L'enseignante, Ma Chienne Ch. 02

Informations sur Récit
Viol à nouveau de sa prof, mais est-ce bien un viol ?
4.1k mots
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Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 11/07/2018
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Traduction d'un récit de Erlikkhan.

Ce récit est une FICTION. Les personnages sont imaginaires. Vous y trouverez contraintes sexuelles, humiliations et soumission féminine. Si vous n'aimez pas ce genre de récit, Ne continuez pas de lire.

**********

Karen se sent faible et épuisée quand elle chancelle dans sa maison après avoir été humiliée et baisée par son élève Carl. Heureusement personne n'est là pour s'apercevoir de sa robe déchirée et de son apparence échevelée. Elle prend une douche pendant plus de 45 minutes puis enfile une longue chemise de nuit et s'allonge sur le lit.

Elle essaie désespérément de se convaincre qu'elle n'a pas apprécié l'expérience, mais à chaque fois qu'elle pense à la grosse bite raide de Carl dans sa bouche ou sa chatte, son corps réagit d'une manière qu'elle ne peut contrôler. Finalement, elle cède à ses envies et touche son sexe. Il est déjà dégoulinant de jus.

Les images de l'énorme queue de Carl lui traversent l'esprit. Elle peut presque sentir sa langue glisser sur les veines de membre raidi. Elle a même le goût de son sperme dans sa bouche. Elle se rappelle ses doigts enfoncés dans sa chatte, explorant son intimité. Maintenant elle se souvient comment il lui a tordu le bras et écrasé le visage sur le capot de la voiture. Elle s'imagine sa queue lui martelant sa chatte pendant que ses doigts titillent son clitoris.

Karen s'arque en arrière et pousse un cri. Une explosion traverse son corps. Son jus de chatte jaillit sur ses doigts et dégouline entre ses fesses. Elle continue de se tortiller sur ses doigts jusqu'au moment où elle frissonne de plaisir à nouveau sous un deuxième orgasme.

Toute la nuit elle souffre d'essayer de ne plus penser à la bite de Carl. Elle essaie même de se faire baiser par son mari, mais celui-ci n'est pas d'humeur. Finalement elle va dans la salle de bain et saisit son vibromasseur. Elle atteint un nouvel orgasme tout en revivant en son esprit les événements de l'après-midi.

Le lendemain matin elle appelle l'école pour se faire porter malade. Elle sait qu'elle ne pourra faire face à Carl. Elle élabore un plan pour s'en débarrasser. Elle le menacera d'aller à la police pour montrer ses ecchymoses. Elle lui dira qu'elle a gardé un échantillon de sperme pour prouver qu'il l'avait violée. S'il se tient à l'écart, elle ne s'occupera plus de lui et oubliera ce qui est arrivé.

Carl est furieux que sa professeure se soit faite porter malade. Il attendait avec impatience de pouvoir la baiser après l'école. Il parle avec Katie, la fille de Mme O'KEEFE pour savoir ce qui se passe. La jeune fille lui dit que sa mère ne se sentait pas bien lorsqu'elle est revenue à la maison la veille et qu'elle avait passé la plupart du temps au lit. Carl décide d'enquêter lui-même.

Comme Katie reste à l'école pour s'entraîner comme pom-pom girl et que Monsieur O'KEEFE est toujours au travail, Carl sait que sa professeure est seule chez elle pour encore quelques heures. Plutôt que de frapper à la porte principale, il se faufile derrière la maison pour essayer de voir à l'intérieur. Quand ça sera le bon moment il se montrera.

Karen a réussi à ne pas se masturber de toute la journée et a essayé de faire sortir Carl de son esprit, mais ses efforts sont vains. Elle est déterminée à ne pas toucher sa chatte en pensant à la queue du garçon. Mais comme elle n'y arrive pas, elle sort un film porno d'une cachette. Elle se dit qu'il allait éloigner ses pensées du sexe de Carl.

Carl entend des bruits venant de la chambre de Karen. Il s'approche et se rend compte qu'il s'agit de gémissements et de cris de plaisir. Il comprend que sa professeure est engagée dans une séance de baise sauvage. Est-ce qu'elle le trompe? Il pousse la porte.

Karen est nue. Elle regarde l'écran de son téléviseur tout en tenant entre ses jambes un gros gode. Elle bouge rapidement les hanches tout en poussant l'objet dans et hors de sa chatte. A la télé, une blonde à gros seins se fait pilonner à la fois la chatte et la bouche par deux énormes bites.

La femme n'a pas vu le jeune garçon. Carl se déshabille rapidement et se dirige vers le lit pour la rejoindre. Karen est tellement occupée par ce qu'elle fait qu'il lui faut du temps pour se rendre compte qu'il y a une autre personne dans la pièce. Au moment où elle réalise qu'il s'agit de Carl, il est déjà sur le lit à côté d'elle.

Karen panique. Elle retire le gode de sa chatte et frappe durement son élève avec. Puis elle arrive à sauter du lit et à courir vers la porte ouverte. Elle est dans le couloir quand il l'attrape par les pieds. Elle tombe en avant sur le sol. Carl s'allonge sur elle, sa bite coincée dans la fente de ses fesses. Il lui tire la tête en arrière par les cheveux et il approche sa bouche de son oreille.

- Où croyez-vous aller Mme O'KEEFE? Nous avions rendez-vous cet après-midi et vous m'avez abandonné pour une gode. Comment pensez-vous que j'apprécie Mme O'KEEFE?

Il glisse une jambe entre les siennes et les écarte. Karen lutte pour se libérer mais c'est sans espoir, Carl est beaucoup trop fort. Il la tient par les cheveux et garde sa tête en arrière. Sa bite est toujours dans la raie de ses fesses. Il la frotte activement entre les deux globes.

- Je vais vous baiser Mme O'KEEFE. Nous pouvons le faire gentiment ou plus violemment.

Carl se relève et la tire par les cheveux. Mme O'KEEFE le mord au bras jusqu'au sang et essaie de s'enfuir. Carl la jette contre le mur pour qu'elle soit face à lui. Puis sa main jaillit et il la saisit au cou et la soulève. Elle étouffe et se tient sur le bout des orteils. De son autre main il écarte une de ses jambes.

Karen essaie désespérément de retirer la main autour de sa gorge quand elle sent la queue du garçon sonder sa chatte. Une fraction de seconde plus tard, il s'enfonce en elle. Puis il ressort et redonne un grand coup de rein pour mieux la pénétrer. Lentement la pression sur sa gorge s'amenuise. Bientôt Carl enlève totalement sa main qu'il dépose sur la poitrine de Karen pour la caresser. Il regarde sa professeure dans les yeux :

- Allez-y Mme O'KEEFE, je ne vous arrêterai pas.

Il plonge une nouvelle fois sa queue dans sa chatte tout en levant la tête et fixant sa professeure un grand sourire sur le visage. Karen sait qu'elle peut s'échapper. Le jeune garçon la défie. Mais en vérité, elle ne veut pas s'échapper. La sensation de cette grosse bite dans sa chatte lui manque depuis hier.

Des larmes roulent sur ses joues quand il se retire et plonge de nouveau dans son corps. Lentement, elle enroule ses bras autour des épaules de Carl. Celui-ci saisit ses fesses et la soulève du sol. Elle enroule ses jambes autour de lui et enfonce ses talons dans ses fesses. La bite bien raide cogne encore plus fort dans sa chatte. Un grand gémissement s'échappe de la gorge de Karen.

La tenant suspendue dans les airs, Carl se dirige vers la chambre à coucher. Plusieurs fois Karen se relève et s'empale de nouveau sur la bite bien raide de Carl. Ses fesses deviennent visqueuses avec le jus de sa chatte qui s'écoule. Le couple rebondit sur les murs avant de finalement tituber dans la chambre. Les gémissements et halètements de Karen paraissent de plus en plus désespérés.

Carl se laisse tomber sur le lit tout en tenant fermement les fesses de sa prof. Il veut que sa queue reste enfoncée dans la chatte excitée. Le poids de la femme s'appuie sur ses hanches et son sexe s'enfonce encore plus profondément. Karen crie. Elle monte est descend sur le membre dressé. Elle le chevauche comme au rodéo.

- Oh mon Dieu oui... Baise-moi... Plus fort... Oui... OUI... Ahhhhhhhhh...

En un mouvement rapide, le jeune garçon retourne la situation. Il couche Karen sur le lit et remonte ses genoux par-dessus ses épaules. Et il la pilonne brutalement. Ses couilles mouillées giflent les fesses de la professeure. Du jus continue de s'évader de sa chatte pour couler le long de la raie de ses fesses. Carl saisit les seins et les malaxe puis il tire sur les tétons.

Pendant une brève seconde, Karen réalise qu'elle est en train de baiser un autre homme que son mari dans le lit conjugal. Et il ne s'agit que d'un jeune garçon. Elle a honte et elle sait qu'elle doit arrêter cette folie. Mais le besoin dans son ventre est trop intense. Une fois de plus, elle est devenue une pute et elle ne peut se détacher de la queue du garçon. Elle est hors de contrôle pendant que la bite fourre sa chatte serrée.

- Baise-moi... Baise-moi... Oui... Mon Dieu, j'aime ta bite... Oh putain je vais jouir... Oui... ohhhhhhhh... AHHHHHHHHH...

L'orgasme provoque une giclée de jus dans sa chatte. Carl peut sentir l'humidité qui envahit l'antre et qui coule sur ses couilles. Le liquide ruisselle le long de la raie des fesses de Karen et trempe les draps sous elle. Carl se retire rapidement du vagin et grimpe sur la poitrine de la femme afin de la nourrir de son gourdin de chair.

Karen est en train de se remettre de l'énorme orgasme qui a déchiré son ventre quand elle sent un gland gluant pousser entre ses lèvres. Le goût fort de son jus lui remplit sa bouche. La texture et le goût de la jeune queue contre sa langue l'excite presque autant que quand il baisait sa chatte. Elle commence à sucer agressivement son élève et le laisse glisser dans et hors de sa bouche.

- Super Mme O'KEEFE... Ouais... Sucez moi bien... Plus profond... Oui...Oh merde...

Karen glisse sur le lit jusqu'à ce qu'elle soit presque assise. Carl bouge avec elle et saisit l'arrière de sa tête alors qu'elle s'accroupit devant lui. Puis il pousse sa bite dans et hors de sa bouche. Karen saisit les fesses du jeune garçon et le guide dans ses mouvements. Elle le sent glisser de plus en plus profondément dans sa gorge à chaque poussée. Elle veut son sperme, elle veut qu'il éclabousse son visage et ses seins.

- Oh putain... Suce... Suce bien.... Ohhh.

Karen garde la bouche ouverte pendant que Carl la martèle avec sa grosse queue. De la salive coule en longs filets sur son menton, la bite et les couilles. De temps en temps, le garçon bloque son membre au fond de la gorge et la tient, son pubis collé contre ses lèvres.

- Oh putain... Je vais jouir Mme O'KEEFE... Je vais gicler dans votre bouche... OHHHHH.

C'est ce qu'elle attend. Sa chatte dégouline d'excitation avec cette queue qui martèle sa bouche et la pensée du sperme glissant dans sa gorge ou éclaboussant son visage. Elle sent le jeune garçon se raidir et elle sait qu'il va bientôt éjaculer. Elle glisse une main entre ses fesses et titille le trou du cul de Carl.

Celui-ci sent ses couilles gonfler et se libérer. Le sperme jaillit de son membre entre les lèvres de sa professeure. Il pousse sa bite dans la bouche et laisse échapper un grand rugissement. Il sent les doigts sur son cul qui exacerbent sa jouissance.

Karen sent la première vague de foutre contre son palais puis dans sa gorge. Elle sort la queue de sa bouche au moment du deuxième jet. Il explose sur ses lèvres et sa langue. Elle pointe le membre sur son visage et elle ferme les yeux. Le sperme éclabousse son nez et son front. D'autres giclées atterrissent sur ses joues et dans ses cheveux.

Karen reprend la bite dans sa bouche pour aspirer les dernières gouttes de sperme. Elle continue de le lécher et de le sucer jusqu'à ce que le sexe soit complètement rétréci. Carl sort de sa bouche et s'effondre sur le lit, vidé et satisfait. Mais la chatte de Karen a besoin d'être soulagée. Elle regarde le jeune homme allongé à côté d'elle et elle a un bref sentiment de culpabilité.

- Je... je vais à la salle de bain pour me nettoyer.

- Bien sûr Mme O'KEEFE, je vais vous attendre. Il ne va pas falloir longtemps avant que je ne sois de nouveau en forme.

Karen ramasse le gode sur le lit, va dans la salle de bain et verrouille la porte. Elle se penche sur l'évier et se regarde dans le miroir. Du sperme dégouline de son visage sur ses seins. Elle ressemble à une salope. Elle se sent salope. Elle voudrait être dégoûtée d'elle-même, mais sa chatte est en feu.

Elle se lèche les lèvres et goûte le sperme de Carl qui macule son visage. Elle baisse le gode et le frotte entre les petites lèvres de son sexe et sur son clitoris. Puis elle le fourre profondément dans son antre humide et chaude. Avec deux doigts de l'autre main, elle ramasse le foutre sur tout son visage et ses seins pour le mettre dans sa bouche.

Son corps se raidit. Elle suce ses doigts avec avidité. Des flashs de lumière tourbillonnent dans sa tête et elle commence à trembler. Ses jambes deviennent molles. La pression dans son ventre ne peut être contenue. Elle se mord les doigts alors qu'une explosion balaie son corps. Un flot de son jus intime coule de sa chatte et tombe sur le sol. Il recouvre ses cuisses et ses doigts. Elle laisse tomber le gode en plastique et porte sa main à sa bouche pour la lécher alors que son corps tremble toujours.

Il lui faut environ trente secondes pour récupérer. Enfin elle lève les yeux vers le miroir. Mais cette fois-ci elle ressent de la honte. Elle sait que sa capacité à résister à Carl devient de plus en plus faible. Elle l'a laissé la baiser dans sa propre maison et dans le lit conjugal. Et pire, elle a apprécié chaque seconde. Des larmes coulent de ses yeux et strient son visage encore recouvert d'un peu de sperme.

- Allez Mme O'KEEFE, je suis prêt à recommencer. Je pense que nous pouvons encore avoir du bon temps avant que votre fille Katie ou M. O'KEEFE ne rentrent à la maison.

- Va-t'en Carl! Mon mari va bientôt revenir à la maison. Et je vais prendre une douche. Si tu ne pars pas, je vais appeler la police, j'ai mon portable avec moi.

Karen bluffe à propos de son mari et du téléphone portable, mais elle espère que ce sera suffisant pour se débarrasser de Carl Son silence la rend nerveuse. Elle allume la douche et colle son oreille contre la porte. Toujours rien. Alors elle suppose que sa menace a fonctionné et que le jeune garçon est parti. Elle se glisse sous la douche et elle laisse l'eau chaude couler sur son visage et son corps.

Carl est sûr qu'elle lui ment au sujet de son mari. Elle essaie de se débarrasser de lui après tout ce qu'il a fait pour elle. Le fait qu'elle l'ait menacé d'appeler la police le met en colère. Il écoute doucement à la porte de la salle de bain jusqu'à ce qu'elle entre sous la douche. Ensuite il essaie de déverrouiller la porte.

Quelques secondes plus tard, elle est ouverte. Carl entre dans la pièce humide et voit le corps nu de Mme O'KEEFE à travers la paroi vitrée de la douche. Elle lui tourne le dos. Elle reste sans bouger sous le jet et laisse l'eau chaude couler sur sa tête et son corps. Elle ne l'entend pas se glisser derrière elle.

La queue de Carl se raidit en quelques secondes devant les fesses bien rondes de Karen. Il s'approche jusqu'au moment où ils se touchent presque. Il plie les genoux et avance jusqu'à ce que son gland frôle la peau lisse de la fente du cul de la femme.

Karen ne remarque pas tout de suite ce contact. Elle pense que c'est l'eau qui coule sur son corps. Quand le garçon continue de se presser contre son cul, elle passe une main derrière elle par curiosité, en se demandant pourquoi la pression de l'eau est si forte. Elle se fige quand ses doigts rencontrent le membre de chair bien raide. Il lui faut une seconde pour réaliser et comprendre.

Avant qu'elle ne puisse réagir, les mains de Carl entourent son corps. La bite du garçon se coince entre ses fesses alors qu'il resserre son emprise sur elle. Une main lui écrase la poitrine alors que l'autre descend entre ses jambes jusqu'à sa chatte gonflée.

- Laisse-moi Carl! Mon mari va bientôt rentrer et il appellera la police. Arrête Carl ou tu vas avoir de gros ennuis.

Karen essaie de lutter mais Carl est trop fort pour qu'elle puisse se libérer. Il pousse son visage contre les carreaux de la douche. Il remonte son bras de la poitrine sur son cou et l'étrangle presque. Elle sent deux doigts entrer dans sa chatte et la bite glisser de haut en bas entre ses fesses.

- Madame O'KEEFE, votre mari n'est pas encore près de rentrer. Pourquoi continuez-vous à vous battre après tout ce que j'ai fait pour vous? Vous aimez ma bite, vous l'avez réclamée, pourquoi le niez-vous Mme O'KEEFE? Profitez-en plutôt!

Une partie d'elle-même sait qu'il dit vrai. Elle n'a jamais été baisée aussi bien et aussi fort de toute sa vie, même dans ses années de jeunesse avant de rencontrer son mari. Ce serait si facile de se laisser aller et de le laisser faire ce qu'il veut. Mais elle ne peut pas. Elle est mariée, elle a une fille du même âge que ce garçon. Et de plus, c'est son élève. Il ne faut pas qu'elle lui cède. Pas cette fois.

- Carl, tu as déjà de gros ennuis. J'ai dit à la police que j'avais été violée. Je leur ai donné ma jupe déchirée mais j'ai encore ma culotte avec ton sperme dessus et je leur ai dit que je n'avais pas vu ton visage. Mais si tu continues à m'embêter et si tu ne pars pas immédiatement, je t'enverrai en prison pour très longtemps.

« Violée? Elle est folle » pense Carl. Comment une femme qui crie « baise-moi » encore et encore peut-elle penser qu'elle a été violée? Carl sent son sang bouillir. A-t-elle vraiment été à la police? Il ne le croit pas. Elle bluffe. Eh bien, police ou pas, il va lui donner ce qu'elle mérite.

- Mme O'KEEFE, je n'aime vraiment pas ce que vous avez dit. Je pensais qu'il y avait quelque chose de spécial entre nous deux. Je vais vous laisser seule, mais d'abord je vais vous donner un souvenir spécial de moi. Je vais vous sodomiser.

Karen panique. Elle n'a jamais laissé quelqu'un lui faire ça, même quand elle était jeune. Elle se rappelle que Carl avait mis son doigt entre ses fesses hier quand il l'avait baisée contre la voiture. Elle se souvient de la pression intense, et, elle doit l'admettre, assez agréable. Mais sa queue est énorme. Elle est sûre qu'il va la déchirer et que la douleur sera atroce.

Elle lutte désespérément pour se dégager et se tortiller. Ses dents mordent le bras du garçon jusqu'au sang. Carl resserre son étreinte sur son cou et la soulève. Ses pieds ne touchent plus le sol et battent l'air. Il couche la femme sur le carrelage dur. Karen atterrit durement avec tout le poids de Carl sur son dos. Elle a le souffle coupé. Elle s'évanouit presque en luttant pour respirer.

Leurs corps sont à moitié dans et dehors de la douche. Carl savonne rapidement son sexe et le cale entre ses jambes. Cette lutte le fait bander encore plus. Il presse son gland contre l'anus et commence à pousser. L'ouverture serrée cède lentement jusqu'à ce que le membre de chair perce le passage sombre.

Quand Karen ouvre les yeux, elle réalise qu'il y a une pression terrible dans son cul. La queue du garçon est au fond. Ce n'est pas que ça fait mal, mais la pression sur les parois de son anus lui donne l'impression que ses entrailles vont exploser. La bite coulisse dans le petit passage étroit. Rapidement elle réalise que si elle se débat, la pression se transforme en douleur. Alors elle se détend et laisse faire.

Karen peut sentir son corps répondre une fois de plus à l'invasion importune. Ses fantasmes de sexe forcé avec ses étudiants se réalisent. La bite de Carl qui pénètre son corps est tout ce qu'elle a désiré, tout ce que son mari n'a jamais pu lui donner. Elle y prend encore plus de plaisir car il la baise dans trou interdit, où aucun homme n'a jamais été.

Carl voit sa professeure relever son cul en l'air et le pousser contre lui pour que sa queue la pénètre encore plus profondément. Il tire sa tête en arrière par les cheveux et il donne de violents coups de reins. Il mord durement le lobe d'oreille de la femme, en tirant un peu de sang qu'il lèche. Karen laisse échapper un gémissement qui ressemble plus à du plaisir qu'à de la douleur.

- C'est pour m'avoir mordu au bras. Tu aimes ça n'est-ce pas Mme O'KEEFE? Tu aimes ma queue dans ta chatte, dans ta bouche ou dans ton cul? Tu ne fais pas semblant n'est-ce pas?

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