Le Petit Chaperon Rouge

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Nuit de pleine lune.
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Une jeune ingénue se rend dans les bois pour visiter sa grand-mère. Elle fait la connaissance du grand méchant loup. Est-ce un conte de fée?

Il était une fois, dans un pays fort lointain, un petit village cerné de bois sombres. Dans ce village réside une belle et jeune vierge, Capucine, mais son nom n'a pas d'importance car tout le monde au village l'appelle "la rouille", ou "poil de carotte", à cause de sa capuche rouge sur la tête. Depuis sa plus tendre enfance, tout le village ne l'a vue qu'avec ce capuchon rouge qui lui recouvre la tête et les épaules. Maintenant qu'elle est adulte, elle continue de porter une capuche rouge, parce qu'elle s'est habituée.

Capucine vit dans une petite chaumière, chez ses parents, en lisière de la forêt profonde. Aujourd'hui, Capucine a aidé sa mère à préparer des tartes aux pommes. Le doux parfum des tartes flotte dans la maison. Capucine propose à sa mère de porter une tarte encore chaude à sa grand-mère qui vit dans le bois.

« Tu dois te dépêcher, Capucine, je n'aime pas que tu traînes dans le bois à la nuit tombée, tu pourrais y faire de mauvaises rencontres ». Capucine lève les yeux au ciel en entendant toujours les mêmes conseils répétitifs de sa mère (couvre-toi, ne prends pas froid, ne traîne pas dehors la nuit, méfie-toi des garçons, etc...) Capucine prend son panier contenant la tarte aux pommes pour sa grand-mère, son capuchon rouge, et quitte la petite chaumière.

Capucine s'en va joyeuse sur le chemin, lorsqu'elle croise un ami bucheron qui sort du bois. Ils bavardent, échangent des potins, blaguent et flirtent un peu, tant et si bien que Capucine ne voit pas le temps passer. Le jour commence à décliner lorsque Capucine s'aperçoit de son retard. Elle prend congé rapidement, et s'enfonce dans la forêt obscure en courant, et en espérant rattraper le temps perdu. La cabane de sa grand-mère n'est pas très loin, elle pense qu'elle y sera vite.

Mais les bois sont denses, même la pleine lune ne parvient pas à percer la pénombre, heureusement Capucine connaît bien le chemin, et elle suit le sentier pour ne pas se perdre. Capucine est perdue dans ses pensées, cherchant quel mensonge elle pourrait bien inventer pour expliquer à sa grand-mère et à sa mère son retard. Si elle raconte la vérité, qu'elle a rencontré un garçon et qu'elle est restée pour bavarder avec lui, sa mère va la soupçonner d'avoir fait des cochonneries avec ce garçon.

Il lui faudrait inventer un joli mensonge, quelque chose de crédible, peut-être qu'elle aurait porté secours à un animal blessé, ou plus simplement qu'elle était distraite, qu'elle a quitté le sentier par erreur et qu'elle s'est perdue. Mais elle connait si parfaitement la forêt que c'est difficile de le croire. Elle ne peut pas avouer à sa mère qu'elle a traversé la forêt de nuit, seule et vulnérable.

Capucine est tellement préoccupée par sa propre réflexion qu'elle ne réalise pas que, quelques mètres derrière elle, un gigantesque loup-garou lui emboîte le pas. Ce n'est pas un loup-garou ordinaire, celui-ci est énorme, avec un torse imposant, des pattes puissantes, une fourrure sombre qui se confond dans la pénombre avec la forêt qui l'entoure, et de grands yeux jaunes qui fixent avec avidité la proie qui marche devant lui.

« Je vais faire un festin ce soir, cette jeune personne à l'air fraîche et tendre ! » pense la bête qui suit Capucine en se pourléchant les babines. L'animal bifurque brusquement, quitte le sentier pour couper à travers le bois, afin de rejoindre la chaumière de la grand-mère avant le petit chaperon rouge. Lorsque Capucine arrive finalement à la cabane de sa grand-mère, elle rassemble son courage pour affronter les réprimandes de la vieille femme. Elle ouvre la porte en criant :

« Bonjour, grand-mère, c'est moi, Capucine. Je t'apporte une délicieuse tarte aux pommes, je l'ai faite pour toi avec maman ! » La grand-mère est un peu sourde, alors Capucine ne s'inquiète pas du manque de réponse. Elle pose son panier sur la table de la cuisine, et se défait en jetant sa capuche rouge sur le dossier d'une chaise. La cabane ne comporte qu'une pièce en forme de L, l'espace qui contient le lit, appelé pompeusement chambre, forme un angle avec la pièce principale.

Le feu brûle dans la cheminée, projetant une lueur rougeoyante sur les murs. Les chandelles ne sont pas allumées, la lune est masquée par les nuages, la cabane est dans la pénombre. Le loup-garou est dissimulé dans le lit en attendant l'arrivée de sa proie. La bête a pu se cacher ici facilement, car la grand-mère est absente.

« Pose-la sur la table, et viens me rejoindre » Une voix caverneuse jaillit du lit. Plus tôt dans la journée, la grand-mère est partie au village pour rendre visite à sa fille. Elle y est arrivée alors que Capucine était déjà partie, elles se sont croisées sans se voir, chacune empruntant un chemin différent de l'autre. Capucine s'approche du lit, sans se douter que l'animal tapi dans l'ombre n'est pas sa grand-mère. Dans la pénombre, la forme dissimulée sous les couvertures peut prêter à confusion.

La bête ne veut pas alerter la jeune femme de sa présence trop tôt, c'est pourquoi elle s'est dissimulée dans le lit, sous les couvertures. Capucine s'approche du lit sans comprendre pourquoi sa grand-mère reste dans la pénombre en se comportant de manière aussi étrange.

« Approche ! Enlève tes vêtements et viens t'allonger à côté de moi, ma chérie ! » Dit le monstre à la voix éraillée.

« Ta voix est bizarre, grand-mère, tu n'es pas malade? » demande la jeune fille inquiète.

« Juste un peu enrouée, c'est tout ! »

La jeune femme ne s'inquiète pas plus que ça, hoche la tête et commence à dénouer ses longs cheveux roux, en les laissant tomber sur ses épaules. La pleine lune apparaît entre les nuages, et Capucine écarte les rideaux pour laisser passer un peu de clarté. La jeune femme retire ses effets, ne gardant sur elle qu'une fine chemise de coton. Elle se glisse dans le lit, s'allonge près de sa grand-mère, et se tourne vers elle. Elle voit ses grands yeux jaunes briller sous le bonnet de nuit que la bête a enfilé pour se dissimuler.

« Grand-mère, comme tu as de grands yeux ! » S'exclame Capucine.

« C'est pour mieux te voir, mon enfant ! » Répond le monstre en repoussant les couvertures du lit pour découvrir son museau poilu.

« Grand-mère, comme tu as de grandes dents ! » S'exclame Capucine en voyant la mâchoire inquiétante.

« C'est pour mieux te manger, mon enfant ! » Réplique le monstre. La pauvre Capucine est tétanisée, et le grand méchant loup-garou en profite pour lui sauter dessus et la maîtriser. Plaquée et immobilisée sur le lit par le poids du monstre, en panique, Capucine crie mais ne parvient pas à se libérer. Maintenant fermement les poignets de la jeune femme au-dessus de sa tête, assis sur ses cuisses, le monstre la maîtrise complètement.

Elle hurle de terreur jusqu'à ce que le monstre se penche sur elle, retrousse ses babines, lui montre les dents en grognant d'un air menaçant. Terrorisée, elle arrête de se débattre et de crier, et commence à pleurer en silence. Le monstre attrape un lacet, attache les poignets de Capucine aux montants du lit. Ensuite, avec ses griffes acérées, le monstre déchire la fine chemise de coton, dénudant le corps de sa proie. Le corps nu et désirable de la jeune femme est exposé à la lumière de la pleine lune qui fait briller sa peau laiteuse de rousse.

Jusque là, la créature avait comme projet de dévorer sa proie, mais la vue de ce corps ravissant et offert à sa convoitise perturbe les desseins du monstre. D'un revers de main, la bête ôte le bonnet de nuit qu'elle avait mis pour se dissimuler, et le jette au sol. La créature maléfique se penche sur sa proie et commence à la lécher. D'abord les joues, afin de recueillir les larmes salées, puis dans le cou où bat la jugulaire, et enfin sur la jeune poitrine.

La fermeté de ces jeunes seins excite la bête qui les malaxe, les triture, les lèche, les suce en tordant les tétons. Capucine garde les yeux fermés, trop terrifiée pour apprécier les caresses de la créature. Elle vient d'avoir 18 ans le mois dernier, elle ne veut pas mourir si jeune, elle regrette son imprudence, elle voudrait vivre pour revoir sa famille et ses amis. Le monstre délaisse les seins si attrayants pour descendre un peu plus bas. Le monticule recouvert d'une toison rousse l'intéresse tout particulièrement.

En forçant un peu à l'intérieur de ses genoux, la bête oblige Capucine à écarter ses jambes. Comme elle est innocente, Capucine ne comprend pas ce que fait le monstre. Elle ouvre un œil, et voit l'énorme sexe rouge sorti de son fourreau. Le monstre reste penché sur elle, en admiration devant ce corps sublime. Elle ne comprend pas pourquoi le monstre ne la dévore pas, un espoir fou naît dans son esprit terrifié, peut-être que le loup-garou n'aime pas les rousses, et qu'il va la libérer?

En baissant les yeux, elle voit la main du monstre glisser lentement de haut en bas le long de son gros sexe. C'est à ce moment-là qu'elle réalise les intentions du monstre, en se rappelant les conseils de sa mère. Instinctivement, elle essaie de refermer ses jambes pour protéger sa virginité de ce sexe monstrueux. Mais ce geste stimule l'appétit du monstre en le sortant de sa contemplation. Forçant sur les jambes de la pucelle pour les maintenir écartées, la créature se couche entre les cuisses pâles pour laper la moule cachée sous le monticule roux.

« S'il vous plaît, oh, s'il vous plaît, ne faites pas cela ! » Supplie Capucine, mais l'horrible monstre se fiche de ses plaintes, attisé par l'odeur épicée qui monte du sexe juvénile, et qui l'excite, il n'a plus qu'un seul objectif, c'est de goûter à ce mets délicat. La créature se lèche les babines et plonge sa langue dans la fente rouge. Terrorisée, Capucine se démène dans le lit, se tord, sursaute, essaye de chasser le loup-garou, la panique envahi son jeune corps. Mais ses efforts restent vains, le monstre est bien trop lourd, et plus fort qu'elle.

Dès que Capucine sent sa langue du monstre pénétrer son sexe, elle laisse échapper une plainte de terreur, et ferme les yeux en laissant ses larmes ruisseler sur son visage. Le sexe de la jeune femme est sec lorsque le loup passe sa langue dessus, mais la créature est déterminée à lécher cette chatte jusqu'à ce qu'elle inonde sa bouche de ses jus. Capucine entrouvre les yeux, mais elle est horrifiée en voyant l'énorme gueule entre ses jambes.

« S'il vous plaît, oh, s'il vous plaît, ne faites pas cela ! » Plaide-t-elle à nouveau, mais le monstre l'ignore et continue son action. Après plusieurs minutes de léchage intense, le loup commence à goûter un peu de jus sur sa langue, et pousse un grondement de satisfaction. Elle est plus savoureuse et plus parfumée que ce que la bête avait imaginé, et la créature avide glisse sa grande langue dans l'ouverture vaginale de la jeune femme, pour recueillir davantage de ses jus exquis. Le monstre est tellement avide qu'il ne remarque même pas les soupirs et la respiration haletante qui sort de la bouche de Capucine.

Son corps la trahit en subissant des sensations agréables et inconnues. La vision de la gueule du monstre lapant sous son ventre lui fait moins peur. Elle s'excite en se sentant obscène et ravie, cette langue la séduit et la corrompt, elle en veut encore plus, elle a besoin de ce grand corps poilu entre ses cuisses. Le loup ne réalise l'émoi de Capucine que lorsque ses hanches commencent à bouger, et se soulèvent à la rencontre de cette langue qui la bouleverse en essayant de s'enfoncer plus profondément en elle.

Intéressé, le monstre commence à laper énergiquement le clitoris, puis lève ses yeux vers elle, pour constater sa réaction. C'est une vision d'un érotisme intense qui accueille son regard ravi. Capucine, attachée au lit, les yeux fermés, le corps se tordant d'extase, ses seins caracolant sous le clair de lune, sa peau luisante de sueur, sa bouche grande ouverte cherchant l'air, avec de forts gémissements de plaisir qu'elle ne peut plus retenir.

Le sexe du monstre palpite en sachant que cette pucelle va lui appartenir, qu'elle perd tout contrôle de son corps, et qu'il n'a plus qu'à porter le coup de grâce. Il insère un doigt dans la chatte trempée de mouille, et s'acharne avec sa langue sur le clitoris désormais dressé. Le monstre redouble d'efforts pour faire exulter Capucine, et son doigt coulisse rapidement dans la chatte offerte à ses caresses. Il n'a pas fallu longtemps avant que Capucine ne découvre l'intensité de son premier orgasme.

C'est la première fois que la jeune femme ressent un orgasme d'une telle intensité. Jusqu'à présent, seule dans son petit lit, avec ses doigts, elle se donnait un gentil frisson avant de s'endormir. Mais cette fois, rien de comparable. La violence de l'impact qui a bouleversé son jeune corps la laisse pantelante. Elle a bien cru s'évanouir de plaisir. Les vagues de plaisir intense lui ont coupé le souffle, son corps vibrait, et quand le monstre s'est éloigné de sa chatte, elle a gardé ses jambes écartées, et ses hanches ont continué de s'agiter, saisies par la rémanence.

Capucine reste pantelante, sa poitrine se soulève rapidement, ses mains s'agrippent aux barrières du lit, tout son corps est trempé de sueur. Elle n'a aucune idée de ce que le monstre lui réserve maintenant. Le monstre se penche sur elle et positionne son grand membre épais à l'orée de son ouverture vaginale. Sentant une forte pression s'exercer contre son intimité, Capucine ouvre les yeux pour voir le membre monstrueux frotter dans sa fente. Un mélange de terreur et de convoitise la tétanise.

« Je ne vais pas te mentir et dire que ça ne fera pas mal, mais la douleur ne durera pas, ensuite tu aimeras » dit le monstre en la regardant de son regard cruel, frottant toujours sa bite sur la chatte mouillée de la fille, appréciant cette sensation autant qu'elle. Capucine serre instantanément les dents au moment où la créature commence à la pénétrer, lentement, mais même si elle est mouillée, le monstre n'arrive pas à avancer. La chatte est trop étroite pour son énorme membre. Capucine crie de douleur autant que de peur, elle se sent étirée, déchirée, le monstre va l'éventrer, c'est sûr ! Le monstre se penche sur elle pour lui lécher les seins, tout en avançant lentement sa bite en elle.

L'émotion provoquée par la sensation de cette chatte agrippant son membre est presque trop forte pour la créature, alors elle s'arrête, en craignant que cela se termine trop tôt. Capucine en est reconnaissante, le membre beaucoup trop gros lui fait horriblement mal. Après que la douleur se soit un peu atténuée, le loup retire un peu son membre, avant de forcer sa pénétration en brisant sa virginité. Capucine crie de nouveau, la douleur lui semble un fer rougi qui l'éventre. Bientôt, une partie de son membre est blotti à l'intérieur de la petite chatte qui l'agrippe si fermement que c'est un pur délice. Capucine sanglote, la douleur est trop forte pour elle, mais son ventre secoué par les sanglots excite encore plus la bête qui s'immobilise pour apprécier ce régal.

« Tu es si belle avec ta petite chatte largement écartée par ma bite » Le monstre se redresse pour contempler sa proie clouée sur le lit par son énorme gourdin. D'une main, il tripote son sein en pinçant et roulant le téton. De l'autre, il joue avec son clitoris dressé. Il attend une indication qui lui dira de continuer à la prendre.

« Ta chatte toute neuve est si serrée que c'est douloureux, mais je vais te baiser si profondément que tu vas jouir longtemps, petite garce ! » Elle reste silencieuse en dévisageant l'énorme monstre qui la tripote en la déflorant. La douleur commence à s'atténuer un peu, en même temps que les attouchements du monstre commencent à la troubler. Serait-ce possible que ce que lui dit le loup-garou soit vrai? Pourrait-elle vraiment ressentir du plaisir avec ce monstre? Maintenant, elle aimerait que la bête essaie de la pénétrer un peu plus profondément, pour voir.

Capucine soulève un peu ses hanches, et le monstre comprend sa prière silencieuse. Un grondement impatient, et le monstre retire un peu son membre, avant de l'envahir plus profondément. Capucine perçoit un mélange de sensations contradictoires, une douleur mêlée de plaisir, une envie modérée par des craintes, sans savoir si elle désire que cela s'arrête, ou se prolonge. Le monstre continue de tripoter les chairs délicates de la jeune femme, encore et encore, jusqu'à ce que les doutes se transforment en certitude, ses peurs en désir, et que l'expression de son visage change.

Elle commence à gémir, enroule ses jambes autour des hanches du monstre pour soulever son bassin, désirant sentir plus de bite à l'intérieur d'elle. La créature, satisfaite de sa réaction, enfonce son membre profondément, jusqu'au fond de la vulve de Capucine, à qui la violence du mouvement coupe le souffle. Le monstre, penché sur la jeune femme, épie ses réactions tout en pressant son corps velu contre les seins dardés de sa victime. Capucine essaie de soutenir le regard féroce des yeux jaunes, mais elle ne peut pas lutter, et ferme les yeux en cédant à la volonté cruelle du monstre qui la force.

« S'il te plaît, sois plus doux ! » S'exclame Capucine dans un murmure, mais en bougeant ses hanches et en frottant ses seins contre la fourrure du monstre, sans pouvoir dissimuler plus longtemps son excitation. Sachant que la jeune femme éprouve du plaisir, qu'elle est conquise, le monstre laisse échapper un grognement de fierté et commence à la baiser, entrant et sortant, coulissant de plus en plus vite, encouragé par les gémissements plaintifs de Capucine, jusqu'à ce que le lit commence à grincer si violemment qu'il semble vouloir se disloquer.

Bruits mouillés de la chatte martyrisée, gémissements plaintifs de la jeune femme, grognements du monstre, la tête de lit qui heurte le mur, tous ces sons résonnent à l'intérieur de la cabane, ajoutant une cacophonie étrange à l'ambiance glauque du lieu. Un long cri aigu de femme résonne dans la nuit, couvert par le grognement triomphal de la bête. Le premier cri de jouissance de Capucine lorsque l'orgasme la chavire, suivit du grognement victorieux du monstre qui lui a pris sa virginité. La bite du monstre remplit la chatte de Capucine de sperme brûlant, prolonge la jouissance de la jeune femme jusqu'à ce qu'elle se renverse sur l'oreiller, épuisée. Le monstre se retire et s'allonge contre le flanc de sa victime, essoufflé et ravi.

Quand leur respiration devient plus régulière, le monstre se tourne vers elle pour lui délier les poignets, sachant qu'elle est trop épuisée pour s'échapper. Elle s'assoit et frotte ses poignets tout en regardant le grand corps du monstre couché près d'elle. Il est éclairé par le clair de lune, et elle examine le grand torse velu, les bras musclés, mais surtout le membre scintillant de mouille. Même au repos, cette chose est gigantesque. Capucine ne parvient pas à réaliser que ce pieu soit venu en elle, et qu'elle ait aimé cela. Capucine se sent souillée et salie, mais son émoi surmonte sa honte.

Elle est fière et excitée par les jus mélangés qui s'écoulent de sa chatte martyrisée en regardant le membre du monstre et en sachant qu'elle est capable d'engloutir cela. Le monstre épie les réactions de la jeune femme entre ses paupières mi-closes, et il sait qu'elle aime ce qu'elle voit. Elle aime sa bite et elle est comme hypnotisée par sa taille. Alors, le monstre attrape le poignet de Capucine, et pose sa blanche main sur sa bite gigantesque.

Lentement, pour ne pas l'effrayer, il oblige la main de la jeune femme à parcourir l'intégralité de son sexe, des bourses poilues jusqu'au gland turgescent. Capucine, rougissante et émue, ne peut pas détacher ses yeux du sexe monstrueux qui s'érige sous sa caresse. Comme le monstre l'avait fait plus tôt dans la soirée, elle branle l'énorme pieu, et l'excitation humidifie encore plus sa petite chatte. Quand l'énorme bite se redresse et palpite, Capucine sait qu'elle en veut encore plus.

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