Le Pari de Trop Ch. 02 et fin

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L vie de Juliana se dessine.
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J'entends un bruit dans la salle de bain, je souris dans mon sommeil, sans doute Juliana qui commence sa journée, je m'étire d'excitation. Une heure plus tard, la porte de me chambre s'ouvre, et elle rentre avec mon plateau de petit déjeuner, et se positionne à genoux à côté du lit. Je suis réveillée, mais je la laisse attendre, la regardant au travers de mes yeux mi-clos. Sa perruque rousse ne l'a plus quittée, tant elle lui va bien, et je ne saurais pas que c'est mon mari si je ne l'avais pas vue avant. En quelques jours, forcée de se comporter en femelle, la ressemblance est flagrante. Son corset est toujours très / Trop serré, je ne veux lui passer aucune contrainte ni souffrance, en une semaine, elle aura bien le temps de récupérer.

Je suis frustrée de devoir choisir entre jouer avec ses tétons annelés et la voir porter sa fausse poitrine. Impossible de prévoir une opération en quelques jours, aussi j'aime savoir qu'elle souffre de ses piercings, d'autant qu'hier, malgré tout, j'ai décidé d'augmenter le diamètre avec une gros anneau qui me faisait très envie, ses tétons sont tellement dilatés, c'est fascinant. Chaque geste le fait souffrir, comme sans doute le gros gode métallique que je lui ai acheté l'autre jour avec Charlotte. Ce qui est assez étrange, c'est que depuis son acceptation du piercing, je l'ai senti basculé, et je ne le reconnais plus du tout. Il semble tellement dévoué et en pleine dévotion, et semble accepter contrainte et sévices sans presque râler. Du coup je ne me prive pas, j'ai l'impression progressivement non pas de vider mon ras le bol, mais détruire ainsi l'image et la réalité de ce que fut Julien mon mari.

Est-ce possible en quelques jours. Je m'assieds au bord du lit, je lui fais poser le plateau, et j'écarte les cuisses. Quelle puissance que de pouvoir écarter les cuisses, d'ouvrir ainsi la vallée des plaisirs là où l'homme a ses attributs si visibles, évidents et vulnérables. Rien de plus érotique que des cuisses, s'ouvrant pour le plaisir, à cet instant, pour le soulagement de la nuit. Il le sait maintenant, et c'est la bouche bien ouverte qu'il vient recueillir ma rosée du matin incroyablement abondante. Je lui débloque son bâillon, car je souhaite absolument contrôler ce qu'il boit dans la journée, l'affaiblir en le déshydratant, sachant qu'il ne va rien manger pendant toute cette semaine. Aussi est-elle excitée de pouvoir me boire largement, alors que le reste de la journée ce seront quelques cuillères à soupe de cette même urine qui lui seront réservées.

C'est jouissif de pisser dans la gueule de ma chienne. Je l'écris à Charlotte qui partage avec moi toute l'excitation de la situation. Elle revient vendredi et espère pouvoir goûter tous ces plaisirs pendant les vingt-quatre heures qu'il nous reste à l'utiliser en esclave. Celle-ci me baise les pieds pour me remercier de l'abreuver, et c'est tellement paradoxal ce syndrome de remercier celui qui te contraint, lorsqu'il lève partiellement la contrainte. Le bâillon est remis en place, déformant sa mâchoire, et sa tête, elle ne ressemble à rien. Je prends le plateau et le dépose sur la table à manger, ce n'est guère pratique au lit. Je me règle des œufs et bacon, des tartines et du pancake préparé avec amour j'en suis certaine, et sans le goûter puisque le bâillon est cadenassé. Je n'ai aucune confiance en mon esclave.

J'aime la voir marcher avec le gode étincelant entre les fesses, je sais qu'il souffre terriblement, il tremble, il ralentit de jour en jour, c'est assez étonnant. Quel tocard quand même. Il se tient debout, les jambes écartées, les mains sur la nuque. Je prends la canne, je commence sans plan précis, je ne compte pas, j'ai juste envie de faire comme il me plaît. Les coups tombent un peu au hasard, sur son pubis bien offert par la cage entre ses jambes, sur le ventre si sensible, les cuisses qui marquent bien. Quand il bouge il est tout de suite puni par une suite de coups très prononcés, qui peut durer jusqu'à ce qu'il s'effondre, je le relève alors à coups de pied en l'insultant. Je vise les couilles, ou bien les prothèses sachant les tétons martyrisés derrière. Je suis mauvaise, je le sais, il se méfie, je me remémore chaque matin les termes du pari qu'il a voulu gagner contre moi.

Charlotte revient ce soir, je le veux briser. Je ne vais pas rentrer pour lui donne run peu à boire, il a déjà bien bu ce matin. Je lui retire ses prothèses, ses tétons son écrasées, les anneaux brillent. Il est allongé sur le dos, je commence déjà à resserrer le corset, la position est pratique, et j'arrive à gagner dix centimètres de lacet, la tension est terrible. Le gode est bien en place, je ne peux l'enfoncer plus. Déjà dix heures qu'il le porte, cela fera dix de plus, je lui murmure à l'oreille, j'adore cela, qui s'ache qu'il va souffrir, mais lui promettant que demain il sera libre de tout! La promesse est à double sens, et il le sait bien maintenant, que je ne veux pas le retrouver comme avant.

Sur le ventre je presse ses coudes dans le dos, jusqu'à les joindre avec une corde. Je voudrais faire la même chose avec les mains, mais cela ne marche pas, je crois que j'arracherais des tendons! Il ne peut rien en faire. Je ligote ses cuisses, ses mollets puis ses chevilles que je ramène sur ses coudes pour tirer au maximum, son corps se cabre, tous les muscles sont tendus, il gémit dans son bâillon. Je vais adorer le regarder pendant mon travail. Je lui mets une cagoule par-dessus la perruque qui sort de partout ; juste pour qu'il sente le latex le presser. J'attache le bâillon aux pieds derrière, il est obligé de soulever la tête, libérant alors les anneaux coincés au sol. J'attache une fine cordelette, je tire aussi fort que je peux pour les solidariser à son collier. Ce n'est pas nécessairement très réussi esthétiquement, mais je sais qu'il va compter chaque seconde. Mais comme il est dans le noir, il ne sait rien de rien, sinon que je reviens ce soir à dix-neuf heures.

Quand je ferme la porte de notre appartement, je suis super légère et contente. Aussi de lui avoir dit que je déjeunais avec Alex son meilleur copain, et que j'allais me le taper, que ce ne serait pas la première fois, mais en sachant Juliana à m'attendre, j'étais certaine que ce serait encore meilleur. J'ai entendu un long gémissement et un signe de la tête. J'ai sans doute mal interprété car je suis certaine que cela l'excite. C'est dans beaucoup des histoires qu'il aime! Il fait chaud, j'ai une robe légère, j'enlèverai ma culotte avant de rejoindre mon amant, envie qu'il me défonce dans les toilettes comme une pute de bas étage. J'hésite à lui dire le destin de Juliana, je n'ai pas trop confiance en Alex.

***

Parfaitement synchronisée, nous nous retrouvons avec Charlotte à la porte de l'appartement à 19 heures. Je la préviens que cela peut être un peu pathétique, mais elle est trop excitée pour m'écouter. Elle porte son cartable avec son ordinateur et son sac de voyage et a besoin comme moi de décompresser grave!

L'appartement est silencieux, rien ne bouge. Même Juliana ne semble pas bouger ni avoir noté notre présence. Je passe derrière, glisse mon escarpin entre ses cuisses et écrase ses couilles ainsi offertes! Elle bondit et hurle en même temps, puisque tirant sur ses anneaux fraîchement posés, sans pouvoir ni rien voir, ni rien comprendre nous n'avons pas dit un mot. Je continue d'appuyer, pendant que Charlotte tire sur la cordelette des anneaux, trop amusée des hurlements de notre souffre-douleur. Comment se fait-il que nous soyons aussi sadiques avec lui? Moi je comprends, mais Charlotte. Peu importe, cela nous offre bien du plaisir. J'ai envie de le frapper mais la position n'est pas pratique pour cela, je décide de le délivrer pour le moment, qu'il nous serve un apéritif digne de ce nom, la soirée est longue.

Charlotte part prendre une douche le temps que je détache ma chose progressivement. La cagoule enlevée, je découvre une Juliana au visage ravagé, du maquillage partout, les yeux gonflés, la mâchoire irritée et ouverte. La perruque est en désordre. Je défais le corset, les marques sont spectaculaires sur son dos et son ventre, il est rouge vif. Le gode tient par contact sur son cul, je n'ose le sortir moi-même, qu'il se débrouille. Charlotte sort en peignoir, Juliana baisse les yeux de honte, ce qui lui plaît bien. Elle lui fait baiser les pieds le temps d'admirer ses marques de corset, et d'être fascinée par le rouleau métallique qui sort de son cul, d'un diamètre plus que conséquent, rien à voir avec une bite. Je lui promets qu'elle pourra le prendre au gode ceinture après, je viens de recevoir une culotte avec un Gode jumbo! C'était juste!

Juliana nous sert un martini et je l'envoie se vider et se nettoyer, évidemment toujours bâillonnée. Je veux la revoir propre, maquillée, avec sa prothèse, son corset et sa tenue de soubrette et ses escarpins à talon haut, qu'elle nous prépare quelques trucs à grignoter.

- C'était bien ta semaine?

- Boring, j'en ai marre de ce métier

- Tu cherches

- Pas le temps, c'est cela le pire, j'ai un casseur qui m'a contactée, il faut que je voie. Et toi, raconte...

- Caliente! La pauvre Juliana, elle a dégusté à chaque instant, et tu as vu comme elle est, complètement servile, en adoration, ne dit rien, c'est fou!

- Tu l'as dressée tu crois?

- En six jours? Je me demande si elle n'a pas découvert sa voie.

- Et toi?

- Je suis en pleine introspection... attend une seconde, viens te montrer mon esclave

Juliana est à nouveau présentable, maquillée, et belle comme a premier jour. C'est très étrange comme je n'avais pas noté à quel point Julien avait des traits féminins. Parce que Juliana n'a rien de viril! La réflexion nous fait hurler de rire. Juliana a la tête baissée et vaque aux ordres que je lui ai donné. Je ne prends pas garde si elle écoute ou pas, je m'en moque complètement.

- Oui je te disais en pleine réflexion. Si l'attitude de Juliana me surprend, la mienne aussi! Je ne ressens aucune culpabilité, aucune limite à mon action, je ne pense pas à après car il n'y aura pas d'après. Julien a bel et bien disparu samedi dernier.

- Ouah c'est fort cela et du coup?

- Déjà tu as vu comment je l'ai laissée ce matin? Pas une seconde je n'y ai pensé sinon quand j'ai baisé avec Alex son copain.

- Alex? (Charlotte rit), tu es une vraie salope

- Oui, tu sais bien que ce n'est pas la première fois. Mais le truc d'dingue c'est que je trouve cela naturel, le mode de vie depuis cinq jours, complètement naturel. J'aurais pensé qu'avoir un esclave était une charge mentale supplémentaire, mais pas du tout, presque l'inverse. Déjà ne plus avoir Julien dans les pattes, c'est un tel soulagement.

- J'avoue que moi aussi j'adore le voir ainsi. Je n'ai baisé avec lui que pour voir, mais franchement j'ai toujours trouvé que c'était un connard et qu'il ne te méritait pas!

- Tu connais des mecs qui nous méritent?

Nous pouffons de rire toutes les deux, mais ce n'est qu'à moitié une blague. Pure hétéro, notre destin est tragique! Nous discutons longuement, j'aime Charlotte comme ma sœur et c'est réciproque. Nous n'avons jamais de tension, trouvant cela futile entre nous. Je fais venir Juliana entre nous à genoux. La pauvre titube de souffrance et d'épuisement, elle n'a eu que mon urine du matin, c'était il y a longtemps. Je prends le bâton, et je la fais s'agenouiller dessus, l'obligeant à garder le dos et le corps bien droit, que le poids soit bien sur ses genoux. C'est quelque chose d'instinctif maintenant, que toujours elle souffre et rien ne soit facile. Sa tête est baissée, ses mains dans le dos, elle tremble c'est délicieux.

- Juliana, demain soir ta semaine d'esclavage se termine. Tu dois comprendre, même dans ton état de loque, qu'il n'est pas question que notre petit couple reprenne comme avant, je ne voulais plus de Julien, et là j'en veux encore moins. (La pauvre, des larmes coulent sur ses yeux, cela m'excite, j'aimerais faire durer ce moment le plus longtemps possible)

- Je n'ai jamais compris pourquoi Isabelle s'est mariée avec toi, et en fait elle non plus. Tu es un minable et bien plus belle en Juliana. Tu as failli nous séparer parce que tu savais que je te méprisais, maintenant tu sais que Isabelle aussi te méprise tout autant.

- Comme c'est notre dernière soirée, je veux que Charlotte puisse en profiter. Je voudrais que ce soit un feu d'artifice pour toi, un concentré de ce que tu voulais me faire vivre, tu vois? En tous cas j'ai plein de jeux prévus, et je n'en vois pas un seul qui soit ne serait-ce que pas trop douloureux. Si tu te sens épuisée maintenant, qu'est-ce que ce sera demain matin! Mais sache que demain matin tu auras le droit de boire le nectar de Charlotte. Elle attend cela avec trop d'impatience, comme de t'ouvrir le cul avec Big Joe que j'ai acheté, huit centimètres de diamètre et trente de profondeur, je crois qu'il faudra quelques semaines pour que ton cul se referme!

J'adore trop la voir pleurer, sans rien dire, en essayant de contenir sa souffrance.

- Alors, la suite des évènements est très simple. La maison est à moi, tu n'as plus d'argent sur ton compte, mais demain après-midi tu dégages. J'ai vu avec Alex, il va t'héberger le temps qu'il faut. Il me doit bien cela, surtout que je lui ai offert mon cul cet après-midi, à sec! Le salaud il en a bien profité.

- Et pas toi? (Charlotte rit!)

- Si bien entendu. Donc tu dégages tout, Lundi je demande le divorce par consentement mutuel, j'espère que tu ne poseras pas de problème, sinon je t'écraserai grave, et voilà.

- Tu es dure Isabelle là!

- Mais tu ne m'as pas dit que c'était un connard?

- Si bien entendu, mais Juliana n'y peut rien. Et elle a l'air très serviable et pleine de promesse.

- Tu as raison. Tu m'écoute Juliana (Hochement de tête servile) une alternative c'est que Julien parte mais Juliana reste.

Je le sens très attentif d'un coup. Il a bien compris que je ne jouais pas, j'ai un ton quand je suis concentrée qui ne trompe pas. Il réalise que tout ce que j'ai pu lui dire cette semaine pour l'humilier et le rabaisser, je le pensais vraiment.

- Alors écoute moi bien, l'alternative, dont aucun des éléments n'est négociable ni discutable est la suivante : Ce que tu as vécu cette semaine devient ta nouvelle vie pour toujours et sans retour possible. Cette semaine m'a montré que j'adore avoir une Juliana en esclave, tu as pu voir que je suis naturellement dominante, pourquoi crois-tu que je sois associée à mon âge, et tu as ouvert ma boîte à sadisme, tant pis pour toi. Mais à te voir vouloir bander si souvent il me semble que cela te plaît et surtout te convient parfaitement.

- Mais, je ne me vois pas vivre seule avec toi pour me servir, ce serait un nouveau tête-à-tête. Aussi nous avons décidé avec Charlotte qu'elle va venir vivre ici, elle va prendre ton grand bureau qui ne sert à rien, une esclave n'a pas de bureau, et d'ailleurs une esclave n'a rien du tout, je vais m'en occuper. Ainsi tu viendras nous servir toutes les deux, le rêve non? (Je n'attends pas de réponse)

- N'espère aucune douceur de ma part, je serais sans doute encore plus intraitable qu'Isabelle, j'avoue que Juliana me plaît quand elle rampe et tremble! Moi cela fait longtemps que je connais mon mépris des hommes comme toi!

- Alors si tu es d'accord, demain matin tu viendras nous servir un petit déjeuner, nous dormirons dans le même lit en attendant de meubler sa chambre, tu boiras nos deux champagnes, cela va t'hydrater un peu, et tu nous donneras les papiers à signer ainsi que tous tes papiers d'identité, ton téléphone, ta montre, et ton alliance.

- Les papiers à signer sont ta démission de la fonction publique immédiate (Juliana tremble de plus belle), ainsi tu n'auras aucune sécurité, puisque tu n'as plus rien, la résiliation de ton compte en banque et tes livrets qui seront virés sur mon compte, la résiliation de ton téléphone portable, tu n'en as plus besoin, ton acceptation d'un divorce par consentement mutuel et faute de ta part, je ne peux rester marié à une chienne? Quoi d'autre?

- Les vêtements et effets personnels?

- Oui tu as raison, donc demain tu mets dans des sacs poubelles tous tes effets personnels, vêtements, documents autres que ceux d'identité, tu mets ton permis de conduire par exemple, ta carte d'électeur etc... Et tout objet qui est à toi dans cette maison, Julien doit disparaître, et il ne restera rien de toi demain soir, d'une façon ou d'une autre le choix est ta décision personnelle.

- Nous ferons une vidéo dans laquelle tu annonces à tout le monde que tu as décidé de changer de sexe et de devenir Juliana, que tu intègres une nouvelle vie, un nouveau cadre. Isabelle l'enverra à ta famille et tes rares amis, évidemment ils reviendront vers elle, mais à priori seul restera ton côté féminin, le côté esclavage étant plus... intime.

- Que tu comprennes ma petite chienne, cette vidéo n'est pas un faux, tu vas effectivement changer de sexe! Nous avons convenu avec Charlotte que c'était la meilleure solution, car si on fait venir des hommes ici, ils seront séduits par une chienne docile, mais s'ils voient que c'est un mâle, ce ne sera pas durable.

- Il se trouve qu'un de mes clients est une chaîne de clinique en Espagne et Belgique et qu'ils excellent dans les changements de sexe. Tu auras une poitrine un peu plus grosse et lourde que ta prothèse, avec tes jolis anneaux qui vont atrocement grossir mois après mois, que tu souffres en permanence. Ablation du sexe et des couilles, dessin d'un vagin et nous le rendrons même fonctionnel. Pour la voix, les opérations me semblent encore un peu aléatoires, aussi Charlotte préfère que tu ne puisses plus parler du tout, c'est vrai que l'idée même d'entendre ta voix m'est insupportable.

Le pauvre, je ne crois pas qu'il comprenne tout ce que je dis, vu la souffrance qu'il endure, je décide de le faire descendre du bâton pour lui asséner le coup final.

- Tout ceci est résumé dans un document, lui aussi sur ton actuel bureau, il est à signer à chaque paragraphe. Et tu le liras in extenso devant la caméra.

- Nous allons bien nous amuser ce soir et tu vas voir ce que sera ta vie. Peut-être pas toujours aussi intense, malheureusement pour toi, mais je suis certaine qu'avec Charlotte et moi tu vas être au paradis.

- Attention Juliane (La voix de Charlotte est très coupante et autoritaire), si tu décides de rester ce sera à ces conditions. Tu n'auras plus de travail, d'argent, de papiers, ni d'amis. Il n'y a aucun retour pour toi. Mais de notre côté il n'y a aucun engagement de te garder. Lorsque nous serons toutes les deux lassées de toi, ou mariées avec des enfants, tu ne nous seras d'aucune utilité. Peut-être que nous essaierons de te placer, ou peut-être simplement nous te laisserons sur une aire d'autoroute, complètement brisée, sans savoir comment tu t'appelles, bonne qu'à faire des pipes aux routiers.

- Ce serait amusant de la céder à un homme sadique qui l'utilise de façon exagérée, tu sais comme les hommes ont des besoins bien plus importants que les nôtres!

- C'est vrai il adore tellement se faire défoncer le cul! D'ailleurs tu m'as promis le big Joe ce soir!

- Oh oui, et on va le ramoner le temps qu'il faut pour que les trente centimètres rentrent!

Juliana se précipite à nos pieds, nous embrasse avec son bâillon, c'est pathétique, je ne sais trop interpréter. J'espère qu'elle va décider de rester, ce sera plus simple, mais sinon je détruirai Julien de façon pire encore. Il m'a pris mes plus belles années.

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3 Commentaires
AurailiensAurailiensil y a 21 jours

Sans limites... une bonne idée le couple femme et amie

PerverPeperPerverPeperil y a 23 jours

Difficile d'imaginer une fin différente (et plus excitante). Excellent. Cinq étoiles.

PP

AnonymousAnonymeil y a 24 jours

Très excitant

Dommage qu'il n'y ai pas de suite....

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