vetue d'une robe berbere en coton tres large mais avec une large echancrure qui dissimulait a peine sa poitrine.

elle se lova sur le canape entre nous apres avoir tamise les lumieres, ne laissant que quelques bougies reparties dans les coins et se laissa embrasser avec un long soupir par moi.

Je la sentis fremir et se cabrer et du coin de l'oeil je vis que prenant appui sur ses jambes largement ecartees, elle offrait son ventre impudiquement a Jay qui en profitait pour la penetrer avec 4 doigts d'une main, carressant son clitoris de son pouce. En un clin d'oeil, nous etions nus et commenca une nuit merveilleuse ou nous baisames chacun a son tour ; pas encore tres surs l'un de l'autre, nous la baisames en succession, l'un officiant pendant que l'autre soit la caressait ( ses seins etaient un poeme par eux memes ) soit la regardait car avec une fille pareille, meme le spectacle de ses exploits etait excitant. Des que l'un d'entre nous jouissait, on se delectait des sons qui exprimaient ses sensations, ses petits cris de surprise devant une approche inattendue des rales profonds de satisfaction, des cris rauques d'extase parfois en secouant la tete de droite a gauche comme en signe d'incredulite ecartant les bras en signe d'offrande et projetant son bassin en avant, Il lui arrivait egalement de "pedaler", excitant ainsi son clitoris contre le ventre dur de celui qui la penetrait et souvent d'aggripper nos fesses de toutes ses forces avec ses doigts, offrant son bassin dans un veritable rugissement!

La nuit se passa ainsi, une longue nuit de delices, dans la lumiere tremblotante des bougies une musique sensuelle en sourdine dont des echos nous parvenaient parfois, rythmee par nos haletements meles Donc a peine l'un de nous avait joui en elle dans des coups de butoir ou des mouvements lascifs, qu'il cedait la place au second pour ne pas laisser l'excitation retomber. Sentir en la penetrant sans effort son vagin doux et chaud rempli de la semence du second etait une puissance motivation de male de tenter de la seduire en la poussant encore plus haut dans l'extase! On la sentait, refugiee dans un monde sensuel et secret de sexe brut, une veritable "femelle en chaleur" mais sans la moindre connotation pejorative, une face cachee et bien agreable de sa feminite...

Je me souviens que s'etant empalee en lui tournant le dos sur Jay, se maintenant sur ses bras poses sur ses epaules pendant que lui lui carressait le dos, elle se baisait d'un mouvement regulier d'avant en arriere, les jambes ecartees et repliees, offrant son sexe a mon regard ; m'agenouillant a son cote, je glissai un index dans sa chatte me faufilant le long du sexe de Jay qui se durcit imperceptiblement.Je commencais a la branler furieusement de l'interieur tout en massant son mont de Venus de ma paume.L'enlacant de mon bras restant et flattant son sein le plus proche de ma main, je lui imprimai un mouvement l'enfoncant plus encore sur son pal maintenant excite.Jay s'empara de ses hanches et nous la baisames a un rythme dementiel pendant que je l'embrassais sur la bouche passionement, transformant ses haletements crescendo en un baiser desespere : nous fumes vite recompenses par un flot de jouissance, melange de celle de Jay et de la sienne que je sentais jaillir des pulsations de son vagin en folie et de la bitte de son amant, Ses cris se transformerent en une sorte de suite de sanglots ; elle s'affala entre nous deux, nous embrassant a tour de role un peu au hasard, resserrant ses cuisses en les frottant l'une contre l'autre..

Apres avoir repris notre souffle, elle nous dit d'une petite voix :" c'etait merveilleux mais je demande une pause pour calmer ma chatte, ses parois sont irritees et hyper sensibles a force de baise et je ne voudrais pas vous confondre avec de la souffrance " Aussitot dit, aussitot fait ; nous la couvrimes de sa tunique pour la rassurer et la gardant serree et pelotonnee entre nous, nous parlames de sexe. d'experiences passees avec d'autres eveillant sa curiosite. Meme sa facon de nous questionner etait a la fois directe et denuee de vulgarite. Cela dura longtemps jusqu'a ce que notre patience soit recompensee par son initiative de reprendre les festivites mais avec moins de vigueur et plus de lascivite.

Apres l'avoir encore honoree doucement, Jay nous quitta en l'embrassant et nous acceuillimes l'aube avec une derniere passe d "armes" presqu'au ralenti. Elle avait les seins doux et gonfles, une peau comme du satin et qui tressaillait a chaque caresse. Elle jouit une derniere fois comme dans un long rale, deja a demi endormie, refugiee dans un monde de plenitude.

Je m'habillais en vitesse pour partir travailler, la couvrit d'une couverture en l'embrassant dans l'oreile et sur le front et partis. Dans le courant de la journee, lui telephonant pour rester en "contact", son telephone resta debranche et apres le boulot, je filai lui rendre visite. Elle m'ouvrit, les yeux brillants, vetue de sa robe berbere et m'enlaca :" Jay est revenu dans la matinee ; vous voulez me faire mourir de plaisir et d'epuisement? " Nous nous douchames ensemble pour se reposer car Jay nous invitait a passer chez lui en debut de soiree.Arrives vers 9 heures, nous parlames de banalites en buvant des cocktails et en ecoutant de la musique soft ; Les choses etaient evidentes et personne ne semblait presse de continuer nos relations de la veille.Finalement, Sylvie prit les choses en mains en nous addressant :"Dites, vous avez honte de notre nuit passee? Ou vous etes soudain devenus pudiques? " Ca eut l'effet de briser la glace et de detendre la gene ; on se lova contre elle chacun de son cote et on commenca a la caresser, d'abord chacun pour soi, puis on commenca a cooperer de plus en plus, nous comprenant sans paroles.Elle soupira de plaisir et nous murmura " Je vous aime bien tous les deux mais j'aimerai bien vous sentir...

ensemble, que je recoive mon plaisir de vos desirs meles, pas separes J'ai beaucoup apprecie votre "concours" mais je crois que j'apprecierai encore plus votre "unisson " On lui demanda si elle etait prete a etre prise en "sandwich", elle sourit et aquiesca.Des lors les choses s'accelererent et on se retrouva vite nus sur le lit, dans un match de caresses et de baisers parfois s'occupant chacun d'un de ses seins ou la besognant delicatement de nos doigts meles.

Jay commenca a la masser avec un lubrifiant et on commenca a exciter ses fesses et son anus, Je posai l'extremite de mon sexe sur son orifice et commencai a appuyer legerement pour lui faire sentir mon desir de la penetrer ; elle me repondit et nous commencames une sorte de danse ou, millimetre apres millimetre je l'apprivoisai et me frayai un chemin tres lentement : elle gemissait a l'idee d'anticipation a la fois de la douleur de l'intrusion ainsi qu'au desir evident de me sentir en elle.Finalement, elle projeta ses fesses en arriere, me faisant la penetrer jusqu'au gland ; de plaisir mon sexe se durcit et je finis de la penetrer en douceur me retenant pour ne pas me ruer au fond d'elle et a la baiser furieusement! Elle se tremoussa pour me sentir bien en elle tandis que Jay la prenait de face au milieu de ses " ooohhhhh..." extasies. Je le sentis la penetrer egalement en douceur et marquer une pause.

On se concerta du regard avant de nous mettre d'accord sur un rythme lent, regulier et alterne Elle se laissait faire, goutant chaque instant et se mit a reagir au gre de ses sensations.

On se mit a la "defoncer" ensemble a grands coups de butoir pendant qu'elle nous encourageait de la voix en chuchotant :"Ouiii! c'est bon! plus fort,,,Aaaahhhh, allez y, prenez moi!" On lui petrissait sa poitrine, son mont de Venus et Jay l'embrassait furieusement et tres vite on la sentit couler entre mes doigts dans un feulement de lionne blessee...Une fois calmee, on lui demanda si elle avait aime ( question superflue! ) et on la prevint qu'a chacun de ses orgasmes on changerait de position. Son aquiescement fut un long gemissement d'approbation anticipee et on continua par toutes les variations en permutant nos roles pour avoir le plaisir de la repenetrer a chaque fois. Couchee, a genoux, etendue sur l'un de nous, debout entre nous ( en fait maintenue en l'air uniquement sur nos sexes - elle adora visiblement ) on explorait chaque fois ses reactions pour la guider au plaisir. Elle se transformait lentement en "femelle en rut" nous utilisant pour son plaisir. Elle gardait les yeux fermes pour jouir, des jouissances profondes parfois des frissons silencieux, parfois des gemissements rythmes se transformant en grondements. Un veritable festival ou on se retint un maximum, Jay et moi pour faire durer le plus longtemps le spectacle. Finalement apres un orgasme particulierement mouvemente, il fut impossible de se retenir et nous jouimes en succession rapide avec de veritables eblouissements recompenses par ses rales rythmes sur nos coups de boutoir. Epuises, on la quitta a regret pour s'effondrer a ses cotes. Luisante et essouflee, elle resta, impudiquement offerte aux regards, soulevant lentement son bassin au rythme de ses dernieres bulles de plaisir.Elle nous caressa avec gratitude et feuilleta la revue porno qui avait servi de catalogue pour nos ebats. Elle s'arreta devant la photo en gros plan d'une chatte penetree par deux sexes : "Waw! On l'a pas faite, celle la! Ca vous dit d'essayer?" Epuises comme on l'etait, difficile de remettre le couvert aussi vite! Mais elle avait plus d'un tour dans son sac!

Elle nous parla alors de son adolescence dans un pensionnat et de sa copine d'alors, Diane qui la rejoignait la nuit pour se caresser et se masturber. Tout en parlant, elle commenca a se masturber avec sensualite enfoncant plusieurs doigts de sa main gauche dans sa chatte encore gorgee de sucs et se caressant le clitoris avec les doigts et la paume de son autre main...

le tout en nous decrivant les caresses et les conversations de cette epoque avec leurs esperances d'extases sexuelles avec leurs futurs amants. C'etait extremenent precis ingenu sans etre obscene et terriblement excitant! Elle commencait a onduler en gemissant sous ses propres caresses et en nous toisant du coin de l'oeil quand emportee par ses caresses, elle ferma les yeux en continuant a monologuer, rythmant ses paroles a sa respiration de plus en plus rapide! Elle jouit avec un long rale en projetant son bassin en offrande et en voyant sa chatte briller de ses sucs, on ne put plus se retenir : je la fis rouler sur le cote avant de la ramener sur mon sexe dresse tandis que Jay lui ecartait les cuisses en se positionnant devant elle ; C'etait a qui la possederait en priorite, je fus le premier a penetrer ce con affame et merveilleusement lubrifie. Je m'enfoncais a fond avant de me retirer a moitie pour attendre Jay qui posa son gland le long de ma bitte prit son elan et se guidant de la main la forca sans menagements.Elle rugit de douleur ou de jubilation je ne sais pas et unis par un desir sauvage nous nous mimes a la marteler sauvagement de plus en plus ensemble.Elle griffait les fesses de Jay tandis qu'on renforcait notre etau petrissant ses seins et l'embrassant sauvagement.Tres vite elle s'abandonna aux sensations que lui procurait cet enorme sexe en rut, criant en sourdine a chaque coup de boutoir.

En quelques dizaines de poussees on explosa quasi ensemble dans un veritable feu d'artifice la remplissant en entier de nos semences melees nous agrippant a elle pour nous projeter le plus loin possible, vides, epuises, on ne voulait pas la quitter et on attendit que nos sexes perdent leur rigidite ; alors elle se laissa basculer sur le lit devaste, s'enfonca lentement un doigt dans le vagin, le ressortit luisant et le suca avec delices avant de recommencer et de nous offrir la meme offrande en nous disant :" nos trois sucs meles, un veritable cocktail d'amour!" Le fait est qu'elle n'avait pas tort! cette fille aurait epuise un bataillon et le fait etait que meme rassasiee de sexe, les moments apres l'amour etaient aussi fort agreables car elle etait totalement naturelle sans etre impudique ou obscene, un melange de debutante un peu fleur bleue et de complice sans complexes...posant des questions tres naturellement sur des aspects tres precis de la sexualite masculine et repondant sans gene a nos questions...La double penetration avait ete un des ses fantasmes les plus pressants et notre "prestation" l'avait comblee dans tous les sens...

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