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Cliquez iciJ'avais reçu une invitation pour un vernissage près des Champs Elysées; je n'étais pas très sûr de qui avait pû me l'envoyer et bien que j'aies plusieurs connaissances dans le domaine artistique, je ne voyais pas qui n'aurait pû m'en parlé avant. Aucune information n'était donné sur l'artiste ou les choses exposées.
Le soir arrivé, n'ayant rien de mieux à faire, je décidais d'y aller. Dans une vie comme la mienne de célibataire sans emploi, on s'amuse facilement de tels prétextes. J'arrivais à l'entrée d'un immeuble où trônait un miroir vieilli sur une ancienne cheminée en marbre. Devant le miroir était posée cette simple carte où il était inscrit: Venez de l'autre côté.
Intéressant, je me disais, mais reste à voir. J'aperçus alors une porte entrouverte dans un couloir à droite d'où s'échappaient déjà des sons de verres à champagnes et rires mondains. Tandis que j'entrouvrais la porte, mon intérêt déclinait.
Effectivement, tout était réuni pour une soirée entre gens de classe avec mini fours à la main. Une trentaine de personnes était éparpillés déjà à travers les salles, s'exclamant devant ce qui semblait être de l'impressionisme appris par correspondance. J'étais bien déçu, mais peu étonné, et m'en allait prendre quelques verre de vin, d'un meilleur cru, du côté du buffet. Il est peu de dire que je ne me sentais pas à ma place.
Puis je commença ma ronde à travers les différentes salles de cet appartement qui devait être...à ce...genre de médecin.
J'étais en posture devant le tableau d'une allée forestière baptisée "A la cueillette aux champignons" quand une femme s'approcha près de moi et le contempla également. Je la regarda sans honte, le vin aidant. C'était une jolie femme brune, plus petite que moi. Sa peau blanche semblait comme de la porcelaine, elle portait une simple robe noire avec un décolleté carré et un collier à perles. La robe était sobre mais élégante. Je sentais, par contre, que le collier ne lui allait pas vraiment; mais de ce fait, introduisait une légère touche érotique dans ce salon qui devenait soudain beaucoup trop bruyant et bavard.
"Qu'en pensez vous?" me dit-elle.
"Euh...pardon?"
"Du tableau? Qu'en pensez vous?" en se retournant vers moi.
"Oh...pas grand chose."
"Oh vraiment? Je suis déçu." dit-elle en faisant une fausse moue enfantine et regardant à nouveau le tableau.
"Pourquoi?"
"Parce que c'est moi qui l'ai fait."
"Ah...(à cet instant, mon cerveau chercha à embrayer mais une foule d'idées diverses me barrait la route) et bien, il y a probablement pire..." dis je en riant, essayant de désarmorcer la situation, pitoyablement, il faut bien le dire.
Elle se mit néanmoins à sourire et plongea son regard dans mes yeux. "J'espère bien..." dit-elle.
Ma bouche était sèche. Je finis mon verre de vin d'une traite.
"Notamment celui ci" dis je en montrant du doigt "Un après midi à la ferme" qui tenait presque de l'art naif.
"Oh vous avez de la chance, ce n'est pas le mien." dit-elle tandis que nous nous rapprochions du tableau. Sa démarche était légère, son bassin remuait devant moi...le vin agissait comme un piquant de plus...peu importait les tableaux maintenant. Elle était le clou de cette soirée. Ce clou que je devrais...
"Ne vous a t-on jamais appris les bonnes manières en société? On ne montre pas du doigt." dit elle d'un ton annodin mais en me regardant d'une manière sévère. Quelle brûlure que ce regard, que de flammes je voulais attiser pour que ce pâle visage s'empourpre et que je sente circuler son sang contre le mien.
"Je n'ai jamais aimé les règles des jeux de société..." J'entendais ma voix comme s'il s'agissait de quelqu'un d'autre, je sentais mon esprit bouillir et les phrases sortir l'une après l'autre. "Je ne suis pas à ma place ici, ne le sentez-vous pas? Si vous voulez me dicter comment je dois utiliser mes mains, il faudra peut être que je vous apprenne quelques unes de mes règles d'abord."
Elle baissa son regard rapidement, laissa échapper un rire bref et ses joues rougirent automatiquement. Puis elle regarda autour de nous et derrière elle, comme pour observer d'éventuelles réactions.
"Il y a...une salle...derrière. J'ai...quelques tableaux que je n'ai finalement pas utilisés...voudriez vous les voir?" dit elle
"Avec plaisir..." dis je en posant mon verre sur une table et la suivant.
Quelques personnes commencèrent à la retenir et à lui dire combien si et combien ça. Elle les remerçia d'un sourire gêné tout en essayant de tourner sa tête vers moi de temps en temps. Je laissais passer quelqu'un derrière moi, vu l'encombrement dans le coin de cette salle et me retrouva finalement à quelques centimètres derrière elle. Le parfum de ses cheveux m'ennivrait encore plus que le vin. Je ne faisais que regarder son dos, sa nuque et me tenait derrière elle comme une sorte d'assistant, souriant de temps en temps, dont bien sûr tout ce beau monde se foutait, mais dans la situation actuelle, cela était plaisant car une certaine raideur vint poindre entre elle et moi. Une femme d'un certain âge, voulant montrer à quel point elle était reconnaissante d'avoir acquéri un tableau qui égayerait ses prochains jours jusqu'à ce qu'elle l'oublie; vint embrasser ma chère peintre dont les fesses, de ce fait, vinrent rencontrer mon érection grandissante.
Quel délice que cette soudaine surprise qui mettait mon sexe durci à bloc entre ses fesses rebondies, tel un marque page pour ce qui maintenant n'allait plus pouvoir être empéché pour longtemps. Je sentis dans sa voix et dans sa respiration le trouble dans lequel je la jetais. La cour autour d'elle s'inquiétait de son expression si changeante mais elle sût rebondir, j'ose le dire, avec brio, et prétendit qu'elle devait aller aux toilettes. Je m'écarta alors pour la laisser passer, mon érection n'en étant que plus apparente, puis nous nous dirrigeâmes rapidement vers une petite porte qui donnait en fait sur une sorte de remise où était entreposés quelques oeuvres. Nous entrâmes et elle ferma la porte d'un grand coup, en tourna la clef et se retourna vers moi. Puis elle donna ses lèvres à ma bouche tandis que je remontai mes mains sous sa robe. Je pris ses cuisses fermement et la poussa contre un mur, perdant mon visage dans son cou pour revenir lentement à ses lèvres ouvertes et frémissantes. Mes mains repoussaient les pans de sa robe pour arriver à son entrecuisse déjà brûlante. Je reconnaissais une culotte en dentelle que j'enlevas rapidement et jeta dans un coin.
Mes doigts arrivèrent à sa fente humide et désignèrent un cercle autour de son clitoris. "Ne m'interdisez pas d'utiliser mes doigts, il pourrait vous en coûter..." dis-je haletant en en enfonçant deux mouillés entre ses lèvres offertes. Elle gémit alors tant que je me demanda si on allait nous entendre...mais peu m' importait dorénavant.
"Monsieur" dit-elle "vos revendications sont légitimes..." en laissant glisser ses mains sur ma ceinture et défaisant ma braguette, elle ajouta "mais je vous en prie..." prenant mon sexe dressé, à pleine main "...précisez!"puis le guidant vers sa destination ultime.
"Soit!" dis je et je laissa entrer mon pénis dans toute sa longueur jusqu'à ce que ses cuisses encerclent mes hanches. Elle laissa échapper un râle de satisfaction tandis que je donnais mon premier coup de rein contre son sexe et que je sentais ses fesses retomber chaleureusement sur mes testicules.
J'accélèrais le rythme, fermant les yeux, me laissant avaler entre ses lèvres si chaudes et m'enfonçant plus loin et plus fort à chaque fois. Je rouvris mes yeux et vit encore ce collier de perles qui avait tant excité ma curiosité auparavant. Je le voyais remuer au rythme des coups de butoir que je donnais contre sa porteuse, ses fesses généreuses comprimées dans mes mains.
"Madame, montrez moi vos seins" dis je la machoire sérré, tendu par l'effort du plaisir.
Sa robe avait des boutons en diagonale par le devant, sa poitrine me fût donc découverte comme un paquet cadeau. Ses seins étaient lourds et ronds. Nous primes une pause pour nous dévêtir plus avant mais je dis soudain "Madame je vous veux nue avec ce collier". Elle me regarda surprise, puis excitée. J'étais complètement nu. Elle se colla contre moi et embrassa mon torse quelque peu poilu puis descendit en donnant quelques baisers ici et là. Mon sexe au zénith arrêta son menton; elle entrepit donc de le prendre dans sa main et d'en caresser les testicules poilues. Puis lentement donna quelques baisers sur toute la surface de mon sexe qui palpitait sous ses lèvres.
Quand elle arriva au boût de mon pénis, un liquide d'apéritif acceuillit sa langue, elle s'empressa alors de suçer toute ma longueur comme s'il s'agissait d'une glace qui était en train de fondre, mais dieu sait que bien au contraire, ma bite n'avait jamais été aussi dûre. Tandis qu'elle continuait à pomper, elle éleva son regard vers moi et la vision de cette femme nue en train de s'activer sur moi, portant uniquement ce collier de perles me rendit encore plus fou de désir. "Madame, j'ai besoin de votre chatte encore. Laissez moi goûter à cette rûche où nous allons faire notre miel." Elle laissa alors échapper mon gland avec un bruit de succion. Et sans mot dire, écarta ses cuisses devant moi avec un sourire démoniaque.
Je m'allongea devant elle et rampa vers ses grandes lèvres humides comme des portes de chair. "Madame je veux vous trouver avec ma langue et puis vous baisez enfin dignement."
Sa chatte avait un goût formidable, je m'en délectais et ma langue allait chercher bien au fond d'elle, ramener de la sève que j'entreprenais de passer et repasser sur son clitoris et ses lèvres. "Ah monsieur vous me rendez folle!" dit elle en plongeant ma tête plus profond entre ses cuisses. Mon nez jouait avec son clitoris alors que mes lèvres étaient enfouies entre les siennes...le plus doux des baisers.
"aaah monsieur, enfouissez donc votre queue encore en moi. Je ne veux pas être encore rassasiée."
Puis elle se mit à quatre pattes de façon à ce que je la pénètre par derrière. Elle tourna sa tête vers moi, le visage en sueur comme le mien, comme la passagère d'une calèche demandant à ce qu'on la fouette. J'en profitais pour lui donner quelques bonnes claques sur les fesses tandis que je m'introduisais encore en elle.
Puis n'en pouvant plus, je me mis à la baiser comme si nous étions à un concours de courses, le spectacle de ses fesses amples remuant à toute vitesse contre mon bassin. Elle poussa alors des petits gémissements de temps en temps et je sentis alors qu'elle allait arriver. Je lui mis la main sur la bouche tandis qu'elle poussait sa plainte de bonheur. Puis elle me fit signe d'arrêter "Monsieur je veux que vous jouissiez sur mes perles".
Quelle parfaite fin me disait-je en approchant mon sexe de son cou. Elle le prit à pleine main et me masturba d'un rythme effrené. Je ne pûs me retenir longtemps, la volupté de cet instant et la magie de cette soirée laissa échapper de mon sexe cette liqueur blanche abondante, qui vint éclaircir ce collier de perles et le sourire de cette femme mystérieuse.
Que pourrais-je ajouter...Nous nous rhabillames, sortimes de cette pièce; nous échangâmes nos numéros...Quelques semaines passèrent...Je ne sais pas si nous nous reverrons mais à chaque fois que je revois un collier de perles, je repense à ce vernissage intime que j'avais offert à ce collier, et à cette femme qui s'était donnée.
Bravo Mr. Edward! Excellente progression erotique! Et, j'aime les perles....