Le Plus Bel Ete 02

Informations sur Récit
Où Charlotte décide d'aller jusquau bout du chemin entrepris.
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 03/18/2021
Créé 06/21/2009
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Dans l'épisode précédant (Pas de porte) nous avons vu Charlotte, qui s'estimait affublée d'un physique peu avantageux, découvrir la jouissance avec un vieil ami de trente-cinq ans de plus qu'elle.

*************************

J'ai revu Xavier tout l'été. Je crois que personne ne s'est jamais aperçu de rien. Après déjeuner, à l'heure de la sieste, je faisais un tour à la Soulane.

J'accompagnais souvent le frérot au terrain de jeux derrière la mairie, puis je m'esbignais discrètement. Le frérot ne cherchait pas à comprendre. Bien trop heureux. Je lui laissais la paix, et il pouvait aller s'éclater avec ses copains.

Alors, je prenais en douce le chemin de la terrasse de Xavier. Arrivé devant la porte, je grattais doucement et je poussais l'huis dans la pénombre. A l'étage, je trouvais mon amant, qui m'attendait sereinement.

Il était mon amant. Pas un copain. Certainement un ami. Mais surtout mon amant.

La première fois qu'il m'avait fait connaître la jouissance, il l'avait fait juste pour moi. Je ne m'en étais pas rendue compte, anéantie comme je l'étais. Lui n'avait pas pris son plaisir. Il m'a dit par la suite que son plaisir avait été de me voir jouir. Il m'a également avoué qu'il n'avait pas voulu « aller plus loin », parce que cette aventure avait été tellement inattendue qu'il n'avait rien à sa disposition pour nous protéger.

Je me souviens que lorsque j'ai repris mes esprits, il m'a bercée de baisers sur tout le corps, depuis la plante des pieds jusqu'au front, humant encore les effluves corsées qui s'échappaient de mon buisson ardent, me faisant me tourner pour savourer la texture de mes fesses, ou encore soulever le bras pour longer la plage de peau fine qui s'étend du sein à la floraison de l'aisselle. Il a butiné sous mon bras. Il est remonté le long de mon cou. Il m'a mordillé les oreilles. Il m'entourait de sa tendresse et je fondais contre son torse velu, m'emplissant de son odeur d'homme légèrement musquée.

L'angélus a sonné. Il fallait que je m'en retourne, sinon la mère allait se demander ce que je devenais. Quand il a compris qu'il fallait que je le quitte, il m'a doucement rhabillée. La culotte, le soutien gorge. Il s'est amusé à installer chacun de mes nichons dans son bonnet. J'ai fini par enfiler jean et T-shirt. Un baiser passionné. Nos bouches entremêlées. Et je me suis sauvée. Jusqu'à ma chambre où je me suis réfugiée pour savourer mon secret. Le plaisir. La jouissance. Ce mystère qui m'ouvrait ses portes et qui m'avait saisie par surprise. Auquel je ne comprenais encore rien. Je n'étais consciente que d'une chose, c'est que totalement ignorante des plaisirs de la chair le matin même, Xavier avait déclenché un ouragan dans mon corps. J'étais submergée par la vague qui m'avait emportée, et le seul désir qui me hantait désormais, c'était de revivre, par tous les moyens, la débauche des sens qu'il m'avait fait connaître. De naïve, je tournais à la dépravée. Quelle conversion!

Alors j'ai exploré.

La première chose que j'ai faite, quand je suis rentrée le premier soir dans ma chambre, fut d'enlever pantalon et culotte et de me saisir d'un miroir à main, de m'asseoir les fesses sur le bord de ma chaise, d'écarter les jambes, et de regarder.

Je n'avais jamais fait ça. Lorsque j'avais mes règles, étant toujours fille, j'utilisais des serviettes. Ça me dispensait de tout examen tactile approfondi.

Comme ma toison me masquait le théâtre de mes sensations, pour la première fois, de mes doigts, j'ai écarté mes lèvres, puis, lorsque j'ai aperçu le corail de ma vulve, j'ai saisi une petite lèvre pour ouvrir plus franchement, et voir. Voir encore mieux. J'ai allumé ma lampe de bureau, et comme dans un polar américain, j'en ai dirigé le faisceau vers moi. Non, pas dans mes yeux. Vers ma chatte. J'ai écarté encore davantage. J'ai parcouru ma fente d'un doigt, jusqu'à la perle rose qui se cache sous le long bourrelet, là, à la commissure, et qui m'avait fait tant de bien. Tout était trempé. Pour éviter que ça coule, du doigt, j'ai soigneusement étendu mon nectar sur toute la surface. Et plus encore.

J'ai même humecté ma pastille, l'endroit interdit. Mais puisque Xavier m'avait dit que rien n'était sale. De toute façon, j'étais bonne pour une douche. Là, c'était plus difficile de voir. Alors, j'ai coincé ma porte avec la chaise pour éviter de me faire surprendre, je me suis complètement déshabillée, et me suis agenouillée, assise sur mes talons, les cuisses et les fesses grandes ouvertes, sur mon lit découvert. J'ai glissé le miroir au bon endroit, et dirigé le faisceau de ma lampe par réflexion sur mon saint des saints.

Et j'ai vu le petit anneau froncé, tout brillant de mouille.

Curieuse, j'ai appuyé au centre avec l'index. J'ai vu que ça rentrait, mais que tout ça était très serré. Mais cet endroit était très sensible à la caresse, d'autant plus qu'elle me paraissait tout à la fois perverse, obscène, dévergondée, dépravée, pour tout dire : interdite! C'était bien la première fois que j'étais consciente d'une chose pareille!

Puis, je suis revenue vers l'avant, en tendant mon ventre. J'ai vu qu'il y avait cette perle au bout d'une sorte de long manchon, et qu'en serrant ce manchon avec deux doigts, la perle jaillissait de son repère, et que cette simple pression me faisait éprouver des sensations de plaisir inattendues. Comme toute cette mouille qui envahissait ma fente permettait des caresses d'une douceur incroyable, alors j'ai étendu ce nectar sur toute ma perle, et je l'ai massée...

Heureusement que j'étais bien assise. Un hoquet de jouissance m'a prise. J'ai mordu mes lèvres pour ne pas crier. Et j'ai recommencé, encore et encore, recroquevillée sur moi-même, les nichons pendant sur mon ventre, une main collée dans ma fourche, l'autre malaxant mes tétons, vibrante de tous mes membres, jusqu'à ce que la jouissance devienne insupportable, me secoue à m'en couper la respiration...

J'avais découvert la masturbation. Ou comment se rouler dans la fange avec les mains! Je devenais folle à lier. Moi qui n'avais jamais éprouvé le moindre plaisir sexuel, moi qui ne m'étais jamais posé la moindre question sur le plaisir sensuel qu'on pouvait partager avec quelqu'un, moi qui, en bref, étais innocente comme personne, voilà que je découvrais la jouissance à l'état brut, le pouvoir des caresses, la commotion du corps pris par le plaisir, la plénitude de l'orgasme, et je me jurai d'aller jusqu'au bout de mes découvertes.

J'ai tâté mon pucelage. Pour savoir. Ce que les filles appelaient leur « berlingot ». Je comprenais bien que toute cette liqueur qui facilitait tant mes caresses coulait par la petite ouverture que j'apercevais dans le miroir. Et j'ai pressenti que tout ce plaisir que je recherchais à présent avait une seule justification : cet endroit précis. Mon con. Et que je ne parachèverai ma quête, si cela était même possible, ou imaginable, qu'en me débarrassant rapidement de cette barrière. Il faudrait bien qu'un homme rentre là, et brise le sceau. J'avais déjà une petite idée.

Quelques jours après ce premier orgasme, quand j'ai compris à quel point les caresses que Xavier m'avait prodiguées avaient été pour moi, pour moi seule, sans contrepartie, sans exigence de quelque sorte que ce soit, j'ai ressenti comme une sorte de vertige. Xavier avait été d'une tendresse inouïe, et j'en éprouvais un tel retournement de tout mon être, un sentiment de reconnaissance si puissant, un tel désir de me retrouver avec lui, que je lui conçus un attachement sans borne. Malgré notre différence d'âge, le fossé qui nous séparait dans l'expérience que chacun pouvait avoir de la vie, j'étais envahie d'un sentiment d'une force incompréhensible à son endroit. J'ignorais ce dont il s'agissait, et ce n'est que beaucoup plus tard que j'ai compris que pour la première fois de ma vie, j'étais tombée folle amoureuse d'un homme.

Dès lors, je n'ai plus eu de cesse qu'il ne jouisse lui aussi avec moi. De moi. De mon corps que je voulais lui offrir. Et c'était à lui que je demanderai de me dépuceler. Il était d'abord l'homme à qui je voulais l'offrir. Et en plus, c'était son dû. J'étais persuadée qu'il le ferait avec toute la douceur du monde, pas comme ces brutes dont j'avais entendu parler et qui n'avaient comme souci que de montrer le drap taché du sang de leurs exploits. Lui, j'en étais sûre, m'aimait. Lui savait d'instinct comment me donner du plaisir. Et ce qui me faisait jouir.

D'innocente, même si je ne connaissais pas encore le mot, je me sentais définitivement l'âme d'une hétaïre, bien décidée à prendre les moyens pour parvenir à mes fins : jouir encore et encore avec l'homme que je m'étais choisi. Il fallait que j'en prenne les moyens. Malgré mon désintérêt jusqu'à ce jour, le seul truc qui avait imprégné un coin de ma cervelle - je ne savais plus si c'était au lycée qu'on me l'avait dit, ou si j'avais entendu ça à la télé - c'est que si on voulait faire l'amour avec quelqu'un, il fallait faire attention et se protéger.

Un matin, je suis descendue à Châteauneuf, et j'ai acheté une boite de capotes au supermarché. Mais pas que ça.

Quand je suis revenue l'après-midi chez Xavier, je lui ai dit :

-- Aujourd'hui, je veux être ta femme!

Il a bien compris ce que je voulais. Je l'ai vu très circonspect.

-- Tu es sûre?

-- Certaine!

-- Et si tu regrettais de ne pas faire ce cadeau à celui que tu choisiras plus tard?

-- C'est avec toi que je veux le faire!

-- Et si ton futur amoureux te le reproche?

Je me suis emportée, et c'est presque avec violence que je lui ai répondu :

-- S'il me reproche ça, il ne sera pas mon futur amoureux. Il ne va pas m'aimer pour mon pucelage!

Et j'ai ajouté péremptoire, en me pendant à son cou, vrillant mon regard dans le sien :

-- Je veux vraiment baiser avec toi!

Baiser! Quel mot! Si je l'avais déjà lu, ou entendu dans des conversations autour de moi, je ne l'avais jamais utilisé. Et pour cause. Mais là, je n'étais que provocation. Je suis à nouveau serrée contre lui, et cela me faisait encore une fois chaud au corps. J'étais insatiable. Je me frottais contre lui, je lui faisais sentir toutes mes rondeurs, pour qu'il ait envie, pour le faire bander, pour qu'il me prenne! Et visiblement, ça marchait!

Nous étions à nouveau dans la chambre de mes premières émotions. Je voulais prendre les choses en main. Je lui ai demandé de s'asseoir sur le lit et de me regarder. Il s'est laissé faire! Je menais la partie. Comme au tennis de Maminou.

Quinze, zéro.

Et doucement, en le fixant droit dans les yeux, j'ai commencé à me déshabiller. J'ai vu sur son visage la couleur du désir. Son regard m'enveloppait d'une intensité gourmande qui me faisait littéralement fondre, rien qu'à penser à ce qui m'était destiné. Et rien que pour ce regard, j'étais décidée à me dépasser dans la provocation.

Je m'étais vêtue comme d'habitude. Il ne fallait pas que j'alerte mon entourage. Dans le style : « Mais, où vas-tu donc comme ça, déguisée en princesse de journal pipol? ». Mais ce dont il ne se doutait pas, c'est que ce matin, je m'étais acheté une parure dans le seul magasin de lingerie de Châteauneuf. Rien de bien luxueux. Mes économies ne me permettaient pas mieux. Mais simplement autre chose que mon coton blanc habituel. J'avais fait fort : un soutien-gorge à balconnets et surtout un string arachnéen. Et je savais que, pour le string, avec la forêt tropicale qui recouvrait mon bas-ventre, ça déborderait de partout. Et justement, c'était bien l'effet que je recherchais. Xavier m'avait confié à quel point ma fourrure l'excitait. Eh bien, le comble de l'hypocrisie, c'était de feindre de dissimuler ce que je ne pouvais certainement pas cacher avec le petit rien du tout que je m'étais procuré. Quant au soutif, il propulsait mes lolos vers les sommets, comme un plat de fraises qu'on donne à lécher! Je m'étonnais moi-même. Il y a quinze jours, l'idée ne m'aurait même pas effleurée. Donc je commence par lui jeter un regard que je veux « ravageur ». Xavier ne moufte pas, amusé. J'ai encore marqué mon point.

Trente, zéro.

J'ai posé mes lunettes sur la table de nuit, et j'ai commencé par balancer mon T-shirt. En le relevant sous ma poitrine, ça a mécaniquement fait remonter mes nichons. Et quand il est passé au dessus de ma tête, la pesanteur a fait son office. Mes deux doudounes sont retombées souplement, avec mes bouts qui se sont projetés en avant, en saillant des balconnets, qui ne dissimulaient plus rien des mes aréoles. Regard style zombie du Xavier en début de pamoison.

Quarante, zéro.

Mon jean maintenant. Toujours les yeux dans les yeux. Enfin, les miens dans les siens, parce que, de son côté, il focalisait plus bas sur mes « avantages sociaux ». Je commence par enfoncer mes poings dans mes poches. Je sens au fond les capotes que j'ai emportées. J'ai étudié l'effet chez moi devant le miroir de ma chambre pendant l'heure du déjeuner. La ceinture du jean s'abaisse et vient se bloquer sur l'arrondi de mes hanches. Et les cordons du string jaillissent l'air libre. Demi-tour. Je cambre mes reins dans sa direction. Mon popotin fait encore plus saillie, si c'est possible. Xavier peut maintenant contempler le petit nœud arrière d'où s'évade le cordon qui passe dans ma raie. Je jette un coup d'œil par-dessus mon épaule. C'était prévu. Il est scotché par ma chute de reins.

Avantage Charlotte.

Re-demi-tour. Un pas en avant. Mon ventre est sous son nez. Sous le nombril, la légère ligne sombre verticale de ma pilosité qui joue les panneaux indicateurs : « Suivez la flèche ». Mes mains se rejoignent sur le premier bouton. J'ouvre. J'écarte les coins du tissu. Il aperçoit la broderie du string, sous le triangle de légers poils noirs dirigé pointe vers le haut, qui s'épaissit au fur et à mesure que le regard s'abaisse. Deuxième bouton. L'ouverture s'agrandit. Le voile du string se révèle. Le coussin de fourrure transparait et accentue l'arrondi du Mont de Vénus. Troisième bouton. Le dernier.

Je me retourne à nouveau, il a mes fesses sous le nez, maintenant. Petite séquence gymnique. Le grand dévoilage. Je me saisis des côtés de mon jean, et je descends alternativement la gauche et la droite. Trois centimètres à chaque reprise. Lever de lune! Fesse gauche... Fesse droite... Fesse gauche... Raie!

Jeu Charlotte! Et Charlotte au service!

Comme je me penche vers l'avant pour me déculotter, mon postérieur se propulse vers l'arrière pour maintenir mon équilibre. Xavier se retrouvait le nez dans ma raie. Ce qui n'était fait pour déplaire ni à l'un, ni à l'autre, c'est-à-dire moi. Qui avait d'ailleurs tout fait pour en arriver là. Et en descendant lentement mon futal, je commençai à embaumer la pièce de mon parfum de femme qui s'exhalait de la résurgence qui commençait à sourdre de ma boite à plaisirs.

Lorsque la ceinture du jean se cala à la jointure des mes genoux, j'étais pliée en deux, et mon cul jaillissait, avec la corde du string qui, je le savais, s'enfonçait entre mes deux fesses, ligne blanche qui se noyait dans la luxuriance de ma fourrure noire remontant de ma raie. Je me penchai encore davantage, que mon trésor humide soit bien visible.

Xavier avait devant son nez les grosses lèvres brunes enchâssées dans leur écrin de velours noir. Je perçus le changement de rythme de sa respiration. Et là, comme je le prévoyais, il n'a pas pu résister.

Xavier : zéro ; Charlotte : jeu, manche et match!

Il m'avait saisie par les hanches et plongé nez et lèvres dans mon abondance humide ; j'ai bientôt perçu le bout de sa langue qui explorait ma raie, et tentait de se repaître du nectar qui détrempait maintenant tout mon entrejambes et coulait le long de mes cuisses.

J'étais pliée, les doigts en appui sur le sol, mes nichons à demi sortis de leurs bonnets pendaient devant mon menton. Alors j'ai soufflé :

-- Xavier?

-- Oui!

-- Tu me laisses une seconde!

Rétablissement. Retournement. Je me jette contre lui, le string contre sa bouche. Ma fourrure déborde de toutes parts ; je le noie dans mes boucles. Il accroche la dentelle de ses dents. La soulève. Il passe maintenant sa main derrière ma fesse. S'immisce dans la touffeur détrempée de ma raie. S'attarde un instant sur ma pastille, évalue brièvement sa résistance, et tire le cordon pour l'écarter de ma fente dans laquelle il finit par plonger le visage.

Nous en arrivons enfin aux choses sérieuses! Et on ne va pas continuer comme ça! Je prends son visage à deux mains pour le repousser. Je me mets à califourchon sur ses genoux. Un petit baiser léger sur ses lèvres douces... J'attrape le col de sa chemisette, comme l'autre jour. J'ouvre un bouton. Je me reprends ; j'ai oublié une vérification! J'aventure une main sur la grosse bosse qui apparaît sous son pantalon.

-- Ben dis-donc! Au moins, je te fais de l'effet!

Il sourit.

-- Va falloir qu'on s'y intéresse sérieusement! que je poursuis.

Et là, j'ai décidé de continuer la provoc'. Je suis folle! Je passe ma paume ouverte sur sa trique. Je tâte. La bite. Désormais, sa « chose » sera sa « bite ». Ou sa « queue ». Ou encore d'autres mots. Je verrai en fonction de l'humeur du moment. Je descends les doigts. Je sens son paquet. Je presse. Je remonte. Je caresse toute sa longueur. Son visage devient écarlate. Je fonds. Je m'accroche à son cou, avec les nénés qui se brossent sur ses poils, et tout en continuant mon supplice de Tantale, je me jette sur ses lèvres. Je n'arrête pas de m'agiter. Je suis excitée comme une puce!

Pour ne pas être en reste, il a pris mes lolos à deux mains. Je vous avais dit : sur un plateau, qu'ils étaient. Avec mes tétons tout sortis. Alors du coup, il ne se prive pas : il tire, il pince, il tourne, il presse. Je défaille et ma gorge fait de drôles de bruits pendant que j'explore ses lèvres et sa bouche.

Mais j'ai pas oublié ce que je voulais... Je le désape. Il faut bien qu'il abandonne mes tétons quand je lui bloque les bras avec sa chemise retournée. Ça y est! Plus de chemise! Je pousse sur ses épaules et le fais s'allonger en travers du lit. Je lui prends les mains avec les miennes, nous entrelaçons nos doigts et je pousse mes bras en avant sur le drap. Les siens font comme un V de part et d'autre de son visage. Et moi je me vautre sur son torse dénudé, en frottant mes bouts contre son pelage tout blanc.

Je me redresse. Je me recule et commence à ôter son pantalon. Je m'arrête un instant avant de continuer avec son slip. J'ai retenu la leçon. Je bloque sa « queue » et tire sur la ceinture. Je me sors du lit, et finis de tout enlever. Maintenant ça y est! Il est comme un enfant qui vient de naître. Un vieux bébé! Un vieux bébé qui bande comme un malade!

Il ramène ses jambes sur le lit. Je me suis allongée à côté de lui. Je me love à nouveau contre sa poitrine. Il me prend dans ses bras. Je sens comme un petit pincement dans le dos, qui libère mes nichons. On se débrouille tous les deux pour balancer la lingerie inutile quelque part dans la chambre. Mon string prend bientôt le même chemin, après un glissement subreptice le long de mes cuisses. Nous voilà à égalité. Et moi toute intimidée. Excitée, mais timide devant ce corps avec lequel je vais bientôt pour la première fois me fondre. Et d'abord cette queue... sa bite... à apprivoiser... Je laisse ma main errer, s'approprier ce mandrin, sans détourner mes yeux de son visage, que j'aimerais voir frémir.

Le premier contact est inattendu. Cette fermeté mais aussi cette douceur. Cette chaleur également. Je m'enhardis. Je l'enserre entre mes doigts. Je commence à le branler doucement. Puis je le parcours de la paume, doucement. La tige d'abord, et j'arrive bientôt à un gros repli que je sens au bout des mes doigts. Je vois que ma caresse change l'expression de son visage. Il se contracte, ses yeux se ferment, sa bouche est entr'ouverte, il respire de façon plus irrégulière, il geint...

Je ne peux continuer comme ça, à l'aveuglette. Il faut que j'affronte. Alors je me glisse sur sa poitrine, sur son ventre un peu replet, et approche le visage de son membre. De la main, je manipule sa queue, et j'observe. Le gland foncé. Le bourrelet qui en fait le tour. Le frein. Cette belle hampe à la peau si fine sous laquelle se profilent ses veines gonflées. Et plus bas, son petit « sac à couilles », à la peau toute ridée. Sa bite se dresse au milieu d'une toison de poils gris et blancs, qui parsèment également ses bourses. Au dessus de ses cuisses poilues. Ses jambes sont trapues, et très bien galbées, avec des mollets comme on en voit dans la statuaire grecque, sur les illustrations des livres d'histoire, au lycée... Je ne peux me faire une idée de ses fesses, qui s'enfoncent dans le matelas. Je me promets d'investiguer plus tard. Comment est-ce, des fesses d'homme? Est-ce que, lui aussi, considère que son petit trou n'est pas interdit?

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