Le Pensionnat des Oiseaux Ch. 03

Informations sur Récit
Premiers contacts avec les pensionnaires.
3.8k mots
4.7
2.5k
2
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 6 pièces

Actualisé 04/16/2024
Créé 03/21/2024
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La vision me tord les tripes de désir. Arrivée à la piscine découverte, une piscine semi-olympique, je vous douze jeunes femmes sortir du bain, sous l'ordre d'une professeure sculpturale. De façon évidente le cours de piscine est terminé et une à une elles sortent de l'eau, m'offrant leur chair apparente divulguée par ce tissu machiavélique. Aucune ne semble gênée, loin de là, et je les découvre toutes une à une, me regardant avec curiosité et bienveillance. Je suis avec ma tenue réglementaire, offrant un décolleté très profond, et sans doute voient elles ma culottes e venant d'en-dessous. Tout semble fait ici pour attiser le désir, alors que je croyais rentrer dans le temple de l'exigence scolaire! Ma culotte est trempée devant ces filles à la fois toutes très différentes, rousses, blondes ou brunes, mais dégagent toutes une assurance que seule la richesse extrême donne.

- Marlin, quel plaisir de vous voir! Je suis Margaret la professeure d'éducation physique! Vous arrivez juste pour la fin du cours de la classe trois!

- Oh bonjour Margaret, je suis enchantée.

Elle est incroyablement musclée avec des jambes interminables, le maillot de bain réglementaire, mais en plus un blouson rouge de Maîtresse nageuse. Une poitrine imposante et un menton puissant, impossible de ne pas être impressionnée. Comme le soleil pointe, elle me propose de me changer et m'installe une chaise longue. Les filles me regardent tout en papotant entre elles, je n'ose pas lui résister et je vais me changer dans le pool house évidemment très luxueux. Quand je reviens, la chaise longue est abaissée, avec trois serviettes dont une en oreiller, c'est encore plus confortable qu'un lit.

- Le soleil est traître à cette époque de l'année, allongez-vous je vais vous mettre de la crème.

Là non plus je n'ose rien dire. Allongée sur le dos, je sens Margaret descendre les bretelles de mon maillot, chauffer le crème entre ses mains avant de me faire un massage divin. Je ne perçois pas que le bavardage des filles a cessé, curieuses qu'elles sont de la suite des évènements. Ses mains puissantes descendent au creux de mon dos, je suis totalement détendue, je me retiens de ronronner. Elle descend sur mes cuisses et mes mollets avant de remonter sur mes fesses, très exposées avec ce maillot string.

Elle écarte le mince tissu délicatement, je ne bouge pas, je retiens ma respiration, honteuse de ce qu'elle doit voir. Non mon petit trou, mais mon sexe qui palpite et qui, je le sens, coule sur la serviette. Ses doigts sont enduits de crème à nouveau, et sans avoir l'air de rien, un premier doigt trouve naturellement sa voie dans mon sexe. Je soupire sans me rebeller, alors qu'elle titille déjà mon point G si sensible. Je creuse les reins tandis qu'un second puis un troisième doigt vient me masser et m'enduire l'intérieur du sexe de cette crème, inutile à cet endroit, mais à la lubrification très agréable.

Je retiens mon souffle tandis que je la sens faire coulisser tous ses doigts maintenant, je ne sais plus où je suis, je pense à Em, ma belle Em qui adorait tant me fister. La main est bien plus grosse, mais je suis bien plus entraînée aussi, je sens Margaret hésiter, faire marche arrière. Je saisi alors son avant-bras, pour la faire pousser, mon vagin se dilate, il me brûle, j'adore cette douleur au passage maximum suivi de cette libération fantastique quand toute la main est entrée. Un long cri étouffé s'échappe de ma bouche, je suis secouée par un orgasme tandis que Margaret va et vient doucement, j'ai l'impression d'être défoncée par un camion. Elle ne tient pas compte de mon orgasme, je hurle mon plaisir continu. Quand enfin elle retire un puis deux doigts c'est pour les mettre dans mon cul et recommencer le même traitement, mais plus violemment, comme s'il méritait moins d'attention.

Je ne sais si c'est normal ou pas, mais avec moi la normalité me semble illusoire, mon cul est bien plus souple que mon sexe, et sa violence a vite raison sur les résistances de mon rectum, et c'est avec un feulement infini de plaisir que je sens cette main si puissante me ramoner en profondeur. Il est vrai que par-là elle peut aller bien plus loin, je sens le poing progresser, c'est quelque chose d'inouï. J'ai un choc en ouvrant les yeux, en découvrant toutes ces filles me regarder avec curiosité, certaines n'hésitant pas à se masturber en me voyant me faire déchirer ainsi. La honte de la situation déclenche un méga orgasme comme j'en connais parfois dans les situations extrêmes et je me mets à crier comme une folle, le corps traverser de spasmes et tressautant sur mon matelas.

- C'est vrai que tu es bien ouverte!

Margaret me sourit, les yeux remplis de larmes, elle a dû se faire jouir aussi? Les filles applaudissent, me renvoyant encore plus dans mon humiliation publique. Pour une première apparition j'ai mis la barrière un peu haute, je ne sais quoi dire!

- Allez les filles on se rhabille, le spectacle est terminé, on laisse Marylin arriver et profiter de ses dernières heures de liberté!

Sans un mot, elles vont au club-house se changer et boire au bar en libre-service. Je voudrais disparaître. Je sombre dans le sommeil avant même qu'elles ne soient toutes parties. Je crois que j'attire le sexe, Em a ouvert une boîte à Pandore dont le fond semble inatteignable. J'ai honte de tellement aimer cela!

***

Rentrée dans mon Bungalow, je décide de rester pour déjeuner en grignotant les quelques snacks mis à ma disposition. Je consulte bien le room service, mais j'ai besoin de rester un peu seule. D'autant que je n'ai que cet après-midi pour faire le point sur l'avancement des classes par rapport à la fin de l'année. Cela va me faire du bien de replonger dans les Maths qui sont restées au second plan ces dernières semaines. J'ai mal au sexe et au cul, une sensation qui me remplit tellement, comme si cela m'apaisait. Ou alors ce sont les orgasmes qui m'ont terrassée tout à l'heure. Quelle honte quand même!

Je suis étonnée que les filles aient quasiment terminé le programme à trois mois des épreuves finales! C'est alors que je réalise que l'année scolaire commence le premier jour des vacances en juillet et non en septembre! Ainsi elles ont deux mois de plus, mais quel investissement, les pauvres! Cela répond à une question que je n'avais osé formuler concernant les vacances. En tant que professeures, j'avais compris que nous n'en avions pas, et effectivement la nouvelle année scolaire commence le lendemain du dernier jour d'école et donc pas le temps de partir en vacances. Où irais-je et avec qui? J'avoue que je n'ai qu'une envie m'investir corps et âme dans cette aventure qui me motive.

Les scores au test en mathématiques sont globalement homogènes, ce qui est assez étonnant, entre 550 et 650 points, mais encore loin des 800 à obtenir. Car je veux absolument qu'elles aient toutes 800, qui sont bien plus faciles à obtenir en Mathématiques qu'en anglais. Je regarde le détail des tests un peu au hasard, et ne suis pas surprise par le caractère des erreurs effectuées, qui correspondent à une dizaine de cas que j'ai identifiés et dans lesquels la démarche scolaire est peu opérante. Cela m'excite et me donne envie de commencer tout de suite à leur expliquer les subtilités du test. Je suis frustrée d'un côté de ne pas avoir toute la partie théorique à leur enseigner, mais la prochaine promotion n'est que dans trois mois, et j'aurais, je l'espère, le temps de faire mes preuves.

L'année dernière, trente pourcents avaient eu huit cent en maths, et seulement trente-cinq pourcents le score attention de 1 550 au total. Ce qui est déjà exceptionnel, et me fixe un horizon à battre, je suis en ébullition, et l'épisode de la piscine est loin. Mon planning est chargé, chaque classe a huit heures de Maths par semaine, sans compter les tests qui sont passés le dimanche et hors de notre surveillance : cela ne sert à rien de tricher, et chacune le sait très bien. Et puis c'est très difficile car le temps est un facteur clé de succès et qui se sacrifierai pour aider une amie?

Je prends du temps pour regarder comment fonctionne le planning extra cours : chaque élève peut réserver sur l'intranet une période deux heures (ou deux d'une heure) avec moi, sachant que la plage d'heures disponibles commence à 0h00 pour se terminer à minuit, hors les heures de cours! Mary avait raison, c'est vraiment du vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Je ne doute pas que la réalité est toute autre, d'autant que les heures doivent être réservées une journée à l'avance, et ne peuvent être renouvelées qu'une fois le créneau de deux heures écoulées. La séance peut se dérouler soit dans des box dédié, soit chez la professeure, ce qui est quand même plus agréable je pense. Du coup je comprends le room service! La puissante Margaret est-elle aussi astreinte que nous? Sans doute oui.

Plus que les maths, leur enseignement est ma passion. C'était ma seule passion avant Em, tant je m'étais bloquée sur ce lesbianisme que je savais insupportable pour mes parents dévots?

J'ai trois classes demain, je décide de faire trois cours différents, pour les épater, qu'elles réalisent que j'ai du coffre, et que je ne suis pas aussi évidente qu'elles le pensent, et pas que deux orifices à défoncer, mais qu'en Maths je veux qu'elles me respectent. Le règlement est d'ailleurs clair, sur ma matière, j'ai toute autorité sur les élèves, sans restriction. En dehors je dois me plier à leurs désidératas, elles sont ma raison d'être ici dans des conditions plus que privilégiées. C'est là que je réalise les sommes qui sont en jeu. Sur l'intranet je peux me connecter à mon compte en banque, il n'a jamais été aussi rempli, alors que je n'ai pas commencé. J'ai un message de ma conseillère me proposant de prendre rendez-vous et de venir me voir pour m'orienter dans mes placements!

Le jour est tombé, je n'ai pas vu le temps passer, je veux encore jeter des idées sur le papier, Jenny passe me prendre pour m'emmener dîner. Elle porte une jolie robe à fleur, mettant son teint laiteux en avant, elle est resplendissante. Je ne peux que mettre mon uniforme, elle me complimente sur mon physique, ne se gênant guère pour me détailler.

- Prépare-toi, car tout le monde sait que tu es arrivée, et quelle arrivée tu as fait! La classe trois s'est éparpillé pour parler de toi, tu es déjà une star!

- Je, je suis désolée. Est-ce que c'est grave?

- Mais je ne plaisantais pas du tout Myriam, nous sommes entre filles, il n'y a aucun souci, au contraire.

Je m'attendais à une cantine classique, mais Jenny me conduit dans une salle de restaurant ultra-chic, avec une Maîtresse d'hôtel qui nous conduit à une table dressée pour trois personnes.

- La directrice va vous rejoindre un peu plus tard

Elle m'offre un grand sourire, tandis que toutes les conversations se sont tues, j'ai des dizaines de regards tournés vers moi. Je ne sais plus comment marcher, je me sens gauche, pas du tout naturelle. Heureusement très vite j'ai un verre de vin qui m'est servi, du Chardonay, et je me détends avec la conversation de Jenny qui est la gentillesse faite jolie femme. Je ne l'ai pas regardée avec assez d'attention, et elle m'attire beaucoup. Ce n'est pas la première fois, mais j'ai déjà noté que les myopes avec de grandes lunettes m'attiraient beaucoup, fétichisme bizarre.

Je ne vois pas tout le monde, les lumières sont tamisées. La carte est courte mais plutôt sophistiquée, Jenny m'explique que le restaurant tourne avec une cuisinière expérimentée, deux aides et la Maîtresse d'hôtel. Il n'y a finalement bien moins de personne que je ne pensais, et elle me confirme que nous sommes six professeures plus Margaret, qui a le même cahier des charges que nous, mais avec des contraintes différentes. Elle est en effet kiné de formation, et prodigue massages aux femmes qui le désirent, avec du coup, un emploi du temps autrement plus chargé que le nôtre! Je note avec un frisson que ses services sont également disponibles pour le personnel, les professeures en particulier.

Madame Carpenter, Cathy, nous rejoint, m'enjoint de la tutoyer, surtout après la nuit que nous avons passée ensemble. Je ne risque pas de l'oublier, je n'ai jamais vu un gode ceinture aussi gros! Elle tape du couteau sur son verre pour faire le silence.

- Bonsoir à toutes, j'ai l'immense plaisir et le grand honneur de vous présenter Marylin qui nous a rejoint ce matin. (Tonnerre d'applaudissements, je rougis). Vous avez toutes eu sa bio sur l'intranet, je suis certaines que vous êtes nombreuses à vouloir mieux la connaître. N'oubliez pas que c'est une pointure en pédagogie mathématiques, et nous espérons égaler nos performances de l'année dernière, même si l'année a été un peu perturbée par le recrutement d'Ingrid par la famille Klein. Aux dernières nouvelles elle s'épanouit parfaitement dans sa nouvelle condition. (Nouveaux applaudissements accompagnés de quelques cris! Tout le monde comprend les allusions, sauf moi bien entendu, mais cela m'indiffère

- Pour celles qui n'auraient pas regardé le planning de ce soir (C'est Jenny qui avec beaucoup d'autorité a pris la parole à la suite de Cathy) Margaret anime une séance de relaxation à 23h au gymnase. Myriam commence son activité demain à huit heures, son planning sera disponible exactement à cette heure-là. Inutile de vous précipiter toutes, vous avez trois mois pour atteindre l'excellence grâce à elle!

Le brouhaha est très intense lorsque Jenny se rassied. Je n'avais pas réalisé que les lumières avaient été allumées et je vois que les filles sont par groupe de deux à cinq personnes, j'ai vraiment le sentiment d'être dans un restaurant à la mode d'Hollywood.

Jenny me raccompagne dans le noir, j'aurais trouvé mon chemin toute seule, mais j'ai beaucoup bu. Sur la terrasse je lui propose un dernier verre, nous prenons un cocktail, je mets de la musique dans l'enceinte connectée, c'est un moment idyllique, le temps est suspendu rythmé par de doux accords de country. Je fais alors une chose que je n'ai jamais faite de ma vie, prendre l'initiative. Mon cœur bat comme une collégienne, je pose ma main sur la cuisse dénudée de Jenny, je sens sa peau douce, tendre, je suis tétanisée en attendant sa réaction. Elle écarte doucement les jambes, je comprends que c'est une invite, ma main remonte doucement, je me tourne vers elle, un énorme sourire sur le visage, je suis incroyablement heureuse, Jenny sourit autant que moi, se penche, nos lèvres se trouvent naturellement, elle goûte le cognac, c'est doux, c'est chaud.

Je n'ai jamais pris l'initiative, je ne sais pas trop comment faire, d'autant que Jenny se laisse complètement faire. Je l'embrasse, nos langues se trouvent, j'ai envie de la dévorer, je lui dis comme j'ai envie d'elle, Jenny presse son corps contre le mien, elle semble saisie de désir comme moi. Mon autre main est sur sa taille, je la presse, elle semble si fine c'est fou, une image me traverse l'esprit tandis que je remonte et je soulève son sein qui remplit toute ma main.

- J'ai envie de rentrer toute ma main en toi

Elle frémit, me serre, me colle, me chuchote qu'elle ne rêve que de cela! Ses mains me caressent le dos, ma bouche dans son cou, je presse ses seins, fort, envie de l'entendre gémir, je prends sont téton, elle gémit enfin, ne s'échappe pas, au contraire, me susurre un oui engageant, je sais trop ce qu'elle ressent ce qui me fait couler comme jamais. Je prends sa main, la mets dans ma culotte, je la sens sidérée, c'est un bain de mouille, je prends ses doigts, les fais rentrer dans mon sexe encore béant, je la sens trembler, je suis dans un état de plaisir de contrôler, de décider, de disposer d'elle.

Je me décolle enfin, je la prends par la main sans quitter ses yeux qui me fascinent, le lit nous accueille, je la déshabille, découvrant sa taille si fine, presque celle d'une adolescente, ses hanches étroites, son sexe saillant avec une fine pilosité. Je m'assois sur elle, toujours portant ma culotte, elle l'écarte, plonge sa langue en moi, si profondément, je manque de jouir sur le moment. J'adore cette sensation de reposer sur son visage, de contrôler sa respiration, de disposer sous mes yeux de son corps, sous mes mains de ses seins que je presse, tire, gifle doucement d'abord, et sans réaction, plus fort ensuite, adorant entendre ses gémissements mourir dans ma cavité. Je presse ses tétons, elle se laisse faire, je les tords, les tire, mes ongles s'enfoncent, elle crie, sursaute, ne cherche pas à s'enfuir, au contraire, elle m'encourage de petits oui entrecoupés de cris, mon orgasme me surprend, j'envoie une grande quantité de liquide sur son visage, croit-elle que ce soit de l'urine, elle me supplie de continuer.

Je me souviens qu'elle est la favorite de Cathy la directrice, elle est comme moi, passive, offerte, mais je découvre aussi masochiste. Je comprends alors que vu les godes que Madame Carpenter semble apprécier, le fist de son sexe ne doit pas lui faire peur. Moi cela me fait très envie. Je la fais mettre à 4 pattes, ses fesses sont petites, c'est vraiment une jeune femme toute mince, son cul s'offre à moi, mais c'est sexe qui m'attire, avec ses grandes lèvres discrètes que j'écarte avant de plonger un premier puis un second doigt. Elle est bien moins mouillée que moi, aussi j'enduis mes doigts de ma mouille abondante, excitée de ce mélange de nos excitations. Je me souviens de ce que j'aime, je l'insulte, lui dis que je veux m'enfoncer jusqu'à voir mon poing dans son ventre, ses gémissements sont terriblement excitants. J'enfonce mes doigts presque trop facilement, ils sont regroupés et je tourne mon poignet doucement, m'enfonçant centimètre par centimètre, jouissant de cette puissance qu'elle m'offre. Je suis surprise de la pression sur ma main une fois que je suis rentrée. Jenny tremble de tous ses membres, elle me demande si elle peut jouir, elle est adorable, juste par plaisir je lui demande d'attendre, mais très vite je lui permets de se caresser et de se lâcher. C'est une sensation incroyable de sentir son vagin se contracter violemment sur ma main, tandis qu'elle s'écroule dans des cris incontrôlés. Je suis tellement fière de moi!

- Tu veux bien rester dormir avec moi pour cette première nuit?

Jenny me sourit tendrement, m'embrasse sans me répondre, nous nous enfonçons dans la couette toutes les deux. D'un coup je repense aux cours de demain, l'excitation, intellectuelle cette fois-ci me reprend.

***

Le rêve! Une classe de 12 élèves hyper attentives et en attente, j'en suis survoltée! Les classes ne ressemblent en rien à une classe classique. Les élèves ont de grands bureaux, avec des écrans d'ordinateur et clavier, plus rien ne se fait sur papier, sinon les brouillons, et il ne faut pas les mésestimer : savoir rédiger un brouillon est un art : ne pas perdre de temps à l'écrire, mais être soigné pour ne pas commettre d'erreur. Les filles sont silencieuses et attentives, nous partageons toutes le même objectif.

- J'ai pu regarder ce que vous avez fait avec Ingrid. Le programme a été exploré. Si l'une ou l'autre vous avez un souci de compréhension sur tel ou tel chapitre, je vous donnerai un cours particulier à plusieurs. Si c'est toute la classe, alors nous passerons le temps qu'il faut. Je voudrais consacrer ces trois mois qu'il nous reste à la mise en œuvre de es fondamentaux. Personnellement je préfère au contraire commencer par ces mises en pratique, mais puisque vous maîtrisez la théorie!

Un brouhaha s'élève, je comprends que la théorie n'est pas nécessairement maîtrisée, mais peu importe, le plus important c'est que les notions soient connues.

- Nous allons aujourd'hui nous concentrer sur les questions de géométrie (Nouveau brouhaha) je sais que c'est ce que déteste le plus les candidats, et pourtant, je vais vous dévoiler l'envers du décor, comment les questions sont faites, pour que vous compreniez que les problèmes sont tous semblables et savoir les reconnaître.

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