Le paradis des violeurs : Elaine

BÊTA PUBLIQUE

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Et voilà que maintenant son horrible agresseur déposait son infâme mixture sur son visage, se servant de sa bite comme d'un pinceau.

Incapable de voir, aveuglée qu'elle était par l'épaisse potion lui enrobant les paupières Elaine sentit sa main peser sur sa nuque l'obligeant reculer vers le lit.

Ses genoux cognant contre le matelas, elle tomba à la renverse elle se mit à trembler en le sentant lui écarter les cuisses en grand.

S'agrippant désespérément à l'armature du lit, elle ne pouvait que se-couer la tête de droite à gauche alors qu'à sa grande horreur son agres-seur plaquait son visage dans sa féminité au travers de sa petite culotte en rouge en dentelle.

- "Nnnnnnnnnnn ..... Nnnnnnnnnnnnn ...... Nnnnnnnnnnnnn!....." gémissait-elle entre ses dents serrées alors que le sâle pervers entreprenait de lui lécher la fente au travers du tissu de son cache sexe.

- "Ahhhhhhhhhhhh ..... Ahhhhhhh ..... Nonnnnnnnnnnnnnn!..... " firssonnait-elle alors qu'il venait de pousser de coté le fond de son slip enfournant sa langue raidie directement dans sa fentine em-brasée.

- "Ahhhhhh ...... Mon Dieuuuuu ..... Oh, mon Dieuuuuuuuuuuu ..... " hurlait-elle alors que pour la première fois de sa vie un hommelui broutait la chatte. Incapable de l'en empêcher, bien que se refusant à répondre à ses caresses. Rien ne l'avait préparée à de telles cajoleries, et voila que ce lécheur expert s'attaquait à son clito si sensible.

- "Nonnnnnnnnnnn ..... Nnnnnnonnnnnnnnnnn!.....".

C'est out ce qu'elle parvenait à vagir alors que son corps était secoué de spasmes incontrôlables en réponse à ces enivrantes caresses.

Il lui jeta un coup d'œil jubilatoire et déboutonna sa chemise avant de déboucler sa ceinture. Il tendit alors la main et la posa sur ses genoux, et lui écarta imparablement les cuisses pour se placer entre elles.

Une fois sa grosse bite extraite de son caleçon il la pointa au centre de sa féminité affolée.

Sentant le gros bourgeon de chair pressé contre sa chatte, Elaine pani-qua, elle n'avait jamais eu de rapports sexuels avec d'autres hommes que son mari!.....

Et, en, comparaison, la virilité de son mari était loin d'être aussi épaisse et longue que celle de son agresseur!....

- "S'il vous plait .... S'il vous plait ...... Ne me violez pas!..... Je vous en prie ..... Je vous en supplie ...... Vous êtes trop gros ..... Bien trop gros pour mon étroite fente!...... " se lamentait-elle.

Ayant fermé la fenêtre à double vitrage de la chambre Darius savait qu'il pouvait savourer ses cris et ses pleures, personne ne les entendrait dans les étages.

Lui agrippant les hanches il plongea en elle sans aucune pitié, jubilant de l'entendre hurler :

- "Aieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee ......."

Et comme la pleurnicharde beauté le suppliait de se retirer, tentant de le repousser de toutes ses faibles forces, il plo,ngea à nouveau au fin fond de son intimité s'exclamant :

- "Je vais ruiner ton corps ma chérie!..... Ton mari voudra-t-il encore te mettre sa pathétique petite bite dans la chatte après ça?....."

- "Nonnnnnnn ....... Nonnn, je vous en prie ...... Arrêtez ...... S'il vous plaiiiiiiiiiiiiitttttttttt ..... J'ai maaaaaaaaaalllllll ...... " sanglotait Elaine éperdue.

La chatte distendue comme jamais, une bite enfouie en elle comme ja-mais, elle essayait de chasser de son esprit les éventuelles conséquen-ces de cette ignoble agression.

L'énorme bite de son assaillant coulissait lentement dans sa moule ravagée, elle ne pouvait qu'implorer sa pitié :

- « S'il vous plait ..... Nonnn ...... Je vous en prie ...... Pas ça ...... Re-tirez vous ...... »

Mais ses plaintes ne faisaient que conforter sa jubilation, lui agrippant plus fermement les cuisses il la labourait maintenant sur un rythme plus soutenu, il sentait sa sève monter, lui emplir les burnes.

- "Uuuuuuughhh ....... Ahhhhhhhhhhh ..... Prends ça salope ...... Je vais te remplir la chatte!..... Ouiiiiiiiiiiiiiiiii ..... Oh chérie ........ T's vraiment bonne à baiser!......." tonnait Darius projetant des flots de foutre chaud au fin fond de son utérus fertile.

Défaite, effondrée, le corps meurtri, Elaine gisait sur son lit conjugal, elle se sentait sale, souillée, dégradée.

Elle ne s'était jamais sentie aussi honteuse, humiliée!

Elle aurait préféré mourir que de subir cette épreuve dégradante.

Cependant, Darius lui agrippait les chevilles et la forçait à se mettre à quatre pattes sur le lit, elle sut instantanément, le visage enfoui dans l'oreiller, que son épreuve était loin d'être terminée.

- "Aammmmmmmffffffffffff ...... Ammmmffffffffff ......"grommela-t-elle l'oreiller étouffant ses hurlements alors que Darius plantait sa grosse bite dans trou du cul inviolé.

A la vue des filets de sang couvrant sa bite il commenta lourdement :

- "Ah ma chérie ......c'est la première fois qu'on t'encule?...... T'étais encore pucelle du cul?....... Habitue toi ..... T'en auras grand be-soin!......."

Sanglotant, la tête enfouie dans l'oreiller de son époux, Elaine subissait le douloureux empalement de son anus vierge. Il la sodomisait aussi sauvagement que vicieusement.

En fait, c'était sa première expérience anale, jamais elle n'aurait même pensé qu'un homme veuille pénétrer un anus féminin.

Mais, plus que la douleur et la honte de se faire sauvagement sodomiser les commentaires de son agresseur la remplissaient de honte :

- "Bordel, ton trou du cul est rudement étroit ma chère madame Ro-berts ..... Aurais-tu pris un lavement dernièrement?...... Bordel si j'avais su cela je me serais muni d'un tube de lubrifiant!......"

Une semaine plus tard, les choses semblaient reprendre leur cours nor-mal.

Une fois son violeur parti, Elaine avait téléphoné à son mari prétextant être malade pour lui demander de prendre les enfants à la sortie des écoles et de les emmener dans leur pizzeria favorite où ils pourraient se régaler tout en jouant à leurs jeux préférés.

Ce laps de temps devait lui permettre de se doucher et de nettoyer correctement la chambre pour effacer toutes traces de ce fâcheux évé-nement.

Elle avait ensuite pris une paire de cachets pour dormir avant le retour de son mari et de ses enfants.

Elaine s'était fait porter pâle le lendemain, elle disposa ainsi d'un week-end prolongé pour rassembler ses esprits.

Elle avait immédiatement décidé de ne pas rapporter son viol aux forces de police, de peur d'être obligée de donner des détails scabreux et de révéler son infortune à des étrangers.

Et comme si cela ne suffisait pas, elle pensait à la tête de son pari et de leurs parents s'ils apprenaient que leur fille et bru s'étaient fait violer dans son appartement.

Se rappelant des derniers mots se son violeur qui s'était félicité d'avoir ruiné son corps et peut-être même sa réputation elle refréné ses pleurs.

Comme elle parvenait difficilement à chasser cet ignoble épreuve de son esprit, quelques jours plus tard, alors qu'elle franchissait le portail des départs, son violeur, souriant à pleines dents s'approcha d'elle, pour lui demander de changer de place.

Jetant un oeil rapide sur son ticket d'embarquement elle vit qu'il y avait accroché un post-it.

Elaine trembla de tous ses membres à la lecture de cette missive qui statuait :

- "Donne moi ton adresse e-mail que je t'envoie une paire de photos de nous deux!....... Si tu refuses, je les envoie à ton mari!.....A toi de choisir madame Roberts!....."

- "Des photos?.... Oh mon Dieu, quelle sorte de photos?....." se tracassait-elle paniquée.

Craignant le pire elle inscrivit son adresse mail au dos du message de peur que son mari ne reçoive les photos incriminées dans sa boite aux lettres.

Alors qu'elle quittait son violeur il la prévint d'une voix suave:

- "Je te les envoie d'ici une heure, ainsi tu pourras les contempler dès rentrée chez toi!...."

Comme il était déjà 13 heures 30, il état évident que cet homme connaissait son emploi du temps et le moment de son retour chez elle ce jour même.

Tremblant comme une feuille elle alluma l'ordinateur familial, sa boite à lettres contenait un message intitulé "Adorables photos".

Elle hésita un bon moment, puis se força à cliquer sur l'icône d'ouverture.

Elle put alors lire l'inquiétant message :

- "Bonjour chère madame Roberts je pense que vous aimerez rece-voir une paire de photos de nous en train nous aimer.

Si vous voulez pas que votre mari ait connaissance de ces photos, suivez les instructions contenues dans mon prochain e-mail ....."

Elle se força alors à ouvrir la première pièce jointe, les larmes ruisselè-rent alors sur ses joues en se voyant agenouillée sur la carpette, bouche grande ouverte, mâchouillant les testicules de son violeur.

La seconde photo la représentait à la tête du lit cuisses grandes écar-tées son violeur le visage pressé sur sa chatte lui bouffant le gazon, on distinguait même un petit de sa langue plongeant dans son intimité.

Sur la troisième, on voyait le débit du viol, lorsque son agresseur plon-geait son épaisse bite dans sa petite chatte écartelée.

Sur la dernière elle se trouvait à quatre pattes, le visage enfoui dans l'oreiller de son mari, alors que son assaillant la sodomisait allégrement. Soucieuse de ne laisser aucune chance à son mari de voir ces photos, elle les effaça rapidement et attendit le message suivant.

Et maintenant, deux mois plus tard, assise sur son lit, Elaine réfléchissait à son avenir.

Elle s'était débrouillée pour que son mari et ses parents ne sachent rien de son viol, mais cela lui avait coûté un certain prix.

Le second e-mail lui avait exposé une alternative : ou elle commençait dès le 1er du mois suivant à compléter chacune de ses journées de tra-vail par un extra de 14 heures 30 à 15 heures 30 au motel de l'aéroport, ou son maître chanteur faisait parvenir ses photos à son mari, ses pa-rents, ses collègues, ses proches.

Et depuis un mois entier, Elaine se rendait dans une chambre du motel de l'aéroport pour y exercer un petit travail supplémentaire ........ Celui de call-girl à 300 $ de l'heure, son agresseur devenu son maquereau, gé-rant ses rendez-vous avec ses clients.

Deux mois plus tôt son mari était le seul homme à la baiser.

Elle avait eu 22 jours de travail ce mois ci, ce qui signifiait qu'elle avait du satisfaire 22 clients dans la chambre du motel.

Elle avait très vite appris comment satisfaire la lubricité de ses clients, ils aimaient tous, en préliminaire qu'elle garde son uniforme pour les sucer à genoux dans l'entrée.

En les amenant à jouir, Elaine s'était rendue compte que chaque client avait ses propres fantasmes qu'il voulait satisfaire avec une profession-nel.

Certains voulaient éjaculer dans sa bouche, exigeant qu'elle avale leur semence, d'autres extirpaient leur bites de sa bouche au moment décisif et projetaient des jets de foutre sur son visage et dans ses cheveux d'au-tres enfin aimaient envelopper leurs bites dans ses cheveux roux lui imposant un shampoing protéine.

Le fantasme d'un vieillard était de la prendre sous la douche, comme Elaine s'exécutait le vieux bâtard il la prit violemment contre le mur de la salle de douche.

Elle était là pour satisfaire les désirs de ses clients, elle se laissa donc prendre par derrière, s'appuyant des mains contre la cloison de la dou-che.

Une fois la douche finie, terminant leurs ébats dans le lit, elle comprit pourquoi il agissait ainsi :

- "Oh oui .... Beau-papa prendre soin de sa bru pendant que Jeff est en Iraq ..... Tu vas bouger ton cul pour moi dorénavant!...... Comme ça, ça ne sortira pas de la famille!..... Je vais habiter chez toi, cela fera des économies ...... Mon fils se réjouira de savoir que je prends soin de sa petite femme, tandis qu'il est au loin!....."

Se rappelant le dernier épisode, Elaine frémit ce vieux client lui rappelait son propre beau-père, il était tout aussi bedonnant.

Cela l'énerva de comprendre qu'en fait il fantasmait sur sa belle fille qu'il désirait s'envoyer.

Le visage enfoncé dans son estomac alors qu'il se vidait les couilles dans sa bouche haletant :

- "Oh ma petite chérie ...... Oh ouiiiiiiiiiiiii ..... Jusque comme dans mes rêves!...... Suce beau-papa avec ta petite bouche!...... Caresse moi de ta langue ...... Ahhhhhhhhh ...... Ahhhhhhhhhhhh ..... Ahhhhhhhhhhhhhhhhhh ....... avale ma purée ........ Oh ouiiiiiiiiiiiiiiii!......"

Elaine ne pouvait pas s'empêcher de se représenter son beau père la baisant en levrette tandis que ce vieillard ventru, bâti à son image, profi-tait largement de ses charmes.

Elle se morigénait d'avoir des pensées aussi salaces, ele pensait qu'elle plongeait droit dans un monde d'abjection.

Mais à cet instant, ses pensées étaient tout autres elle se focalisait sur une seule chose, se rendre au rendez-vous qu'elle avait programmé la semaine prochaine.

Ces deux mois écoulés, Elaine savait qu'elle devait prendre rendez-vous dans une clinique pour avorter du bébé conçu dans le lit conjugal deux mois plus tôt .... Conçu avec ce bâtard pervers qui la faisait chanter de-puis et était devenu son maquereau.

FIN DE L'HISTOIRE.

20 avril 2007

Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de l'auteur :

Black Demon

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