Le Xchange Anal Challenge 02: Prepare

Seconde partie d'une série. Il n'y a pas encore de relation Anales dans cet épisode.

Cette œuvre est une fiction basée sur les pilules et les "portables" (wearables) X-change qui permettent de changer de genre facilement.

Certains personnages peuvent manipuler les autres. Manipuler autrui pour profiter de lui n'est pas une bonne chose.

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Résumé du premier épisode :

Avec Erik nous avons acheté une cage de chasteté sensée nous transformer en shemale pour découvrir les sensations du sexe anal avec Paul, un autre ami. Bien sûr je ne crois en rien de cela, mais Erik me fait payer la cage et me fait la garder, pour ne pas que sa femme la découvre. Par curiosité, je l'essaye. Le résultat me surprend.

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Un passage devant le miroir de la salle de bain confirma tout cela. J'étais une femme. Les cheveux plus long et blond plus clairs que les miens. Les bras et des jambes plus fins. Un visage plus féminin aussi. Au milieu, une bite dans sa cage. Mais alors que ma queue avait eu du mal à entrer dans la cage, mon nouvel appendice plus était à l'aise. 'Je ne suis pas sensée m'en servir' pensais-je alors.

Mon excitation monta encore. Je me trouvais désirable! Je repensais au 'X-Change Purple Anal Challenge' et je me dis que je devrais regarder. Puis une autre idée me traversa l'esprit. J'attrapais un mètre et mesurais mon tour de taille, et mon tour de poitrine. Puis j'attrapais la clé de la cage. 'Tu ne devrais pas être celui qui la manipule' me souffla une petite voix. J'ouvris la cage. La retirer fût facile. Ma queue minuscule pendait entre mes cuisses. Puis j'eus de nouveau cet effet de vertige.

Ma poitrine disparut, et ma queue et mes hanches revenues à leurs tailles initiales je pouvais me rhabiller, pour filer au super marché le plus proche.

En route j'étais tout émoustillé par ma découverte. Devenir une femme-trans m'avait beaucoup amusé. Je me faisais une note mentale de penser à lire un peu plus sur X-Change.

Dans le supermarché, je passais dans le rayon dames, pour acheter un ensemble culotte soutien-gorge, un tee-shirt, et une jupe. Pour la suite, je verrais en essayant, en portant la cage en public.

Je pensais également à prendre la mousse dépilatoire. Sur le chemin du retour, je me demandais si je devais m'épiler en tant qu'homme, ou en tant que shemale?

Une fois arrivé chez moi, je commençais par débroussailler mes poils pubiens. Puis nu dans ma douche, je lisais le mode d'emploi de la cage en attendant que la mousse fasse effet autour de mon sexe.

Sur la boîte le risque d'être bloqué si la cage était endommagée était bien spécifié. Ils conseillaient de bien vérifier l'état avant de la fermer. Ils conseillaient aussi de confier la clé à une personne de confiance : forcer la cage aurait pour effet de ne pas se retransformer.

Ils indiquaient aussi que le porteur de la cage ressentait un lien fort avec la personne qui avait fermé la cage, et ceux qui avaient la clé. Ils insistaient sur le fait que l'expérience était plus forte si on ne fermait pas sa cage soi-même. Ils parlaient même d'un risque d'addiction quand on referme sa propre cage. Enfin ils expliquaient que la première expérience était déterminante.

Je rinçais la mousse : mes parties génitales se trouvaient alors au milieu d'un désert pubien. Sans poils, refermer la cage pour la seconde fois fût plus facile.

Voyant mes mains, je regrettais de ne pas avoir acheté de rouge à ongle. Il allait falloir que je le note pour le lendemain. Ma cage se trouvait toujours dans une zone sans poils, et mes poils pubiens étaient toujours courts : la transformation n'affectait pas mes poils, comme elle affectait mes cheveux, ou mes ongles. Je pulvérisais la mousse sur tout mon corps, et je l'étalais. Je découvrais de nouvelles sensations. Je ne sais pas ce que fait la cage exactement. Mais je me sentais comme une femme avec une bite, pas comme une femme-trans : je n'étais pas un homme transformé chirurgicalement.

Une fois rincée, j'étais satisfaite de mon corps glabre. J'enfilais la culotte et le soutien-gorge. Les tailles étaient un peu approximatives, mais c'était mieux que rien. Pour la culotte, j'avais un peu de mal à y caser ma cage, pourtant assez courte. Comment font les travestis, pensais-je?

Habillée, je constatais avec horreur que j'avais oublié d'acheter des chaussures!

Pour l'instant je désirais voir le challenge. Je recherchais alors le 'X-Change Purple Anal Challenge', mais Google ne me revoyait rien. Mais dans un site plus spécialisé, je tombais sur des vidéos en grand nombre.

Certaines étaient nues et ne portaient que la cage. D'autres avaient fait des efforts vestimentaires. Il y avait un cas d'une personne qui avait filmé la mise en place de la cage. Dans cette vidéo son amie lui badigeonnait le sexe de crème hydratante. Puis, au moment de mettre le tube, elle le fit glisser sur une chaussette en nylon qu'elle avait préalablement enfilé sur le sexe. La cage glissait en place facilement. Puis je jeune homme transformé s'habillait en femme. Il était manifestement gêné par les rires de son amie.

Je notais ce qui me manquait : les chaussures, des bas ou des collants, du maquillage,...

J'étais très excitée, et les deux jeunes gens aussi. Je notais que lui bandais, alors que moi pas.

Puis elle enfila un god ceinture, et renversa celle qui venait d'être transformée sur une table. Elle écarta la ficelle du string, et posa son sexe factice sur son anus. Puis elle le pénétra. Au début le shemale souffrait. Manifestement elle se vengeait d'un manque d'attention envers elle. Puis ses bruits changèrent. Je m'imaginais à sa place à lui. Dans cette cage comment jouir sinon en anal?

Au bout d'un moment il cria et la supplia d'arrêter.

-Stop, je crois que je vais jouir, non arrête! » disait-il

-Si tu jouis, c'est que tu ne mérites pas vraiment d'être un homme à nouveau » lui répondit-elle.

Cette phrase lui fit-elle de l'effet? Il éjacula dans sa cage, souillant son string.

Il pleurait alors que son amie lui enlevait sa cage, sans qu'il ne se retransforme.

-De toute manière je t'aurais fait garder la cage tout le week-end s'il avait fallu! »

Dans ma cage j'étais choquée par la duplicité de la jeune fille, mais en même temps j'étais très excitée, et je me demandais si, moi aussi je pourrais jouir dans ses conditions. Evidement je ne risquais pas d'être bloquée si je jouissais.

Les autres vidéos étaient décevantes. Ne publiaient-ils que les échecs? En tout cas dans les vidéos que j'avais visionné ce jours-là, mais aussi par la suite, aucun n'a réussi le 'X-Change Purple Anal Challenge'.

C'est là que je suis allée aux toilettes la première fois en portant la cage. M'asseoir, comme une fille me parut complétement logique.

Enfin je regardais quelques vidéos sur la sodomie, je me sentais très concernée.

Il était tard, mais l'idée de retirer la cage ne m'est même pas venue. J'étais nue dans mon lit, excitée et frustrée.

Le lendemain, il me fallut faire un effort pour attraper la clé et retirer la cage. J'étais amusé de voir que j'étais toujours lisse. Très vite mon sexe se dressa. Petit et ridicule d'abord, puis normal ensuite. J'avais enfin l'occasion de chasser ma frustration de la nuit. Pendant la journée je repensais à ma soirée. J'étais troublé de mon excitation de la veille au soir. La vidéo était excitante, mais je la trouvais aussi humiliante, mais cela ne m'avait pas marqué autant la veille au soir.

Pour autant je partais au travail avec mes vêtements féminins dans un sac. J'avais prévu des chaussures de sport.

Alors que la journée passait l'idée d'être sodomisé me plaisait de moins en moins. Mais au moins pour le jeu de Paul et Erik, je devais de me faire violence.

Je suis alors parti au centre commercial, et passant aux toilettes je me changeais. Jean était entré, et c'est Jeanne qui sortait. Un homme me fit une remarque, comme quoi je m'étais trompé de côté.

-C'est le sexe de départ ou le sexe d'arrivé qui compte? » lui demandais-je. A sa réaction je l'avais choqué.

Par erreur j'ai commencé par les chaussures. J'aurais dû commencer par des bas ou des collants. J'aurais voulu des chaussures avec de très hauts talons, mais impossible de marcher avec. J'ai donc suivi les conseils de la vendeuse, et sur suis parti avec des ballerines noires, des sandales rouges à petits talons et des escarpins noirs à la limite de ce que je pouvais porter.

J'ai ensuite dévalisé un magasin de sous-vêtements, mais j'étais toujours mal à l'aise pour faire tenir ma cage dans les culottes.

Puis il a eu les bas, les robes, les jupes, un pantalon, des chemisiers, des tee-shirts...

Essayer les vêtements était un plaisir que je découvrais. J'imaginais la tête de Paul ou Erik quand ils me découvriraient dedans.

J'ai aussi pris une chemise de nuit, et du maquillage avec une première leçon.

En quittant le super marché, je repensais à la sodomie et à ce que j'avais vu et lu. Je conduisais alors au sex-shop, pour y acheter un plug, un god, et du lubrifiant. De quoi nous préparer, puis à réaliser le challenge. J'étais étonnée qu'Erik n'y ai pas pensé.

Le soir, je visionnais quelques vidéos du challenge. Et l'un des participants semblait avoir été désigné pour le punir d'avoir marqué contre son camp. Tous les membres de son équipe l'on prit, l'un après l'autre. J'étais très excité de voir cela, même si le jeune homme pleurait de honte en ne se retransformant pas quand on lui retira sa cage. Il faut dire qu'il avait jouit plusieurs fois, et que son sperme se mêlait à celui de ses co-équipier en coulant le long de ses cuisses.

Je réalisais alors que Paul et Erik n'allait sans doute utiliser de god!

Sur le moment j'étais toute excitée.

Le matin, une fois la cage retirée, j'étais beaucoup plus anxieux. Etant Vendredi matin, ce qui devait se passer allait avoir lui le soir même.

Au cours de la matinée j'avais du mal à travailler. Tout se mélangeait dans ma tête, et ce n'était pas clair pour moi, mais aujourd'hui je peux dire que Jean n'avait pas envie d'être sodomisé par Erik ou Paul. Et il redoutait leur regard le lendemain. Jeanne au contraire en mourrait d'envie, tout en ayant peur d'avoir mal. Jean redoutait plus que tout que ses amis se rendent compte que Jeanne en avait envie. Mais Jeanne et Jean n'étaient qu'une seule et même personne.

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A suivre