Le premier déploiement de Julia 02

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Succomber à la tentation.
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Sarahxs3
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Le clairon du réveil, rendu nasillard par la sono du camp, me fait émerger de mon sommeil, alors que l'aube n'est encore qu'une promesse. Oui, le clairon, notre capitaine aime les traditions militaires.

Je me lève, j'allume la lumière et contemple l'étendue des dégâts. Mes draps sont chiffonnés, mais surtout une belle auréole décore celui du dessous. La moitié de ce qui est d'ordinaire posé sur ma table de nuit gît par terre, heureusement il n'y a rien de cassé. Quant au manche de ma brosse à cheveux, il a l'air franchement douteux. Enfin, douteux pour quelqu'un d'autre, parce que pour moi il n'y a aucun doute sur la cause de son état... J'ai un sourire en repensant à ma soirée, elle était particulièrement réussie. Il faut croire que ma décision de la veille a levé un reste d'inhibition.

Je me dépêche de ranger et de m'habiller, je ne veux pas être en retard. À la caserne, je râlais avec les autres de ces réveils matinaux, nous ressortions souvent la blague éculée : « à l'armée, même si tu n'as rien à faire, tu le fais tôt ». Mais quand on se retrouve au Sahel, on apprécie d'avoir quelques heures de travail où la température n'est pas encore suffocante.

Je fais un tour aux lavabos pour me rafraîchir et me coiffer. À cette heure-ci évidemment il y a pas mal de monde. Je prends un lavabo libre et je commence à nettoyer le manche de ma brosse avant de pouvoir m'en servir. Mais au même moment un mec s'installe au lavabo voisin, il regarde ce que je fais et me fait un grand sourire et un clin d'œil au moment où je lève les yeux sur lui.

Je me sens brutalement honteuse, comme si j'affichais sur mon front que je me suis caressée cette nuit. Je dois d'ailleurs vraiment l'afficher car je me sens rougir. Je baisse la tête pour finir mon nettoyage, afin d'échapper à son regard. Mais je dois la relever pour me brosser les cheveux et à cet instant mon voisin me sourit de plus belle, ajoutant à mon embarras. Heureusement il ne me dit rien. Je me brosse aussi vite que possible et je file pour échapper à cette gêne.

Pour exécuter mon plan, je dois d'abord consulter le tableau de service. En effet, il ne faudrait pas que Maxime soit envoyé en patrouille, il serait trop crevé en rentrant. Non ça va, il est de repos aujourd'hui, et demain matin il est de garde à l'entrée du camp. C'est emmerdant et on y a bien chaud, mais ce n'est pas épuisant.

Quant à moi, comme je le savais déjà, je suis de corvée de draps. Ça tombe bien, je pourrai m'occuper des miens discrètement. C'est un travail pas bien dur si on prend la précaution de le faire posément, sans se précipiter. Ici, une fois qu'on a chaud, il est long et difficile de se rafraîchir.

Donc, si tout va bien, la fin de l'abstinence, c'est pour ce soir.

Le midi, je me mets cette fois-ci à la même table que Maxime. Évidemment, nous ne sommes pas seuls, aussi j'agis prudemment et discrètement. Je me garde bien de lui sourire ou de lui faire les yeux doux. Simplement, lors de la conversation générale, je lui réponds un peu plus longuement qu'aux autres, mes regards vers lui sont un peu plus prolongés. Juste un peu, pour attirer son attention sans donner l'éveil aux autres. Compte tenu de son regard et de son sourire de la veille, cela devrait suffire pour qu'il comprenne qu'il m'intéresse, au moins un peu.

Lorsque nous portons nos plateaux vers la plonge, je m'arrange pour passer juste avant lui, et alors que je me tourne pour repartir, je murmure tout doucement vers lui : « cette nuit, chez moi ». À ses épaules qui se figent une fraction de seconde, je sais qu'il a entendu. Heureusement, il a le bon réflexe de garder un visage impassible et de partir de son côté comme si de rien était.

Bingo! Cette nuit, je baise!

Je suis dans ma chambre, seulement vêtue d'un short et d'une brassière. Pour la première fois depuis notre arrivée, je n'ai pas fermé ma porte à clé, ce soir je ne veux pas risquer le moindre bruit inutile même si, fort heureusement, la pièce voisine est un bureau inoccupé la nuit. Je suis fébrile, je me dis que bientôt Maxime va arriver, que je pourrai me coller à lui, l'embrasser, sentir ses mains me caresser, m'empoigner les fesses, caresser mes seins... Je sens mes tétons durcir, je dois me retenir de me toucher.

Je me doute de l'excuse que va employer Maxime pour découcher discrètement. Paradoxalement, il fait froid la nuit dans le désert. Or, si en journée la température dans le bâtiment est relativement fraîche, la nuit elle paraît chaude par contraste. De plus, dans une chambrée l'air circule mal, les autres font du bruit, ronflent, les lits grincent... Bref, l'alternative, c'est de dormir dehors dans son sac de couchage. Il faut bien s'emmitoufler dedans pour ne pas avoir froid et surtout oublier qu'on n'a pas de matelas mais, particulièrement les nuits sans vent, c'est plus agréable que dans la chambrée. Parait-il, car personnellement je ne l'ai jamais expérimenté, si je l'avais fait, toute l'unité aurait dormi dehors cette nuit-là...

Les gradés tolèrent, pourvu que le soldat s'installe sur un des toits-terrasses afin de rester à proximité immédiate, qu'il laisse le passage central libre, comme dans un dortoir, et qu'il ait son treillis et ses rangers à côté de lui, rien d'autre. Tout cela en cas d'alerte, comme toujours.

Un léger grattement à la porte. J'avais les oreilles aux aguets et pourtant je n'ai rien entendu venir. Merci Maxime, tu as su te montrer très discret, une vraie graine de commando. J'ouvre doucement la porte, qui heureusement ne grince pas. Maxime est là, tenant ses rangers d'une main, son treillis sur le bras, son sac de couchage jeté sur l'épaule. Bravo Maxime, même si comme moi tu es prêt à faire une sérieuse entorse au règlement, tu restes néanmoins un soldat. Je lui fais signe d'entrer et je referme doucement la porte derrière lui.

À peine a-t-il posé son barda que je l'enlace et l'embrasse. Il me rend mon baiser avec les intérêts et m'entoure de ses bras, me plaque contre lui, me caresse les épaules, descend vers ma taille. Bon dieu, que c'est bon d'avoir son corps collé au mien! de sentir ses muscles jouer sous mes mains, de connaître le goût de sa langue alors qu'elle envahit ma bouche. Rêver de lui, c'était bien, mais l'avoir contre moi, être physiquement en contact, c'est incomparable.

Après un long moment, nos lèvres se séparent.

-- C'est pas que j'ai pas envie, Julia, tu te doutes bien, depuis le temps que je rêve de toi, canon comme tu es. Mais tu sais ce qu'on risque? On est en opérations, là, les gradés ne rigolent pas avec le règlement, c'est pas comme à la caserne. Si on se fait pincer, ça va barder pour nos matricules.

-- Oui, je sais tout ça, j'y ai beaucoup réfléchi, j'ai longtemps hésité, et la conclusion...

Je me recule légèrement, je vois ses larges pectoraux moulés par son tee-shirt, sa gueule d'ange avec son léger sourire en coin, ses yeux rivés aux miens, je sens son odeur, mélange de savon et de transpiration qui revient déjà, son odeur d'homme. Comment renoncer à tout ça?

-- La conclusion, c'est que j'ai trop envie de faire l'amour! Avec toi! On sera discrets, on se fera pas pincer.

Avant qu'il puisse esquisser un mouvement, j'attrape le bas de son tee-shirt et le remonte. Il se penche en avant et lève les bras pour que je puisse le lui retirer. Je viens alors plaquer ma joue contre son torse, je l'embrasse, je le mordille amoureusement tout en caressant son dos. Enfin je peux le sentir, le toucher, le caresser. Plus besoin de le rêver, il est là, réel, formidablement présent.

Lui n'est pas en reste, il m'enlève ma brassière et ses larges mains viennent envelopper mes seins enfin libérés. Mes tétons durcissent encore aux creux de ses paumes, ils m'en font presque mal. D'autant plus mal qu'il commence à les pincer, à les faire rouler entre ses doigts. Je gémis de plaisir, j'avance mon bassin pour me coller à lui, je sens son érection au travers de son boxer, je me frotte contre sa queue qui est toute dure, pleine de promesses. Il lâche alors mes seins pour empoigner mes fesses, me soulève, me pose sur le lit, me bascule en arrière et m'arrache presque mon short. Je suis nue, nue et en feu.

Je me rassois sur mon lit et j'attrape l'élastique de son boxer que je fais descendre le long de ses cuisses, découvrant sa verge orgueilleusement tendue. Depuis le temps que j'en rêvais, nuit après nuit de plaisirs solitaires, enfin elle est là! Dressée devant moi, palpitante, fascinante, elle m'hypnotise.

Je la prends dans ma main, elle est chaude, douce et dure en même temps, je l'approche de mes lèvres, je l'embrasse, j'en touche l'extrémité de la pointe de la langue, puis j'avance mes lèvres et suce le gland, ce qui le fait gonfler encore, pendant que ma main amorce un lent va-et-vient le long de la hampe.

-- Oh Julia, bordel que c'est bon! Mais arrête-toi, ne me fais pas jouir maintenant.

C'est la voix de la sagesse, j'ai trop envie qu'il me prenne pour le faire jouir trop vite. Dès notre premier baiser, ma fente s'est humidifiée, maintenant elle doit dégouliner. Je me laisse aller en arrière, mais sans que ma main lâche sa verge. Je la dirige vers ma chatte, la guide entre mes lèvres qui, effectivement, sont trempées de ma cyprine. Je lâche alors son membre, me laisse aller complètement en arrière, et le supplie presque.

-- Vas-y! Prends-moi!

Il me pénètre alors, irrésistiblement, il fraie son chemin entre mes parois trop longtemps délaissées, il me pourfend, m'arrachant un râle de satisfaction.

-- Ah, qu'est-ce que ça m'avait manqué!

-- Et moi donc! Qu'est-ce que c'est bon d'être en toi, y a pas de meilleure sensation.

Puis il commence à aller et venir, lentement mais puissamment. Je plie mes jambes et entoure sa taille, mes talons contre ses fesses. Je l'enlace de mes bras, je jette mon bassin en avant, au rythme de ses coups de queue. Je me donne à fond. Comment ai-je pu me passer de ça pendant trois mois? Je voudrais que ça ne s'arrête jamais...

Je me rends compte que Maxime s'efforce de contrôler son rythme, malgré son envie de se lâcher la bride. Comme moi, il est terriblement excité par cette séance tant attendue, mais désireux de la faire durer afin de mieux en profiter. Mais, malgré lui, ses mouvements de bassin accélèrent, accompagnés par ma respiration qui se fait de plus en plus rauque.

Il faut dire que la boule dans mon ventre prend de l'ampleur, le va-et-vient de sa verge me fait à présent gémir, en demander plus...

-- Oui, vas-y, lâche-toi...

Aussitôt, il se déchaîne, nous n'en pouvons plus de cette attente tous les deux, il me baise à grands coups, avec des « han! » qui me font me sentir comme une sorte de punching-ball. Mais c'est exactement ce qu'il me fallait, je sens à présent le plaisir monter irrésistiblement, jusqu'au moment où Maxime se crispe, m'agrippe, râle, et éjacule en moi.

C'est l'ultime déclencheur, je suis submergée par mon propre orgasme, la respiration coupée, puis haletante, je me sens partir loin, très loin, presque à en perdre conscience. C'est fort, infiniment plus fort que l'ersatz d'orgasme de mes caresses nocturnes.

Peu à peu, mon souffle s'apaise, à l'unisson de celui de Maxime, lequel s'est abattu à mon côté. J'ouvre les yeux et le regarde, avec sa belle gueule que me laisse entrevoir la faible veilleuse. Il me sourit, l'air béat.

-- Qu'est-ce que t'es bonne, toi!

Un langage choisi n'est pas la qualité première de mon « bad boy », mais ce n'est pas non plus ce que je recherchais chez lui.

-- Et toi, t'es un bon amant. J'en crevais d'envie, mais tu as su m'emmener loin.

-- Et ce n'est que le premier round. Maintenant qu'on a paré à l'urgence, on va se faire plaisir.

Finalement, ce garçon a de bonnes idées, j'adhère à son projet. J'adhère de tout mon corps, en grimpant sur lui afin de caresser son torse.

-- Bon plan, soldat. Première étape : ranimer la flamme, qu'elle puisse faire feu de tout bois.

Je recule vers le pied du lit, pose ma tête sur son ventre et commence à jouer avec sa verge, maintenant revenue à de plus modestes proportions. Je la branle doucement, puis j'en serre la base plus fermement, tandis que je donne de petits coups de langue sur le gland. Je retrouve le goût de la semence, que j'avais presque oublié. L'avantage d'avoir dans son lit un mec jeune et vigoureux, c'est qu'il ne lui faut pas très longtemps pour retrouver de l'ampleur, du tonus, puis de la rigidité, bien aidé en cela par ma main et ma bouche. Un vrai travail d'équipe!

Je me redresse et le chevauche, je viens frotter ma chatte à sa virilité ranimée afin de la stimuler encore. Maxime a l'air d'apprécier et accompagne mes mouvements. De plus, très vite ses mains viennent se saisir de mes seins. Je ne peux pas dire qu'il les caresse, ou alors il faut ajouter : très vigoureusement. Mais dans l'état d'excitation où je suis, j'aime ça, je me cambre, je soupire d'aise.

-- T'as vraiment des super nichons, toi, dit-il en jouant avec, en les malaxant de ses mains puissantes, faisant rouler mes tétons déjà bien érigés.

-- Mmm... S'ils te font bander, c'est tant mieux!

Jamais je n'avais parlé comme ça à un de mes amants. Mais cette nuit, dans ce camp perdu au milieu du désert, en train de baiser en cachette après des mois de frustration, j'ai des envies de paroles crues.

-- Et comment qu'ils me font bander! Et toi, tu aimes bien que je te les pelote, hein, ma belle salope!

Je ne suis décidément plus la même, une partie de moi est choquée par ses paroles, mais l'autre, une nouvelle Julia, en est électrisée.

Pour toute réponse, je glisse ma main entre mes cuisses et je guide sa verge pour qu'elle me pénètre, je m'empale dessus.

-- Allez, baise-moi plutôt, fort et longtemps.

Mais dans cette position, c'est davantage moi qui le baise. Et il en profite bien, le cochon! Il continue à jouer avec mes seins, tout en accompagnant mes va-et-vient sur sa grosse tige. Puis ses mains glissent dans mon dos et viennent empoigner mes fesses, me donnant le rythme de mes montées et descentes sur sa queue.

Mmmm, que c'est bon, que j'aime ça, l'engloutir en moi et le sentir ressortir, et recommencer. À chaque descente, sentir sa verge ouvrir son chemin dans mes chairs m'arrache un gémissement de plaisir. Je voudrais que ça ne s'arrête jamais...

Nous continuons tous deux à savourer ce plaisir durant de longues minutes, pendant lesquelles je sens que l'index de Maxime se fait de plus en plus explorateur. Il s'avance vers mon petit trou, il le titille. D'ordinaire je ne suis pas fan de cette caresse, mais là, dans l'état d'excitation ou je suis, elle me stimule. Je me cambre un peu plus et il en profite pour pousser son avantage, en appuyant avec plus d'insistance, jusqu'à introduire sa première phalange, qu'il fait légèrement aller et venir.

Depuis un moment je sens mon plaisir monter, et cette nouvelle sollicitation l'augmente, l'orgasme n'est pas loin, je le sens. J'amplifie mes mouvements, je me mords les lèvres pour que mes gémissements ne deviennent pas des cris pendant que Maxime, qui a bien senti ce qu'il se passe, accélère le rythme, soulevant son bassin afin de pouvoir me pénétrer à fond.

Ça y est, la vague monte en moi, mon bas-ventre est pris de contractions, la jouissance me submerge...

-- Ah! Ah! OUIIIIIIIiiiiii...

Je m'effondre sur Maxime, tremblante, alors qu'il m'enlace et me serre dans ses bras. Collée à lui, reprenant mon souffle, je réalise que lui n'a pas joui.

Après ce deuxième orgasme, je suis prise d'une vague de bien-être qui me fait dériver doucement vers la somnolence, quand soudain Maxime me fait basculer sur le côté et se lève.

-- Allez, à quatre pattes maintenant! Que je te prenne en levrette.

Je souris, il reprend le contrôle, mon beau mâle... Tant mieux, après tout j'aime quand mon homme sait ce qu'il veut. Et il a droit à une autre jouissance, lui aussi. Je prends donc docilement la posture demandée, bien cambrée, les fesses tendues. Il prend position derrière moi et, m'agrippant aussitôt par les hanches, il reprend possession de mon sexe.

Maintenant, c'est lui qui donne toute la mesure, je n'ai plus aucun contrôle. Il me tire vers son bassin au moins autant qu'il se plonge en moi, m'arrachant des « ah! » à chaque fois que son ventre vient claquer mes fesses.

-- Alors comme ça, t'avais envie de baiser? De te faire tringler par une bonne bite? Eh bien tu es servie, ma salope! Moi, ça me manquait drôlement de ramoner une chatte, et c'est toi qui y a droit, tu peux me dire merci!

Une toute petite voix me murmure : mais qu'est-ce qu'il t'arrive? Pourquoi tu le laisses te parler comme ça? Mais elle est vite réduite au silence par ma propre voix qui lâche tout haut, entre deux halètements :

-- Oui, j'avais besoin de ta queue... J'avais besoin que tu me prennes fort, mon salaud! Fais-toi plaisir, je suis toute à toi...

À peine ai-je dit cela que sa main droite vient appuyer fortement entre mes épaules, il m'écrase la tête dans le matelas. Je sens alors sa verge sortir complètement, pour venir appuyer sur mon petit trou. Non, c'est pas vrai? Il ne va pas... Ah! Ouch! Si, il le fait, le fumier! Il est en train de m'enculer, sans préparation! Aie!

Je le sens passer, je déguste. Heureusement que ce n'est pas ma première fois, parce qu'il y va fort... Je tente un peu mollement de me débattre, mais il me maintient fermement pendant qu'il entre de toute sa longueur dans mon petit cul. Je sens son ventre se coller à mes fesses, il est complètement en moi. Aïe... Le plus dur est passé.

Il commence alors un lent va-et-vient, sa main quitte mes épaules pour me tenir à nouveau par les hanches. Il impose son rythme, lent mais profond, chaque fois il sort presque entièrement sa queue, je sens la couronne de son gland passer mon sphincter, en sortant puis en re-rentrant aussitôt, suivi de toute la longueur de sa verge qui m'investit à nouveau.

-- T'as un petit cul bien serré, ma salope! Ça m'excite grave! Et toi aussi ça te plaît, hein, d'être prise par là?

Le plus fort c'est que cette belle brute a raison : maintenant que la douleur commence à se dissiper, j'apprécie cette sodomie. Après deux orgasmes, j'en veux encore? On dirait bien que oui... En tout cas, je sens mon excitation revenir, je remonte ma main vers mon clito, que je commence à caresser.

-- T'es un salaud de m'avoir prise sans prévenir. Mais maintenant que tu y es, vas-y, lâche-toi...

Parce que oui, c'est dingue, mais j'ai envie qu'il me prenne fort, envie de me sentir comme une poupée sexuelle soumise à sa volonté de mâle. Et c'est ce qu'il se passe, mes mots l'ont libéré d'un reste de retenue, il se déchaîne. Ses allers-retours sont rapides, presque violents, ponctués de « han! » alors que son ventre vient claquer mes fesses.

Ces grands coups de boutoir me secouent tout entière, et je laisse échapper des « oui... oui... » tandis que je me branle frénétiquement. Mon plaisir monte à toute vitesse, je n'en peux plus, je veux jouir...

-- Ahhhh! Ahhhh! Ouiiiiii!

L'orgasme m'a surprise, mais il n'en est pas moins fort. Maxime me tient fermement par les hanches, alors que mon corps est secoué par les spasmes de la jouissance. Je le sens s'enfoncer complètement en moi, ses doigts se crispent, s'incrustent dans ma chair, tandis qu'il crie à son tour :

-- Ah, comme ton cul me serre, c'est trop bon! T'es une vraie chienne! Ahhhh!

Et il jouit, se vidant de sa semence dans mon cul. Dans le cul de sa chienne, comme il dit.

Nous tombons de côté tous les deux, haletants, épuisés par cette chevauchée. Je sens ses bras qui m'entourent, ses mains qui enveloppent mes seins, juste pour les tenir. Je me colle à lui et je sombre dans une bienheureuse inconscience.

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11 Commentaires
OurimOurimil y a 3 mois

Je t'ai finalement envoyé un massage via le formulaire de contact de literotica (je n'ai pas de compte twitter).

Désolé du délai, je fut pas mal, occupé cette semaine :/

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Wouha !!! super récit !!!

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Wow, excellent récit et merveilleuses descriptions! J'ai déjà lu des romans pornos publiés qui n'arrive pas a la cheville de ton language sexuel. Chapeau, et vivement le troisième chapitre!

Sarahxs3Sarahxs3il y a 3 moisAuteur

Encore merci pour les commentaires, pour une première histoire publiée, ça me motive énormément :3

Ourim, je t'invite à consulter mon profil pour ça :P

AnonymousAnonymeil y a 3 mois

Super j’attend la suite peut-être soumise ou enlever ;-)

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