Le Pensionnat des Oiseaux Ch. 04

Informations sur Récit
Une fin d'année mouvementée.
4.4k mots
4.8
1.9k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 4 de la série de 6 pièces

Actualisé 04/16/2024
Créé 03/21/2024
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Ces premières semaines sont passées comme un éclair, pleines de lumières et d'excitation. Heureusement que je suis une petite dormeuse, car je n'ai pas arrêté, prenant quand même du plaisir avec Jenny, parfois Margaret, mais avec les étudiantes, toutes étaient bien trop concentrées sur le SAT pour réellement penser à autre chose, même si j'ai souvent droit à des câlins appuyés ou des baisers chastes. Si intellectuellement je tourne à plein et je suis en éruption, je masque malgré tout mon manque d'Em et de ses perversions qui m'enchantaient. J'adore Jenny, mais mes velléités d'être active sont un peu limitées, ce n'est pas vraiment ma nature je dois l'admettre. Je me demande ce que Em devient, tout comme Liza. Je suis leurs comptes Instagram, mais ils ne renvoient que la partie officielle de ce qu'elles sont chacune. Est-ce qu'elles pensent à moi? Heureusement je n'ai pas trop le temps de penser à elles!

Je n'ai jamais travaillé avec des élèves aussi brillantes, parfois, voire très souvent, intimidantes par leur assurance, la supériorité qu'elles affichent même si je suis la sachante dans ma matière. Je comprends ce que Mary, la recruteuse, voulait signifier en parlant de personnes hors du commun, au sens littéral du terme. Non qu'elles soient particulièrement admirables, mais simplement différentes, avec un pouvoir que je devinais à chaque instant, même si elles ne l'exprimaient pas. Je les trouvais toutes, ou presque, très attirantes, du fait même de ce pouvoir auquel je suis particulièrement sensible. Je suis très fière du résultat, puisqu'après quatre semaines déjà dix-sept ont décroché le score maximum de 800 en mathématiques, score valable cinq ans, donc pour elles, les mathématiques ce sera peut-être l'année prochaine, mais là c'est terminé.

Je n'ai pas anticipé qu'en conséquence mon planning se desserre et que j'ai plus de temps à moi! J'en profite pour lire, en particulier l'actualité des mathématiques, le reste de l'actualité me semblant obsolète dans l'environnement où je suis! Avec les beaux jours, je vais à la piscine parfois très tard, et Margaret m'initie au tennis. Je crois que c'est un prétexte pour me raccompagner et rester dormir, pour mon plus grand plaisir puisqu'elle est obsédée par mes trous, et par mes gros seins. Je l'aimerais plus entreprenante et dirigiste mais elle n'a aucune once de perversité en elle, c'est même ahurissant!

Ruth, une élève de la classe cinq a bloqué deux heures à vingt heures. Je lui ai proposé de prendre un room service pour que nous mangions en travaillant. Cette séance me semble plus pour la rassurer car je ne doute pas qu'elle décroche les 800 points demain à son test. C'est une jeune femme très belle, mince avec de petits seins, de longs cheveux châtain clair, pas toujours facile d'accès. Je lui donnerais presque dix ans de plus tant elle semble sévère et elle forme un petit groupe de jeunes filles qui me semblent se prendre très au sérieux. L'uniforme sur elle semble un peu anachronique et la jupe est si courte par rapport à la longueur de ses jambes étirées par les talons de ses chaussures, que sa culotte est presque toujours visible! Cela ne semble pas la déranger et cela ne donne pas de connotation sexuelle vu son air fermé. C'est une des rares qui ne me fait pas de l'effet quand je m'assois à côté d'elle!

- J'ai très envie de pisser

Je suis surprise par son entrée en matière, et surtout par le ton et les mots employés par Ruth! Elle plante ses yeux droits dans les miens.

- Euh, tu sais où sont les toilettes.

- Non ce soir c'est toi ma pissotière

Je suis sidérée et complètement coite. Je ne m'attendais pas à cela, après un mois sur le campus, je pensais avoir gagné ma respectabilité, que ces histoires étaient oubliées. Mon esprit s'effondre, je me mets à trembler, je perçois très bien les contractions dans mon ventre, elles me sont si familières. Je n'ai pas le temps de penser que je reçois une gifle. Pas très forte, mais bizarrement très humiliante, faite pour m'abaisser plus que me faire mal!

- A genoux, je n'ai pas envie de me répéter

Dans l'entrée, la porte ouverte, même si personne ne passe, j'obéis, que puis-je faire d'autre. Ne sont-elles pas toutes puissantes et ai-je le choix. Mais je sais que je me mens, à cet instant je n'ai envie que d'une chose, plier, obéir et la boire, comme si je me réveillais d'un long sommeil et que je reprenais ma place!

Elle écarte elle-même le coton blanc pour dégager sa vulve magnifique et imberbe, je glisse ma langue à l'entrée de son vagin, à la recherche de la position idéale que je connais si bien. Je suis étonnée que le flot vienne si vite, ce n'est pas facile du tout d'uriner ainsi pour la première fois, peut-être n'est-ce pas la première fois pour Ruth. Elle ne cherche pas à contrôler, la quantité est importante, mais je sais boire sans déglutir, ce n'est pas un problème pour moi, je n'en perds pas une goutte, je me remplis l'estomac, heureuse de retrouver cette sensation, même si le goût me semble trop dilué! Je la lèche doucement une fois le flot tari, pour la nettoyer, elle semble à peine humide. Je tente de monter vers e clitoris, mais elle me repousse me traitant d'obsédée et rentre dans ma maison avec son sac et s'installe dans le canapé.

- Sers-moi un bourbon.

- Euh oui, tu ne voulais pas travailler ce soir?

- Inutile j'ai passé l'examen cet après-midi.

- Oh je croyais que c'était demain?

- Oui c'est ce que je t'avais dit, pour que tu ne te poses pas de question sur le rendez-vous de ce soir! J'attendais cela depuis longtemps.

- Oh, et quel résultat tu as eu?

- 800

- Bravo, tu dois être très contente

- Oui et je viens le fêter avec toi, mais à ma façon.

- Euh... d'accord

- J'attendais d'avoir 800 pour te traiter comme tu mérites

- Mais je t'ai fait quelque chose?

- Oui, en effet, tu m'as fait envie de tester des choses. Je voulais attendre pour ne plus avoir besoin de toi.

- Je ne comprends pas

- Pas grave, maintenant tu obéis et tu fais ce que je te dis, j'ai un peu moins de deux heures et je veux en profiter.

- Bien Ruth (Son ton me fait tressaillir de désir)

- Mets-toi nue et à genoux

J'obéis évidemment, les jambes tremblantes, je me demande dans quoi je m'embarque. Ce qui me rassure c'est qu'elle ait parlé du créneau de deux heures, car j'ai une autre élève ensuite à 22 heures. Je suis les cuisses écartées, les mains dans le dos, la tête baissée, je n'ose pas la regarder. Je la sens très froide, dure.

- Tu aimes être ainsi?

- Oui

- Tu t'es déjà soumise à quelqu'un depuis ton arrivée?

- Non, tu es la première

- Em te manque?

- Oh oui! (C'est sorti tout seul)

- Vraiment? Après ce qu'elle t'a fait? (Je relève la tête surprise par sa remarque, elle ne m'a rien fait Em, que pouvait-elle faire d'autre?)

- Oh! Je comprends que tu ne sais pas tout! (Je lis un sourire sadique sur le visage de Ruth). Tu ne sais pas que c'est elle qui a manigancé pour que sa mère vous surprenne! Elle savait qu'elle rentrait plus tôt et a organisé la sauterie avec Lyza pour te mettre dans la position la plus humiliante.

- Mais... mais pourquoi? (Je suis perdue!)

- Mais parce qu'elle voulait passer à autre chose et que cela l'amusait. Cette fille semble ne pas avoir beaucoup de morale.

- Oh mon Dieu! Mais comment sais-tu cela?

- Les enquêteurs sur ton compte l'ont interrogée, Lyza aussi qui a confirmé. Et c'est Em aussi qui a fait circuler les sms, les photos et tout. Elle a dit aux enquêteurs que tu étais masochiste et que cela te plairait qu'elle te maltraite ainsi.

-...

Ruth rit de mon abattement, je ne veux pas y croire, mais je sais au fond de moi qu'elle dit vrai. Je sentais qu'il y avait quelque chose d'organisé, même si sa mère n'était pas au courant. Quelle perversion! Je me sens tellement humiliée, là devant Ruth. Elle me demande de me pencher sur la table, sort de son sac une cravache d'équitation, elle veut essayer, n'ayant jamais frappé une femme, se demande si cela lui plaira. Je suis son cobaye.

Les coups sont maladroits, pas très forts, ils font mal parce qu'ils frappent à côté. Mais elle progresse vite, je sens mes fesses rougir, cela me fait du bien, m'empêche de penser à ce qu'elle vient de me dire. Elle continue longuement, descend sur mes cuisses, me fait tenir debout, les mains sur la tête pour fouetter mon ventre offert, surtout mes seins. Ça elle adore me dit-elle, mes gros seins qui valsent, cela ne fait pas très mal, même quand le téton est touché. Moi je plane depuis longtemps, je suis bien, même quand elle fouette mon sexe, elle me fait écarter les jambes, cherche à toucher mon clitoris, mais là aussi c'est plus agréable qu'autre chose. Elle voit comme je mouille, me traite de salope, me prend mon doigt, le met dans son sexe, à peine mouillé, elle n'adore pas. Elle préfère m'humilier me dit-elle, me mettre à ma place.

J'ai le corps en feu, je plane doucement, Em qu'as-tu donc fait. Je comprends bien des choses. J'admets qu'elle avait ce droit, elle avait tous les droits, je le lui avais dit, je ne lui en veux pas au fond. Je ne suis qu'une sextoy, un animal de compagnie, l'idée de sa trahison m'excite, je suis vraiment masochiste, mais pas que des coups.

A nouveau couchée sur la table, les jambes écartées, je vois Ruth enfiler la culotte Gode que Cathy avait utilisée à l'hôtel! Là aussi, elle m'apprend que c'est une première, mais la directrice lui a bien expliqué comment faire! Je l'espère, elle m'estropierait sinon! Sa main est pleine d'une crème blanche qu'elle me tartine, je suis plus détendue que jamais. Ses doigts rentrent facilement dans mon cul au repos depuis quelques jours, je sens ses ongles longs, c'est désagréable. Les cinq doigts sont en place, mais elle n'appuie pas pour passer toute la main, je suppose que cela la dégoute quelque part! Elle essuie ses mains sur le gros gode noir, puis sur mon dos, je sens alors les marques qu'elle a laissé, et vient se positionner derrière moi.

Le cul est resté entrouvert, la tête du gode rentre facilement, elle n'a qu'à appuyer, très fort, pour que le gland, qui est la partie la plus large, rentre avec un bruit bizarre. Je l'entends respirer et jurer tandis que le monstre disparaît progressivement entre mes fesses. Elle va et vient, je me sens perforée, elle bute contre mon bassin, ne cherche pas à dépasser le coude, et prend un mouvement rapide, désordonné et violent pour me pilonner. Je gémis, je la supplie de bien me défoncer, elle me traite d'enculée, de salope, de chienne à pisse et bien d'autres mots que je n'aurais jamais cru entendre dans sa bouche. Son ton est de plus en plus aigu, et je la sens partir dans un orgasme, lui aussi désordonné, le gode sort, et elle se couche par terre pour calmer les spasmes de son corps.

- Ce qu'on dit est donc vrai, tu es une totale salope soumise. J'avoue que j'ai bien joui mais une fois c'est assez, je ne trouve pas cela passionnant. Que d'autres en profite. Va nettoyer le gode, et rhabille-toi!

Ses mots me trottent dans la tête, je suis totalement humiliée, comme un vibro inutile et sans intérêt, jetée sans un regard. Je laisse le gode dans la salle de bain, nous dînons comme si rien ne s'était passé, elle me parle de son examen, me remercie même de tout ce que je lui ai apporté, et s'en va, oubliant l'objet dans ma salle de bain. Je m'adosse à la porte, j'ai envie de pleurer, mais je ne sais pas. J'ai une boule dans le ventre, lourde, si lourde, je sens la fièvre monter. J'ai une heure avant l'arrivée de Kate. Das mon bureau je prends des pinces à documents, de grosses pinces noires. Nue, j'en pose une sur mon téton droit, je crie, c'est violent et barbare, cela me calme à peine. Une autre sur le second téton, j'halète, je mouille, je ne suis plus concentrée que là-dessus. Je n'hésite que quelques secondes, une troisième sur le clitoris m'envoie par terre, me tordant de douleur, râlant, cherchant à me caresser pour me faire jouir, en vain. Je ferme mon sexe avec deux autres pinces, j'ai tellement mal! J'ai du mal à respirer. L'image du gode séchant dans la salle de bain traverse mon esprit. Je rampe, je l'attrape, l'enduit de crème, il est si gros et si long, je n'avais pas perçu qu'il s'évasait tant à sa base, je le veux tout entier en moi!

Je me tiens au bord d'une marche, accroupie, je positionne le pieu énorme sur mon cul déjà bien ouvert par Ruth. Je sais que l'ouvrir à nouveau sera douloureux mais cela va aller vite. Je m'empale doucement, mais sans retour, sentant le membre glisser en moi, m'ouvrir, faisant souffrir mes chairs malmenées. Je ne pense plus aux pinces, pourtant tirées au niveau des grandes lèvres. Le gode cogne contre mon bassin, je sens mon fois comprimé douloureusement, je sais qu'il peut aller plus loin, Em avait déjà rentrer tout son avant-bras. Je le fais tourner, je vais et je viens, je force, je fais porter tout mon poids, je suis prix d'une fièvre me faisant perdre le bon sens, ne voulant que voir ce gode s'enfoncer. Quand enfin le passage s'ouvre, c'est une jouissance dans la douleur qui est inouïe. J'ai le souffle coupé, mais je continue à m'enfoncer, mon cul se dilate douloureusement sur la base du gode, il se déchire, je le sens, mais peu importe, je veux sentir le sol avec mes fesses! Je suis plus qu'heureuse d'y arriver, comme un exploit, comme une punition supportée!

Toujours dans la fièvre, je prends une courte vidéo faisant complètement sortir le gode, avant de le faire complètement disparaitre à nouveau. C'est extatique, je saigne un peu, j'essuie avec une serviette. Retenant le gode tout au fond de moi, je vais à mon bureau, je sais que je fais une monumentale bêtise, mais j'envoie la vidéo à Em, avec le commentaire : Tu vois ce que tu as fait de moi! Des mois que je pense lui écrire, sans trop savoir quoi lui dire. La tête me tourne, l'heure aussi, il faut que je me prépare pour Kate. A regret je me vide complètement, cela provoque une chute de tension! Les pinces me font hurler, laissent des traces rouge sombre sur les peaux suppliciées, je me rhabille rapidement, j'ai juste le temps de nettoyer le gode que Kate sonne, je suis prête pour elle! Ouf! Il est vingt-deux heures pile.

- Oh Marylin, tu as une tête épuisée, tu es malade?

- Non, je t'assure tout va bien.

- Tu veux qu'on annule le cours?

- Bien sûr que non, juste de mauvaises nouvelles que j'ai reçues

- Oh Mon Dieu, c'est trop injuste, tu es juste la personne la plus formidable que je connaisse.

A ces mots gentils, accompagnés de toute son empathie, je fonds en larmes incontrôlables. Kate rentre, me fait un énorme câlin, cela me fait du bien de la sentir contre moi. Elle est un peu plus enrobée que ses amies, et j'aime sentir le poids de sa lourde poitrine. Mes larmes se calmes, elle me lèche les joues inondées, descend doucement vers ma bouche, le baiser me remplit de plaisir, je tressaille, une jouissance larvée qui était là et qui guettait, elle ne se doute de rien, me caresser le dos, m'embrasse doucement le cou, m'entraîne dans la chambre, m'allonge, me touche partout, c'est si bon, je me laisse faire, ses mots comme ses gestes sont si apaisants. Je lui dis que nous devons travailler, mais nous avons tout notre temps.

Ses mains s'emparent de mes seins que je n'avais pas protégés d'un soutien-gorge, elle me suce et me titille les tétons martyrisés par les pinces, je me tords de plaisir, je lui demande de continuer, elle s'amuse de moi, avant de me déshabiller complètement. Mes marques la fascinent, elle ne dit rien, ne me demande rien, mais semble impressionnée. Sa bouche découvre mon clitoris blessé, et le mordille de plus en plus fort sous mon impulsion.

N'y tenant plus elle se met nue, j'adore son corps un peu potelé, la chair est ferme, elle est lourde quand elle s'assied sur mon visage. Son sexe remplit ma bouche de sa mouille, et elle jouit si vite, dans des cris bizarres. Elle vient se coller contre moi, me demande ce que je veux, je ne sais pas, si qu'elle me défonce le sexe avec le gros gode qui est dans la salle de bain. Je lui explique qu'il est à Cathy et qu'elle l'a prêté à Ruth! Très impressionnée, elle s'amuse à jouer avec mes lèvres avant de l'introduire doucement dans mon sexe affamé et négligé ce soir. Je suis tellement lubrifiée, cela rentre tout seul, mais il faut appuyer fort, si fort, Kate se caresse en même temps, les yeux fascinés par cet énorme membre noir qui disparait au fond de ma grotte. Enfin je jouis pleinement, le corps secoué de spasmes violents qui me font hurler. Je suis épuisée, mais ma journée n'est pas finie, Kate a beaucoup de retard à combler!

Elle me regarde amusée, m'embrasse sur la bouche, plus légèrement, et propose que nous passions aux choses sérieuses! J'ai confiance dans mon cerveau et je sais que d'ici quelques minutes je serais à plein régime, mais je suis tellement réticente à enlever le gode de ma chatte!

***

L'été est officiellement là même s'il fait chaud depuis longtemps. Le campus était très délaissé ces dernières semaines, beaucoup de filles étant parties chez elles, ou passer des entretiens pour les universités, le suivi des cours était facultatif car inutile pour beaucoup d'entre elles. Après trois mois sans arrêter une seconde, dormant parfois seulement quatre heures dans une nuit, le relâchement de ces dernières semaines m'a presque laissée décontenancée à ne pas savoir quoi faire! Pas une fois je n'ai eu l'idée de sortir du parc privé, ne voyant rien dans la vie extérieure qui puisse m'attirer, pas même aller prendre un verre dans un bar.

J'ai passé beaucoup de temps avec Jenny, la responsable administrative, au charme certain, et à la passivité presque aussi grande que la mienne. Je lui ai fait subir des tourments terribles, touchant du doigt le plaisir du sadique, la voir ainsi pleurer, supplier, ramper pour alléger ses souffrances m'a provoqué nombre d'orgasmes, mais d'une qualité bien inférieure à ce que j'ai pu connaître avec Em par exemple, mais surtout, pour jouir, je suis souvent amenée à imaginer que c'est moi qui suis là suppliante. Je crois que la pratique que j'aime vraiment, c'est de la gifler, il y a quelque chose de très jouissif de la voir se décomposer progressivement, pour n'être enfin qu'une flaque d'eau, prête à tout.

J'ai testé un jour l'humiliation publique à la piscine devant une dizaine d'élèves. Jenny devait me ramener un coca light et revient avec un coca zéro. J'ai feint une colère noire (injuste car j'avais bien demandé un zéro, mais c'était cela qui était amusant) et devant les filles médusées de me voir être autoritaire alors que nombre d'entre elles appréciaient de me dominer, je l'ai giflée jusqu'à ce qu'elle baise mes pieds, me promettant une totale obéissance et allant chercher le bon coca devant tout le monde, en marche à quatre pattes, revenant avec la bouteille entre les dents. Je la fis rester à genoux sur le dallage douloureux pendant tout mon bain de soleil. Mais là encore, si mon maillot était taché de ma mouille, ce que tout le monde pouvait voir, c'était par projection de moi dans sa situation. Nous nous embrassâmes passionnément ensuite, elle me remerciant de cette humiliation qui l'avait gravement remplie.

Mais ce soir c'est la fête de l'école, la remise des diplômes, sésames obligatoires même si évident pour les élèves. Celles qui étaient parties avaient l'obligation de revenir, et le bal des jet privés sur la piste d'atterrissage de la résidence était impressionnant. J'avais cru que la propriété jouxtait un aéroport privé, sans réaliser que cet aéroport appartenait au pensionnat! La directrice m'avait indiqué qu'en terme de sécurité c'était incomparable, toutes ces filles ne pouvant se déplacer comme le commun des mortels! Que font-elles comme le commun des mortels? Je ne crois pas que je les envie!

- Cette année est exceptionnelle, je dois vous féliciter toutes, car vos résultats dépassent toutes les attentes, et je n'ai pas entendu une seule de vos mères se plaindre des résultats. Sur soixante élèves, cinquante et une, oui cinquante et une, puisque deux ont passé le test aujourd'hui, ont atteint les 1 550 au SAT, et soixante, donc toutes, vont intégrer une top five l'année prochaine.

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