L'entrevue

BÊTA PUBLIQUE

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Je confirme que c'est mieux que bon, c'est divin. C'est un peu étrange de l'entendre ainsi parler de la chatte de ma copine comme si c'était un être à part. Il s'apprête à commenter d'avantage quand Aurélie se met à pleurer.

Il faut relativiser, elle n'est certes pas en crise hystérique mais ses yeux sont quand même perlés de larmes et elle sanglote un peu.

"Eh merde." Débute Matteo. "Écoute, je pensais pas que tu le prendrais si mal, je m'excuse, vraiment."

Matteo cherche déjà à l'aider à remonter son pantalon. Je me lève, prêt à me diriger vers elle, pour quitter l'entrevue. Je me sens comme le dernier des salopards de laisser faire ça à la femme que j'aime. Fini la porno, on dirait bien.

Aurélie pose une main sur le bras de Matteo et l'arrête. Elle me regarde et secoue la tête. "Non, non, c'est bon, j'ai juste mal réagi. Je m'excuse, je ne voulais pas vous indisposer. Je suis simplement un peu mal à l'aise."

"Non... oh non, non." Répond Étienne. "Surtout pas. Ne soit pas gênée, tu es tellement belle! Tu est si gentille et généreuse de nous laisser regarder l'intimité de ton corps comme ça S'il te plait, sois à l'aise ma belle."

Aurélie se calme de nouveau, elle prend une longue respiration, essuie ses yeux et rit nerveusement. "Ça va, je vais y arriver."

Étienne lui retourne son sourire et pose gentiment les mains sur ses bras et les caresse affectueusement pour la rassurer. "Bien. Reprenons doucement alors. Est-ce que tu me permets de te toucher la chatte?"

Balaise le gars. C'est évident que ce n'est pas la première future actrice en crise qu'il rencontre.

Aurélie hésite quelques secondes mais finit par hocher timidement de la tête, toujours armée de son sourire discret. Étienne la remercie du regard et porte la main droite à la vulve d'Aurélie. Au premier contact, elle sursaute légèrement et rit un peu nerveusement. Il lui caresse d'abord la touffe, tendrement au début mais un peu plus vigoureusement par la suite. Je me demande ce qu'il cherche à faire. On parle quand même d'une entrevue et pas d'un tournage mais qui suis-je pour savoir comme on interview une candidate pour un porno? Je me rassois et j'apprécie le spectacle.

Quand il voit qu'elle semble s'habituer au contact de sa main, Étienne s'approche et porte sa bouche aux lèvres d'Aurélie. Elle est visiblement surprise mais ne le repousse pas. Je qualifierais par contre ce premier baiser d'hésitant, un peu artificiel. Que cela ne tienne, il persiste et l'embrasse encore et encore. Chaque fois, la bouche d'Aurélie s'ouvre un peu plus et elle l'accueille un peu plus chaleureusement. La main d'Étienne ne se contente plus de caresser le poil de la chatte de ma copine, il s'amuse maintenant à stimuler son clitoris à l'aide de son index et son pouce. Aurélie soupire doucement et se laisse faire. Je suis d'ailleurs surpris de voir que c'est elle même qui prend finalement l'initiative de sortir la langue et de lui donner un baiser vraiment long et profond. J'avoue que là, je ressens un brin de jalousie.

C'est donc ce moment qu'Étienne choisit pour enfoncer deux doigts profondément dans son doux vagin. Malgré le baiser langoureux qui l'occupe, Aurélie ouvre un peu plus la bouche et laisse échapper une timide lamentation de plaisir pendant qu'Étienne explore l'intérieur de son sexe. Matteo observe la scène en silence, il est clairement intéressé mais il ne semble pas aussi excité que j'aurais pu l'imaginer. J'imagine que ce n'est pas la première fois qu'il voit son patron masturber une jolie fille. Moi par contre, je suis déchaîné. Mon coté voyeur est encore plus intense que je l'imaginais, voir mon amoureuse se faire toucher ainsi me donne très chaud.

Les lamentations d'Aurélie se multiplient. Clairement, ce mec sait comment toucher une femme. Quand il voit qu'elle devient un peu trop chaude, il retire sa main et arrête complètement. Aurélie revient subitement à elle, déçue. Elle me regarde mais ne dit rien.

"Tu vois, c'est facile quand on se laisse aller. Maintenant on reprend l'entrevue. Couches toi sur le futon à coté du siège qu'occupe ton mec, on reprend la discussion."

Aurélie s'exécute lentement. Elle commence à remonter son pantalon quand Étienne l'arrête. "Non, non. Tu l'enlèves complètement. La chatte à l'air. Être nue, c'est une habitude que tu dois prendre." Aurélie sourit et retire son pantalon, le seul morceau de vêtement qui couvre toujours son corps est sa veste. "Couches toi sur le coté et écarte tes jambes, je veux une vue complète sur ta belle chatte pendant qu'on continue."

Ma jolie copine passe à coté de moi et arrête juste une seconde pour me donner un baiser en passant sa main furtivement sur mon entrejambe. En sentant à quel point je suis dur, elle me sourit tendrement et approche sa bouche de mon oreille. "Je t'aime, j'ai tellement le gout que tu me baises, mon amour." Me dit-elle en donnant un petit coup de langue discret dans le lobe de mon oreille. Le toucher de sa main et de sa langue m'envoie de l'électricité dans tout le corps, je dois me concentrer pour ne pas me ruer sur elle et la pénétrer sur le champ. Enfin, elle se couche comme on lui a demandé et s'installe confortablement le dos contre un gros coussin pour être mi-assise. De cette façon, elle peut encore bien regarder son interlocuteur. Aurélie écarte largement ses jambes et nous offre le spectacle demandé, une vue exemplaire de sa vulve excitante.

"Dis-moi, la belle." Débute Étienne. "Avant de décider que tu voulais offrir ton corps aux caméras, qu'est ce que tu fais dans la vie?"

"Je suis technicienne dans un laboratoire. Je fais un métier que ne me déplait pas mais qui ne me passionne pas beaucoup. Je ne compte pas arrêter; la porno c'est un désir personnel, pas un besoin d'argent."

"Ah bon?" S'interroge Étienne. "Qu'est-ce qui te motive à essayer dans la porno?"

Le visage d'Aurélie s'assombrit un moment. "J'ai vécu une expérience sur un plateau de tournage porno et je pense que ça a changé ma vie. Depuis ce moment, je sens que j'ai perdu le contrôle sur quelque chose et je veux le retrouver."

"Raconte?"

"Eh bien ça s'est passé il y a environ un an. Une amie m'avait dit qu'elle connaissait quelqu'un qui connaissait quelqu'un d'autre... enfin, l'histoire foireuse classique. En gros, on cherchait une jolie brunette pour 'assister un acteur' sur un plateau. Pas de caméra, pas de baise, juste du hors-scène inoffensif pour une jolie petite somme."

C'est rare pour Aurélie, d'un habituel taciturne de jaser autant et si librement. Le jeu de main d'Étienne l'a vraiment relaxée.

"Le studio était paumé et essayait d'engager un acteur connu pour se donner de la pub et de la visibilité mais ils n'avaient pas les moyens de le payer. Le mec a apprécié leur initiative et a voulu leur donner un coup de main et a jeté à la blague que s'ils lui amenaient une jolie petite brunette bien douce et bien soumise, il ferait la scène pour un salaire dérisoire. Le truc c'est qu'eux l'ont pris au sérieux et c'est là que j'interviens. Je crois que l'acteur ne s'est même pas aperçu que j'étais dans la pièce quand on m'a dit de m'asseoir et d'attendre. Au signal, je devais me lever et aller m'étendre sur le lit et me faire belle pour son plaisir. On me disait que l'acteur allait me regarder, peut-être me toucher et au pire, me manger la chatte si je lui plaisais vraiment. Lui, il devait seulement se masturber et me venir dessus ou quelque chose du genre. Du point de vue d'une fille pas du tout habituée à ce genre de choses, c'est dégoutant, mais je voulais faire bonne figure alors j'ai mis le paquet et je me suis trémoussée comme si ma vie en dépendait."

Je revois la scène en tête, l'angoisse de l'avoir vue se coucher sur le lit de vivre ce qui devait suivre. D'ailleurs, le petit roulement de hanches qu'elle faisait à ce moment, elle le fait encore pendant qu'elle nous raconte l'histoire. C'est inconscient je sais, rien de plus qu'un tic nerveux mais ça fait onduler sa chatte d'une façon qui rend dingue. On dirait une belle fleur au vent qui ne demande qu'à être cueillie.

"Et j'assume que ça ne c'est pas aussi bien passé?" Questionne Étienne.

"Non, pas du tout comme ça. L'acteur était très, très fâché parce qu'on venait de lui annoncer qu'il ne serait pas payé vu la "compensation" qui l'attendait. En plus, sa partenaire de scène était nulle et il ne la trouvait pas belle du tout. Selon lui, non seulement il avait quasiment fait du bénévolat, il s'était enmerdé avec une fille désagréable. Les mecs du studio lui ont alors dit qu'il pouvait passer sa colère sur moi, j'étais là pour ça, j'étais son "salaire". C'est là qu'il a compris que sa blague avait été prise au sérieux. Je pense qu'il était aussi surpris que moi. Initialement, je devais être là pour qu'il s'amuse un peu mais il a plutôt assumé que je faisais partie de l'équipe des gens qui ne voulaient pas le payer et qui l'avait fait tourner avec cette fille nulle. Une coupable parmi les coupables, sauf que moi j'étais couchée devant lui, la chatte offerte, la victime facile."

"Oh merde. C'est vraiment pas cool ça. Il t'a frappée?" Demanda Matteo.

Aurélie eut momentanément l'air choquée. "Frappée? Non, heureusement pas! Par contre, il était frustré et puisque je n'ai rien dit pour lui expliquer que je n'étais pas avec eux, il s'est donné à coeur joie et m'a vraiment sauvagement démoli la chatte pendant un gros dix minutes avant de jouir et de me laisser sur le lit pour s'en aller."

"Comment as tu réagi?" Étienne semblait véritablement fasciné par son histoire.

"Au début, j'étais horrifiée, je n'étais même pas certaine d'avoir compris ce qui venait de se passer. C'était tellement brutal, il m'a prise vraiment subitement. Puis, à mesure que les minutes se mirent à passer, je me suis mise à revoir la scène dans ma tête et je pense que j'en ai retiré un certain plaisir. La seule chose qui me blesse c'est que je n'ai eu aucun contrôle sur ce qui s'est passé. C'était à la fois génial de se sentir aussi violemment désirée par un étranger mais j'aurais aimé choisir un peu mieux les termes du jeu." Aurélie me regarda et m'offrit un autre de ses sourires amoureux. Elle pointa un doigt dans ma direction. "Il était là, à réparer un ordinateur, c'est la première fois qu'il me voyait, et pour voir, il a vraiment tout vu, mon pauvre chéri. Même si au premier regard, il était déjà follement amoureux de moi, il m'a regardé en train de me faire dominer par un autre homme mais ça ne l'a pas arrêté, il est venu me parler et c'est comme ça que ça à commencé entre nous."

"C'est... pas ordinaire comme début." Blagua Matteo, le sourire aux lèvres. Étienne demeurait silencieux, les yeux ardemment rivés sur la chatte d'Aurélie.

"Je sais. Et étrangement, c'est à travers notre relation florissante que j'ai compris que c'est une des choses qui m'excitait le plus, le fait de me sentir désirée par un observateur, un voyeur. Je veux revivre cette expérience. Je veux voir mon copain perdre ses moyens en voyant un autre pénis que le sien dans ma chatte et je veux me plaire à imaginer des voyeurs de partout en train de me désirer, d'avoir tellement le gout de me baiser eux aussi."

Quelle salope. Je l'adore. C'est clairement la femme de ma vie.

Étienne se lève et se dirige vers Aurélie. Elle ne semble plus du tout gênée d'être à demi nue devant lui, elle sourit simplement.

"Je pense que tu vas aimer le fétichisme, ma belle."

Comprenant que son entrevue est finalement réussie, Aurélie se met à briller d'un sourire éclatant! Elle me regarde et semble folle de joie! Je suis vraiment content pour elle. J'ai de la difficulté à y croire. Ma belle petite copine douce et délicate qui va se faire foutre à poil et baiser devant une caméra. Je sens que je vais bien m'amuser!

Étienne continue de s'approcher d'Aurélie. Il glisse sa main dans son pantalon et en sort son pénis bien en érection.

Alors celle-là, je peux dire que je l'ai vue arriver, mais en juger le regard complètement abasourdi d'Aurélie, pas elle.

"Mais je pense que le fétichisme va t'aimer encore plus." Ajoute Étienne avant de se placer devant elle en lui prenant les cuisses pour bien écarter ses jambes.

"Mais...Qu'est-ce que vous faites?" Demande Aurélie, trop surprise pour réagir autrement.

Je retiens mon souffle, j'ai à peine le temps de la regarder de nouveau, d'observer ses jolies lèvres vaginales encore un peu luisantes, à peine quelques minutes après avoir été si torridement caressées.

"Attendez! Aaahh!" C'est au son de cette dernière lamentation d'Aurélie qu'Étienne insère son pénis au plus profond de sa douce chatte.

Aurélie ne le repousse pas. Étienne se met donc à la baiser vigoureusement. Rien à voir avec le géant qui l'avait brutalisée sur l'autre plateau mais quand même, plutôt inattendu. Il m'était cruellement évident que ce mec voulait se faire ma copine depuis le moment qu'il lui avait tripoté les têtons. Ses jolis seins suivent le mouvement de va et vient, à peine restreint par la veste de velours qui les cache encore de notre regard.

"Allez ma jolie. Tu viens de me dire que tu fantasme sur ça, de regarder ton homme baver d'envie pendant que tu te fais baiser par un autre. T'as qu'a dire que c'est pas ce que tu veux et j'arrête, mais je pense que tu vas vouloir que ça continue."

Aurélie hoche de la tête. "Oh oui, oh oui, je veux que ça continue, s'il te plaît, je veux que ça continuuuuue!"

Je vais exploser.

Matteo est assis dans son coin et observe avec intérêt mais reste tout de même passif. Pour le moment, Étienne n'est pas spécialement original dans sa technique; pas de changement de position, Aurélie est toujours mi-assise, un peu de coté, une jambe dans les airs tenue par son nouveau patron. Il a d'ailleurs ralenti la cadence et s'en tient à un rythme soutenu mais raisonnable. Que cela ne tienne, Aurélie est tellement excitée par tout ce qui s'est passé depuis notre arrivée que c'est comme si une soupape s'était enfin dégagée, la vapeur sort et la belle éprouve de plus en plus de plaisir.

J'observe attentivement le mouvement que fait le pénis d'Étienne dans la vulve de ma copine, c'est presque envoutant de voir ce cylindre rose s'activer encore et toujours, allant à la limite ou son gland sort presque du vagin d'Aurélie, jusqu'au point ou le bas de son abdomen va écraser sa jolie touffe. C'est quelque chose que j'ai moi même fait d'innombrables fois mais le voir de cet angle est simplement euphorique.

Étienne continue quelques minutes, pas trop longtemps avant s'extraire du vagin de la belle. "Allez mon vieux," lance-t'il à Matteo, "elle est vraiment chaude, on sera pas trop de deux."

Deux gars sur ma femme. Pourquoi pas.

Aurélie regarde, silencieuse. Elle est un peu haletante, le visage rougi par l'excitation et l'effort. Ses jambes sont toujours bien écartées, sa chatte bien en vue à mesure qu'elle observe Matteo retirer son pantalon et présenter un organe proportionnel au reste de son corps. Ce dernier s'approche et tout comme Étienne avant lui, s'insère dans le vagin de ma jolie copine.

Aurélie pousse un autre long gémissement mais celui-ci ne dure pas puisqu'Étienne s'est placé à coté de sa tête et lui présente son pénis, toujours aussi rigide. La belle se tait, elle hésite, incertaine de savoir comment s'y prendre. Elle sort d'abord sa petite langue et s'en sert pour doucement caresser le gland qui lui est présenté. C'est superficiel et discret comme geste mais je peux voir qu'Étienne apprécie beaucoup. Il semble lutter contre l'envie de la prendre à deux mains et de lui enfoncer son membre jusque dans la gorge.

De mon coté, je ne tiens plus en place. D'emblée, Aurélie m'est incroyablement belle, mais de la voir ainsi, sa jolie bouche à la découverte de ce plaisir, c'est trop pour moi. C'est vulgaire, c'est révoltant, c'est absolument merveilleux. Elle s'approche du pénis d'Étienne et lui donne quelques petits bisous gênés sur le gland, sa petite langue revenant de temps à autre pour une petite lichette aguichante. Elle semble avoir de la difficulté à coordonner ses mouvements, tout son corps entrainé par le mouvement de va et vient causé par Matteo qui explore profondément sa chatte.

Aurélie se résoud donc à simplement ouvrir sa bouche et laisser le pénis d'Étienne s'y engouffrer longuement. L'homme pousse un long soupir de satisfaction et place ses mains derrière la tête de la belle pour diriger la fellation profonde qu'elle lui offre. Du coté de la pénétration vaginale, Matteo y met largement plus de vigueur qu'Étienne mais c'est clair qu'il ne fait aucun mal à ma copine, elle se laisse complètement faire, elle est relax et elle déguste le moment. Je regarde la scène avec une excitation qui me fait presque mal.

Le mouvement de pénétration répété fini par libérer un de ses seins qui sort de la veste et continue sa petite danse sans se cacher. Comme s'il se rappelait soudainement de leur existence, Étienne en profite pour tendre une main et tripoter vigoureusement la poitrine d'Aurélie, parfois le sein nu, parfois l'autre resté caché sous le velours. Quand l'envie lui en prend, il ne se gêne surtout pas pour lui tordre et lui pincer ses jolis mamelons. Un autre long cinq minutes s'étire, malgré le pénis qui remplit sa bouche, Aurélie gémit de plus en plus fort et de plus en plus souvent

Il n'y a même pas de caméra et je me sens incapable de me contrôler. Ce sera quoi quand une dizaine de personnes vont assister à la scène et qu'une caméra va être en train de la filmer dans le seul but de la montrer à qui veut bien la voir? Je ne sais pas. J'ai très hâte d'y être.

Étienne se retire de la bouche d'Aurélie et fait signe à Matteo d'arrêter ce qu'il fait. Le jeune homme s'exécute sans rechigner. Aurélie semble piteuse, sa petite voix timide tente une protestation. "Déjà? Mais j'ai encore le gout moi!"

Étienne sourit. "Oh, ma belle, ne t'en fais pas, on fait juste bouger un peu." Dit-il en se plaçant lentement derrière elle. Il la pousse un peu vers l'avant pour dégager son dos et lui caresse ses fesses nues en lui susurrant à l'oreille. "Tu aimes ça dans le cul, ma belle petite Aurélie?"

Aurélie prend deux bonnes secondes pour répondre mais finit par doucement hocher de la tête. Nous le faisons à l'occasion mais elle préfère toujours la chatte. Je pense que l'excitation actuelle compense, sans compter le fait qu'avec deux pénis à sa disposition, il y a peu de chances pour que sa chatte reste seule longtemps.

"Je veux te l'entendre dire. Dis le moi, ma belle."

Aurélie rougit abondamment mais finit par avancer, d'une voix encore plus soumise que tantôt: "J'aime bien l'avoir dans le cul. S'il te plait Étienne, tu veux bien mettre ta bitte dans mon joli petit cul?"

"Oooh que tu es parfaite, ma jolie." Répond Étienne avant de l'embrasser longuement tout en insérant son pénis dans son anus. Un peu brusque, je dirais à en juger le son de mi plaisir, mi protestation qu'Aurélie laisse échapper au travers le baiser qu'ils échangent.

Matteo vient se placer où Étienne était il y a à peine quelques secondes. Il saisit la tête d'Aurélie, l'arrache des lèvres d'Étienne et enfonce son long pénis tout au fond de la bouche de la belle. Contrairement à Étienne, cet homme préfère diriger entièrement la fellation. Pas de petits bisous et coups de langue. Je trouve d'ailleurs qu'il envoie son membre dangereusement loin, Aurélie peine à tirer son épingle du jeu tant la pénétration anale et le pénis au fond de sa gorge l'accablent.

Elle gémit et tousse un peu, ses yeux larmoient, elle est dépassée. Ma jolie petite Aurélie, prise si durement, c'est le comble pour le voyeur en moi. Étienne lui écarte les jambes et me donne une vue parfaite sur sa belle et douce chatte délaissée. Il me regarde, "Alors quoi? Tu dors? Faut la faire jouir cette petite, c'est TA copine, travailles un peu mon vieux!"

À ces mots, Aurélie regarde dans ma direction, je suis absolument certain qu'elle n'attend que ça.