Le Motard Prend Ma Femme

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Les femmes s’émancipent.
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J'ai acheté quatre caravanes pour Carène, ma femme, une petite activité secondaire pendant que je m'occupe de la ferme. Le projet, c'est de recevoir des touristes, leur vendre quelques produits de la ferme, et rencontrer des gens. Vivre dans une ferme isolée, au milieu de la nature, c'est bien pour la santé, mais il faut y être né. Ma femme reste seule toute la journée pendant que je suis aux champs, alors qu'elle aime recevoir du monde. De plus, les vacanciers viennent d'horizons différents, ce qui est très enrichissant sur un plan culturel.

L'activité démarre gentiment. Nous sommes dans une région très touristique l'été, avec beaucoup de passage. Un après-midi, deux motards allemands se sont arrêtés. Ils ont vu la pancarte que j'ai posée au carrefour. Ils demandent une location pour deux semaines, car ils veulent se servir de l'endroit comme camp de base, et rayonner avec leurs motos dans toute la région.

Ils parlent doucement, dans un français hésitant, mais parfaitement compréhensible. C'est ce qui inquiétait le plus ma femme, les langues. Elle ne parle que le français, moi aussi, et elle avait peur de ne pas arriver à comprendre les clients étrangers. Mais avec ceux-là, pas de problème. Ce sont des gars très athlétiques, qui conduisent de grosses motos assez anciennes et bruyantes. Pas des japonaises pour faire de la vitesse, non, des motos confortables pour faire beaucoup de kilomètres tranquillement.

Ces gars sont vêtus de cuir, casqués et gantés, poilus, cheveux longs, barbe et moustache, des bikers, des vrais, des durs. Ils sillonnent l'Europe en tous sens, s'arrêtant là où ça leur plaît pour culbuter des gonzesses. Ce dernier détail, ma femme ne me l'a pas raconté. Ils sont assez vantards, et ils ont raconté leurs exploits à ma femme, Carène, et à sa fille, Laura. Laura est née d'un premier lit, et elle vient passer l'été à la ferme. L'hiver, elle est à l'université. Laura a 22 ans et elle est assez mignonne.

Ces gars sont des baratineurs, ils parlent facilement de leurs exploits, et je n'ai pas réalisé que Carène et Laura sont fascinées par leur bagout. Ces gars sont charmants, séduisants, ils jouent de la guitare, de l'harmonica, et ils s'intéressent aux animaux de la ferme. Ils ont proposé un tour à moto, c'est Laura qui accepte la première. Au retour, elle raconte à sa mère les sensations, la vitesse, les vibrations dans le creux des reins, comment elle s'est accrochée au pilote en tâtant ses abdominaux, ses pectoraux. Il a arrêté la moto dans un chemin creux, et il l'a baisée en travers de la selle. Il a une bite énorme, et Laura a pris cher. Carène, ma femme, fait semblant de s'offusquer, mais elle est émoustillée.

« Un homme que tu connais depuis la veille, comment peux-tu? »

Ouais, mais les filles d'aujourd'hui sont comme ça. Quand un gars leur plaît ... Le lendemain matin, en partant se balader, ils s'arrêtent à la ferme pour demander si Laura veut faire une balade. Elle accepte, et elle part avec eux pour la journée. Tout cela, je l'ignorais à l'époque, parce que je passais mes journées aux champs. Le soir, quand je rentre des champs, Laura est absente. Carène m'explique qu'elle passe la soirée chez ses amis bikers. Je trouve cela curieux, et je vais faire un tour près de leur caravane.

Le bruit est incontestable. Là-dedans, il y a une femme en train de se faire baiser méchamment. La femme halète, suffoque, pousse des cris, le lit grince, la caravane est secouée. Je jette un coup d'œil par le carreau latéral dénué de rideau, ça me fait bien flipper ! Laura est prise en doublette par les deux gaillards, un par devant, l'autre par derrière, et elle semble souffrir le martyre. Je cours à la ferme, chercher mon fusil. Pas question que j'affronte ces deux gaillards à mains nues, j'y laisserais ma peau.

A la ferme, je suis arrêté par Carène qui me crie dessus. A ma grande surprise, elle me dit de les laisser tranquilles, que Laura est majeure, qu'elle est avec eux de son plein gré, et que je ne dois pas m'interposer. Je lui fais part de mon inquiétude pour sa fille, mais elle me rit au nez, en me disant qu'à l'université Laura fait bien pire, qu'elle lui raconte de ces trucs qui font dresser les cheveux sur la tête. Carène me dit de me calmer, et son visage vraiment sérieux m'interpelle. Je suis surpris qu'elle accepte aussi facilement la souffrance de sa fille.

Carène se moque de moi, me traite de nigaud, me dit que ce n'est pas de la souffrance, mais du plaisir, et que, forcément, je ne peux pas comprendre. Je suis un peu vexé, mais elle m'assène le coup de grâce en me disant que beaucoup d'hommes sont beaucoup mieux équipés que moi. Je ne comprends pas sa méchanceté gratuite, alors elle me précise sa pensée. Elle me dit qu'il ne faut jamais interrompre une femme en pleine extase, parce que cela la rend folle de rage. Si je veux que Laura me méprise, je n'ai qu'à aller là-bas et les arrêter, et Laura m'en voudra toute sa vie.

Que Laura désire ce qu'ils lui font, que si je veux me calmer et écouter, je verrai qu'elle en réclame plus, et qu'ils sont en train de faire d'elle une vraie femme. Elle me dit de me calmer, qu'un bon coup de bite n'a jamais tué personne, bien au contraire. Carène me dit de faire du café, que le repas est presque prêt, que nous allons manger, et que la petite va passer une bonne nuit. Bon sang, c'est une gamine, ils ont une douzaine d'années de plus qu'elle, ils sont à deux contre une, elle ne peut pas se défendre, et sa mère laisse faire. Carène devine mes pensées, s'approche de moi, m'enlace et caresse ma bite

« Mais tu es tout excité, mon salaud. Ta belle-fille se fait baiser, et toi tu bandes comme un cerf ! On va manger, et puis on ira se coucher, et nous ferons des cochonneries ! »

La nuit passée dans la caravane des bikers a transformé Laura. Elle semble plus sereine, plus radieuse, plus mûre. La baise sauvage avec ces gars lui a fait vraiment du bien. Je suis épaté, mais frustré. Carène m'a dit de ne pas lui en parler. Que je dois accepter ce qu'elle explore sans rien demander. Mais je reste abasourdi qu'une jeune femme puisse s'offrir ainsi à deux gars plus âgés, qu'elle connaît à peine. Putain de merde, j'ai courtisé Carène pendant 6 mois avant de pouvoir la baiser !

« Ce matin, je vais en ville avec Laura pour faire des courses. Nous allons acheter des équipements et des casques de moto, d'accord? » Me dit Carène.

« Des casques? Pourquoi il lui en faut plusieurs? » J'ai répondu comme un crétin.

Carène inspira lentement : « Laura va faire de la moto avec Jürgen, et je vais faire de la moto avec Andreas. Il m'a demandée, et j'ai accepté. Nous irons faire quelques virées dans les collines »

Je lui lance mon plus beau regard interrogateur, à la fois douloureux et embarrassé. Je suis bouche bée.

« Pendant quelques jours, nous irons faire une balade chaque jour, et nous reviendrons ici le soir. Depuis le temps qu'on habite ici, tu ne nous as jamais fait visiter la région. Ah, aussi. Tu devras préparer le repas du soir car Andreas et Jürgen vont dormir ici. Leur caravane sent le moisi, c'est Laura qui me l'a dit. Il faudra que tu arranges cela ! »

Je suis scotché. Carène n'a jamais roulé en moto. Carène n'a jamais montré de penchant pour l'aventure. Les équipements, les casques, ça va coûter un bras. Pourquoi? Ces gars ne sont là que pour quelques jours !

Carène est embarrassée. Elle se tortille, gênée, rougissante, elle a un truc à me dire, on dirait une petite fille prise la main dans le pot de confiture. Elle soupire et se lance.

« Andreas m'a embrassée ! » M'avoue-t-elle en rompant le contact visuel. Elle regarde par la fenêtre, en direction de la voiture et des grosses motos garées devant la caravane. Par la fenêtre, je peux voir les grands gaillards, déballant leurs affaires des sacoches des motos. Périodiquement, ils regardent vers la maison, comme s'ils attendaient quelque chose.

« Andreas t'a embrassée? » Je répète, incrédule. C'est stupide. Vraiment stupide. Ces gars sont là depuis trois jours. Ils ont utilisé quoi, l'hypnose, la magie, ou la force?

« Désolée » Me dit Carène en haussant les épaules. « Andreas m'a couchée dans la caravane »

« Il t'a baisée? »

Je voudrais la frapper. Mais je ne peux pas frapper ma femme. Je l'aime plus que tout.

« Ne sois pas vulgaire. Nous avons fait l'amour, ne rend pas cela sordide ! J'ai perdu la tête, c'est tout ! »

« Putain de merde ! Quelle salope ! » J'ai fulminé.

Elle m'a giflé. Elle m'a claqué violemment le visage !

« Peux-tu réaliser dans quel monde étroit et sordide tu me fais vivre depuis toutes ces années? Je suis ta servante, ta bonniche ! Je m'occupe de ta maison, de tes animaux, et je n'ai droit à rien ! Aucun plaisir, aucune sortie ! Peux-tu réaliser tout ce que j'ai abandonné pour te suivre jusqu'ici? Si encore tu étais capable au lit, mais à peine commencé, et c'est déjà fini ! Et je reste frustrée et malheureuse ! » Elle est furieuse.

J'ai rougi. Au fond de moi, je le savais. Je ne suis pas grand-chose. La ferme non plus. Peut-être, merde, peut-être que je ne suis pas grand-chose, mais elle était bien contente de me trouver, quand l'autre l'a laissée tomber, avec sa gamine sur les bras. L'ingrate ! Et puis, je frémis en pensant à Laura. Laura doit le savoir qu'Andreas baise sa mère? Merde! Je sens mon visage rougir de honte.

« Je veux que tu sortes dans la cour, que tu ailles trouver Andreas, que tu lui expliques que tout va bien, que tu es d'accord. Je veux que tu lui dises qu'ils sont les bienvenus ici, quand ils veulent, aussi souvent et aussi longtemps qu'ils le veulent, gratuitement ! »

« Et je lui dis aussi qu'il peut te baiser gratuitement, sale pute? »

La gifle a claqué sur l'autre joue, cette fois.

« Sors et vas leur demander poliment. Si tu ne le fais pas, je pars définitivement » S'entête Carène.

Je sors, et je traverse le champ jusqu'à la caravane. Les deux bikers me regardent approcher. Ils m'attendent, tranquilles. Ils n'ont pas l'air méprisants, ni agressifs, juste un peu curieux C'est pendant que je leur raconte mon petit discours, que je réalise que Laura est à l'intérieur de la caravane. Laura est dissimulée et elle écoute m'humilier, m'abaisser, et ramper devant sa salope de mère qui me tient par les couilles.

Probablement, Jürgen vient de lui foutre sa grosse bite dans le cul, et elle a du mal à marcher cette pute qui a dévergondé sa salope de mère. Toutes des chiennes !

« Je suis vraiment content de vous avoir ici, les gars. C'est vraiment sympa à vous de promener les filles. C'est le début de la saison, la caravane sent encore un peu le moisi, peut-être aimeriez-vous dormir dans la maison pour le reste des vacances? »

Les deux salopards ont un sourire qui leur illumine le visage. Probablement qu'ils ont encore la bite qui les démange, à force d'avoir tringlé l'autre pute toute la nuit. Andreas hoche la tête.

« Peut-être pourriez-vous emmener les filles en ville, elles doivent acheter leur équipement pour faire de la moto. Si vous pouviez les accompagner pour les conseiller, ce serait vraiment sympa ! »

Jürgen sourit encore plus largement. Andreas hoche la tête.

« Les filles viennent avec nous, OK? Tu es tranquille à ce sujet, n'est-ce pas? Ça ne te pose pas de problème? » Andreas m'interroge en me scrutant avec ses yeux bleu clair.

« Oui » Je dis avec une pointe d'embarras. Putain. Laura nous écoute. J'ai vu le rideau bouger derrière la vitre de la caravane, derrière eux. Andreas dégrafe sa montre chronomètre.

« Carène va porter ça » dit-il en me la donnant. « D'accord? »

Je frémis. Cette montre vaut cher. Très cher. Et cette salope de Laura sait pourquoi il lui offre cette montre.

« Oui » Je cède. Je suis sur le point de me retourner avant de partir. J'ai hâte de m'enfuir. Cet échange me donne la nausée. Je me déteste. Brusquement, je me souviens des instructions de ma femme. Je n'ai pas fini mon travail de larbin. Je dois les inviter à revenir gratuitement, aussi souvent qu'ils le désirent. Je formule mon invitation avec le cœur au bord des lèvres.

« Bien sûr, on accepte, c'est gentil à vous » Me dit calmement Andreas.

Jürgen se marre. Un rire moqueur. Je lui lance un regard furax. Il arrête de rire, et durcit son expression en retour. Jürgen serre les poings. Ses poings semblent gros. Il fait un pas vers moi, menaçant.

« Les femmes reçoivent ce dont elles ont besoin, tout ce qu'elles désirent, pas de cris, ni de disputes idiotes, n'est-ce pas, mec? » Il est arrogant et me défie.

« Aucun problème » Je m'écrase, comme la bouse que je suis.

Les gars ont emmené les filles en ville pour les aider à choisir leurs équipements. Putains de salopes. À leur retour, Carène porte déjà fièrement la montre d'Andreas. Elle pend à son poignet trop mince. Les filles montent se changer pour enfiler leurs tenues de salopes. Les gars les attendent près de la caravane. Ils sortent tous ensemble, ce soir. Ils ont prévu d'aller en boîte.

J'attends patiemment pendant qu'elles se changent. Carène descend la première. Putain, ça fait de l'effet. Le pantalon, en matière élastique, la moule comme une seconde peau. Les bottes à talon montent jusqu'aux genoux. Elle a un petit foulard en soie blanche noué autour du cou. Le même qu'Andreas. Le plus spectaculaire, c'est le blouson. Fourré, en cuir noir, avec plein d'anneaux et de fermetures éclairs qui brillent. Il est ouvert. Dessous, elle n'a qu'un soutien-gorge en dentelle rouge. Presque transparent. Bon sang, je n'arrive pas à détourner mon regard d'elle. Elle est sublime.

« Embrasse-moi » Demande-t-elle.

Je ne peux pas la complimenter, lui dire à quel point je la trouve merveilleusement belle. La gorge nouée, je suis incapable de parler.

« Embrasse-moi » Elle répète, mais cette fois sa voix s'est durcie. C'est un ordre, pas une demande.

Du bout des doigts, je caresse le cuir de son blouson. Mes mains tremblent d'émotion, c'est comme toucher quelque chose d'interdit. Ce blouson n'appartient pas à notre monde, à notre classe, à notre caste. Nous sommes des culs-terreux, nous n'avons pas droit à ces privilèges. C'est comme un sacrilège. Carène est comme transfigurée. Debout sur la dernière marche d'escalier, elle attend, à ma hauteur. Son expression est énigmatique, interrogative et curieuse. Elle veut me voir plier.

Elle veut savoir s'il n'y aura pas de problèmes, comme je lui ai promis. Elle est trop forte, je dois céder. Je l'embrasse, mais elle ne me rend pas mon baiser. Elle reste les lèvres serrées, froide et distante. Elle veut me donner de nouveaux ordres. Elle veut me faire céder.

« Quand Andreas viendra à la maison, je veux que tu le remercies de me sortir, c'est bien compris? »

« Oui » Je m'écrase, vaincu.

Cette fois, c'est elle qui m'embrasse. C'est délicat et sensuel. Elle met sa langue dans ma bouche. Elle est tellement sexy, dans sa tenue de salope, et elle fait tinter la montre à son poignet. Plus elle me torture, plus ses tétons pointent. Ça l'excite de me soumettre.

« Ne combats pas Andreas, ne le combats pas. Laisse faire, sois gentil, d'accord? » Elle m'embrasse, se frotte contre moi, elle m'allume et je bande. Elle le sent. Elle passe sa main sur mon pantalon. Elle me caresse en m'embrassant plus sensuellement. Elle me regarde, souriante, fière de son œuvre.

« Tu peux te caresser, si tu veux » Me dit-elle calmement.

Je rougis. Elle est splendide.

« N'aie pas honte de tes émotions. Mais il est plus jeune que toi, plus fort et en meilleure forme. C'est naturel, la masturbation. Masturbe-toi, cela te soulagera » Elle m'embrasse encore d'un air coquin.

« J'ai envie de ... »

« Non, il n'acceptera pas que tu me fasses l'amour. Il est très possessif, tu sais. Tu pourras me lécher... après qu'il m'ait baisée, tu pourras me lécher pour me nettoyer, tu comprends? Tu peux me servir de serpillière, ça il l'accepte. Sinon, il va se fâcher, et il est très méchant ! »

« En ville, en sortant d'un magasin, un type a été inconvenant envers moi. Il lui a mis une raclée. Il est fort, et méchant. J'étais toute émoustillée de le voir mettre une raclée à un type. Alors, il m'a emmenée dans la ruelle, et il m'a baisée, debout contre le mur, un sauvage ! »

Son look sexy, l'odeur du cuir, sa main posée sur ma bite, son regard de salope, tout cela m'excite, me castre.

« Bien compris? »

C'est à cet instant précis que Laura descend les escaliers. J'ai compris qu'elle attendait en haut des marches en écoutant notre conversation.

« Oui, bien compris » Je me soumets rapidement en inclinant la tête, servile.

Laura arbore la même tenue que sa mère, tout aussi ajustée, tout aussi chère, et tout aussi salope. Elle nous regarde attentivement. Elle a assisté à la relève de la garde. A la capitulation du mâle dominant. A présent, la ferme n'est plus la priorité. Les caprices de Carène ont tout bousculé. Désormais, ma vocation n'est plus seulement de cultiver la terre, mais de servir la chatte de ma femme, avec ma langue.

La jeunesse regarde ces choses cruelles et impérieuses avec dédain. La jeunesse est méchante. Les jeunes sont insensibles aux souffrances des vieux. Les filles savent qu'elles sont désirables. Elles ont trouvé des étalons qui les baisent, et elles profitent de ma faiblesse. Laura regarde avec avidité sa mère me soumettre, me dompter. Elle a les tétons qui pointent, elle aussi, et elle frotte ses cuisses l'une contre l'autre comme pour une envie de pisser. Je suis sur qu'elle mouille, cette salope, en voyant sa mère m'émasculer.

« Donc, tu vas préparer un en-cas pour cette nuit. On aura faim en rentrant au milieu de la nuit. Et aussi pour demain midi. Comme ça, nous pourrons faire la grasse matinée, tu ne viendras nous embêter avec les bruits et les odeurs de cuisine. Quand tu verras Andreas, tu le remercieras bien comme je te l'ai dit. Dis-lui bien à quel point Jürgen est admirable avec Laura, puis tu iras dormir dans la caravane, bien compris? »

Carène me récompense avec de brefs baisers du bout des lèvres, sans lâcher ma bite. Je jette un coup d'œil à Laura. C'est humiliant. Elle regarde sa mère prendre le contrôle sur son beau-père grâce à sa chatte. Elle bat des paupières rapidement, la bouche ouverte. Elle va avoir un orgasme en voyant sa mère rabaisser son mari au rang de serpillière. Je rougis de honte devant ces deux chiennes lubriques.

« As-tu bien compris? Tu rêvasses et tu ne m'écoutes pas ! »

Carène me répète lentement ses instructions, comme pour un idiot ou un débile. Elle ne lâche pas ma bite, qu'elle caresse doucement. Laura regarde et apprend. Dresser son soumis pour le garder utilisable. Homme de ménage. Lécher la chatte et fermer ma gueule. L'expression du visage de Laura dit tout. Elle apprend à séduire les hommes avant de les dompter, c'est ce que font toutes les femmes qui ont un peu de jugeote. Carène insiste :

« Bien compris? »

« Oui » Puis je les regarde sortir. Je les suis des yeux, le temps du bref parcours pour franchir la courte distance jusqu'à la caravane, puis se blottir dans les bras de leurs étalons respectifs en les embrassant fiévreusement. Andreas me surveille du coin de l'œil parce que je sors sur le pas de la porte. Il caresse les fesses de ma femme serrées dans le pantalon très ajusté. Puis ils ont enfourchés leurs motos, les filles enlaçant passionnément les gars. Ils partent en faisant vrombir les pots d'échappements. Les filles ont un sourire excité sur les lèvres.

Je suis les silhouettes féminines aussi longtemps que je peux. Les silhouettes de ces deux putes qui vont se faire tringler. Je sors ma bite avec mes mains tremblantes. En fermant les yeux, j'ai devant moi la vision de Carène dans son cuir. Si belle, si sexy et si pute. Je vois Carène couchée sur le dos, percée par Andreas qui la cloue sur la couche tandis qu'elle halète sous lui. Je me caresse avec mes mains de toquard. Oh, putain ! J'ai les yeux pleins de larmes. Je vois Carène crier et se tordre sous son corps d'athlète, sa putain de grosse queue qui la défonce, à cru, sans protection. Tandis que, dans l'autre chambre, Jürgen encule cette salope de Laura.

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