Le Premier Rôle

BÊTA PUBLIQUE

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Max ignore les ordres du patron et s'approche de ma copine pour l'embrasser de nouveau en continuant de se frotter le membre sur sa douce robe. Redescendue de son délicieux nuage, Aurélie n'en peut plus du ridicule de la scène et à travers les baisers maladroits de son partenaire, éclate d'un rire complètement inattendu. Max retire ses mains du corps de la belle et se met à protester d'une voix vexée. "Mais c'est quoi ton problème? Pourquoi tu te fous de ma gueule comme ça? On avait un moment-là!"

Aurélie ne répond pas, elle rit encore de plus en plus. Je sais que c'est la gêne, elle n'en peut plus et elle peine à négocier toutes les émotions qui l'accablent.

Étienne tente de sauver les meubles. "Faut essayer de la comprendre! Tu sors complètement du scénario! Cécilia était délicate et toi tu es enragé! Ya un malaise. Elle rit parce qu'elle ne sait plus quoi faire. Tu en penses quoi toi? Faut te reprendre, mec."

"Tu parles que je vais me reprendre!" Les yeux de Max n'annoncent rien de bon. En un éclair, il arrache le cordon de la robe d'Aurélie et tire très fort de chaque côté pour ouvrir le vêtement, exposant du même coup toute l'intimité de son corps. Même de mon siège relativement éloigné, j'entends les coutures du tissu qui craquent! L'idiot a tiré si fort que le tissus s'est même déchiré par endroit... quel gâchis!

Aurélie lève de nouveau les bras et demeure sans défense, trop surprise par ce geste si soudain et violent. C'est quelque chose d'étrangement érotique, une si jolie fille, vulnérable qui en plus de devoir montrer son corps complètement nu, se place d'elle même dans une position sans défense. C'est presque trop demander de ne pas abuser et c'est donc exactement ce que Max fait en la bousculant brutalement vers le lit! Elle s'effondre sur le dos et essaie de s'appuyer sur ses coudes pour remonter en position assise, rien n'y fait! Max s'élance et grimpe sur le matelas et se place vite par-dessus elle en position de domination. D'une main libre, il la pousse de nouveau et la plaque rageusement contre le matelas. Je peux apercevoir le regard de terreur dans les beaux yeux d'Aurélie, elle comprend parfaitement bien ce qui va suivre. Nous le comprenons tous.

Tout cela se passe vraiment très vite! Aurélie se met à protester! "Arrête! Non! NON! PAS COMME ÇA!"

Max se rue sur son corps nu et lui enfonce son pénis au fond de la chatte; il la pénètre brusquement et furieusement! Avant que personne ne puisse réagir, le jeune homme se déchaîne et se met à tamponner le joli sexe de ma copine aussi frénétiquement qu'il le peut.

Cela n'a rien d'érotique. Cette pénétration n'est d'aucune qualité ni visuelle, ni même sexuelle. Max semble plutôt être comme un petit chien qui aurait jeté son dévolu sur une patte de chaise et donne de furieux petits coups de bassin à une cadence démesurée.

Je ne sais plus quoi penser ni quoi faire. Est-ce que je dois laisser aller? Est-ce acceptable comme scène?

Je pense qu'Étienne est sur le point d'intervenir quand Aurélie éclate de nouveau de rire. Cette fois, ce n'est plus de la gêne. C'est le ridicule qui sort. Toute la scène est ratée. Sa robe est déchirée. L'érotisme a foutu le camp par la fenêtre et sa première expérience est misérable, l'excitation disparaît à vue d'oeil.

"Ta gueule! Arrête de rire, salope!" Max attrape une poignée des cheveux de la belle et assure sa prise en tirant sa tête vers l'arrière tout en continuant sa pénétration rapide et brutale!

Aurélie ne rit plus; elle se met à protester vivement. "Arrête! Tu tires trop fort! Ça fait mal!" Je crois qu'il s'apprête même à la frapper!

Ça suffit! Peu importe ce qu'Étienne m'a demandé, on est sorti des règles du jeu! Je me lève pour arrêter la scène quand je sens une main ferme me tirer vers l'arrière. "Restes assis." La voix de Cécilia est autoritaire et décidée. Je m'apprête à lui dire d'aller au diable quand je vois dans ses yeux qu'elle n'est pas en train de m'arrêter pour faire durer la scène; c'est elle qui va agir. Cette fille rage de l'intérieur et maintenant, le volcan va exploser.

Max se met à se lamenter comme un chaton. À peine quinze secondes après la pénétration, il va jouir, le con.

Cécilia s'est levée et atteint rapidement le lieu de la scène. Elle ne laisse même pas Max se vider dans la chatte d'Aurélie. Elle l'attrape par le bras et elle tire brutalement vers elle. À en juger la poigne de cette fille, elle ne le ménage pas. "Allez l'étalon, on se rhabille et on retourne chez sa maman."

"Oui mais..." Max tente de protester, son visage à moitié transi par l'orgasme qui le secoue. Il se met à éjaculer par terre et semble soudainement petit et ridicule. Cécilia n'attend même pas qu'il ait finir de jouir et l'expulse dans une salle de bain adjacente.

"Pas de mais. Être nouveau, être confus et faire des gaffes, c'est une chose mais être con comme un mur, c'est pas acceptable. On a tous perdu du temps à cause de toi et maintenant que tu es venu comme un con, tu ne seras plus d'aplomb pour un bon moment. De toute façon, pas de danger qu'on te laisse la toucher de nouveau! Notre nouvelle recrue a sans doute le goût de tout abandonner à cause de toi. Allez! Dégage! Fous le camp! Connard!"

Aurélie demeure couchée sur le dos, la vulve à l'air, les jambes bien écartées. Elle rigole un peu et pleure en même temps. Ma pauvre chérie.

"Je vais être honnête, celle-là. je ne l'ai pas vu venir." Annonce simplement Étienne.

Cécilia le fusille du regard. "Mais qu'est-ce qui t'as pris d'engager ce con? T'as pas filtré un peu?"

Étienne demeure calme et hausse les épaules. "Crois-moi, il était une tout autre personne lors de son entrevue. Il était poli, charmant... réservé même."

C'est moi qui lui donne la réplique. "Ouais, on sait bien, celui-là tu as pas pu le baiser alors comment savoir?" Mes mots sont froids mais en ce moment précis, je n'éprouve pas un amour très profond pour ce studio. Étienne ne m'en tient pas rigueur, il sait qu'il a merdé.

"Pff.. quelle merde." Cécilia se tourne vers Aurélie. "Ça va ma jolie?"

Aurélie secoue la tête. "Je pense que j'ai fait une erreur, ce n'est pas pour moi la porno."

Étienne s'apprête à répondre mais Cécilia le coupe. "Foutaises! Tu es jolie comme un ange et je laisserai pas ce con te briser tes fantasmes." Elle nous regarde brièvement. "Étienne! Tu filmes! On enchaînera avec le segment que j'ai fait avec elle voilà quelques minutes. Toi, le copain, tu restes assis!"

Ni Étienne ni moi n'osons la contredire alors qu'elle grimpe sur le lit et prend Aurélie dans ses bras pour la réconforter d'une longue étreinte amoureuse. Elle lui chuchote quelque chose à l'oreille que je n'entends malheureusement pas mais quand Cécilia recule son visage pour voir la réaction d'Aurélie, elle se fait accueillir par un sourire angélique. C'est même Aurélie qui s'approche pour l'embrasser tendrement.

Cécilia ne perd pas de temps et laisse sa main droite tomber pour aller caresser la vulve de ma copine. Ses doigts ont tôt fait d'explorer son doux vagin, taquinant son clitoris et traçant la longue ligne de ses lèvres roses et humides.

Aurélie regarde Cécilia d'un air gourmand. "Tu trouves pas ça injuste que chaque fois qu'on s'est touchées depuis mon arrivée, ya que moi qui est nue?"

Oh Aurélie, comme tu lis dans mes pensées.

Cécilia ne prend pas la peine de répondre avec des mots et laisse ses gestes parler pour elle. D'un mouvement assuré, elle saisit son propre t-shirt au niveau de la taille et a tôt fait de l'expédier au-dessus de sa tête pour de le balancer loin du lit.

Cécilia nous offre un spectacle aussi inattendu qu'inusité. La première chose qui tape à l'oeil c'est l'énorme tatou qui couvre presque l'entière surface de son dos; un gigantesque dragon pourpre et argent aux ailes déployées d'une épaule à l'autre. L'oeuvre est magistrale certes mais ce qui attire mon attention c'est le relief qui la caractérise jusqu'à ce que je comprenne que le dos de Cécilia est recouvert d'une vingtaines de piercings de métal savamment distribués à des points stratégiques du dessin. Les serres, la pointe des ailes, les yeux, les articulations des membres sont tous ponctués de ces petites bosses argentées. C'est inhabituel mais je dois l'avouer, absolument magnifique.

La brassière que Cécilia porte est noire comme le jeans qui couvre son formidable cul. Le bonnet ne couvre que la partie inférieure de ses seins. Déjà, avant même qu'elle ne retire cet accessoire situationnellement superflu, je peux pleinement apprécier cette poitrine spectaculaire. Aurélie s'approche et retourne le geste que Cécilia lui a offert il y a quelques minutes en détachant le soutien-gorge de sa nouvelle amie. Sans cérémonie, cette dernière s'empresse de l'envoyer rejoindre le t-shirt déjà oublié. Les seins de Cécilia sont définitivement magnifiques. Malgré leur volume quelque peu inhabituel, la peau est lisse et belle, ses mamelons sont rose pâle et généreusement gonflés. Certaines femmes ont des aréoles larges couronnées de minuscules tétines mais Cécilia a plutôt de généreux mamelons qui ne demandent qu'à être sucés longuement et vigoureusement.

Je pense qu'Aurélie atteint la même conclusion puisqu'elle les regarde d'un air gourmand. Comprenant vite le désir de ma belle copine, Cécilia la saisit fermement par les cheveux et porte un de ses seins vers la jolie bouche qui s'ouvre avec enthousiasme, la langue déjà sortie. Aurélie le prend d'ailleurs à pleine bouche; je ne peux voir son jeu de langue mais à juger le mouvement de ses joues et le sourire de Cécilia, elle y met de l'entrain. "Laisses-toi aller ma chérie mais gardes-en pour l'autre."

Aurélie ferme les yeux et se contente de répondre par de petits gémissements bandants à mesure que Cécilia continue d'explorer sa douce petite chatte.

Cécilia ne s'emmerde visiblement pas. Bien malgré elle, son bassin commence à faire des mouvements de va et vient qui ne mentent pas; si elle était un homme, Aurélie serait de nouveau en train de se faire pénétrer.

Parlant d'homme, j'entends la porte du studio qui claque. Au revoir Max. Bon débarras.

Aurélie caresse vigoureusement le cul de Cécilia mais au travers les jeans, le geste apparaît presque stérile. Ses jolies petites mains se dirigent donc vers la fermeture avant et détachent le bouton pour ensuite baisser la fermeture éclair. C'est malheureusement tout ce qu'elle peut faire puisque Cécilia est accroupie sur elle.

Sans se le faire demander, celle-ci se retire juste assez loin pour pouvoir baisser son pantalon et sa petite culotte du même coup. Le cul de Cécilia est rond et généreux, c'est absolument magnifique. Ce sont de superbes fesses rondes et rebondies que je contemple et pour un moment, je suis jaloux d'Aurélie.

Son pantalon parti là où il ne nuira plus à personne, Cécilia a tôt fait de se relancer sur Aurélie, ainsi placée sur ses genoux et ses coudes, elle s'impose et couvre le visage de ma belle copine de langoureux baisers et ne se gêne pas pour donner de la langue. Leurs poitrines sont pressées l'une contre l'autre et Cécilia frotte son entrejambe sur la touffe d'Aurélie comme y elle la baisait.

"Oh putain j'adore ta jolie petite bouche de Sainte-Nitouche! Fais-moi voir comment tu fais avec!" Lance Cécilia alors que d'un geste décidé, elle se propulse vers l'avant et place ses genoux par-dessus les épaules d'Aurélie pour ainsi clouer l'adorable visage de la belle entre ses voluptueuses jambes. Elle lui attrape les cheveux et force ainsi la bouche de ma copine sur son sexe. Je constate que l'effort est futile: en voyant ce temple s'approcher ainsi de son visage, ma belle Aurélie ouvre la bouche et tend la langue avec encore plus d'enthousiasme qu'avant. Ma jolie brunette referme les yeux et se lance alors avec zèle, prodiguant un amour oral d'une telle intensité que Cécilia se met presque immédiatement à se lamenter comme une pute.

Je me fous de ce qu'Étienne pense. Je détache mon pantalon et je commence à me masturber lentement en appréciant le spectacle. Je sais que si je vais le moindrement vite, je vais jouir et je veux que le plaisir dure. De mémoire, c'est certainement un des défis les plus difficiles que j'ai eu à surmonter!

Le jeu de langue d'Aurélie dure une petite minute quand soudain, Cécilia se dégage.

"Déjà?" La toute petite voix d'Aurélie est craquante.

"Oh que non ma belle. Je fais juste modifier le terrain de jeu!" Annonce Cécilia alors qu'elle se tourne pour me faire face. Sa vulve a de nouveau tôt fait de retrouver la bouche d'Aurélie et cette fois, je peux l'admirer comme il me plait. Son joli vagin est couronné d'un rectangle bien taillé doté de poils droits et foncés, une large bande couvrant le dessus de sa belle vulve mais laissant ses lèvres vaginales complètement découvertes. Je préfère de loin la douce pantoufle triangulaire d'Aurélie mais je me dois d'avouer que ça a aussi son charme.

Cécilia capte mon intérêt et me sourit immédiatement alors qu'elle se met à vigoureusement caresser son propre clitoris tout en frottant sa vulve sur le visage d'Aurélie. "Ah ouais ma belle... Vas-y encore... laisses-ta langue explorer... vas plus haut et embrasse-moi le cul... oooh oui... comme ça... ta langue sur mon anus... mmmm...."

Putain je vais exploser. La vue est euphorique. Aurélie, toujours couchée sur le dos me montre son corps complet, seul son visage est caché puisque Cécilia est ni plus ni moins assise dessus. Les seins d'Aurélie sont parfaitement dégagés et ses jambes demeurent bien écartées pendant qu'elle se roule les hanches comme une vraie chatte en chaleur. Cécilia me souffle des baisers et se pince les mamelons en me narguant. J'ai tellement le goût de lui sauter dessus et elle le sait, la salope.

"Hmm... hmmm... moi aussi j'aimerais te manger la chatte mais t'es trop poilue ma chérie." Annonce la démone en se laissant tomber vers l'avant. Tout en cherchant une alternative, elle se met à masturber frénétiquement la vulve d'Aurélie qui aussitôt se lamente comme une folle, sa bouche toujours envahie par le sexe et le cul de Cécilia.

L'ange et la démone se caressent mutuellement et leurs plaintes me sont comme une longue mélodie divine mais je sais que quelque chose manque. Ce doute est confirmé au moment où Cécilia retire son joli cul du visage d'Aurélie. La pauvre est rougie par le plaisir et l'effort. Son visage est moite, ses longs cheveux collent à la peau de son front et de ses joues. Quoi qu'il en soit, elle semble s'acclimater de son rôle largement mieux qu'il y a quelques minutes.

Cécilia se lève et quitte la scène. Aurélie se hisse sur ses coudes mais le reste de son corps demeure relaxe, ses jambes toujours largement écartées. La vue sa chatte ainsi abandonnée me rend fou. Elle me lance un joli sourire. "Je t'aime!"

Je souris mais je ne dis rien. Je refuse de laisser ma présence profaner cette scène divine.

Cécilia revient vite vers Aurélie. Je remarque le jouet qu'elle rapporte et je me mets à trembler d'appréhension. Dans ses mains, Cécilia tient une sorte de ceinture sur laquelle est montée un double gode, une bitte pour Aurélie, une pour elle. Oh que ça va être beau à regarder ça.

"Chérie, faut je te baise, j'en peu plus mais moi aussi j'en veux et j'en veux maintenant." Annonce Cécilia alors qu'elle insère un des deux bouts du gode loin entre ses jolies lèvres vaginales. Tremblant elle aussi d'excitation, elle tente aussi bien qu'elle le peut d'attacher la ceinture autour de sa taille. Aurélie ne lui est d'aucune aide, elle fixe le gode avec des grands yeux tout en se trémoussant la chatte comme une pute en manque. "Putain j'y arrive pas!" Proteste Cécilia.

"C'est pas ton genre de perdre tes moyens..." Rétorque Étienne.

"Je sais bordel! Elle m'excite sans bon sens cette fille! Mais regarde la un peu quoi! Comment est-ce qu'elle peut avoir l'air aussi innocente après tout ce je viens de lui faire? Non mais putain! Je viens de me frotter le cul sur son visage et elle en redemande!

Aurélie sourit comme un ange. "Comme il est gros! Tu crois qu'il va tout rentrer dans ma petite chatte?" Aurélie demande d'une voix délicieusement douce et adorable, complètement hors sujet." Je me demande si elle ne s'amuse pas avec l'emprise qu'elle a sur sa tortionnaire. Cécilia va bientôt perdre les pédales si elle ne peut pas assouvir son désir sur cette jolie femme qui attend patiemment.

Tant pis, je m'en mêle. Je me lève et je m'approche. "T'auras qu'à enlever ce bout du film." Je lance à Étienne. Il ne semble pas s'opposer à mon initiative.

C'est donc ainsi que je m'approche de la scène, sans même prendre la peine de ranger mon pénis en érection. Je me place derrière Cécilia en faisant bien exprès pour que ma bite glisse sur la longue ligne entre ses deux fesses (sans la pénétrer bien sûr) et sans hésiter, j'attache la ceinture dans son dos. Une fois la chose faite, elle se tourne et me lance un joli sourire avant de s'approcher et de m'embrasser profondément tout en masturbant le bout de ma bitte de ses doigts fermes et agiles pendant quelques délirantes secondes. Juste au moment où je suis sur le point de lui venir dans les mains, elle arrête.

"Merci mon beau coco. Maintenant va te rassoir pendant que je baise enfin ton adorable copine."

Ça commence à être vraiment pénible, cet état de quasi orgasme qui ne semble pas vouloir se résoudre mais je me sens incapable de conclure ce moment de joie absolue.

Aurélie sait que son moment est sur le point d'arriver, elle respire frénétiquement et ses yeux pétillent d'anticipation. Cécilia se ramène au-dessus d'elle et pendant une trentaine de longues secondes, agace la vulve d'Aurélie avec le bout de son nouveau jouet.

Ma copine n'en peut plus, ses soupirs sont longs et pénibles. "Allez... allez... baise moi bon sang!"

Cécilia sourit et plaque un baiser brûlant sur les lèvres de ma douce amoureuse tout en guidant le monstrueux gode tout au fond de sa petite chatte.

Jouant des hanches et des jambes, Cécilia ondule comme une vipère par-dessus sa proie, entraînant un mouvement qui active son jouet en créant une pénétration double puissante et profonde.

Aurélie n'a besoin qu'une minute de cette torture pour atteindre un premier orgasme long et délirant. Ses plaintes suppliantes me rendent malade de jalousie. Cécilia a tôt fait de se joindre à elle, poussant des cris plus sauvages à mesure qu'elle enlace la déesse de velours prise dans ses griffes.

Ce manège dure quelques minutes. Il m'est difficile de compter précisément combien d'orgasmes les belles atteignent lors de ce jeu divin. Je dirais plutôt qu'elles demeurent sur un plateau de plaisir qui ne diminue vraiment jamais.

Cécilia finit par arrêter et force Aurélie en position assise. Elle prend place devant elle et réinsère le monstre dans la chatte de ma copine. De cette façon, les deux amoureuses de fortune peuvent participer au jeu, appuyées sur leurs mains, roulant le bassin et mues par leurs langoureux coups de hanches, la pénétration est de nouveau partagée et les deux belles ont tôt fait de se remettre à gémir.

J'essaie d'imaginer quel genre de position les deux demoiselles pourraient prendre avec un jouet si particulier. Je me demande si Cécilia oserait demander à Aurélie de se retourner pour pouvoir ainsi défoncer son joli petit cul. D'un autre côté, un gode si énorme? Ma pauvre chérie. C'est son premier rôle; gardons-nous des plaisirs pour plus tard quand même.

L'ange et la démone continuent leur jeu mais les mains ne servent plus à l'appui. Les deux corps se sont dangereusement rapprochés, presque assise une sur l'autre à se caresser mutuellement le visage et les seins, leurs bouchent pratiquement soudées l'une à l'autre, leurs bassins tressaillant de mouvements discontinus pour entraîner la langoureuse pénétration de leur jouet partagé. C'est une vue tout simplement magique. J'en viens à désespérer à l'idée que ce sera bientôt fini quand je me rappelle soudain que tout cela est filmé. Cette scène euphorique sera non seulement immortalisée mais partagée à qui veut bien la voir. Quel bonheur!